L'infirmière prend soin de sa queue

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L'infirmière prend soin de sa queue

17 DÉC. 2020



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Prenez-vous soin des autres plus que vous prenez soin de vous ? Découvrez les 5 signes du syndrome de l'infirmière...
De nombreuses personnes, en particulier les femmes, passent leurs journées à prendre soin des autres, mais elles s'oublient. C'est le soi-disant syndrome de l'infirmière .
On nous parle souvent de dépendance émotionnelle, une forme d'attachement excessif et anxieux qui nous empêche de vivre pleinement les relations. Nous avons besoin de l'autre pour nous compléter, alors nous nous accrochons à lui. Bien que l'on associe souvent ce terme à l'amour, il existe de véritables relations de dépendance dans des situations les plus inattendues : entre amis, entre parents et enfants, et même entre patrons et employés !
Mais chaque pièce a deux faces et si le profil du dépendant existe, il y a un autre profil qui le complète parfaitement : le codépendant .
Faites un examen rapide et découvrez si ce que vous appelez la malchance ou le hasard vient de vous.
Tout comme la personne à charge a besoin d'une autre personne pour se sentir en sécurité, la codépendante a précisément besoin d'une personne dont elle doit s'occuper. Ce que vous définissez comme altruisme et bonne volonté, n'est rien de plus qu'un pur besoin de se donner dans sa totalité aux autres puisque, à tort, c'est la façon dont vous avez appris à vous sentir aimé.
Afin de s'acquitter de son mandat, le codépendant entretient généralement des relations avec des personnes avec des hauts et des bas fréquents, des peurs et des difficultés dans leurs relations.
Est-ce un hasard si les personnes les plus importantes dans votre environnement sont des personnes qui ont constamment besoin d'attention et de confort ? Probablement pas. Mais si vous aviez des relations avec des personnes en bonne santé et bien équilibrées, comment répondriez-vous à votre besoin ?
Si je vous demande comment vous vous décririez, que me répondriez-vous ? Vous pouvez vous fier aux adjectifs qui vous décrivent simplement : "Gentil, mystérieux, têtu, curieux, sensible et amoureux des animaux." Mais vous pouvez lister une liste de "dons" que vous offrez quotidiennement à votre entourage : "Je donne de bons conseils, je sais me mettre à la place des autres, je suis un bon ami et je suis très bon à l'écoute."
Le codépendant construit son estime de soi à partir de ce qu'il offre aux autres : «Je me sens accepté quand je donne». Mais attention, si au lieu de donner aux autres vous prenez soin de vos besoins, votre valeur est en péril !
Lorsque vous démarrez une relation avec une personne problématique, il devient difficile pour vous d'amener cette personne à surmonter ses peurs, son anxiété et son instabilité émotionnelle. Le fait de sentir que grâce à vous il peut y parvenir, vous remplit de motivation et vous prédispose à vous battre pour ce que personne, pas même cette personne, n'a jamais réalisé : "Je veux le sortir de là", "J'ai besoin de l'aider", "Si je le soutien, il pourra y arriver". Mais votre mission dans le monde n'est pas de sauver qui que ce soit, et encore moins quand ce sauvetage implique votre propre naufrage.
C'est l'un des points les plus inconscients et donc les plus difficiles à reconnaître. Bien que vous vous plaigniez constamment du fardeau de prendre soin des autres , le sentiment qu'ils vont bien et qu'ils n'ont pas besoin de vous met en danger le travail qui donne un sens à votre vie : prendre soin des autres.
Et vous, êtes-vous aussi attiré.e par des personnes "avec des failles", ou qui ont "toujours des problèmes" ?

Les informations publiées sur Psychologue.net ne se substituent en aucun cas à la relation entre le patient et son psychologue. Psychologue.net ne fait l'apologie d'aucun traitement spécifique, produit commercial ou service.

Et quand la prise de conscience arrive , c’est tout un changement de vie qui s’opère. Bien heureusement !
Bonjour,

C'est exactement mon problème, que dois-je faire ?

Par
Psychologue.net ·
04 AOÛ 2022


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Psychologue.net ·
01 JUI 2022


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Psychologue.net ·
21 JUI 2022


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Elena Cascarigny ·
20 JUI 2022


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Cabinet Ludimedia ·
14 JUI 2022


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Marie Boston ·
14 JUI 2022


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Le fantasme de l'infirmière perdure... au grand dam de celle-ci, peu formée à gérer les manifestations débordantes de la sexualité de leurs patients. C'est la conclusion d'une étude menée en janvier 2013 par Alain Giami, directeur de recherche à l'Inserm.
Cette question, les infirmières y sont régulièrement confrontées lorsque des soins intimes entraînent d'inévitables réactions sexuelles ou que certains patients dépassent les bornes de la pudeur. Et elle a été l'objet de l'étude menée entre 2007 et 2008 sur 64 infirmières et soignants travaillant dans des services de cancérologie, et intitulée "La place de la sexualité dans le travail infirmier", l'érotisation de la relation de soins et publiée en janvier 2013 dans la revue Sociologie du travail .

La figure de l'infirmière demeure ambivalente, à la fois image emblématique du dévouement mais également fantasme sexuel largement relayé par la pornographie. Ce dernier point a longtemps freiné l'implication de cette profession dans la médecine sexuelle, parce qu'elle ne souhaitait pas prêter le flanc aux idées reçues. Mais aujourd'hui, les infirmières tentent d’inclure la sexualité dans leurs pratiques, en dépit de résistances d'ordre professionnel ou parfois personnel.

Alain Giami, devant le peu d'études existantes, a souhaité approfondir les connaissances en la matière. Ses investigations psychosociologiques ont permis d'étudier en quoi consistait la "sexualité" des patients dans le cadre des soins et comment les infirmières s'en arrangeaient.

Un premier paradoxe se dégage de l'analyse des entretiens que les chercheurs ont eus avec les 64 infirmières. Si elles décrivent globalement la sexualité comme positive et importante pour la qualité de vie, la sexualité devient parfois problématique dans le cadre professionnel. " La sexualité devient taboue, interdite, déplacée voire obscène, rendant la communication difficile entre patients et soignants ", commente Alain Giami dans l'étude. Elle peut alors entraver les soins prodigués.

Certaines infirmières décrivent des contextes où l'érotisation crée une complicité : elles évoquent des compliments, comme " ah, il n'y a que des top models dans l'équipe ", des mots qui détendent et qui font sourire... L'intimité physique qui se noue lorsqu'elles lavent leurs patients est rendue plus facile par cette connivence qui peut aller jusqu'à des marques de tendresse, notamment avec les patients jeunes ou âgés. C'est finalement le ressenti qui est essentiel : " le sexuel reste ce qui est considéré comme sexuel par les acteurs de la situation ".

Et la désexualisation des actes s'acquiert avec l'expérience, autorisant une plus grande proximité avec le patient. L'érotisation considérée de cette manière facilite la relation, allège la charge de travail et donne une part d'humanité supplémentaire à cette relation de soins. A la condition que certaines limites ne soient pas franchies et que la soignante conserve un recul professionnel.

Autre situation potentiellement plus gênante : la survenue d'une érection lors des soins. Elle est excusée lorsqu'elle est involontaire ou accidentelle.

Une infirmière cite ainsi une érection réflexe lors de la pose d'un étui pénien pour récupérer les urines, qu'elle avait excusée d'un sourire et d'un commentaire " ne vous inquiétez pas, prenez votre temps ". Le fait de replacer la survenue de ce réflexe sexuel lui ôte sa valeur érotique et le banalise. L'humour apporte une aide non négligeable : " C'est déjà arrivé, quand vous faites un rasage, qu'un homme ait une érection… Cela passe avec un truc "con" : il est en forme aujourd'hui ! ", raconte ainsi une infirmière.

Certains patients psychiatriques ont des délires érotiques et des patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou de cancers cérébraux les désinhibant peuvent avoir des mains baladeuses ou des propos déplacés.

Ces incidents sont pardonnés dès lorsqu'ils sont replacés dans le contexte médical.

Le harcèlement sexuel n'a rien à voir avec un dérapage. Il est impossible pour les infirmières d'excuser des gestes ou des mots s'ils ne sont pas volontaires ou expliqués par la maladie. " Il apparaît une équivalence entre érotisation involontaire/excusable et sexualisation volontaire/condamnable ", expliquent les auteurs de l’étude.

Par exemple, certains patients, quasi exclusivement des hommes, restent volontairement nus sur leur lit, dans leur chambre voire dans les couloirs hospitaliers.

D'autres se masturbent, dans leur lit ou au cours d'un soin. Une infirmière prend l'exemple d'un patient, surnommé le "gros cochon" : " Il s'est carrément branlé quand une collègue lui massait le dos... Plus personne ne voulait rentrer dans la chambre ! ".

" Ces deux types de conduite (exhibitionnisme et masturbation en public) sont considérés comme des déviations au regard des scenarios culturels de la sexualité normale ", analyse Alain Giami. Et la perversion n'est pas explicable par une maladie.

Les avances insistantes, les blagues vulgaires, les gestes déplacés et les demandes de service sexuel (masturbation ou fellation) heurtent également les infirmières. " Quand j'étais étudiante, il y en a un qui m'a carrément demandé de lui faire une petite gâterie ", illustre une infirmière. Une autre raconte qu'un de ses patients "pervers pépères" regardait un film porno durant les soins. Des situations vécues péniblement ou avec humiliation… auxquelles elles ne sont pas préparées. Elles cherchent toutefois à mieux les comprendre et à trouver leurs raisons d'être, comme le symptôme d'un manque, par le fait que ces malades veulent se prouver qu'ils sont encore des hommes malgré le cancer, qu'ils se prouvent qu'ils sont encore séduisants ou qu’'ils masquent ainsi leurs angoisses.

Pour faire face à ces situations, les infirmières tentent de rester ni trop éloignées afin de rester empathiques et attentives aux besoins du patient, ni trop proches pour rester maîtresses de leurs émotions. Elles adoptent également certaines règles : ne pas porter de tenues provocantes, utiliser des gants pour tout contact intime, porter un regard clinique sur le corps du patient, ne jamais parler de soi ou de sa vie privée, "recadrer" le patient s'il dérape en lui rappelant la place de chacun dans la relation de soin, l'éviter ou passer moins de temps avec lui, ne pas faire de soin seule, discuter des situations posant problème avec l'équipe.

" Les infirmières manquent de formation sur les questions de sexualité qui apparaissent dans la relation de soins ", concluent les auteurs. Si certaines situations peuvent faciliter la relation et les soins, d'autres plus gênantes demanderaient des recommandations professionnelles qui font à l'heure actuelle défaut. 

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