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Publié
le 27/06/2022 à 07:00
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L’ETI lance la construction d’une usine dans l’Ohio. Elle veut multiplier son activité par huit en cinq ans.
C’est un chaînon peu connu mais stratégique dans le nouveau monde de la transition énergétique, qui capte jusqu’à un quart de la valeur d’un véhicule électrique. La société française Forsee Power conçoit et produit des systèmes de batteries pour véhicules lourds et deux-roues. Dans ses usines, il ajoute aux accumulateurs - qu’il ne produit pas - les couches techniques et logicielles indispensables pour les insérer aux scooters, bus, poids lourds et camions de chantier électriques.
L’ETI, cotée à la Bourse de Paris depuis novembre 2021, lance la construction d’une usine aux États-Unis. Elle compte déjà une «gigafactory», ou giga-usine, à Poitiers - dont la production annuelle représente plus de 1 gigawattheure (GWh) de puissance - et plusieurs autres sites en Asie. «Sous Donald Trump, les États-Unis n’ont rien fait pour l’électrification de la mobilité, mais avec l’arrivée de Joe Biden, ils se sont lancés dans la transition énergétique à un rythme effréné, avec des budgets d’une autre ampleur…

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Le président ukrainien a appelé les entreprises françaises à s'implanter en Ukraine après la fin du conflit, afin de permettre au pays de se reconstruire.
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Blois






Onestas prend son pied au RCB





Onestas prend son pied au RCB




Titre


De tous les joueurs qui sont arrivés cet été au RC Blois, il n’était pas forcément censé être celui qui allait faire le plus parler de lui. Pourtant, à 19 ans, Natan Onestas (le « s » final se prononce) fait déjà l’unanimité. Surtout depuis que l’ailier, qui peut évoluer aussi arrière, est devenu le buteur n° 1. « Je tapais déjà les pénalités quand je jouais en juniors, mais je ne le faisais plus en seniors. Lors d’un entraînement à Blois, j’ai fait quelques tentatives et Émilien (Rabineau) est venu vers moi. Il m’a aidé à prendre mes marques, notamment en corrigeant ma course d’élan. On a testé ensuite en match et ça a plutôt bien marché. » Il est passé du foot au rugby qu’il pratique en club depuis trois ans Déjà très en vue lors du dernier match à domicile face à La Châtre, lors duquel il a inscrit tous les points de la victoire blésoise au pied (15-6), Onestas a récidivé à Guéret, où il a marqué la pénalité de la victoire dans le temps additionnel (17-19). « N’importe qui aurait pu la mettre, elle était sur la ligne des 22 m en face des poteaux » , nuance le jeune buteur. La performance reste impressionnante pour un joueur qui n’est licencié FFR que depuis trois ans. Après plusieurs saisons de foot à Malesherbes, où il évoluait en milieu de terrain, Natan Onestas a troqué le ballon rond pour la balle ovale . « J’étais déjà en section rugby au collège, mais je n’étais pas licencié. On a notamment été sacrés champions académiques avec M. Bellouet, qui était notre professeur, et qui coache aujourd’hui au RC Orléans. Quand je suis parti au lycée à Montargis, j’ai poursuivi en section sportive et je me suis licencié au club local. » Avec les juniors montargois, il a participé à deux phases finales de championnat Phliponeau, avec une élimination en 32es de finale face à Antony-Métro en 2015-2016, puis une défaite en 8e de finale la saison suivante contre Meaux. « Mais c’était une super-année . On a aussi été champions régionaux en rugby à 7. » La saison dernière, pour ses débuts en seniors, Onestas a encore une fois pu goûter au championnat de France, après la 3e place décrochée en honneur. Le parcours des Montargois s’est arrêté à Étampes, où ils ont été battus par le CS Clichy. C’est là que le joueur a rencontré Jean-Marc Trazères, le président du RC Blois. « Il est venu me voir en me proposant de découvrir le niveau au-dessus avec Blois. Je suis venu cet été pour rencontrer les entraîneurs et tout s’est ensuite fait très vite. C’est un challenge très intéressant. » Étudiant en Staps à Orléans, Natan Onestas évolue sous tutorat, c’est-à-dire qu’il a une double licence, à la fois à Montargis et à Blois. C’est aussi le cas de trois autres joueurs montargois de sa génération, qui évoluent au RC Orléans (Romain Compin et Jules Faure) et au Bourges XV (Marc Bourdariat). Ce dimanche, face à Tours, sa précision pourrait encore être déterminante. « Je ne connais pas trop les équipes de la poule. On vient de remporter une victoire difficile à Guéret, mais il est un peu tôt pour définir des objectifs. Tout se met petit à petit en place. » Blois - Tours, ce dimanche 15 h, stade Saint-Georges.



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Publié le

18/11/2018 à 08:55
| Mis à jour le

18/11/2018 à 08:55



Natan Onestas est déjà devenu le buteur n° 1 du RC Blois.

© (Photo archives cor. NR, Nicolas Derré)

Arrivé cette saison au RC Blois, Natan Onestas s’y sent déjà comme chez lui. Et sa précision au pied a souvent permis à l’équipe de faire la différence.
Rugby (Fédérale 3). Le RC Blois arrache la victoire à Guéret
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jeudi 01 septembre 2022, Saint Gilles












Lexi Boling prête son image à la campagne printemps-été 2016 de Diesel Black Gold.
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Diesel Black Gold, la ligne aux accents rock et modernes de Diesel, a enrôlé le mannequin américain pour sa campagne printemps-été 2016. C'est la première fois que Lexi Boling prête son image à la marque.
Le top model prend la pose au côté de Timur Muharemovic dans un décor urbain quasiment vide, sur une route entièrement parsemée de traces de pneu.
Avec cette nouvelle campagne, Diesel Black Gold renouvelle son partenariat avec le photographe français Karim Sadli, qui avait déjà mis en lumière la collection printemps-été 2015.
Difficile d'arrêter Lexi Boling qui mène une carrière sans faute. Pour la seule saison printemps-été 2016, la jeune femme a été sollicitée par Etro, Moschino, Jil Sander, Coach, ou encore Givenchy.
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