L'histoire de comment nous avons soumis à Marie

L'histoire de comment nous avons soumis à Marie




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L'histoire de comment nous avons soumis à Marie
Afin d'assurer son bon fonctionnement,
Pour une fois je vous sollicite. Habituellement c’est moi qui me décarcasse pour vous.
Pendant une semaine de janvier, j’impose à mon mari des défis tous les jours. Le programme est bien chargé mais je cherche de nouvelles idées.
Pour info mon mari est partiellement féminisé (sous vêtements en permanence) et il a quelques vêtements féminins et quelques chaussures à talons hauts. Il est en cage en permanence (donc impossible de se masturber). J’ai prévu qu’il aille se faire épiler totalement le corps chez une esthéticienne (il sera décagé pour l’épilation du maillot). Nous avons pas mal de gadgets (le dernier en date c’est un gode bite de cheval) et je lui ai acheté un T-shirt qui exprime qu’il est encagé (un homme avec un logo de cadenas sur le ventre et une inscription « She’e got the key, So makes the rules »)
Pourquoi pas le faire aller acheter de la lingerie, soit en mettant un élément montrant à la vendeuse que c’est pour lui, soit en lui faisant carrément dire que c’est pour lui ?
Sinon chez l’esthéticienne ça serais bien qu’il fasse un ticket de métro
Pour la lingerie c’est normal car il y va tout seul et il précise toujours que c’est pour lui et fait des essayages.
Par contre je ne comprends pas pourquoi un ticket de Métro car je demande qu’il soit entièrement epilé.
Merci de cette première réponse.
Bah l’idée du ticket de métro c’est parce-que beaucoup d’hommes se rasé complètement à cet endroit là… Mais aucun ne fait de ticket de métro…
Sinon dis lui de faire des lives-cam sexy (en fille évidemment)
C’est un peu compliqué de trouvé des défis à son niveau car forcément j’en donne que je trouve dûr mais faisable à mon niveau…qui a l’air inférieur au sien
Merci Fren. Je pense que tu as raison. Il fera cela un ticket de métro mais finement taillé. Mais par contre plus de poils ailleurs.
Pour les cam tu connais un site français?
Coucou
Pour les cams ,tu à le site coco.fr
Si d’autres ont des idées je suis preuneuse.
Bonjour Madame… il pourrait être obligé d utiliser soit 1 jour ou plus… uniquement les toilette coté femmes… ca pourrait etre amusant
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Je m'appelle Sandrine, j'ai 31 ans, je suis employée dans une
agence de pub.
Le texte qui suit est inspiré de faits réels, je suis
aujourd'hui divorcée mais à l'époque, j'avais 28 ans et je vivais avec mon mari,
Marc, dans un quartier résidentiel de province depuis près de 4 ans.
Je suis plutôt grande (1m75) avec de longues jambes ayant
comme point culminant de jolies petites fesses rondes, bien dessinées au dire
des hommes qui ont eu le privilège de les contempler. Ma poitrine est
harmonieuse sans être démesurée, mon 95B étant aussi très apprécié. Je suis
brune, les cheveux aux épaules, les yeux bruns verts, ma bouche est pulpeuse et
gourmande. J'aime mon corps, je l'entretien et le cultive depuis mon
adolescence.
On m'a toujours dit que j'étais belle et je n'ai jamais eu de
difficulté à le croire et de fait, à séduire les hommes. Au collège déjà,
j'étais celle qu'on regardait… en avance sur les autres filles, je m'habillais
de façon provocante, pour choquer, aussi bien ma famille que mes copines
coincées. J'aimais plaire ! Sentir le regard insistant des mecs sur mon cul
m'excitait au plus haut point… j'en rajoutais donc et ne me faisais pas
prier pour attirer les convoitises.
J'ai pourtant mis longtemps à franchir le pas… j'aimais
plaire et séduire mais je m'amusais à allumer sans conclure. C'était un jeu et
c'était tellement jouissif d'exciter tous ces hommes, et si facilement, que je
n'en désirais pas plus. Pourquoi auraient-ils eu la chance eux plus qu'un autre
de me déflorer ? Ils se contentaient donc de ce que je voulais bien leur
donner... et j'étais parfois très généreuse ! J'aimais me donner en
spectacle, faisant contraster l'image de la jeune fille sage de bonne famille le
jour, à celle de la garce aguichante la nuit. Me faire traiter de
« salope » en soirée par des hommes frustrés ne me gênait nullement,
bien au contraire ! Je me respectais, c'était là l'essentiel.
Bref, je n'ai donc pas eu la moindre expérience avant 18 ans,
avant qu'on me résiste et m'arrache, presque de force, mon dépucelage. Je
voulais un Homme et j'ai rencontré Marc, de 5 ans mon aîné. De suite, il a su
comment me prendre et dompter la chienne qui était en moi. Lui aussi étant très
branché sexe, je me suis mise au diapason sans toutefois tout accepter…
 j'ai endossé mon rôle de femme soumise à son mari avec
beaucoup de plaisir, ça me changeait et je pensais que c'était comme ça que
ça devait se passer dans une relation stable. Je m'habillais de façon très
classique, en tailleur, refusant de porter string et autres dessous trop
affriolants, lui refusant même selon mon bon vouloir une position, un lieu, un
fantasme… je lui résistais et pensais le garder de cette façon. Si on donne
tout, ils ne veulent plus rien, pensais-je !
Marc me trompait, je le savais. Il se tirait tout ce qui se
présentait et se détournait de moi. Je l'aimais comme une folle et j'en étais
très malheureuse mais je m'étais enfermée dans mon personnage de femme coincée,
BCBG et pudique, pensant que c'était ce qui le branchait. C'était aussi la seule
facette qu'il connaissait de moi et je ne savais comment opérer la
« transformation » et lui faire comprendre que je voulais être SA femme, la
seule et l'unique.
Il avait beau me tromper allégrement, il me charriait souvent
avec mon chef, Pierre, qu'il soupçonnait d'être mon amant. Il n'en était rien,
ce petit bureaucrate n'avait aucune chance mais Marc était jaloux, très
jaloux ! Je décidai donc de m'en servir et j'acceptai l'invitation de
Pierre à aller prendre un verre, dans un café à deux pas de la
boîte. Pierre se voulait très insistant, il matait mon décolleté plongeant
sans complexe, passait sa main sous la table, la posant sur ma cuisse et me
caressant ensuite l'entre cuisse sans autre précaution. Il me prenait très
certainement pour une fille docile, dingue de son patron, quel crétin ! Je
jouais le jeu… peut-être allait-il réveiller mes vieux démons, qui sait !
Ca faisait tellement longtemps qu'un autre homme ne m'avait pas touché… Pierre
me ramena à sa jolie voiture et me prit la bouche quasi instantanément, me
pelotant grassement, une main sur mes seins, une autre cherchant ma chatte.
J'aimais tellement Marc que, même excitée par la situation, je me sentais
incapable d'aller plus loin et telle une bourgeoise effarouchée, je décidai
d'écourter ce cuissage intempestif.
En rentrant à la maison ce jour là, j'ai trouvé Marc debout
dans le salon, très en colère. Il m'avait suivi et avait « tout vu »
selon ses dire. Il me traita de tous les noms, j'étais une pute, une salope
indigne de son amour, une traînée qui se tapait son patron depuis des lustres...
Je me sentais sale, coupable… en larme, je le suppliais de me
pardonner :
-         
« Marc, mon chéri, je t'aime, je suis désolée, pardonne
moi… il n'est rien pour moi, nous avons rien fait ensemble, je te le
jure… »
-         
« Ne jure pas salope, t'as aimé te faire sauter par ce
minable, je le sais ! Je t'ai vu de mes yeux ! »
-         
« Tais-toi ! Je ne veux plus t'entendre ! A
genoux, suce-moi ! SUCE MOI je te dis et t'as intérêt à ne pas jouer ta
mijaurée et à y mettre du tien, depuis le temps que tu me le fais ce coup
là ! »
Troublée, en larme, je m'exécutai sans un mot…
Je déboutonnai son pantalon, le fit tomber sur ses genoux et
le pris en bouche, doucement, le suçant en bonne élève, sur toute sa longueur…
il était déjà raide mais son érection doubla dans ma bouche, sa bite était si
tendue qu'elle me faisait mal. Je lui léchai les couilles, je savais qu'il
aimait ça mais il me prit brutalement par les cheveux et força le mouvement,
entraînant mes lèvres dans un va et vient douloureux. Je savais à peine
respirer, j'étouffais mais il s'en moquait, je ne le l'avais jamais vu dans un
tel état. Il grognait et m'était méconnaissable mais la chaleur qui se dégageait
de mon bas ventre attestait que j'aimais ça. J'aimais être sa chose, sa bouche,
rien qu'une bouche, rien qu'une suceuse…
Enfin, il se crispa, se retira et m'éjacula sur le visage.
C'était une première pour moi, je me sentais à la fois souillée et heureuse,
complètement dominée…
Marc se rhabilla sans un mot, puis après m'avoir encouragé à
me débarbouiller, il me lança depuis le salon :
-         
« Ce n'était qu'un début, tu vas me le
payer ! »
-         
« Ce soir, on reçoit un invité, change toi et fais-nous
quelque chose de bon ! »
-         
« Mais Marc, je n'ai pas… »
-         
« Je ne t'ai pas demandé de discuter traînée, je reviens à
20h, sois prête ! Si tu ne m'obéis pas au doigt et à l'œil, je te mets
dehors ! Ah tu as voulu jouer à ce jeu là… » et il claqua la
porte.
Je ne l'avais jamais entendu parler de cette façon et encore
moins en s'adressant à moi ! Qu'avais-je fait ? Il me faisait presque
peur… mais force est de constater que j'étais trempée.
Il arriva à 20h30, souriant, une bouteille de champagne à la
main et accompagné, quelle ne fut pas ma surprise, d'Emilie !
J'étais effondrée, je haïssais cette fille ! Elle avait
tout pour m'exaspérer et ne s'en privait d'ailleurs pas !
Emilie avait 29 ans, jeune cadre d'une grande entreprise
parisienne, nous l'avions rencontrée en vacance à Bali il y a deux ans. A
l'époque, Marc insistait pour que nous nous voyions avec son copain de l'époque,
plutôt mignon en passant. Je le soupçonnais de vouloir partouzer et j'y avais
mis mon veto après lui avoir fait la gueule pendant près de quinze jours !
C'était le genre de fille dont les hommes raffolent et Marc
restait bassement un homme : blonde, une poitrine énorme toujours en
évidence (cette fille ne portait jamais de soutif !), un petit cul rebondi
doté d'un string jamais longtemps caché, un visage d'ange contrastant avec son
comportement d'allumeuse… Elle était vulgaire, maniérée, toujours à parler
d'elle ou de son cul ! Quant elle était là, je n'existais plus… je rageais…
-         
« Tu connais Emilie ? Tu n'as pas l'exclusivité de
l'extra conjugal ma chérie, ce soir, Emilie elle est officiellement ma
femme » me lança Marc sur un ton conquérant.
-         
« Quand à toi, tu vas nous servir et nous obéir. Je vais
te montrer qui est le maître ici… »
-         
« Alors, salope, on trompe son mari ? Va te changer,
tu ne ressemble à rien dans tes loques de bourgeoise, tiens, voici de
quoi ! » insista Emilie avec un sourire en coin.
-         
« Prends exemple sur Emilie, regarde comme elle est
attirante, elle ! File ! »
Je couru machinalement à la salle du bain pour déballer les
vêtements qui se trouvaient dans le sac d'Emilie. Je me sentais si mal mais je
tenais à mon Homme, je devais payer pour ma méconduite, je m'exécutai donc, le
ventre noué.
Une jupe noire, en cuir, ultra courte. Des bas résilles, un
string ficelle rouge, un soutien-gorge noir ne possédant que des armatures et
une paire d'escarpins. Le complet trottoir !! Je ne pouvais pas mettre
ça !! Quel horreur ! Le string n'étais même pas propre, il portait
encore son odeur intime…
Je revins 15 longues minutes plus tard, fringuée pour le
coup, comme une pute.
Marc était assis, entièrement nu, ses vêtements éparpillés un
peu partout dans mon salon.
Emilie était déjà à genoux, en jarretelle et string noir
mettant, je dois l'avouer, magnifiquement son cul en valeur. Très concentrée,
elle suçait Marc, se permettant même d'émettre des petits cris de jouissance. Je
n'en revenais pas : cette pétasse suçait MON Homme sous mes yeux! Et
le pire c'était qu'il avait l'air d'apprécier plus que de raison cette pipe
gourmande effectuée par cette experte blonde !
Emilie ondulait, bougeant sa croupe comme si un tiers la
prenait par derrière.
Figée, comme pétrifiée, je ne pouvais malgré moi pas
détourner les yeux de ce spectacle affligeant. J'étais prostrée, invisible à
leurs yeux.
-         
« Tu vois que tu peux être bandante toi
aussi ! » me dit Marc. « Mais ne reste pas là bêtement,
ramasse nos fringues et sers nous à boire ! »
Emilie se redressa de son jouet et dit :
-         
« Pas comme ça, salope, ne plie pas les genoux que mon
homme puisse voir ton gros cul ! D'ailleurs, tourne-toi, je veux aussi
le voir ! »
-         
« Et réponds quant on te parle, tu te crois
où !!? »
-         
« Mais oui ! » dis-je à voix basse sur un
ton agacé.
-         
« Attends, répète un peu ? Je veux entendre :
oui monsieur ! Oui monsieur, voici mon gros cul de traînée ! » reprit-il sèchement.
-         
« Oui monsieur, voici mon gros cul de
traînée. »
J'avançai donc dans leur direction, me tournai et leur offris
mon cul.
-         
« Et dire que tu as dû te farcir ce cul immonde pendant
des années, mon pauvre chéri ! » fit cyniquement Emilie.
« Enlève moi ce string, tu ne mérites pas de le
porter ! »
J'enlevai donc le sous-vêtement rouge.
-         
« T'as vu comme elle mouille la salope ?! Elle
dégouline… Ah ça l'excite de me voir avec mon mec… voyeuse ! Vas donc raser
ta chatte pendant que mon mec me baise, tu nous fais honte ! »
Penchée en avant, les seins pendant dans le vide, la jupe
remontée bien au dessus des fesses, mon intimité offerte à leur regard critique,
les imaginant mater ensemble mon cul que commentait Emilie, je me sentais au
plus mal. C'est en larme que je rejoignis la salle de bain afin de me raser,
comme exigé par Emilie.
Quand je revins dans le salon, elle était à quatre pattes, en
levrette. Marc lui assénait des coups de butoir d'une grande force. A chaque
coup, son corps partait en avant, ses seins généreux touchant le sol et elle
gémissait de plus belle, la tête redressée. Marc accéléra le rythme et ils
jouirent vraisemblablement en même temps.
Emilie, toujours à quatre pattes, se tourna vers
moi :
-         
« Viens me lécher la chatte sale pute, enlève avec ta
langue le foutre qui coule le long de mes cuisses ! Et applique toi ou
tu risques de le regretter ! »
Je me mis donc moi aussi à quatre pattes afin de la nettoyer,
comme elle me l'avait précédemment ordonné.
Je n'avais jamais été attiré par un sexe de femme et
pourtant, timidement, je commençai par donner des coups de langue sur ses
grandes lèvres, la suçotant et la léchant comme un chien laperait son eau,
allant chercher avec celle-ci le foutre de mon mari qui coulait entre ses
cuisses. Je me sentais excitée comme jamais, je mis donc du cœur à l'ouvrage,
insistant à l'entrée de son vagin, la pénétrant de ma langue, léchant son anus
odorant avec avidité. Elle était si douce. Elle gémissait légèrement à chaque
coup de langue. J'étais humiliée, trompée, bafouée et malgré tout cela,
curieusement, j'y prenais beaucoup de plaisir… je glissai un doigt en direction
de mon vagin, et me masturbai, doucement, le visage toujours enfoui dans sa
vulve. J'avais chaud, ma chatte était en feu, il fallait que je me soulage. A
défaut d'une bonne queue, je me contentais des doigts que j'enfonçais au plus
profond…
Je me fis soudain honte et arrêta brusquement. Emilie se
releva d'un geste et me contempla de sa superbe. Elle était belle, transpirante,
les cheveux collés par la sueur, haletante. Ses seins étaient magnifiques,
lourds, fermes. Son ventre était plat, musclé et se terminait sur un pubis
parfaitement entretenu et taillé, d'un blond un ton plus foncé que ses
chevelure. Elle tourna autour de moi comme un vautour autour de sa proie et se
stoppa net derrière moi.
-         
« Baisse la tête m'ordonna t-elle ! Et présente moi
ton cul, que je vois si tu es capable de te raser
correctement ! »
-         
« Bien madame… » dis-je.
D'un grand geste, elle me fessa et recommença de plus belle.
Je sentais la douleur m'envahir, de plus en plus présente, presque insoutenable.
Elle continua, de plus en plus fort, lâchant un « tu aimes ça
salope » , « tu le mérites, crois mois » à chaque claque.
Marc regardait, la queue à la main, sans mot dire.
-         
« Tu ne m'as pas dit qu'elle refusait la
sodomie ? »
-         
« Si, si » fit Marc, satisfait de la question
-         
« Et bien, on va arranger ça, elle n'a pas trop le choix
dans sa position ! » assura Emilie avant de s'éloigner et de
revenir avec un gode monstrueux.
-         
« Oui, oui chérie, c'est bien pour ton petit cul, et tu
vas aimer ! Une salope digne de ce nom prend dans son cul, c'est bien
normal. Et à bien te regarder, tu fais plus pute que salope ! Alors
tu vas te diriger vers la baie vitrée et présenter ton cul à la vitre, si tu y
mets du tiens, tu vas peut-être arriver à te faire sauter par un client en
manque ! »
-         
« Mais Emilie, t'es dingue… Marc… tu ne vas pas la
laisser, je ne peux pas faire ça ! Pour quoi vais-je passer moi ? Et
les voisins ?! »
-         
« Il fallait y penser avant de te faire tringlée par le
premier venu ! Obéis ou sinon… » insista Marc.
A quatre pattes, je rampai vers la grande baie vitrée de
notre salon donnant sur la route. Emilie se mit derrière moi et enfonça d'abord
un doigt dans mon cul, puis un deuxième. Je coupai ma respiration, me crispa sur
ses doigts. J'ondulais, facilitant ainsi sa pénétration. Elle fit des
allers-retours, j'étais au bord de l'orgasme puis, d'un coup, elle retira ses
doits et me les fit lécher. Elle empoigna ensuite le gode et, centimètre par
centimètre, planta cet objet de torture au fond de mes entrailles. Mon petit
trou, vierge jusqu'ici faisait de la résistance mais Emilie insista jusqu'à me
l'enfoncer jusqu'à la garde. La douleur était atroce, les larmes coulaient sur
mes joues… J'étais offerte, comme une chatte en manque au regard de tout notre
voisinage, enculée par une bite en plastique trônant à la sortie de mon anus.
J'étais en dessous de tout malgré cette chaleur qui m'envahissait, me brûlait
sans relâche le bas ventre. Oui, j'aimais ça…
-         
« C'est bon, c'est tellement bon… j'aime être défoncée,
sodomisée, prise violemment. Prends moi, je t'en supplie Marc, prends moi la
chatte, défonce moi ! J'aime qu'on me prenne le cul, je suis une pute, rien
qu'une pute, juste une pute ! Ta chatte ! Je t'en supplie… » dis-je à deux doigts de la jouissance.
-         
« Je t'ordonne de frapper à la vitre quand un passant
s'approche » dit impassiblement Emilie. « Je veux que tout le
quartier sache… Et dorénavant, dès que Marc te le demandera, tu te mettras
à quatre pattes et il te
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Mon patron m'a demandé de terminer le travail de bureau à sa maison, je dois dire que ce fut une excellente idée.
Cette petite chienne a mangé deux bites à la fois, je dois admettre, elle est très talentueuse, tu veux voir?

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