Leçon anale pour fille d'université

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Leçon anale pour fille d'université

Coupe de France
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Publié le 28/11/07 à 00h00
— Mis à jour le 28/11/07 à 18h40



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Coupe de France Fille + université + fumeuse = profil type du mal-être étudiant

EDUCATION Selon une étude publiée ce mercredi par la mutuelle étudiante LMDE...
Les filles qui étudient à l’université, habitent chez leurs parents mais travaillent parallèlement et fument représentent le profil type des étudiants en situation de mal-être. Ce sont les conclusions d’une étude de l'Observatoire EPSE (Expertise et prévention pour la santé des étudiants), publiée ce mercredi par la mutuelle étudiante LMDE.
Hasard du calendrier, cette étude est publiée en plein mouvement de contestation dans les universités , notamment contre la loi Pécresse sur l'autonomie des universités, mais aussi pour de meilleures conditions d'études.
A partir de 1.134 réponses à un questionnaire envoyé cet été à des étudiants affiliés à LMDE, trois groupes ont été distingués: les «bien-portants» (75%), «les anxieux-dépressifs sévères» (8%) et ceux se situant dans l'entre-deux, dans une situation de «mal-être» (17%). C'est à cette dernière catégorie que l'Observatoire s'est intéressé.
Outre le fait que cette souffrance caractérise plus souvent les filles (22% contre 10% pour les garçons) qui vivent chez leurs parents, étudient à l’université (et non en IUT par exemple) et travaillent, cette étude révèle que «les étudiants en “mal-être” ont proportionnellement plus changé de cursus que les autres»: 32%, contre 21% dans le groupe en bonne santé et 28% des étudiants «anxieux-dépressifs».
Autre enseignement: les étudiants en situation de «mal-être» ou «anxieux dépressifs sévères» sont «moins nombreux à déclarer avoir quelqu'un sur qui compter en cas de crise». Selon l'étude, 19% des étudiants en situation de mal-être ont eu «des idées suicidaires au cours des douze derniers mois», contre 6% chez les étudiants qui vont bien (62% chez les «anxieux-dépressifs»).
Ce groupe d'étudiants «rencontre des difficultés psychologiques spécifiques, qui sont réactionnelles à l'entrée dans le système et l'environnement universitaires», a expliqué Dominique Monchablon, psychiatre responsable du Relais étudiants-lycéens de Paris (Fondation santé des étudiants de France). «Mais on note que ces situations ne durent en général pas longtemps. Elles peuvent se redresser de manière spectaculaire», à condition de «réagir vite», a-t-elle ajouté, plaidant pour la mise en place de «structures légères et préventives».

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3 techniques pour ouvrir les vannes et (peut-être) enfin squirter
6 positions idéales pour faire l'amour debout
Autrice et hôtesse de parties fines
Dès ma première partie fine, je suis tombée amoureuse de ce milieu.
BLOG - Il semblerait que j’aie un talent assez rare: je suis une femme célibataire d’une trentaine d’année qui voyage dans le monde entier pour organiser des parties fines haut de gamme.
Cette carrière a vraiment surgi de nulle part. Quand j’ai organisé une “petite fête” pour mon compagnon d’alors (j’étais vraiment la meilleure petite amie du monde, pas vrai?), j’ignorais totalement que j’en ferais mon métier. Aujourd’hui, je n’en changerais pour rien au monde.
Je n’ai jamais voulu d’horaires de bureau et, pour être honnête, je me suis fait licencier de la plupart de mes emplois. J’étais rêveuse, mon esprit vagabondait et j’étais incapable de me concentrer. Avoir un patron qui me surveillait sans arrêt n’était vraiment pas ma tasse de thé. J’ai toujours été tentée de faire quelque chose de totalement fou.
J’ai donc quitté mon emploi, et mon petit copain, pour vivre mes rêves. Je me suis envolée pour l’Asie où j’ai aidé une amie à ouvrir son nouveau bar, en mentant (évidemment) sur mon expérience professionnelle. Je me suis super bien débrouillée, au point de finir responsable de l’organisation des événements du bar et de son équipe marketing! J’étais faite pour être hôtesse…
En Asie, j’ai aussi trouvé un nouveau partenaire. Nous étions tous les deux branchés pratiques sexuelles non-conventionnelles, et nous nous sommes mis à fréquenter des parties fines. En clair: des orgies. Notre routine sexuelle à deux, et parfois à trois, ne nous satisfaisait pas et nous voulions élargir nos horizons.
Voyager et rencontrer de nouvelles personnes a été merveilleux, profondément libérateur. Nous n’allions qu’aux soirées les plus réputées: l’entrée coûtait les yeux de la tête, mais ça valait le coup. Nous côtoyions des médecins, des célébrités et toutes sortes de gens très influents et respectés. Je suis tout de suite tombée amoureuse de ce milieu.
L’anniversaire de mon compagnon est arrivé et j’ai décidé de lui faire une surprise en organisant pour la première fois une orgie . J’ai invité un petit nombre d’amis triés sur le volet, mais (heureusement pour les affaires, dans ce milieu) ce nombre n’a pas tardé à augmenter: nous avons fini par accueillir une quarantaine de personnes dans la suite que nous avions réservée à l’hôtel. Cela ne me dérangeait pas, et il ne s’en est pas plaint non plus!
“Alors Sarah, c’est quand, ta prochaine soirée?” m’a demandé un de mes amis peu après. Sa question m’a trotté dans la tête pendant des jours. Mais oui, au fait, quand organiserais-je une nouvelle orgie? C’est alors que j’ai décidé de faire de faire carrière dans ce milieu.
Par chance, j’avais déjà participé à tant de parties fines que j’avais rencontré des tas de gens. Grâce à ces contacts, il m’a été facile d’en organiser une nouvelle. Après avoir exercé des emplois qui ne me plaisaient pas, j’étais prête à m’éclater, faire ce truc complètement fou dont j’avais toujours rêvé. J’étais déjà une habituée du milieu, et je voulais passer davantage de temps avec ces gens: non seulement ils étaient super cool et sexuellement libérés, mais en plus, ils étaient vraiment très sympas.
Je n’ai pas du tout eu peur de me lancer sur cette nouvelle voie. À vrai dire, j’étais tout excitée à l’idée de partager cette expérience libératrice et follement amusante avec d’autres gens. Il m’a suffit de créer un site Web, d’arrêter une date pour ma première partie fine, organisée à Londres dans un club très sélect avec l’aide de quelques amis du milieu, et ma carrière était lancée.
Mais je me suis rendue compte que je ne parvenais pas à concilier vie professionnelle et vie privée. Mes soirées avaient du succès, mais mon couple périclitait. Alors j’ai quitté mon compagnon. Depuis, j’ai organisé des orgies au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Asie et dans quelques pays d’Europe. Je passe mon temps à trouver des suites d’hôtel, des manoirs ou des yachts à louer, et il me faut trois mois pour préparer une soirée. Vérifier les antécédents des participants prend toujours du temps. C’est une chose de glisser des allusions ici ou là mais beaucoup de gens s’imaginent qu’il est très facile d’obtenir une entrée alors que c’est tout le contraire! Je vérifie soigneusement le profil des participants en ligne: je cherche leur nom sur Google, sur les réseaux sociaux, je les appelle pour un entretien préliminaire et, à partir de là, je crée un fichier d’invités. Cela paraît fastidieux mais, franchement, ce changement de carrière est la meilleure chose qui me soit arrivée depuis des lustres. En fait, je n’ai pas l’impression de travailler.
L’entrée n’est pas donnée. Le tarif varie en fonction de la taille de la soirée et des efforts que m’a demandés son organisation. Pour un petit rassemblement sans divertissement particulier, avec juste des boissons et un espace sécurisé pour les ébats, je facture dans environ 120 €. Pour une partie fine plus élaborée, dans un lieu gigantesque, avec des effeuilleuses, un bar et tout le toutim, les prix augmentent, évidemment.
Je suscite beaucoup de réactions haineuses de gens qui ne connaissent pas ce milieu et qui me traitent de pute, mais ils ne comprennent pas ce que je fais. Je ne couche pas avec les invités ou leurs partenaires. Je gère ces soirées de façon professionnelle. Quand je tiens le rôle d’hôtesse, je reste habillée, et je travaille réellement: je m’assure que tout se passe bien, comme pour n’importe quel événement… sauf que tout le monde est nu.
Je crois que j’ai toujours été inspirée par les années 1960 en matière d’amour et de sexe. Il n’y avait pas de honte à l’époque. Les gens étaient heureux et émancipés, ils se fichaient de l’opinion des autres. J’adore cette sensation.
Il n’y a vraiment aucune crainte à avoir si vous avez envie de participer à une partie fine. Tout ce dont vous devez être sûr·e, c’est que vous serez à l’aise nu·e en compagnie d’autres gens nus. Mais, croyez-moi, quand tout le monde est nu, c’est comme si personne ne l’était. On ne peut pas se sentir gêné·e quand tout le monde est dans la même situation. Peu importe votre métier ou votre façon d’exprimer vos passions, je sais d’expérience qu’il ne faut pas avoir peur de tenter l’expérience si vous êtes d’un naturel curieux.
Dès que les gens découvrent ce que je fais, je les sens embarrassés. Ils n’osent pas me poser de questions ou tentent de le faire de manière détournée. Pourquoi? Ce sujet est-il nécessairement tabou? Les espaces sécurisés que nous créons permettent de se libérer du stress de la vie moderne, où l’on est jugé parce qu’on couche en dehors de son couple. Si vous voulez mon avis, c’est un problème tout ce qu’il y a de plus réel, et il n’y a rien de mal à réaliser ses fantasmes sexuels. Ce choix de vie m’a transformée et je me sens très heureuse de pouvoir procurer aux gens ce qu’ils veulent: un espace sûr où explorer leur sexualité et être eux-mêmes, délivrés de toutes leurs inhibitions.
Cet article, publié sur le HuffPost britannique , a été traduit par Iris Le Guinio pour Fast ForWord .
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Châtelaine a testé OMGYes (Oh my God Yes), un site qui enseigne des techniques de masturbation. Verdict? Elles sont assez efficaces, merci.
Un cours de masturbation féminine, pas porno, pas nunuche? En ligne, multilingue et super bien fait ? J’avais entendu l’actrice et ambassadrice de bonne volonté d’ ONU Femmes Emma Watson vanter ce site (à la grande féministe Gloria Steinem – on a vu pire comme référence). Je suis allée voir. Il m’a fallu cinq minutes sur le site OMGYes (pro­noncer Oh my God Yes) pour tomber en bas de ma chaise.
Puis, erreur fatale, j’en ai parlé à ma boss. Qui, j’aurais dû m’en douter, a voulu que je teste. Ce qui suit est donc le fruit de cette expérience combinée à mon professionnalisme exemplaire.
Bien sûr, je savais jouer du clitoris. Mais par oreille. La masturbation, ça ne s’enseigne pas à l’école. Et je n’ai jamais trouvé de manuel de l’utilisatrice digne de ce nom. Alors, comme tout le monde, j’ai appris par tâtonnements.
Bon, je me débrouillais pas mal. Mais l’autochatouille, c’est comme la pâtisserie: y a toujours moyen de s’améliorer. À condition de trouver les bons profs. Ou, mieux, les bonnes profs. OMGYes en propose une douzaine pour 39 $. Une aubaine.
Et de la qualité. OMGYes n’est pas un cours d’anatomie, non plus qu’une introduction aux meilleures méthodes de séduction. Pas d’illustrations bébêtes, pas de photos de nymphettes immergées dans un océan de bulles de savon.
On est dans le concret. Douze techniques présentées sans détour. Pour chacune, le témoignage vidéo d’une ou plusieurs femmes qui l’apprécient. Puis, sur vidéo toujours, une démonstration faite par la même femme, avec gros plan de sa main caressant sa vulve. Pas d’enrobage, pas de musique ni de dentelle.
Curieusement, ce n’est ni cru ni glauque. Juste simple et clair. Convivial même.
Et puis il y a le plus étonnant: l’atelier pratique. À l’écran, devenu tactile, un très gros plan de la vulve qui réagit sous nos doigts. On peut ainsi pratiquer le mouvement sur l’écran en suivant les indications et les commentaires de la dame en question. «Oui, c’est bon.» «Un peu plus de pression s’il vous plaît.» «Ouch, pas directement sur le clitoris, c’est trop sensible.» Un peu déstabilisant au départ, mais diablement pédagogique et efficace.
Ce n’est pas un gadget. Les statistiques et la théorie présentées par OMGYes s’appuient sur des recherches quantitatives (de l’ Institut Kinsey ) et qualitatives (plus de 2 000 entrevues détaillées avec des Américaines âgées de 18 à 95 ans, de tous horizons, menées en collaboration avec l’ Université de l’Indiana ). Le site propose plusieurs langues, dont le français.
Douze techniques à expérimenter, c’est du boulot. J’ai mis mon chum dehors pour la journée, me suis assurée que ma pile de téléphone était chargée puis attelée à la tâche.
Bonne élève, j’ai commencé par la théorie, ai regardé tous les témoignages. Bon. J’ai une conscience professionnelle qui m’honore. Mais veux, veux pas, à un moment donné, une fille n’est pas en bois. Disons qu’il était temps de me mettre aux travaux pratiques. Et de baisser un peu le chauffage.
Première leçon: L’orbite. Qu’on pourrait aussi appeler le tournage autour du pot. Je connaissais, bien sûr. Mais le 8 autour des pots? Avec modulation de la pression? La preuve qu’il n’est jamais trop tard pour apprendre.
La pratique virtuelle m’a fait de l’effet. Caresser un clitoris qui n’est pas le sien, ça n’arrive pas tous les jours (en tout cas pas à moi). Et même quand je chatouille le mien, j’ai rarement une vue gros plan sur l’action en cours. Alors explorer une vulve qui occupe tout l’écran de mon téléphone, la voir réagir sous mes doigts… Je suis allée boire un verre d’eau.
J’ai tâté de toutes les techniques. Jolies découvertes là-dedans. Même si celle baptisée La constance (répéter le même geste avec exactement la même pression, exactement dans le même sens et exactement au même rythme) a fini par me lasser. Et même si La surprise (une caresse arythmique et spontanée) m’aurait sûrement plu davantage prodiguée par d’autres doigts que les miens. Ce que j’ai préféré? Vous ne croyez tout de même pas que je vais répondre à ça?
Ma note finale à OMGYes: wow! Et j’attends avec impatience la deuxième saison.
OMGYes fonctionne sur Android (4.2 ou +), Chrome pour Android (34 et +) Apple : iOS 6 (ou +) fonctionnant sur iPhone 5 (ou +) ou iPad3 (ou +) Windows : Chrome 34 (ou +), Firefox 25 (ou +)
Ce texte est une mise à jour d’un reportage publié le 21 janvier 2017.
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