Lesbiennes en trio pour la première
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Lesbiennes en trio pour la première
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Deux jeunes très belles lesbiennes sont allongées dans leur lit, dans la chambre à coucher. Concept d'amour et de relation.
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Hervé Dumouchel - 14 août 2022
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Ce sensible récit initiatique d’émancipations raconte l’histoire d’une jeune adolescente israélienne de 17 ans, vivant dans la campagne de Tel-Aviv. Pour son premier long métrage la réalisatrice Michal Vinik nous présente une héroïne voulant s’affranchir de son cocon familial pesant, et lui faire oublier une énième disparition inquiétante de sa sœur, enrôlée dans l’armée.
Dès le premier plan aux connotations pop/rock par le son et l’image avec un plan sur des paires de lunettes en forme de cœur sur le pare-brise avant d’une voiture qui démarre sous un morceau musical endiablé, l’ambiance film sur l’adolescence est bien présente.La mise en scène garde quasiment tout au long du film cet état d’esprit, cette même vitalité et fraîcheur flirtant au plus près des excès pour nous décrire au mieux la jeune Naama, qui aime sortir, boire, fumer des joints, se droguer et s’abandonner aux bras des garçons à l’arrière d’une banquette de voiture.
La metteuse en scène dépeint cette jeune femme emplie de fougue avec beaucoup de tendresse et sans jugement moral pour mieux brosser en arrière-plan de son film, un portrait un peu acide de cette société israélienne encore sous le poids de la religion, des archétypes sociaux où le pays semble être encore très militarisé notamment de par sa jeunesse. Malheureusement, ce sous-texte politique arrive après la moitié du film. L’auteure ne peut que survoler ses problématiques et en donne une image parfois un peu caricaturale de ce qu’elle veut dénoncer.
Mais là où Michal Vinik s’avère être la plus pertinente est dans l’évocation de l’éveil amoureux et sexuel de Naama pour une camarade d’école dévergondée au look punk. Par petites touches après un premier contact assez glacial dans les toilettes de l’école devant un miroir, la cinéaste filme au mieux les émois, les pulsations sous la peau, le jeu du chat et la souris avant que n’intervienne le premier baiser dans un lieu propice. Quand les corps s’embrassent et que l’amour naît sous la caméra, le souffle du film atteint ses moments de grâce, l’auteure dépeint ses jeux de l’amour sans cliché même si l’on peut trouver que le cahier des charges, une fois savamment rempli, s’avère dans l’ensemble un peu prévisible. Néanmoins, tout au long du récit un peu convenu, la sincérité transparaît sur le grand écran. Cette chronique s’appuie notamment sur la composition toute en retenue et en émotions de la révélation Sivan Noam Shimon, très convaincante, et de son amoureuse incarnée par la charismatique Hadas Jade Sakori, un petit ange démoniaque. Un premier film prometteur qui s’émancipe également des partitions musicales du pays originel où les sonorités pop/rock et électro accompagnent cette touchante romance lesbienne. Lumineux. Délicat. Attachant !
INFOS | PETITE AMIE, réalisé par Michal Vinik, avec Sivam Noam Shimon, Hadas Jade Sakori, Dvir Benedek. Sur www.primevideo.com
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Accueil » Initiation et premiers émois
Je devais avoir entre 13 et 14 ans. Mais un des mes camarades de classe était plus âgé de 2 années, suite à un redoublement puis d’un accident de mobylette qui l’avait immobilisé pendant de longs mois. C’est pourquoi il marchait encore à l’aide de béquilles et que je m’accompagnais chez lui, après la classe, en portant son sac.
Un jour, profitant d’une pause sur un banc public dans le parc que nous traversions pour rentrer, il me montra une revue naturiste piquée à ses parents, soigneusement dissimulée dans son bouquin de géo. A l’époque ( années 60 ), la censure était sévère et tous les sexes et systèmes pileux étaient soigneusement gommés lors du tirage. Mais nous nous régalions de la vue des belles ondines : les petits tétons gros comme des abricots des jeunes adolescentes, les seins en poire bien galbés des jeunes filles, les beaux seins ronds et pleins des jeunes mères de famille et ceux en forme de gants de toilette des vieilles mémés. Pour moi, c’était une découverte d’un monde inconnu. Il me proposa de passer chez lui le jeudi suivant pour me faire voir d’autres numéros de cette publication.
Je m’en souviens parfaitement. Il faisait chaud car nous étions fin juin, l’école finissait dans quelques jours. C’est donc en chemisette légère et en short que je me présentai chez lui à l’heure convenue. Ses parents étaient absents et il avait baissé les persiennes pour éviter la chaleur. Cela donnait un petit air intime à notre réunion.
Il trônait dans son fauteuil et avait préparé toute une pile de revues que nous feuilletâmes avec gourmandise, rigolant à qui mieux mieux au vu des nénettes à poils. Puis soudain, il entrouvrit sa braguette et en sortit son sexe dardé. Pas bien grand, environ 13 à 15 cm mais bien droit comme un poignard, joliment couronné d’un gland conique, le fût de son membre décoré d’une série de petites veines gonflées et planté dans un joli buisson de poils noirs et très bouclés. J’étais médusé et en admiration devant ce magnifique membre. Il se caressa et me demanda de le prendre en main. D’abord je refusai mais il insista tant et si bien que je finis par prendre sa queue en main : elle était terriblement chaude et très douce au toucher.
Puis il me demanda de sortir la mienne. Je refusai, le rouge au front. Il me menaça d’en parler aux autres élèves et de faire de moi la risée de la classe. La mort dans l’âme, je me résignai et sortis laborieusement ma banane gonflé de mon slip kangourou. Elle était bien plus longue que la sienne, courbe, et dénuée de pilosité, mis à part un petit duvet qui pointait sur mon bas-ventre. mais il ne se moqua pas et lorsqu’il posa sa main sur ma queue pour l’emprisonner, je fus pris d’un vertige et dus me retenir à son fauteuil tant mes jambes tremblotaient de gêne.
J’aurais volontiers échangé mon sexe contre le sien, tant je le trouvai esthétique et sexy, bien plus que ma banane encombrante.
Il posa son pouce et son index le long de son membre et toujours en me tenant la queue de sa main gauche, il s’activait de bas en haut, de façon de plus en plus rapide. Pour ma part, j’avais déjà des érections mais je n’avais pas encore découvert la masturbation. Je fus donc interloqué en le voyant s’activer et au bout de 1 ou 2 minutes, de petites coulées de liquide épais surgirent de son gland, se répandant sur son membre et se perdant dans les boucles de sa toison noire. Il avait fermé les yeux à cet instant et sa pression sur ma verge s’était accentuée dans un spasme de plaisir. Je venais de découvrir l’éjaculation.
Je remballai mon matériel, un peu honteux et décontenancé, pendant qu’il s’épongeait la touffe avec des mouchoirs en papier. Mon cœur battait la chamade.
Quelques jours plus tard, l’année scolaire prenait fin et je changeai d’établissement, perdant tout contact avec LUI, mon initiateur. D’ailleurs j’oubliai cet épisode ou du moins, je l’enfouis dans le plus profond de mon subconscient.
Des années plus tard, je dormais d’un sommeil agité à côté de mon épouse légitime. Et soudain je me revis, dans un rêve, debout à côté de mon camarade de classe assis dans son fauteuil, mon short et mon slip sur les chevilles, mon sexe dressé. Mais cette fois ci, il me caressa d’abord puis se pendant vers mon bas-ventre, il couvrit mon membre de baisers, lécha mon gland, titilla mon trou de bite avec sa langue puis soudain me prit dans sa bouche chaude et humide, commençant un doux va et vient, d’abord « soft » avec ses lèvres, puis un peu plus virilement avec ses dents en se retirant puis à nouveau en mode soft puis à nouveau avec ses dents…alternance de sensations avec une agréable douleur de matérialisant sur mon sexe. J’étais pris d’un vertige de bonheur, j’avais envie de fondre de plaisir. La scène dura de longue minutes, ma température montait en flèche. Éperdu de plaisir et de reconnaissance envers mon maître des plaisirs, mon doux initiateur, je reculai d’un pas pour me dégager de sa bouche et me précipitai entre ses jambes écartées pour saisir son petit glaive. Je commençai par l’astiquer copieusement puis l’engloutit dans ma bouche, faisant tourbillonner ma langue autour de son gland, suçant avec avidité et gourmandise à grand renfort de bruit de succion. Je l’avais EN MOI, je le possédai, il était ma chose, mon amant, mon maître, je suis son esclave, je me livre à lui, je lui offrirai ma virginité anale, il pourra défoncer ma petite rondelle s’il le souhaite, je me livrerai à toutes ses demandes, je serais sa chose, sa chienne, son serviteur …je fis tant et si bien, avec application et excitation, que soudain un liquide chaud et épais envahit ma bouche, une vague de miel se répandant en moi par petite saccades témoignant du plaisir que je lui avais donné…
Et soudain je me réveillai, les joues humectées de ma propre bave, les cuisses inondées de mon propre sperme car j’avais éjaculé de plaisir tant mon rêve était réaliste ! J’étais réveillé, presque triste et déçu, écoutant la respiration régulière de ma femme endormie, elle qui n’avait jamais accepté de me sucer car cela était contraire à sa conception des relations intimes. Je gardai donc mon rêve au plus profond et n’en parlai à quiconque avant cet instant.
A, si tu te reconnais, fais mois signe, j’ai des choses à rattraper…et des regrets à effacer !
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