L'histoire de deux femmes et une bite

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Durant mon stage, j’avais fait la connaissance de Corinne, une charmante femme de 31 ans, qui était en fait ma tutrice. Tous les deux avions engagés de solides relations, et une grande amitié était née entre nous. Un soir, à la fin du travail, Corinne m’invita boire un verre chez elle. Tout de suite, je m’imaginais que j’allais la baiser car je la désirais beaucoup. Bien sûr, jamais je n’aurais pensé cependant que mon rêve allait devenir réalité !

Arrivant chez elle, elle me fit asseoir dans le salon. Elle vivait seule en appartement depuis son divorce. Elle s’absenta alors pendant quelques temps. Curieux de savoir où elle était, je partis à sa recherche. La porte de la chambre était entrouverte.
Jetant un oeil à l’intérieur, je la surpris sur le lit, en sous-vêtements, les seins et la chatte à l’air, en train de se caresser. Là, je crus que j’allais tomber dans les pommes. Elle me pria alors d’entrer avec une voix douce. Je me mis alors à poil, bandant comme un bouc et je m’invitai sur son lit pour la baiser. Je me mis alors derrière elle pour la pénétrer. Corinne écartait outrageusement les lèvres de sa chatte avec ses doigts. Sa vulve était luisante de cyprine. Elle me dit alors :
– Je t’en supplie Cédric, dépêche-toi de me baiser ! Ma chatte en a tellement besoin !
Alors, me penchant en avant vers elle et prenant ma bite entre les doigts, je la dirigeais désormais vers sa belle chatte. Celle-ci était toute mouillée, et je voyais les poils noirs de son pubis, qui m’excitaient beaucoup. Son cul et ses gros seins me faisaient bander comme jamais : ma queue était dure et gonflée à bloc, prête à la pénétrer et à la faire jouir. Ainsi, j’insérai d’un seul coup mon pieu dans son vagin chaud et humide. Cela fit crier Corinne, qui n’était plus habituée à
recevoir de tels engins dans sa fente. Je ressortis alors mon mandrin de sa chatte, et le réinsérai plus lentement, centimètre par centimètre. Corinne, les yeux fermés de jouissance, lâcha alors un profond gémissement. Le fait de se faire pénétrer par ma queue était pour elle un intense soulagement. Elle sentait ainsi toute son entrejambe occupée par ma queue, qui en ressortit luisante de cyprine. Me penchant bien en avant, je me mis dès lors à la culbuter. Je faisais aller et venir ma queue
dans son vagin chaud et humide, ce qui la faisait jouir comme une salope. Je réalisais que j’étais en train de baiser une femme en chaleur. Elle se caressait les seins pour se faire jouir et cambrait son cul au maximum pour mieux accueillir ma grosse pine. Celle-ci lui écartelait la chatte. Corinne grimaçait de temps en temps, sentant ce pieu la pénétrer de tout son long. Moi, j’avais très envie de jouir. Alors, je me mis à culbuter Corinne plus énergiquement, me moquant de ses cris de douleur. Je sentais ma bite forcer sa fente lorsque je la pénétrais trop profondément. Mais cela était très jouissif pour moi,
d’autant plus que son vagin brûlant était trempé de mouille. Corinne, pour m’exciter encore plus, caressait mes couilles velues. Jamais Corinne n’aurait pensé que j’étais aussi fortement membré. Par moment, elle me suppliait :
– Fais attention à ma petite chatte !
La chambre empestait sa chatte en chaleur, tellement celle-ci mouillait. Je sortis alors ma pine de son antre, qui resta
entrouverte. Je regardais ainsi ma queue luisante de mouille, mon gland rose trempé, comme l’engin de la jouissance de Corinne. Elle écarta alors les lèvres nues de sa chatte avec ses doigts, m’invitant à la remettre tout de suite en disant :
Prenant mon chibre entre les doigts, je la réinsérai profondément du premier coup et en totalité dans sa fente, ce qui eut pour effet de la faire jouir, immédiatement. Elle plissait les yeux de jouissance, tellement c’était intense. Moi, je sentais ma queue glisser à merveille dans son vagin humide et je continuais de la culbuter de toute la longueur de ma bite. Sa belle chatte se dilatait de minute en minute, accueillant avec de plus en plus de facilité le diamètre imposant de ma queue. Celle-ci était plus grosse et raide que jamais, et je lui pilonnais la chatte sans demi mesure. À chaque pénétration, je sentais mes couilles pleines de sperme frotter contre…
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Hélène m’a demandé si je
pouvais passer la voir, disposant de son après-midi ce jour là, pour lui donner
quelques conseils sur des achats envisagés pour l’aménagement de sa villa en
bord de mer. Il y avait longtemps que nous ne nous étions pas contactés, cela
me faisait plaisir de la revoir, Hélène est très fantasque et a toujours des
idées originales.
J’arrive chez elle vers midi et
demi, et suis surpris d’entendre des voix à l’intérieur alors que je pensais
qu’elle était seule. Elle vient m’ouvrir cependant surprise que j’arrive si tôt
dit-elle. Puisque tu es en avance, tu vas patienter, je ne suis pas seule….
Elle me fait entrer et me conduit dans une chambre, en me disant que je devais
attendre ici, sans bruit, pour ne pas me faire repérer, qu’elle ne voulait pas
que l’on sache que j’étais la. Je te connais, tu risques de te manifester aussi
je vais prendre quelques précautions. Enlèves tes chaussures et étend toi sur
le lit.
Pendant ce temps, elle ouvre
l’armoire et sort un sac, prenant deux paires de menottes, elle me lie
rapidement les poignets et les chevilles, puis sortant deux cordes, elle relie
les menottes des chevilles au fond du lit et fait de même avec les menottes des
poignets à la tête du lit. J’étais en quelques secondes immobilisé
complètement. Bon dit-elle cela devrait aller, tu ne feras pas de bêtise. Ah!
Il manque quelque chose, elle fouille dans le sac, en sort une cagoule qui
recouvre le haut du visage aveuglant entièrement, couvrant aussi les oreilles,
et qui se ferme autour du cou par un collier cadenassé et un bâillon anneau. Je
suis équipé en un tour de main. Voilà dit-elle, je suis tranquille, à tout à
l’heure.
Je
l’entend dire, en revenant dans le séjour, que c’était un livreur, en précisant
ces gens là n’ont pas d’heure, excusez-moi de vous avoir fait attendre. Je
compris qu’il y avait plusieurs personnes, les conversations reprirent sur le
travail, je me dis que ce devaient être des collègues à elle.
Le
temps passa, puis ce fut le moment du départ pour ses collègues. Le silence
régnait, je me dis que j’allais enfin être libéré commençant à trouver le temps
long.
Hélène
ne venait toujours pas. Tout à coup je l’entends parler, elle n’est pas seule
quelqu’un se trouve avec elle. Elle dit: tu veux bien aller chercher dans ma
chambre le pot sur la commode? Je sursaute, avait-elle oublié que j’étais là?
J’entends la porte s’ouvrir, et en même temps un léger cri de surprise, puis
presque aussitôt un fou rire derrière. Hélène dit tu te souviens Nicole de
notre discussion de l’autre jour sur les hommes soumis? Je te présente Marc, un
ami de toujours et victime consentante de jeux de bondage entre autre, il est
la depuis tout à l’heure, c’était lui le livreur…
Je
l’ai fait venir pour passer l’après midi avec nous, on va en profiter
pleinement.
Nicole
fut conviée à me détacher, et Hélène lui dit déshabilles-le, ce sera mieux pour
la suite. Ainsi
fit-elle, dans les minutes qui suivirent j’étais nu et elles me remirent les
menottes aux poignets, les mains derrière le dos. Hélène fit la réflexion qu’un
homme nu n’était pas beau et puisqu’il était soumis on devait l'habiller un
peu, un corset et des bas feront l’affaire dit-elle.
Nicole
chargée de m’habiller, me met le corset en serrant les lacets, me fait enfiler
un string et après m'avoir fait asseoir m’enfile des bas qu’elle attache aux
jarretelles bien tendues. Des chaussures à talons complètent l’ensemble, elle
m’aide à me relever, ce qui n’était pas facile.
Pas
mal dit Hélène, qu’allons nous faire de lui maintenant? Nicole dit qu’elle
adorait les cordes et jouer avec. Pas de problème dit Hélène, tu en as plein le
sac, débrouilles-toi pour l'attacher, pendant ce temps j'irai ranger la salle à
manger et faire la vaisselle de tout à l’heure.
Je
l’entends partir et reste avec Nicole qui s’affaire avec le sac. Elle commence
par me lier les mains dans le dos, puis continue par les coudes derrière le
dos. Puis elle s’occupe des jambes, chevilles, genoux (dessus et dessous),
cuisses, mollets furent serrés, rapidement je ne peux plus bouger. Je sens des
cordes s’enrouler autour de ma taille, de ma poitrine (au-dessus et au-dessous
des seins) et de mes hanches. Elle entreprends enfin de relier chacune d’entre
elles avec les suivantes, d'abord dans mon dos, puis sur le devant; je dois
ressembler à un « rôti bien ficelé ».
Nicole
me fait basculer sur le lit et me tire au milieu de celui-ci. De nouvelles
cordes servent à me lier au lit de façon à ce que je ne puisse vraiment faire
le moindre mouvement.
Nicole
appelle Hélène pour venir voir son travail, cette-ci vérifie tour à tour la
tension de toutes les cordes et félicite son amie pour son chef d'oeuvre décide de photographier l’ensemble « pour la
postérité ».
Hélène
dit : tout travail mérite récompense Nicole, je te propose d’aller en ville
nous distraire un peu, peut-être se faire un ciné? Marc tu es d’accord bien
sur? Comment faire autrement,
bâillonné, aucun son compréhensible ne pouvait sortir de ma bouche, oui dit
Hélène, qui ne dit mot consent, allons-y.
Je
les entends se préparer et sortir, j'allais rester contraint jusqu'à quand?
Impossible de le savoir, plusieurs heures s'égrenèrent dans un silence total.
Enfin
du bruit, j'entends les filles revenir de leur sortie, elles semblent très
gaies en rentrant dans
la
chambre. Tout à coup, quatre mains se mettent à me palper
dans un silence complet, sur tout le corps, sans exception, provoquant une vive
réaction de ma part qu'elles ne peuvent ignorer. Les caresses se succédèrent
et s'arrêtèrent subitement comme elles
avaient commencées, je les entendis sortir de la pièce sans mot dire, me laissant à nouveau.
Ce
n'est que longtemps après qu'elles revinrent; avant de me détacher, elles me
disent que la soirée n'est pas terminée, qu'elles avaient d'autres projets pour
moi et qu'elles réfléchissaient. Je fus cependant détaché et conduit à la salle
de bains toujours cagoulé pour faire quelques ablutions, puis dans la cuisine
ou Hélène me fit avaler un sandwich (sans boire pour pouvoir me contenir sans difficulté...)
Il était 18 heures me dit-elle (cela faisait plus de cinq heures que j'étais
attaché).
Après
m'avoir fait restaurer, on m'amène toujours aveuglé dans l'entrée de la maison
l'une d'entre elles me passe un collier autour du cou et relie la laisse à la
rampe de l'escalier et me remet le bâillon. Pendant ce temps l'autre me menotte
les poignets dans le dos et à nouveau les chevilles. Hélène dit à Nicole, on va
le laisser un peu prendre l'air ensuite on avisera et elles repartirent au
salon.
Le
téléphone sonna, quelques instants plus tard, Hélène vient et annonce qu'elle
était de permanence et que l'on avait besoin d'elle, donc qu'elle devait partir
immédiatement. Elle charge Nicole de me conditionner à sa guise et qu'elle me
prendrait en main à son retour, Nicole est invitée à fermer la maison avant de
rentrer chez elle.
Hélène
partie, Nicole vient s'occuper de moi. Elle avait été à la buanderie et était
revenue avec du matériel et des idées...
Je
suis libéré de mon collier et Nicole me dit qu'elle allait m'équiper avec le
harnais de sécurité qu'elle avait trouvé au garage. Sans défaire les menottes
des poignets, elle m'enfile le harnais, et attache les diverses sangles autour
de mon corps. (Ce harnais prend le haut des cuisses, la taille, le torse et les
épaules, il possède dans le dos au niveau des épaules un anneau permettant
d'être suspendu).
Elle
me conduit ensuite sous la mezzanine, pose un petit tabouret au sol et me fait
monter dessus (j'étais surélevé de vingt centimètres environ). Elle prend une
chaîne fixe une des extrémités à l'anneau du harnais avec un gros cadenas, puis
je l'entend monter l'escalier, la chaîne se tend et elle fixe l'autre extrémité
au poteau supérieur.
Elle
me remet les menottes aux chevilles et entreprend cette fois avec des rouleaux
d'adhésif de me saucissonner méthodiquement. Une fois fait, elle consolide
l'ensemble avec quelques cordes et termine l'emballage avec du plastique
étirable dont elle recouvre mon corps entièrement ne laissant que mon visage de
libre.
Visiblement,
elle est satisfaite du résultat. Je ne peux pas bouger du tout.
Elle
me dit alors qu'elle allait se préparer et partir. Mais avant de cela, elle me
pousse et donne un coup de pied au tabouret, ce qui me suspend cette fois par
le harnais à l'ossature de l'escalier, mes pieds dans le vide à vingt
centimètres du sol.
Voilà
elle a réussi son projet, et peut me laisser ainsi, ce qu'elle fait sans
scrupule et part après avoir fermé la maison.
Me
voila à nouveau seul, pour combien de temps?
J'entends
la clé tourner dans la serrure, quelle heure est-il? Impossible de savoir.
C'est Hélène, elle s'approche de moi et s'exclame du travail accompli. Elle me
dit qu'elle allait chercher les clés pour me libérer. Je l'entend parler à
haute voix, et passer d'un endroit à l'autre, elle revient enfin près de moi et
me dit : mon cher Marc, je crois que tu vas rester ainsi jusqu'à demain, je ne
trouve pas les clés.
Nicole
a du les mettre dans sa poche et n'a plus pensé à les reposer, il est deux heures
du matin, il ne serait pas raisonnable de la réveiller, je l'appellerai demain
matin. De toute façon je suis trop fatiguée pour te libérer à cette heure, et
cela me conforte dans mon idée, puisque je n'ai pas les clés...Bonne nuit.
J'entends
sonner, du mouvement dans la maison et réalise, en me réveillant, la position
qui est
la mienne. Une
nuit suspendu et attaché, les filles n'ont pas mégoté et ont semblé prendre du
plaisir à cette situation. Les voix de Nicole et d' Hélène se font entendre
près de moi, des mains me touchent et je sens tout à coup mes pieds en contact
avec le tabouret. Elles rigolent et me disent qu'elles vont me sortir de cette
situation. Les ciseaux s'activent et rapidement les liens de plastique tombent,
puis c'est le tour du harnais et des menottes des chevilles, me voilà
« presque libre » de mes mouvements, seules mes mains restent
menottées, et enfin me font descendre du tabouret.
Hélène
dit, tu as bien mérité un bain, on va te conduire à la salle de bains, t'enlever
ton bâillon et les menottes, mais tu conserveras la cagoule, tu te
débrouilleras bien avec. Ainsi fut fait.
Hélène
revient me chercher un peu plus tard, cela n'a pas été facile sans rien voir de
faire ma toilette, je suis encore mouillé. Elle prend une serviette de bains et
me bouchonne en riant, elle voit que son action a provoqué chez moi une
réaction bien visible. Elle me remets les menottes aux poignets mains dans le
dos, prenant une fine corde, elle attache mes parties et c'est « en laisse »
qu'elle m'amène à la cuisine ou Nicole à son tour se met à rire. Qu'allons-nous
faire de lui dit-elle? Le week-end est devant nous, nous avons le temps de nous
amuser, Nicole a pris goût à ces jeux et visiblement a envie de continuer cette
expérience.
Elles
décidèrent de me faire déjeuner, m'assirent sur une chaise, aussitôt une corde
me lia par la taille à celle-ci, puis une autre relia mes genoux bien serrés
l'un contre l'autre . Ce fut un ballet bien réglé qu'elles avaient concocté.
Qui à tour de rôle venait s'asseoir sur mes genoux pour me faire manger ou
boire ? Je ne sais pas, la seule chose était qu'à chaque fois un corps se
frottait au mien, lascivement. Je ne pus résister longtemps à ce jeu et
m'épanchai finalement honteux de n'avoir pu me contrôler.
Hélène
dit, quel sale garçon, tu vas être puni pour ce que tu as fait. Elle me remet
le bâillon aussitôt. Je crois que tout cela était prémédité, Nicole sauta sur
l'occasion et dit je pense avoir une idée...que m'attendait-il maintenant ?
J'allais le savoir bientôt.
En
attendant, tu vas aller méditer un peu sur
la terrasse. Hélène
reprit « la laisse », me détache de la chaise et me fait suivre ainsi
dehors ou il faisait doux, c'est vrai j'ai perdu toute notion du temps, ainsi
masqué. Il ne doit pas être tard dans la matinée, la journée ne fait que
commencer...Elle m'amène jusqu'à la balustrade et en attachant ma laisse à
celle-ci me dit : tu n'es pas un cheval, toi tu n'es pas attaché par le mors
mais par la queue...A tout à l'heure.
C'est
Nicole qui revient me chercher et me conduit sous l'auvent ou sont garées
habituellement les voitures. Elle me dit que j'allais jouer au poisson. Que
cela cachait-il ?
Arrivé
sur le sol bétonné, je dois m'allonger sur le sol ou se trouve Hélène et un
filet de pêche. Elles me roulent dedans plusieurs fois, puis pendant que l'une
attache chaque extrémité du filet avec une corde, l'autre à l'aide d'une

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