Lex lui donne sa grosse queue

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Lorsqu'il s'agit de sexe, certaines personnes sont prêtes à tout pour assouvir leurs fantasmes. La preuve avec ce couple qui était en pleine action dans la piscine d'un hôtel. Une vidéo que nous proposons de retrouver sur notre site Non Stop Zapping.http://www.non-stop-zapping.com/actu/divers/un-couple-en-pleins-ebats-sexuels-se-fait-surprendre-video-50943


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Par

Maître Mô

Histoires vraies



Le 14 octobre 2009, à 7 h 29. Lu 405 661 fois.
Le 14 octobre 2009


 Correctionnelle , enfant , mensonge , viol


444 commentaires


Pourquoi pensez- vous que l´histoire est un fake @jssbs ?




fake honteux pour faire du buzz qui dégrade l'image des hommes. Une honte c'est celui qui a pondu cet article qu'on devrait pendre !




C'est terrible de voir que des gens comme ça existent, ce mec aurait dû être tué mais non forcément il met 10 ans à recevoir sa punition...




Je suis papa de trois filles et si ons leurs auraient fais cela,j aurais fini ma vie en prison mais je l aurais abattu comme un chien se salopard.


SI VOUS SOUHAITEZ COMMENTER, PETIT MÔ :
Envie de laisser un commentaire public sans lien avec un article, juste pour le plaisir d'un... Mô ? C'est possible, c'est ici .
Actuellement 140 brouillons en cours...
Oui, je sais...
Alors, juste pour essayer de vous faire patienter :


• All Rise ! (La Cour !)
• A ride through civil law (Escapade civiliste)
• They all say that... (Ils disent tous ça...)
• Two seconds... (Deux secondes...)
• Wretched (Misérable)
• Passion (Passion)

— Philippe Bouvard , Bouvard de A à Z (2014)
Pénaleux, ça se dit ?
Bon, j'avais tenté une biographie sur la page Mô dit mais elle n'est pas à jour - je vais l'actualiser.
En attendant, celle-ci , rapidement écrite pour la belle revue XXI (à l'occasion de la republication de Au Guet-apens, raccourcie et devenue Au bout de la Défense ) me plaisait bien...

Ce blog formidable fonctionne sous WordPress . Mô est hébergé par OVH (qui ne demande pas de pub mais quand ça marche il faut le dire).
J'y ai usé plusieurs développeurs, qui m'ont aimé puis haï, comme dans la vraie vie... (La plus patiente (l'infobulle qui suit est d'elle...) m'avait bâti un WordPress sur mesure - Tikoun créateur de sites Internet .)
J'ai dû le moderniser et ai opté pour le beau thème Fluida Plus, des très bons de chez Cryout , que j'ai totalement massacré puis remodelé, seul et dans la douleur.
Les dessins d'avocats en noir et blanc partout sont de la très gentille et très créatrice Oph .


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Jade a maintenant sept ans. C’est une jolie petite fille, avec d’immenses yeux bleus. Elle vit cette année 2000 avec toute la joie des gamines de son âge, et ne regrette qu’une chose : ne pas voir son père plus souvent. Ses parents se sont séparés il y a deux ans, elle vit chez sa mère, qu’elle adore, mais son père, qu’elle revoit les week-ends et les vacances, lui manque. Mais ses parents lui ont bien expliqué, elle n’est pas malheureuse, elle a compris que c’était comme ça, et tout le reste va bien : son petit frère Ilan, quatorze mois d’écart avec elle, avec qui elle joue beaucoup, l’école, elle est bonne élève, sa maman, qu’elle adore, qui est aide-soignante, c’est pratique, c’est elle qui lui guérit ses bobos, Lydie, sa meilleure amie, fille des voisins, avec qui elle dort de temps en temps, son carnet intime, qu’elle remplit tous les soirs de mots simples et d’une écriture toute ronde…
Tout va bien, Jade est une petite fille pleine de beauté et de joie, comme tant d’autres.
C’est au milieu de cette même année que Paul, le nouveau copain de maman, vient habiter à la maison.
Jade ne l’aime pas, d’abord parce qu’il n’est pas son papa, et ensuite parce qu’elle le trouve tarte, elle ne comprend pas pourquoi maman l’aime bien, mais bon c’est maman qui décide, alors… Et puis franchement il fait des efforts, Jade le voit bien, il est gentil et il essaye de se faire bien aimer.
La mère de Jade change de service, à l’hôpital, et doit maintenant travailler la nuit : elle fait deux nuits puis a deux jours de repos puis enchaîne trois nuits, et ainsi de suite. Elle attend le soir que Paul rentre de son travail, et puis elle s’en va, après avoir surveillé le bain, mis les enfants en pyjamas, et les avoir fait dîner. Parfois Paul rentre un peu plus tard, alors elle demande à la voisine ou bien à une cousine qui n’habite pas loin de venir garder les petits, en attendant.
Ça se passe comme ça pendant deux mois environ. Paul connaît mieux les enfants, maintenant, et le soir, il fait un truc rigolo avec Jade, après avoir couché Ilan dans la chambre voisine de la sienne -enfin, il trouve lui que c’est rigolo, Jade s’en fiche, elle trouve que c’est un jeu de bébé, mais ça à l’air de lui faire plaisir, alors… Il rejoint Jade en bas, pour la coucher à son tour, mais avant, il prend le foulard bleu de maman, le noue sur les yeux de Jade, et il trempe son doigt dans des trucs -du sucre, du chocolat, de la confiture, du miel- et le met dans la bouche de Jade, qui doit deviner en goutant ce que c’est : trop facile, franchement, mais bon, c’est rigolo un peu quand-même. Sauf que des fois, ça a un drôle de goût, elle ne trouve pas ce que c’est mais elle n’aime pas, en tout cas.
Ce soir, d’ailleurs, elle en a marre de ce goût dégueulasse, elle ne sait toujours pas ce que c’est, alors elle décide de tricher : elle soulève un coin du foulard qui lui bande les yeux pour regarder. Et elle voit. Elle voit son visage à lui, Paul, qui est un peu rouge, bizarre, il ne dit rien mais on dirait qu’il retient sa respiration; et elle voit que ce n’est pas son doigt qu’il a mis dans sa bouche, c’est son zizi.
Elle recrache ce soir-là le sexe de Paul, elle se met à pleurer parce qu’elle ne comprend pas, elle lui dit d’arrêter, elle ne sait pas ce qui se passe, elle trouve ça dégoutant, elle comprend maintenant que ça puait la pisse, elle ne sait pas pourquoi il fait ça mais elle sent que ce n’est pas normal, que ça ne se fait pas. Il arrête, et il lui dit qu’il ne faut rien dire, à personne, que c’est leur secret, qu’il ne faut pas le dire à maman, surtout, sinon il lui racontera aussi les bêtises que Jade et son frère font parfois le soir, et que lui ne punit pas, et il s’en va, cette fois là .
Jade essuie ses larmes, elle a envie de vomir mais n’ose pas sortir de sa chambre. Elle est affolée, mais ne sait pas du tout quoi faire, et elle a peur, pas tant des menaces de dénonciation à sa mère, mais de l’homme lui-même, il avait un regard très dur, tout à l’heure, un regard méchant, elle sent bien que ça ira très mal si elle parle…
Elle reste longtemps allongée dans son lit, dans le noir, et puis finit par se relever sans faire de bruit, allume sa petite lampe de chevet rose, et va chercher son Journal, dans lequel elle écrit ce qui s’est passé tout à l’heure, qu’elle intitule “Se soir il ma fé sa” .
A partir de ce soir là , beaucoup de choses changent, pendant les quatre mois où Paul habitera encore chez eux.
Paul vient maintenant la voir tous les soir où maman pars travailler, tous. Il ne met plus de bandeau, et il ne fait plus semblant de jouer avec elle : il lui met son zizi dans la bouche, souvent violemment, des fois elle à l’impression que ça cogne au fond de sa gorge, et il ne bouge plus, mais il lui empoigne la nuque, et il bouge sa tête à elle sur son zizi, très vite et fort, il lui sert tellement la nuque que des fois ça lui fait mal le lendemain encore. Elle a souvent envie de vomir, mais elle ne peut pas parce qu’elle étouffe à moitié -deux fois elle a vomi quand-même, une fois c’était parce qu’il y avait eu un liquide vraiment mauvais au fond de sa gorge.
En plus maintenant souvent il lui prend une main, il la pose sur son zizi, et il lui ordonne de bouger sa main très vite. La plupart du temps elle ferme les yeux, elle ne voit pas vraiment comment il est, mais une chose se grave dans sa mémoire, ce sont des gémissements, elle l’entend gémir pendant ce temps là .
Une fois, il s’est allongé, son sexe sorti, il l’a posée au dessus de lui, et il a essayé de l’enfoncer sur lui -elle a eu très mal, elle a crié, il s’est arrêté et elle a eu très peur, parce que sa pépette saignait -il n’a rien dit, il est seulement parti, et Jade a dormi cette nuit-là avec la main posée sur le sexe, pour arrêter le sang et ne pas tâcher ses draps.
Elle est terriblement malheureuse, maintenant, et ne vit que dans la terreur de l’arrivée du soir, les nuits où sa mère travaille. Pourtant, elle ne dit rien, à personne, et surtout pas à ses parents. Elle sait que ce n’est pas normal, elle sait que c’est sale, mais elle se dit que sa mère, qui a déjà été si malheureuse quand son père est parti, le serait encore plus si elle lui disait, pour Paul. Elle a peur de lui, d’ailleurs, il faudrait encore qu’elle ose. Et puis Ilan est très malade, on vient de l’apprendre, maman est beaucoup avec lui, à le dorloter, Jade aussi d’ailleurs, c’est normal, elle voit bien que sa mère a peur pour lui, elle ne veut pas l’accabler encore plus. Et puis elle a peur aussi qu’on ne la croie pas, c’est tellement… Anormal.
Elle se sent dégoutante, d’ailleurs, en blaguant à l’école, ses amis s’insultent souvent avec des mots sexuels, ou font semblant de faire des trucs cochons avec les filles, elle sait que ce que Paul lui fait n’est pas pour rire, que c’est un truc de grands, que c’est sale, mais que du coup maman ne la croirait sûrement pas…
Et elle n’ose pas plus en parler à papa, parce qu’elle ne veut pas gâcher les rares moments où il se retrouvent, et parce que son père est assez colérique, c’est même pour ça que maman et lui sont séparés : elle pense que lui la croirait peut-être, c’est un homme il doit savoir ce que c’est, mais qu’il irait sûrement taper Paul, et ça ferait encore un drame avec maman…
Alors elle se tait, elle apprend doucement qu’on peut se faire pipi dessus rien que par peur, en pensant à ce qui va se passer dans une heure, et elle fait ces soirs-là ce que Paul lui demande de faire, elle a de moins en moins envie de vomir, maintenant, elle veut juste qu’il ait fini vite, et de se retrouver seule.
Lydie, du haut de ses huit ans, trouve que depuis quelques temps, sa copine Jade a changé.
Elle rigole moins souvent, des fois quand tous les copains sont là elle s’isole, à part, sans rien dire, et d’autres fois elle la voit seule, à la récré ou même dans son jardin, et elle voit bien qu’elle pleure, que ça ne va pas. Elle l’a questionné, c’est sa meilleure amie, elle sent bien qu’il y a quelque chose, mais Jade ne lui dit rien, elle se force à sourire, ça se voit.
Un soir, Jade a la permission de dormir avec sa copine chez elle, dans la maison d’à côté. Les deux amis jouent comme d’habitude, la mère de Lydie doit même les gronder parce qu’elles font les fofolles, et comme à chaque fois les filles la tannent pour dormir ensemble, dans la chambre de Lydie, ce qu’elle leur accorde en souriant.
Dans la nuit, Lydie est réveillée par des hoquets de pleurs de sa copine, et elle la prend dans ses bras, et la questionne à nouveau, dans le noir, tendrement. Et Jade, qui tremble encore, explose en larmes, et lui dit juste :” Paul il met son zizi dans ma bouche” … Lydie est sciée, ça ne veut rien dire, c’est dégueulasse -mais elle n’a pas un instant l’idée de ne pas croire son amie, dont les larmes ne cessent de couler, plus fort qu’elle n’a jamais vu quelqu’un pleurer. Jade lui fait jurer de ne rien dire à personne, et elles finissent par s’endormir dans les bras l’une de l’autre.
Le lendemain matin, elle attend seulement que Jade soit repartie chez elle, puis prend une décision qui va changer la vie de sa copine, même si elle ne le mesure pas : elle raconte tout à sa mère : “Tu sais, maman, je trouvais que Jade, elle était souvent triste en ce moment. Eh ben, cette nuit…”
Cette femme est horrifiée, mais elle connaît suffisamment Jade pour savoir qu’elle n’est pas le genre de petite fille à raconter n’importe quoi, et plus que suffisamment sa fille, qui lui a dit sur un ton grave ce que Jade lui avait dit, en lui expliquant à quel point sa copine était bouleversée : huit ans ou pas, elle ne conçoit pas que ça ne soit pas vrai -en y réfléchissant, justement parce qu’elles ont huit ans, bon sang…
Nos sommes début 2001, on en parle, de ces dégueulasseries, à la télé, ça existe…
Elle se rend immédiatement chez sa voisine, la réveille -elle sait qu’à cette heure-ci, son copain est parti au boulot- et lui raconte tout.
Jasmine l’écoute, la regarde, et son univers s’effondre à la seconde même. Elle veut quand-même vérifier, même si confusément elle sait déjà que c’est vrai : paniquée et en pleurs, elle appelle Jade, et la questionne le plus doucement possible, à genoux devant elle, ses deux mains posées sur les épaules de l’enfant. La fillette n’émet pas un son, mais fond en larme, silencieusement, ses grands yeux bleus plantés avec toute la détresse du monde dans ceux de Jasmine. Celle-ci sent soudain un liquide chaud lui mouiller les genoux : sa fille vient de se faire pipi dessus, debout, ce qui la fait pleurer encore un peu plus. Jasmine prend Jade dans ses bras et la serre à l’étouffer, Jade ferme les yeux et se cache dans le cou de sa mère, et elles restent là , longtemps…
Quand Paul rentre ce soir là , les yeux de Jasmine son enfin secs. Elle a appelé son frère aîné, qui est avec elle dans le salon, devant toutes les affaires de Paul, empaquetées à la va-vite. Jasmine ne lui dit qu’une phrase : “Jade a tout raconté” . Son frère explique à Paul qu’il ne veut rien entendre, pas un mot, qu’il est seulement là pour que les choses se passent correctement, et que Paul part, maintenant, définitivement. Paul les regarde, ne dit rien, ramasse ses sacs et s’en va.
Cachée dans la cuisine, Jade se dit seulement : “C’est fini” , elle notera cette phrase telle quelle dans son journal tout à l’heure. Elle commence aussi à s’en vouloir de ne pas avoir parlé plus tôt, mais pour l’instant c’est la joie, le soulagement absolu, qui dominent.
Jasmine commet une erreur, dans les jours suivants, même si elle a réglé le problème immédiat -le cœur malgré tout bien noir, car elle en était amoureuse, de Paul, c’est vrai, et qu’elle se retrouve profondément trahie, et oscille entre l’incompréhension et la haine… Et aussi, même si elle ne le voit pas encore clairement venir, la culpabilité -elle a abandonné sa fille et l’a laissée aux mains de cet homme là …
En tout cas, aidée il est vrai par un conseil de famille qui s’est tenu le jour-même, une de ces familles où on ne parle pas de ces choses-là , elle décide de ne pas porter plainte. Paul ne peut plus faire de mal à Jade, et elle, sa petite fille, n’a que neuf ans, il faudrait l’amener chez les flics, tout raconter en détails -elle-même ne les connaît pas, les détails, Jade a refusé de se livrer. plus avant, ça ne facilite rien parce qu’elle ne sait pas ni combien de fois, ni comment, ni si des actes plus ou moins graves que ceux-là , cette saloperie, ont été commis…
Inconsciemment, lui pèse aussi le fait qu’il faudrait aussi expliquer pourquoi elle n’a rien vu, pourquoi par exemple elle n’a pas tiqué sur la petite rougeur qu’elle avait remarqué deux semaines plus tôt sur le sexe de sa fille -si c’est lié, parce qu’elle n’en sait rien…
Et il faudrait aussi mettre le père de Jade au courant, cet homme qu’elle a aimé, qui adore sa fille, mais dont elle connaît, justement, les réactions extrêmes…
Non, il n’y aura pas de plainte -on va maintenant se soigner, et tâcher de guérir, la vie va continuer, et on mènera de front ce combat et celui pour la santé d’Ilan.
En classe, Lydie, qui n’était pas rassurée d’avoir trahi sa meilleure amie, reçoit un petit mot plié en quatre, un seul : “Merci !” . Elle relève la tête et voit Jade qui la regarde de sa table, un grand sourire aux lèvres. Elle lui sourit à son tour, heureuse.
En 2003, Ilan est définitivement guéri de la maladie horrible qui faisait craindre pour ses jambes. Jade prend la décision de jeter son journal intime, les moments de peur obscure et de dégout sont loin… Même si, depuis eux, Jade est devenue spasmophile, dès que quelque chose la panique, elle fait une crise, qui parfois la tétanise au sol et nécessite son hospitalisation.
Même s’il y a les cauchemars, toujours exactement les deux mêmes : sa mère se remet avec Paul, et il lui dit “Bonjour Jade” avec un sourire étrange, qui la terrorise littéralement… Ou bien elle est dans sa chambre, toute nue, et il rentre, nu aussi, avec un sexe énorme, et elle se réveille affolée, avec ce goût, toujours, dans la bouche…
Même si elle n’a pas d’amoureux, et a décidé, du haut de ses onze ans, qu’elle n’en aurait jamais.
Jasmine, au fil des mois, a de plus en plus conscience du fait que les choses ne sont pas simples pour Jade, qu’elle a des séquelles, qu’il ne suffit pas de claquer des doigts pour qu’elle redevienne la petite fille qu’elle avait cessé si brutalement d’être… Elles en reparlent, parfois, mais Jade ne lui livre rien de plus, elle ne veut pas, et sa mère respecte
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