Lesbiennes De 60 Ans

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je vous souhaite de vivre longtemps cet amour réussi,ce fut courageux de me le confier.Un grand merci à tes filles ,petits-enfants et gendre grâce à leur compréhension,ils t'ont aider à vivre pleinement cet amour.
bisous à vous 2 et à la petite famille


Très belle histoire d'amour!profitez un max et bravo aux filles et à leurs familles !

Superbe et metveilleuse histoire d amour.. Felicitations a ses filles pour leur tolerance et l amour qu elles portent a leur mere et a leur soeur. Je me permets de voys embrasset
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Je suis née en 1944, et j'ai été élevée par mes grands-parents. J'avais 10 ans lorsque, ma cousine étant venue passer la nuit à la maison, et moi avons dormi dans le même lit et nous sommes embrassées. C'était un jeu d'enfants, mais ça m'a bouleversée. Avec le recul, je sais que ce fut un épisode important. La première fois que je ressentais cette émotion. Mon premier émoi avec une fille. La première fois, aussi, que je le refoulais violemment. Dès le lendemain, en effet, je me suis dit que c'était mal.
A la maison, on ne parlait jamais de sexualité. Ma grand-mère était une femme stricte, qui avait été éduquée chez les sœurs. Lorsque j'étais enfant, elle m'obligeait à porter des robes, même si je détestais ça. J'ai toujours été plutôt "garçon manqué". Quant à l'homosexualité, ce n'était même pas un tabou, ça n'existait tout simplement pas. Je ne savais même pas ce que signifiait le mot " lesbienne ". 
Quand mes fantasmes se réveillaient, c'est à cette professeure que je pensais
Aussi, quand je suis tombée folle amoureuse de ma professeure de physique, au collège, autant dire que je n'ai rien compris à ce qu'il m'arrivait. C'était une femme autoritaire et rigide, qui me faisait un peu penser à ma grand-mère. Tous les soirs, dans mon lit, j'imaginais des scénarios où j'étais un jeune homme qui essayait de la séduire. C'était très fleur bleue, toujours platonique : elle crevait un pneu sur la route, et j'arrivais en sauveur pour l'aider à réparer sa roue… 
A l'époque, je ne pensais pas que j'étais attirée par les femmes. Je savais juste que ce que j'éprouvais n'était pas tout à fait normal et que je ne devais en parler à personne. Le souvenir de cette professeure m'a hantée pendant des années. Régulièrement, quand mes fantasmes se réveillaient, c'est à elle que je pensais. C'est étrange à dire, mais pour moi ça a été le premier grand amour de ma vie.
Puis j'ai grandi, je suis devenue une jeune femme. A 25 ans, quand un client de la charcuterie dans laquelle je travaillais a commencé à me draguer, j'ai fait ce que faisaient les filles de mon âge : je suis sortie avec lui. Puis cet homme, qui avait quatorze ans de plus que moi, est devenu mon mari. A cette époque, mes grands-parents vieillissaient et j'avais très peur de finir seule. Et comme vivre avec une femme était inenvisageable, il fallait bien que je prenne une décision.
Sexuellement, je n'ai jamais ressenti de plaisir avec mon mari. J'ai eu ma première fille neuf mois et trois jours après notre mariage. Puis les deux autres très rapidement. Trois filles que j'adore. Pendant toutes ces années, j'ai clairement été plus mère qu'épouse. Quand mon mari est décédé, j'avais 47 ans. J'ai eu du chagrin, car j'avais de l'affection pour lui, mais une fois la douleur passée, j'ai ressenti une forme de liberté. Je n'étais plus obligée de me contraindre, je pouvais enfin penser à moi. Je n'avais aucune envie de refaire ma vie. Je me voyais vieillir seule en m'occupant de mes enfants et petits-enfants. J'étais loin d'imaginer l'ouragan qui allait bouleverser ma vie.
La première fissure dans l'édifice, c'est quand j'ai compris que ma plus jeune fille, Juliette, était lesbienne. Je dis "compris" parce qu'elle ne me l'avait jamais dit et je ne lui avais jamais posé de question. Ça a été un choc très violent. Je me prenais en pleine figure ce que j'avais si longtemps refoulé. J'ai énormément culpabilisé. Je pensais que c'était de ma faute, que je lui avais transmis ce qui était caché en moi. J'acceptais son homosexualité, ça n'a jamais été le problème, mais on n'en parlait pas. Ce que je pouvais accepter pour ma fille, je ne pouvais pas encore l'accepter pour moi.
C'est à ce moment-là que j'ai recommencé à fantasmer sur ma professeure de collège. C'était toujours aussi platonique. J'ai continué comme ça pendant des années. Jusqu'à ce jour d'août 2012.
Avec Juliette, nous avions rejoint une de ses amies à la montagne. Irène avait la cinquantaine et était lesbienne depuis toujours. Ma fille a dû repartir à Paris et je me suis retrouvée à passer une journée seule avec cette amie. Je me souviens de la scène comme si c'était hier. On venait de descendre de voiture quand Irène m'a demandé, de but en blanc : "Tu n'aurais pas des tendances homosexuelles ?" J'avais 69 ans, et c'est la première fois qu'on me posait la question. Je suis devenue rouge écarlate et suis restée muette. Elle m'a encouragée : "Tu peux me le dire, je suis lesbienne, ta fille est lesbienne…" J'ai respiré et j'ai dit : "Oui." 
Un "oui" à peine audible, comme on avoue un péché. Mais un "oui" qui a fait sauter le verrou le plus puissant de mon existence. C'est à ce moment précis que j'ai vraiment pris conscience que j'étais lesbienne. Ce fut une énorme libération de pouvoir enfin mettre un mot sur ce que je ressentais depuis des années.
 Après des années de silence, j'avais enfin révélé mon secret, mais je ne savais pas où tout cela allait me mener.
Je l'avais dit à une quasi inconnue, il allait désormais falloir l'annoncer à mes filles. Et j'appréhendais. Mes deux autres filles avaient accepté l'homosexualité de leur sœur, mais de là à être aussi tolérantes pour leur mère… Cela n'a pas été facile, je n'ai pas trouvé les mots tout de suite. Chacune a réagi à sa manière – la première m'est tombée dans les bras, l'autre m'a répondu qu'il lui fallait un peu temps –, mais l'essentiel était de leur avoir dit. Deux mois plus tard, tout le monde était au courant : mes amis, gendres, petits-enfants… Après des années de silence, j'avais enfin révélé mon secret, mais je ne savais pas où tout cela allait me mener.
Juliette m'a encouragée à aller voir une association. On a commencé à fréquenter ensemble les vendredis des femmes du centre LGBT. A cette époque, je n'avais pas en tête de rencontrer quelqu'un, je voulais juste discuter avec des femmes comme moi. Au départ, je ne me sentais pas très à l'aise puis, progressivement, j'ai pris de l'assurance. 
La première fois que j'ai vu Michelle, c'était dans un groupe réservé aux lesbiennes de plus de 60 ans. Elle avait deux ans de plus que moi et de longs cheveux blancs qu'elle relevait en chignon. Le courant est tout de suite passé entre nous, même si tout semblait nous opposer : elle était aussi à l'aise que j'étais réservée ; j'étais ponctuelle, elle arrivait en retard à tous les rendez-vous… Et surtout, elle avait vécu pendant dix-neuf ans avec une femme. C'est pourtant moi qui ai fait le premier pas.
 Très vite, nos mains se sont enlacées, nous nous sommes embrassées sur la joue, puis sur la bouche
A une réunion du groupe, Michelle a lancé à la cantonade qu'elle voulait rencontrer quelqu'un avant ses 70 ans. Je lui ai envoyé un texto à 3 heures du matin, lui disant que j'aimerais la connaître mieux. Elle m'a répondu :"Je suis contente que notre “je ne sais comment le définir” soit réciproque." Quelques jours plus tard, elle m'a invitée à prendre un café chez elle. Très vite, nos mains se sont enlacées, nous nous sommes embrassées sur la joue, puis sur la bouche, comme deux ados, maladroites et tremblantes de désir.
On s'est revues quatre jours plus tard. Je me souviens qu'il pleuvait et qu'elle m'attendait dans la rue, à moitié trempée. J'ai trouvé ça charmant. On est montées chez elle et on a vécu notre première nuit d'amour… Michelle avait plus d'expérience que moi, et c'est elle qui m'a guidée. J'ai ressenti du plaisir pour la première fois de ma vie. Je n'avais jamais couché avec une femme , mais c'était logique, comme un aboutissement. On s'est endormies dans les bras l'une de l'autre et on ne s'est plus jamais quittées. Aujourd'hui, nous vivons ensemble et nous nous sentons comme un jeune couple : on se tient la main dans la rue, on fait l'amour – même si ce n'est pas exactement comme dans La vie d'Adèle ! – et on parle même parfois de se marier.
A 71 ans, je n'ai jamais aussi peu senti mon âge. Trouver les mots pour raconter mon histoire reste difficile. On ne s'affranchit pas comme ça de tant d'années de silence. Mais si j'ai décidé de témoigner, c'est pour dire aux femmes qui n'osent pas sauter le pas que, même après 60 ans, rien n'est jamais fini. Il ne faut pas renoncer à ses désirs. Je me sens vivre pour la première fois. Comme si je m'étais enfin mise à respirer.
Vous souhaitez raconter votre histoire ? Envoyez-nous un résumé par e-mail. Contact : cgoldberger@ gmc.tm.fr
Article publié initialement dans le magazine Marie Claire, octobre 2015. 
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Avec une façon unique de défricher les tendances, le magazine marie france et mariefrance.fr s'adressent à toutes les femmes d'aujourd'hui. Comme elles, marie france et mariefrance.fr s'intéressent aussi bien à la beauté, la mode, la santé/forme, la psycho, qu'à la culture, la déco, la cuisine ou l'évasion. Conseils, proximité, sincérité, marie france et mariefrance.fr posent un regard vrai sur la société contemporaine.
A l'âge de 75 ans, Lauren Hutton détient le record des unes de Vogue . Elle a posé pour la couverture plus de 22 fois. Actrice et mannequin, elle a posé pour Dior, Calvin Klein, Bottega Veneta, H&M, Mango.
Le mannequin français Yazemeenah Rossi est toujours rayonnante à 61 ans. Malgré une carrière tardive, elle pose pour Saint Laurent rive gauche, Thierry Mugler et Chris­tian Lacroix entre autre. Elle s'est envolée pour New York et a signé des contrats avec Bobbi Brown, Oil of Olaz, Schwarz­kopf ou encore Bloo­ming­da­le’s.
C'est un mannequin de 70 ans qui a déjà posé pour la marque des sœurs Olsen. Elle a aussi créé sa marque d'huiles essentielles Olio Lusso.
Jacky O'Shaughnessy est un mannequin et photographe de 65 ans. Elle est connue notamment pour sa campagne avec American Apparel. 
Crédit photo : site Jacky O'Shaughnessy .
Carmen Dell'Orefine est une actrice et modèle américaine de 86 ans. Elle a posé pour l'excentrique Salvador Dali. A l'âge de 80 ans, elle a défilé avec classe pour le show de Stephane Rolland. 
Iris Apfel est reconnaissable par ses lunettes originales. Du haut de ses 96 ans, elle connaît une brillante carrière. Elle a commencé en tant que décoratrice d'intérieur pour la Maison Blanche. Puis elle est devenue mannequin et créatrice de mode. Elle a notamment été égérie d'une collection de cosmétiques M.A.C.
Baddie Winkle est passée de l'anonymat au star système en quelques clics. Elle est d'abord une star des réseaux sociaux où son style et sa bonne humeur sont reconnaissables. Elle devient vite l'égérie d'Urban Decay, une grande marque de cosmétique. A 90 ans elle est un mannequin pétillant et extravagant.
Gitte Lee a connu un premier succès dans les années 70 avant de se retirer. A 77 ans, elle est revenue sur le devant de la scène en tant qu’égérie pour Céline. En 2014, on la retrouve en couverture du catalogue de H&M.
A 68 ans, Tanya Drouginska est comédienne et mannequin. Cette Parisienne a déjà posé pour Dim, la Fnac, Afflelou et Shu Uemura.
Les mannequins seniors ont la cote depuis quelques années sur les podiums. Qui a dit qu’à plus de 60 ans on n’avait plus le droit d’être belle ? Découvrez 9 femmes sublimes qui ont passé la soixantaine !
Il y a une dizaine d’années, on aurait difficilement pu imaginer qu’une femme de plus de 60 ans puisse défiler ou être à la une des plus grands magazines de mode. Pourtant, à chaque Fashion Week , de plus en plus de mannequins aux cheveux blancs défilent pour les grands créateurs. Les mannequins seniors ont la cote et nous prouvent que l’on peut être sublime à plus de 60 ans !
La mode semble se libérer des conventions du jeunisme. Elle met sur le devant de la scène des mannequins comme Iris Apfel qui est devenue une véritable icône de mode. Ces femmes osent les poses en lingerie et en maillot de bain. Leur corps athlétique semble n’avoir pas pris une ride . De quoi rendre jalouses les petites jeunes de 20 ans… Le mannequin français Yazemeenah Rossi respire la santé et la vitalité. Elle pratique le yoga et la méditation, mange équilibré et s’affranchit des pressions du quotidien. Côté beauté, pas d’injection de botox ou de produits chimiques. Elle fait des gommages naturels avec de l’huile de sésame et du sucre. La jolie corse est depuis partie aux Etats-Unis pour poursuivre sa carrière en tant que mannequin et photographe.
Iris Apfel a travaillé auparavant pour WWD et a créée sa propre marque Old World Weavers avec son mari. Cette icône de mode est devenue l’égérie de la marque de cosmétique M.A.C. en 2011. Yazemeenah Rossi a commencé sa carrière de mannequin assez tardivement. Ce n’est qu’à l’âge de 45 ans qu’elle prend la pose pour des grandes marques comme Macy’s ou Marks & Spencer . En 2016, on la retrouve pour la campagne de maillot de bain de la marque The Dreslyn . Lauren Hutton n’est pas inconnue du grand public puisqu’elle a commencé en tant que mannequin à l’âge de 21 ans. Elle a posé pas moins de 26 fois pour la couverture de Vogue , un record ! A l’âge de 50 ans, sa carrière renaît grâce à la campagne de Bottega Veneta en janvier de l’année dernière. Gitte Lee, qui s’était retirée du monde de la mode, revient en force en tant qu’égérie pour Céline . La pétillante Baddie Winkle est devenue en quelques posts Instagram une star des podiums et des magazines. Elle devient l’égérie de la marque de make-up Urban Decay en 2016.
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