Libérer ses frustrations

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Libérer ses frustrations
Par conséquent, il est très important, lorsque quelque chose ou quelqu’un nous frustre, de prendre un moment pour nous calmer. Lorsque nous remarquons que la sensation désagréable de la frustration a diminué, nous pouvons penser aux prochaines étapes à suivre ou à prendre des décisions pratiques.
Il est par ailleurs nécessaire d’écouter le message que cette émotion, à l’instar de toutes les émotions, veut nous transmettre. La frustration doit nous servir à agir, soit en travaillant pour réaliser des changements en nous et moins nous frustrer, ou pour changer le cours de ce qui précisément génère la frustration.
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Dernière mise à jour : 06 octobre, 2018
La frustration est l’une des émotions les plus puissantes que nous ayons à affronter depuis notre plus tendre enfance, faisant dès lors d’elle l’une des plus dangereuses. En effet, malgré notre capacité à ressentir de la frustration dès notre plus jeune âge, apprendre à la gérer n’est pas une tâche facile.
Outre son intensité, ce qui rend le contrôle de cette émotion difficile est que personne n’enseigne habituellement aux plus jeunes comment canaliser l’énergie qui lui est associée . 
Par ailleurs, de nombreux parents s’inquiétant pour l’intelligence émotionnelle de leurs enfants ont tendance soit à les surprotéger soit à les faire trébucher eux-même.
Ainsi, nous devenons peu à peu des adultes, et beaucoup d’entre nous ne savent toujours pas comment gérer la frustration afin qu’elle ne constitue pas une émotion se retournant finalement contre nous.
La frustration est une émotion de caractère/valence négative (il est désagréable de la ressentir), mais comme toutes les émotions, elle remplit sa fonction. La frustration est le résultat de ne pas obtenir ce que nous voulons ou espérons ; elle nous indique qu’il existe une bonne distance entre ce que nous aimerions et ce que nous avons, et que cette distance nous importe.
Il se trouve implicitement en elle une difficulté que nous avons eu ou avec laquelle nous avons des problèmes pour négocier . Autrement dit, la fonction ultime de la frustration est d’éveiller notre attention et de nous faire réagir.
Cependant, lorsque la frustration est très puissante et intense, il est souvent difficile qu’elle remplisse sa fonction . Nous nous perdons dans le mal-être que cette émotion engendre, de sorte que nous ne faisons que la ressentir et ne prenons pas conscience de ce qu’elle veut nous dire.
C’est pourquoi nous décrirons ci-après 5 stratégies pour gérer cette émotion de manière positive.
Comme nous l’avons dit antérieurement, la frustration peut être très intense, ce qui peut nous amener à percevoir les événements comme catastrophiques et à considérer la situation de manière irréaliste.
Ainsi, pour gérer positivement la frustration nous devons prendre de la distance avec les événements, reporter les décisions que nous devons prendre et essayer de regarder la situation dans sa globalité.
Nous devons, lorsque nous nous sentons frustré, rechercher “ the big picture “, tout observer depuis l’extérieur et de façon globale.
L’une des meilleures façons de prendre de la distance avec les événements consiste à se concentrer sur les aspects positifs et négatifs globaux de la situation qui nous frustre et prendre en compte chacun d’entre eux, et pas uniquement ceux qui sont négatifs.
Nous pouvons également faire un petit exercice : comparer ce qui nous est arrivé avec quelque chose de très, très mauvais que nous avons vécu, et nous demander si ce que nous avons vécu nous semble désormais aussi mauvais.
Ces petites “astuces” feront que notre esprit prenne de la distance avec les événements et nous permettront d’observer la situation dans une perspective plus objective.
Lorsque une émotion nous envahie, qu’il s’agisse de la frustration, de la colère, de la tristesse ou de la joie , le mieux est de la vivre et de la laisser aller. Cela ne signifie pas que nous l’exprimons et la laissons exploser, cela signifie plutôt que nous devons la ressentir en profondeur puis lâcher prise et la laisser aller, loin et hors de nous.
En d’autres termes, plus nous essayons de ne pas ressentir la frustration, plus nous la ressentirons, tel est le paradoxe de l’esprit humain. De ce paradoxe finira par se développer des troubles obsessionnels dans lesquels la personne tente de ne pas à penser à “X” et finit par penser à “X, Y et Z” toute la journée.
Autrement dit, l’esprit fonctionne comme ceci : plus nous évitons de penser ou de ressentir “quelque chose”, plus nous en faisons l’expérience. Par conséquent, observer, sentir et laisser aller est une compétence fondamentale qui peut grandement améliorer notre intelligence émotionnelle. 
Si nous voulons être capable de ressentir les émotions et de les laisser partir, nous pouvons nous entraîner, par exemple, à des techniques de mindfulness ou les techniques d’acceptation et d’engagement. Toutes ces approches peuvent nous aider à atténuer l’impact négatif de cette émotion.
Il n’existe pas de pire conseiller que la frustration. Bien qu’il s’agisse d’une émotion très puissante possédant un effet proactif élevé, elle tend à nous orienter vers des comportements qui sont peu corrects ou bénéfiques, voire autodestructeurs.
En effet, la frustration nous amène à attaquer ou blesser l’objet qui génère cette émotion. Autrement dit, il s’agit d’une émotion peu réparatrice et plutôt vindicative, raison pour laquelle il faut éviter d’agir lorsque ses effets agissent sur nous.
Cela semble très simple, mais il ne s’agit pas d’une tâche facile : faire la différence entre ce que nous voulons, ce dont nous avons besoin et ce que nous pouvons réellement obtenir. 
La frustration apparaît souvent parce que nous confondons les désirs (“je veux que mon patron me félicite pour le travail accompli”) avec les besoins personnels, tels que la reconnaissance, la protection ou l’acceptation (nécessité que le patron nous valorise) ou avec ce qui peut vraiment arriver en tenant compte des circonstances du moment (réalité : le patron s’en moque, n’a pas le temps et ne reconnaît rien à personne).
En d’autres termes, ce que nous voulons peut être ce dont nous avons besoin, ou pas, et tout ceci exigera des circonstances qui peuvent être plus ou moins adéquates.
Par conséquent, séparons ce que nous voulons (après tout nous avons le droit de désirer ce que bon nous semble), ce dont nous avons besoin et ce que les autres personnes peuvent nous fournir. Il s’agit d’adapter nos besoins à la réalité.
Parce que n ous pouvons désirer quand et comment nous le voulons, mais sans oublier que de nombreux souhaits sont loin d’être des besoins, ils sont en définitive plus proches d’être des opportunités ou des défis.
Si la situation qui nous cause la frustration ne dispose d’aucune marge de changement possible, il est normal que l’émotion augmente en intensité. Face à ce type de situation où il n’existe pas de marge de manœuvre, il est préférable de travailler sur l’acceptation, plutôt que de travailler sur la capacité de frustration. Nous allons expliquer plus en détail la différence entre lorsque cela vaut la peine de se frustrer ou non.
S’il s’agit d’une situation qui peut être changée, la frustration, bien géré, peut devenir notre allié dans la mesure où elle agira comme une sorte de phare suggérant des changements dans notre comportement. Une fois la sensation de frustration passée, arrive le moment d’envisager ce qui doit être changé et comment.
Maintenant, si la situation ne peut pas être changée ou si nous n’avons pas la possibilité d’apporter des modifications, nous devrons changer la direction des pensées qui alimentent l’émotion et empêchent qu’elles passent jusqu’à disparaître.
Ces 5 clés, mises en pratique avec intelligence, aideront la frustration à jouer en notre faveur. Nous pourrons dès lors tirer le meilleur parti d’une des émotions les plus désagréables en évitant cette confrontation directe qui ne fait que l’accroître.
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Le développement personnel pour les gens intelligents

Comment vous libérer de la frustration

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Si vous vous sentez frustré, cela signifie que vous avez une vibration qui s’aligne avec une réalité dont vous ne voulez pas. Comment créer cette vibration de frustration ? C’est assez simple.
Observez simplement votre réalité, puis résistez ou rejetez-en certains aspects. Regardez votre situation financière, et résistez-y, votre travail et résistez-y, votre relation (ou votre absence de relation) et résistez-y.
Une fois que vous avez cette vibration de frustration, vous êtes coincé dans votre résistance. Donc la réalité répond en accord avec ça. « Oh… Tu as une vibration qui s’aligne avec ce dont tu ne veux pas. Voilà donc plus de ce que tu ne veux pas. Tu es bienvenu pour vivre cela aussi longtemps que tu le désires ! »
Vous pouvez penser que la solution est que la réalité s’ajuste toute seule d’elle-même – ou que vous changiez le monde extérieur – et qu’alors vous serez capable de vous débarrasser de cette vibration de frustration. Mais est-ce que cela fonctionne vraiment ? Pas du tout.
Plus vous essayez de travailler sur le monde qui vous entoure, tout en résistant à certains de ses aspects, plus longtemps vous perpétuez cette frustration. Même si vous arrivez à réparer apparemment certains aspects de la réalité qui vous entoure, un autre aspect va rapidement lâcher. Ou alors vous allez forcer et retomber , encore et encore. Vous avez déjà vécu ça ?
La raison pour laquelle cette approche ne fonctionne pas est qu’il n’y a pas de monde extérieur, du moins pas un monde auquel vous pouvez accéder directement. Où se trouve tout ce que vous savez du monde extérieur ? Dans votre tête, ou dans votre conscience. C’est là que vous avez tous vos souvenirs, toutes vos connaissances, et toute votre expérience. De même c’est là que se trouvent vos sentiments . C’est là que vous ressentez votre vibration.
Pensez à votre expérience de la réalité de façon aussi objective que possible. A quel niveau sont gérées toutes vos observations ? Où sont traitées toutes les images 3D que vous percevez ? les sons que vous entendez sont interprétés où ? Où sont ressentis vos expériences et vos sentiments ? Tout cela arrive dans votre esprit et dans votre corps.
Où est la frustration ? Évidemment elle est aussi dans votre esprit (ou cerveau ).
Et puis, où sont toutes ces expériences frustrantes ? Est-ce qu’elles existent vraiment « là dehors » ? Si c’est le cas, alors montrez-les nous. Si vous ne pouvez pas les pointer du doigt ou les identifier dans l’espace qui vous entoure, alors elles n’existent que dans vos souvenirs et dans vos projections mentales, ce qui se trouve entièrement dans votre esprit.
Et si vous croyez que vous pouvez les pointer physiquement dès maintenant, alors qu’est-ce que vous pointez ? Vous vous voyez gesticuler vers une construction visuelle qui est une simple stimulation mentale, ce qui reste de la réalité extérieure.
Une fois que vous réalisez qu’il n’y a pas de frustration là-dehors – et qu’il n’y a pas non plus d’expériences frustrantes dans le monde extérieur – vous êtes bien plus proche de vous débarrasser de toute votre frustration . Si ces expériences sont intérieures, ce qu’elles sont en réalité, alors vous avez peut-être la capacité de vous débarrasser de cette vibration de frustration sans avoir besoin de changer tout ce qui est en-dehors de vous.
Vous êtes capable de le faire en réalité. Un bon début est de réaliser que c’est assez idiot de la part d’une partie de votre cerveau de résister à une autre partie de votre cerveau . Pour créer de la frustration, par exemple, la partie de votre esprit qui observe doit être en désaccord avec la partie de votre esprit qui prédit.
Si vos prédictions et vos observations sont en désaccord , est-ce que cela a vraiment du sens de les laisser se battre dans votre esprit ?
Quel est le moyen le plus sûr de mettre fin à ce conflit intérieur ? Et si vos prédictions baissaient les armes devant vos observations ? Laissez les observations gagner, laissez la réalité être ce qu’elle est, laissez vos observations être ce qu’elles sont, et refusez de vous battre intérieurement si vos prédictions sont en désaccord.
À la place, laissez vos capacités de prédiction apprendre et évoluer en accord avec vos dernières observations. Ne vous accrochez pas à des prédictions inexactes.
Quand vous vous autorisez à vous complaire dans la frustration, vous continuez à alimenter la guerre entre vos prédictions et vos observations. Et les guerres de cette nature ont tendance à se perpétuer d’elles-mêmes. Cela signifie que vous allez continuer à trouver de nouvelles sources de conflit même si les anciennes sont taries.
Aussi longtemps que vous croyez que c’est bien de voir vos prédictions et vos observations se battre, votre esprit va continuer à alimenter cette bataille avec de nouvelles troupes, de nouvelles armes et de nouvelles munitions .
Quand vous réalisez que ce conflit est inutile, ce qu’il est en réalité, alors vous pouvez consciemment y mettre fin. Pour ce faire, un côté doit se rendre, et le côté qui perd doit être la prédiction. Autrement vous allez simplement vous désaligner encore plus de la vérité, et vous allez attirer encore plus de frustrations car vous allez élargir le fossé entre prédictions et observations. C’est mieux de corriger vos erreurs de prédiction quand le combat n’est pas aussi intense.
Une fois que vous vous rendez, les deux côtés vont baisser les armes, et le combat va prendre fin. Au lieu de vous sentir frustré, vous pouvez alors commencer à vibrer d’acceptation, puis de paix, d’ouverture et de bonheur.
En continuant à abandonner les combats de la frustration , qu’on ne peut pas gagner, vous allez avoir accès à encore plus de vibrations pleines de ressources. Quand vos capacités de prédiction et vos compétences en observation arrêter de se battre, vous avez plus de ressources à allouer à vos capacités de création. Au lieu de voir votre créativité être siphonnée par le conflit, vous pouvez plutôt créer ce que vous désirez.
Résister à vos observations n’est pas un bon moyen de manifester vos désirs. Vous ne pouvez pas créer si vous niez ce que vous avez déjà créé. Vous ne pouvez pas élever votre vibration si vous n’acceptez pas ce que vous attirez avec votre vibration actuelle.
Si vous voulez accélérer et évoluer encore plus vite, alors autorisez-vous à aimer ce que vous avez déjà créé. Peu importe que cela ait l’air mauvais, aimez-le comme un prince grenouille. Trouvez une façon – n’importe quelle façon – de voir la beauté derrière la laideur apparente.
Quand j’étais fauché et endetté il y a des années, j’ai commencé par résister à ce résultat. Chaque nouvelle année passant, j’ai été de plus en plus déterminé à résister à la réalité que j’observais, et à me réengager plutôt dans la création de richesse. Au bout d’un moment j’ai dû en conclure que cette bataille intérieure ne fonctionnait pas.
J’ai perdu de l’argent pendant 5 ans d’affilée. Toute cette volonté pour résister au fait d’être fauché ne faisait pas entrer l’abondance dans ma vie. Résister au fait d’être fauché à juste augmenté encore et encore le manque d’argent dans ma réalité. Finalement j’ai dû vendre la plupart de mes possessions, perdre mon bureau, et perdre mon appartement. Plus je me battais contre le fait d’être fauché, plus j’étais fauché.
Finalement je suis revenu à la raison. J’ai reconnu que résister au fait d’être fauché drainait mon énergie créative et me laissait avec très peu de pouvoir pour créer et vivre ce que je désirais vraiment. Même si mes prédictions combattaient mes observations, mes ressources intérieures n’étaient simplement pas disponibles pour créer ce que je désirais.
Donc j’ai abandonné et je me suis rendu. J’ai arrêté de me battre . J’ai reconnu et accepté que j’étais totalement fauché. Je me suis laissé me vautrer dedans, comme si je prenais un bain dans une baignoire pleine d’absence d’argent.
J’ai déclaré la reddition inconditionnelle de la prédiction, et j’ai proclamé l’observation vainqueur de cette guerre qui durait depuis des années. Mes nombreuses tentatives de création de richesse ne fonctionnaient clairement pas, et elles avaient peu de chances de finir par marcher un jour.
Les objectifs, projets, actions, et attitudes dont je prédisais qu’ils me mèneraient à la richesse et au succès m’avaient amené dans la direction exactement inverse. C’était un échec extraordinaire, un des plus grands de ma vie. Finalement, au lieu de résister à cette observation, je l’ai fêtée. Quel plantage spectaculaire c’était !
Quand cette guerre a été enfin terminée, je m’attendais à me sentir assez déprimé à propos de tout ça. Peut-être que cela est arrivé en partie, mais cela a rapidement disparu, pour être remplacé par des sentiments de soulagement et même d’allégresse – des sentiments rarement associés à la fin de nombreuses guerres .
Quand mes soldats intérieurs ont quitté le champ de bataille pour rentrer à la maison – certains victorieux, d’autres vaincus, mais tous soulagés que la guerre soit finie – je les ai remis au travail. Au lieu de travailler sur des armes, de l’entraînement sur le terrain et des objectifs militaires, je les ai fait travailler dans la construction. Sans plus de guerre à mener, j’avais beaucoup de main-d’œuvre intérieure disponible pour de nouveaux projets créatifs.
Et ces projets ont réussi. Sans cette vibration de frustration qui m’ancrait dans une réalité dont je ne voulais pas, je me suis autorisé à glisser gentiment dans une réalité dont je voulais réellement. En refusant de résister à ce que j’avais déjà créé, mes pouvoirs créatifs sont montés d’un niveau ou deux… ou dix.
C’était difficile d’apprendre la leçon selon laquelle, quand je résiste à ce qui est
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