L'intimité en ligne devient réelle

L'intimité en ligne devient réelle




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L'intimité en ligne devient réelle
Selon Pew Research, 15% des adultes américains déclarent utiliser les sites de rencontres en ligne ou des applications de rencontres mobiles. Rencontre en ligne a fait un bond chez les adultes de moins de 25 ans, ainsi que ceux de leurs fin des années 50 et début des années 60.
Soixante-six pour cent des dateurs en ligne déclarent qu'ils sont allés à une date avec quelqu'un qu'ils ont rencontré sur un site de rencontres ou une application de rencontres. C'est une augmentation substantielle de 43% des dateurs en ligne qui avait en fait progressé au stade de la date en 2005.
Compte tenu de l'intérêt accru et la participation à des rencontres en ligne, il convient de développer notre compréhension de sa dynamique et le potentiel. Deux questions posées par les chercheurs offrent des résultats importants et inattendus.
Dans quelle mesure la communication médiatisée par ordinateur (courriels, textes, etc.), utilisés rencontre en ligne, favoriser l'intimité par rapport à face-à-face?
Est-ce que cette intimité report à la rencontre face à face avec un partenaire potentiel?
S'appuyant sur les recherches approfondies et une méta-analyse réalisée dans le livre intéressant de Matthew D. Johnson, grands mythes de relations intimes: Rencontres, le sexe et le mariage, il semble de nombreuses preuves que non seulement la communication médiatisée par ordinateur (e-mails, textes, etc.) favorisent l'intimité, il dépasse en fait les échanges face à face. Comment? Pourquoi?
 Finkel et ses collègues (2012) qui contribuent à cette compréhension considèrent la communication médiatisée par ordinateur en ligne en termes de haut-parleur virtuel et l'auditeur virtuel.
Grâce à ces études et plus rapporté, il est conclu que l'utilisation du couple de la communication médiatisée par ordinateur comme des e-mails en ligne ou textes pour les rencontres en ligne avant communication face à face ne favorise l'intimité et peut être bénéfique.
 Est-ce que cette attraction report pour faire face à face échanges? Oui
L'une des rares études qui ont examiné cette question a révélé que lorsque les hommes et les femmes ont été affectées à deux situations possibles, une connexion de communication en ligne suivie d'une rencontre face-à-face par rapport à deux réunions en face-à-face, plus de ceux dans la situation de la première ayant en ligne de communication suivie face à face déclarée aimer les uns les autres.
Un facteur important dans ce résultat est le timing. Les sentiments positifs en ligne pour faire face à face des réunions que reportés pour faire face à face des réunions lorsque le couple a rencontré dans les trois semaines suivant la communication en ligne. Il se peut que la relation doit se déplacer assez rapidement en ligne pour faire face à face pour valider et appuyer sur les sentiments positifs qui ont été générés.
Ces résultats soulignent la valeur et même des avantages potentiels de la rencontre en ligne en tant que préface en personne réunion et la datation. Ils invitent plus de recherche et de générer des messages à emporter.
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On ne présente plus l’ethnographe et psychologue Sherry Turkle directrice du département sur la technologie et l’autonomie du MIT et auteur de nombreux livres dont La vie à l’écran sur l’identité à l’heure de l’internet (1995), ou La simulation et son malaise (2009). Elle publie un nouveau livre qui analyse notre relation à la technologie, intitulé Seuls ensemble ( Alone Together ) où elle dissèque l’ambivalence de la technologie quand elle propose d’être « l’architecte de notre intimité » . Seuls ensemble est un fascinant portrait de notre relation changeante avec la technologie, estime Jessica Bennett et de comment celle-ci a redéfini notre perception de l’intimité et de la solitude.


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« Combien de fois par jour vérifiez-vous votre e-mail ? Dès votre réveil ? Avant de vous coucher ? Une douzaine de fois entre les deux ? Si vous êtes comme beaucoup d’entre-nous, le clignotant rouge de votre BlackBerry est la première chose que vous voyez chaque matin – vous avez un message ! – et la dernière lumière à disparaître quand vous vous endormez « , rappelle Jessica Bennett pour Newsweek . Ajoutez Twitter, Facebook et le reste de nos médias sociaux à ces obsessions et la connectivité permanente qui était censée nous simplifier la vie est devenue le boulet que l’on traîne avec soi du matin au soir. L’avantage de ces gadgets, bien sûr, c’est la connectivité qui nous permet de répondre à un mail sur la route et qui nous permet de rester en contact avec plus de personnes que nous sommes capables d’en rencontrer en une journée. Reste que pour Sherry Turkle , ces technologies nous rendent plus isolées que jamais.
Turkle y parle de ces élèves du secondaire qui craignent d’avoir à passer un coup de fil à quelqu’un, de ces enfants des écoles élémentaires désemparés quand leurs robots jouets de compagnie en viennent à mourir. Elle se demande comment sa fille se souviendra de leur relation, si toutes les communications longue distance qu’elles échangent se font principalement par textos. Turkle dénonce l’engagement superficiel qu’impliquent ces objets. « Nous utilisons des objets inanimés pour nous convaincre que même quand nous sommes seuls, nous nous sentons ensemble. Et puis, quand nous sommes avec d’autres, nos appareils mobiles nous mettent constamment en situation où l’on se sent seul. Ces objets induisent une véritable tempête de confusion sur ce qui est important dans les relations humaines » .
Certes, la technologie, malgré ses défauts, rend la vie plus facile. Elle nous permet de communiquer avec plus de personnes en moins de temps. Elle rend la conversation plus simple. Elle peut même avoir un rôle thérapeutique. Mais elle peut aussi être séduisante : elle sait fournir plus de stimulation que la vie réelle : « Par rapport à une centaine de retweets et une avalanche de textos, une seule conversation pendant le dîner semble terriblement ennuyeuse »
Avec ces technologies, « la montée d’adrénaline est continue » estime Sherry Turkle. « Nous avons une petite poussée de dopamine à chaque fois nous faisons une connexion ». Un étudiant du secondaire lui a confié qu’il se sentait bien dès qu’il commençait à écrire un texto.
Les sentiments que les machines nous font ressentir ne sont pas les mêmes que ceux que nous ressentons en temps réel, dans l’intimité du face à face. En ligne, nous pouvons ignorer les sentiments des autres. Dans un message textuel, nous pouvons éviter le contact visuel.
Cela ne veut pas dire que nous courrons à la catastrophe, nuance Sherry Turkle, mais peut-être qu’il nous faut réfléchir à la façon dont nous voulons vivre avec ces technologies. Car Sherry Turkle se défend d’être une luddite ou d’exprimer le point de vue moral d’une maîtresse d’école, mais elle craint que l’usage des technologies transforme nos normes sociales, plutôt que l’inverse. Nous n’avons pas à sacrifier la société pour les applications phares du moment, estime-t-elle.
Avec ces machines, « Il y a une réelle ambiguïté de savoir si nous avons ou pas l’attention des autres dans cette culture de la connectivité permanente » dans laquelle nous baignons, explique la psychologue qui rapporte dans son livre des exemples provenant de centaines d’extraits d’entretiens qu’elle a eu avec des patients. L’une des constatations les plus frappantes de l’ouvrage estime Peter Dizikes du service de presse du MIT , repose sur un renversement des rôles autour des technologies dans les familles. Les jeunes, pourtant grands utilisateurs d’appareils mobiles eux-mêmes, n’en sont pas moins malheureux quand leurs parents surutilisent ces mêmes appareils. Beaucoup de lycéens se plaignent ainsi de ces parents qui demeurent dans la « zone BlackBerry », qui les font ignorer leur entourage, même pendant les repas de famille.
« Mais pouvons-nous vraiment changer nos habitudes ? » demande Nancy Rosenblum , professeur en éthique politique à Harvard. Sherry Turkle n’évoque pas de grande révolution en conclusion de son ouvrage. Au contraire. Elle suggère de commencer par des choses simples qui ressemblent plutôt aux bonnes manières : parler à des collègues dans le couloir, ne pas utiliser son téléphone lors d’un diner, quand on est venu voir son enfant faire du sport, dans la voiture, ou en compagnie.
Une « Netiquette » que nos pratiques ont depuis longtemps fait voler en éclat. « Ces actes ne sont pas nécessairement faciles », en tout cas pas aussi faciles qu’ils le paraissent. « Quand nous essayons de retrouver notre concentration, nous entrons souvent en guerre contre nous-mêmes » . Mais nous ne pouvons pas céder pour autant le contrôle de notre vie à la technologie.
DES EXEMPLES DRAMATIQUES FONT-ILS PATHOLOGIE ?
Le livre de Turkle explique que la technologie redessine le paysage de notre vie affective. Mais il pose également la question de savoir si elle nous offre pour autant la vie que nous voulons mener ?, explique David Weinberger dans le Boston Globe . Ce qui ne l’empêche pas d’être plutôt critique face à cette vision. « Turkle lit comme des maladies bien des symptômes que beaucoup d’entre nous considèreraient comme des signes d’une bonne santé sociale. Pour Turkle, les photos des téléphones mobiles pendant l’investiture présidentielle de janvier 2009 ne sont pas la marque d’un partage d’un moment avec des amis éloignés, mais celle, pathologique, de vouloir échapper à l’ici et au maintenant.
Turkle ne lit pas le flot de SMS que s’échangent les adolescents comme le signe qu’ils sont socialement plus connectés que jamais, mais comme la preuve d’un besoin d’être constamment rassurés. Quand une adolescente lui rapporte qu’elle était heureuse d’apprendre la mort d’un mai par message instantané, car elle « était capable de se composer », d’avoir le temps d’y réfléchir », Turkle voit un repli dans le paradis protecteur de l’internet pour éviter des émotions fortes, plutôt que l’expression d’une solution raisonnable pour faire face à un moment difficile. »
Pour David Weinberger, malgré tout le respect qu’il porte au travail de Turkle, son regard lui semble déformé par le modèle psychologique qu’elle cherche à plaquer sur le sujet. Son regard même est déformé, car les symptômes qu’elle égraine semblent souvent plus atypiques qu’autre chose. L’adolescent qui envoie des dizaines de textos par jour à sa mère, ou l’adolescente qui refuse d’utiliser le téléphone, car mettre fin à un appel lui donne l’impression d’être rejetée, sont des exemples dramatiques, mais cela n’en fait pas nécessairement les preuves d’une pathologie généralisée. Enfin, estime David Weinberger, Turkle préfère personnellement les téléphones à Facebook, les courriers papiers à Skype, les poupées aux robots. Comme souvent dans les réflexions critiques à l’égard d’internet, le rejet du nouveau rejoint la préférence pour les formes anciennes, traditionnelles.
La modernité qui nous déplace loin des « anciennes valeurs » semble pathologique par essence. « Les changements qu’induisent les technologies remettent en question jusqu’aux cadres conceptuels que nous maîtrisons pour comprendre ces changements » , estime David Weinberger. Même d’un point de vue psychologique.

Cette entrée a été posté par admin le 27 janvier 2011 à 16 h 15 min, et placée dans Usages . Vous pouvez suivre les réponses à cette entrée via RSS 2.0 . Les commentaires et les pings sont fermés pour l'instant





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L’e-réputation est la réputation en ligne ou l’identité numérique d’une personne sur Internet. Cette e-réputation est entretenue par tout ce qui concerne cette personne et qui est mis en ligne sur les réseaux sociaux, les blogs ou les plates-formes de partage de vidéos.
Aujourd’hui, on consulte de plus en plus Internet et les réseaux sociaux pour rechercher des informations sur quelqu’un, que ce soit dans un contexte professionnel (recruteurs, clients, collègues, etc.) ou personnel (amis, amis d’amis, voisins, conjoints, etc).
Cette pratique est d’ailleurs devenue si courante qu’on emploie l’expression « googliser quelqu’un » quand on cherche des informations sur cette personne sur un moteur de recherche (type Google). Il est donc très important de contrôler et de maîtriser son image numérique car elle est accessible par tous.
On peut maîtriser une partie de sa réputation en ligne : ce que l’on a partagé soi-même sur les réseaux sociaux (des vidéos sur une plate-forme de vidéos, des articles sur un blog, des participations sur des forums ou des chats).
Mais il reste une partie de notre identité qui ne dépend pas de nous : elle est liée à ce que d’autres personnes vont publier sur nous et c’est beaucoup plus difficile à maîtriser.
La loi française et européenne mettent à disposition de chaque citoyen un éventail de droits qui permettent d’effacer les traces gênantes laissées sur internet.
Il existe même des entreprises « nettoyeuses de réputation » qui proposent des services payants pour aider les internautes à supprimer ou à occulter d’Internet certaines informations gênantes. Et, en ce qui concerne les contenus que l’on a soi-même publiés, la meilleure des préventions, c’est de réfléchir avant de publier !

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La première force est bel et bien d'avoir réussi à convertir toute la perception sensible et intime d'un être à travers une narration dont les fondements créent l'espace réel du livre, hors réalité générale, mais ô combien plus authentique que ce qui, a priori, passerait pour tel. Ainsi, ce n'est pas tant ce qui se passe que la lutte pour que cela se passe qui est à l'œuvre dans la recherche du narrateur. Quête à laquelle nous sommes conviés mais comme spectateurs, tout comme le narrateur lui-même, prisonnier de l'indétermination des choses sensibles, semble vivre sa vie. Ensuite c'est une écriture qui va à la rencontre de -. Soit posée la question de la création de l'individu, un individu intemporel. Dans quel rapport cette création est elle possible ? Comment l'intimité, aussi profonde soit-elle, parvient à se former, à se retrouver, dans le monde ? Car si elle a besoin du monde, l'exigence de l'auteur est de ne s'y complaire jamais. On pourrait, simplement, se satisfaire du premier sens venu, de l'explication la plus rassurante quant aux événements qui nous arrivent. Alors le véritable travail serait celui du narrateur : ne pas se tromper, tant par lui-même que par son art. Tout cela, bien sûr, lourd de conséquences. Un livre qui place le lecteur dans cette exigence ; exigence de toute littérature ; exigence de la vision ; exigence d'une vie qui se fait, qui lutte et lutte encore quand bien même elle ignore son ennemi ; bref, exigence même du roman dont l'expérience des mots ne saurait être la dupe de la nôtre.


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