L'infirmière la plus dévouée

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Écrit par Jean-Clément Martin Borella



Le 14/05/2020 à 16h30.


Modifié le 14/05/2020 à 17h52.



UN SITE DU GROUPE © PRISMA MEDIA - GROUPE VIVENDI 2022 TOUS DROITS RÉSERVÉS

Surnommée "la dame à la lampe", cette citoyenne britannique est un véritable modèle dans le monde des infirmières. Dévouée religieusement aux blessés, elle est aussi une grande théoricienne de l'organisation des soins et est à l'origine de la création des écoles d'infirmières. Alors que le merveilleux travail des personnels soignants est actuellement reconnu, retour sur la vie d'une femme aux convictions révolutionnaires et salvatrices.
C’est une époque où devenir infirmière pouvait être un affront familial. Née en 1820 dans la bonne société britannique, Florence Nightingale ne peut pas devenir infirmière, un métier réservé aux classes populaires. Au XIXe siècle, les personnes aisées sont soignées à domicile et les hôpitaux sont réservés aux pauvres car ce sont des lieux très inhospitaliers où la mortalité est telle que tout le monde préfère ne pas avoir à s’y rendre, quitte à mourir chez soi. Pourtant, Nightingale est sûre de son choix et elle effectue un tour d’Europe pour visiter les établissement hospitaliers et dresser un état des lieux des bonnes et surtout des mauvaises pratiques médicales, qui ont la vie dure.
Nightingale est motivée par une profonde conviction, une sorte « d’appel divin » auquel elle ne peut renoncer. Elle fait une grave dépression à l’aube de ses 30 ans. En 1851, elle finit par convaincre ses parents et suit une formation à Londres. Brillante, elle gravit les échelons à une vitesse remarquable pour devenir quelques années plus tard infirmière en chef au King’s College.
C’est entre 1853 et 1856 que l’infirmière va devenir célèbre. L’armée britannique, alors membre d’une coalition contre la Russie, se bat en Europe de l’Est lors de la guerre de Crimée. Les soldats anglais sont disséminés par les maladies, le choléra, le typhus, la typhoïde font des ravages, et les services médicaux sont dépassés et inefficaces. L’infirmière en chef est envoyée en Turquie pour réorganiser les services de médecine militaire. Au coeur de son action, une obsession salvatrice, l’amélioration des conditions sanitaires des centres de soins. Le taux de mortalité diminue drastiquement et la réputation de Nightingale traverse les frontières.
Afin de répandre ses idées au sein des cercles médicaux influents de Londres, Nightingale écrit des rapports pour modifier en profondeur les habitudes de la médecine militaire. En parallèle, elle participe à la professionnalisation de l’activité d’infirmière, par la création d’une école au sein du King’s College, lui donnant sa forme moderne. Tombée malade, elle publie en 1862 un manuel sur les soins infirmiers qui fait encore aujourd’hui autorité.
Ses travaux de pionnière dans la gestion des hôpitaux lui permettent de recevoir de nombreuses distinctions nationales, notamment l’Ordre du mérite en 1907, alors attribué à une femme pour la première fois.
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Audrey a refusé la vaccination obligatoire. Suspendue sans rémunération, elle a démissionné. DDM,archives M.C.











Société , Coronavirus - Covid 19 , Lot-et-Garonne



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l'essentiel
Jeune infirmière diplômée, Audrey a refusé d’être vaccinée contre le Covid-19. Suspendue sans salaire, elle a finalement tourné le dos à son métier. Et sans regret.

Sans haine, sereine et sans crainte d’être reconnue, Audrey n’est plus infirmière depuis la mi-octobre. À Agen, son nom est apparu dans la liste de la petite centaine d’agents hospitaliers suspendus car n’ayant pas entamé le sacro-saint schéma vaccinal. Elle a finalement disparu des écrans radars en mettant un terme à sa très courte carrière dans la fonction publique hospitalière alors qu’elle devait y entrer avant la fin de l’année. À trente ans passés, elle avait repris ses études pour devenir l’un de ces soignants applaudis au balcon en 2020 et montrés du doigt en 2021.
La suspension impliquait l’arrêt de sa rémunération. Le prêt immobilier et ses échéances auraient pu faire reculer ses motivations. La voix est calme, presque paisible. "Avant d’être soignante, je suis une femme, avec des doutes et je conserve le droit de m’interroger. Existe-t-il un recul sur les vaccins sur le long terme ? Non. Je n’ai pas signé pour être un cobaye."
Au croisement de deux chemins, elle a choisi la non-vaccination. "Il était question de ma santé mentale et de ma santé physique. J’ai donc choisi de quitter le système de santé car il ne correspond plus d’abord à mes valeurs personnelles, mais aussi aux valeurs qui m’ont été transmises lors de ma formation."
"Je voulais mettre ce que je pense être mes valeurs dans mon travail. Il en a été décidé autrement donc j’ai choisi de faire autrement et je poursuis mon métier sans être infirmière mais en soignant d’une autre façon." Elle n’en dit pas plus sur ces petits boulots successifs depuis sa suspension, d’agence d’intérim en agence d’intérim. L’infirmière Audrey touchait aux environs de 2000€ par mois, elle ne s’étend pas sur ses revenus actuels et sur sa vie au quotidien sans pass sanitaire mais reste ferme. "Je veux avoir des enfants. Cette vaccination à tout va m’inquiète vraiment, donc pas de vaccin. L’infirmière que j’étais a été vaccinée contre l’hépatite B par exemple. Je ne suis pas contre la vaccination, je ne suis pas anthrax ou dans une démarche complotiste comme on dit mais on vit tous dans un flou total. Je ne juge pas, mais je suis claire avec moi-même même si j’ai pu être jugée par mes choix. Je n’ai aucune honte de ces choix."
Un jugement étayé par son expérience familiale. "Mon père a été atteint d’un cancer puis il a été positif au Covid. Mes parents m’ont posé la question de la vaccination, je leur ai simplement répondu qu’ils devaient faire comme ils le voulaient."
Le pass sanitaire est désormais entré à l’hôpital. La vaccination est elle obligatoire pour les soignants. "C’est un décret. À l’inverse du pass, je ne vois pas comment on pourrait faire marche arrière. Pour moi, la santé publique, c’est terminé, j’ai fait une croix dessus. J’ai fait mon travail, j’ai protégé les autres tout en me protégeant car nous sommes formées pour ça. Là, c’est fini."
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Quelle change de métier. Trop égoïste pour faire ce métier. Danger public. Il faut des infirmières plus dévouées et moins nombrilistes.
vraiment bravo pour n'avoir pas ceder a toutes ces pressions ! honte a ce gouvernement !
On a applaudi les vrais soignants avec une vraie mentalité de soignants, pas ceux qui sont comme cette personne.




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Delphine Jubillar a disparu depuis plus de trois semaines.
Gendarmerie du Tarn / MAXPPP










Disparition de Delphine Jubillar , Occitanie , Faits divers




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Samedi 16 janvier, cela fera un mois que Delphine Jubillar, cette mère de famille de 33 ans, aura disparu. À moins qu'elle ne soit retrouvée d'ici là. Les enquêteurs travaillent d'arrache-pied à éclaircir le mystère qui entoure sa disparition en pleine nuit à Cagnac-les-Mines, dans le Tarn. 

Delphine Jubillar a disparu depuis plus de trois semaines, et l'enquête se poursuit. Les enquêteurs explorent toutes les pistes possibles pour tenter de percer le mystère de la disparition soudaine de cette mère de famille, qui aurait quitté son domicile dans la nuit du 15 au 16 décembre, vers 2 h du matin, pour ne jamais revenir.
Les informations sur sa vie, son passé, son entourage affluent, comme dans chaque affaire médiatique. L'occasion de faire le point sur ce que l'on sait de la personnalité de cette jeune femme.
Delphine Aussaguel a épousé Cédric Jubillar en 2013. Depuis, le couple a eu deux enfants de cette union, et vit dans une maison en cours de travaux à Cagnac-les-Mines près d'Albi dans le Tarn. Ses enfants sont âgés de 6 ans et 18 mois, et ils sont au centre de l'attention de Delphine Jubillar, à en croire le témoignage de l'une de ses voisines, recueilli par le Parisien , qui utilise même l'expression "maman poule".
Selon le maire de la commune, interviewé par la Dépêche , "Delphine Jubillar est quelqu'un de très discret. Leur petit garçon est un petit garçon très intelligent", explique l'élu, qui croisait régulièrement la maman lorsqu'elle amenait les enfants à l'école.
Delphine Jubillar était infirmière à la clinique Claude Bernard à Albi. Elle travaille au service gastro-entérologie et effectue régulièrement des heures de nuit et des week-ends, dans le cadre de son métier.
Appréciée dans son travail, Dephine Jubillar a aussi été recherchée par ses collègues. Notamment lors de la battue citoyenne qui s'est tenue quelques jours après sa disparition : "C’est une collègue de travail, j’ai pas mal travaillé avec elle comme je suis aide-soignante. Et j’ai du mal à réaliser que ce soit elle qui soit partie volontairement comme ça, ce n’est pas son genre", a notamment expliqué une participante aux recherches, selon l'AFP.
Autre élément de la vie privée de Delphine Jubillar, révélé au grand jour avec sa disparition : la fragilité de son couple. Mariée avec Cédric Jubillar depuis 7 ans, Delphine aurait en effet fait part à son mari de sa volonté de divorcer. 
Au Parisien , la voisine interrogée précise que Delphine ne s'épanchait pas sur sa vie de couple, mais ne s'étonne pas de la situation. "Pas étonnant qu'elle ait voulu le quitter…", dira même la voisine qui commente la situation professionnelle difficile de Cédric Jubillar à cause de la crise et les travaux de la maison qui n'avançaient pas.
Enfin, parmi les zones d'ombre qui entourent la personnalité de Delphine Jubillar, il y a cette relation à distance, qu'elle aura
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