Lesbienne Huile

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Lesbienne Huile
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Les femmes lesbiennes sont quatre fois plus à risque d’attraper une IST que les femmes hétérosexuelles. - See more at : http://sidasciences.inist.fr/ ? Les-femmes-ayant-des-relations#sthash.Mz6J...

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eniramrue89 a posté le 18 novembre 2016 à 11h02
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velivole a posté le 18 novembre 2016 à 11h02
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gustavsonrue89 a posté le 18 novembre 2016 à 11h02
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waldeck a posté le 18 novembre 2016 à 11h02
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vini17 a posté le 18 novembre 2016 à 11h02
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Cunnis, pénétrations, utilisation de godes, autant de pratiques qui peuvent provoquer la transmission d’infections et dont ne parlent pas beaucoup les gynécologues. Les lesbiennes seraient pourtant plus sujettes aux infections sexuellement transmissibles que les hétérosexuelles.
Il y a quelques mois, j’ai eu la chance de participer à mon premier atelier non-mixte (gouines) sur le safe sex [sexe protégé, ndlr], organisé par les Flamands roses, dans le cadre de leur festival « Ô Mots » (dixième édition).
Cet article est tiré d' un post initialement publié sur le blog de Rock, Ma vie privée est toujours politique. J'ai trouvé son texte intéressant car il va à l'encontre de clichés solides sur la sexualité lesbienne :
Rock a accepté que Rue69 publie une partie de son texte et je l'en remercie.
Nous étions huit, ce qui a permis une discussion de confiance, une parole libérée et pour résumer une ambiance très sympathique. Je ne suis pas une experte mais je vais essayer de résumer ce que j’ai retiré de cet atelier.
Quand on parle de safe sex entre filles (ayant une identité cisgenre ou non), les premières questions qui se posent sont :
Ici, pas de jugement et je peux témoigner en disant que je n’ai pas vraiment eu une sexualité safe jusqu’à présent. Entre autres par méconnaissance.
J’ai fait des tests HIV/hépatites (régulièrement), mais toujours avec la conviction qu’en tant que lesbienne, je ne risquais rien ou qu’en tout cas, je prenais nettement moins de risques que les hétéros ou les gays… A moins de le faire en période de règles.
Dans la prévention sexuelle lesbienne, on nous dit un peu tout et son contraire. Ce qui entretient le blocage.
Qui plus est, il est assez difficile d’en parler à son ou sa gynécologue. Une partie du corps médical n’ayant aucune idée des pratiques sexuelles lesbiennes (oui, on se touche les genoux et on se caresse les cheveux en attendant l’orgasme).
Cet article ne prétend pas résumer la sexualité lesbienne. La sexualité se vit différemment selon les individus. Je ne prétends pas dire que toute lesbienne se doit de faire un fist à sa meuf pour avoir une sexualité épanouie (la notion de consentement est importante).
Cet article est juste un guide qui dit : si vous êtes confrontée un jour à telle pratique, voici les outils à votre disposition pour vous protéger.
La réponse est oui. Pour transmettre un virus, il faut une porte d’entrée (les muqueuses du vagin/de l’anus et des plaies cutanées) et un liquide contaminant (le sang, la cyprine [la mouille]).
Les pratiques sexuelles varient selon les genTEs et leurs expériences. Je vais faire un petit résumé (non hiérarchisé) des plus courantes dans cet article. Aucune prétention ici de faire un Kamasutra lesbien.
Muqueuses contre muqueuses, il peut y avoir un risque, cyprine (ou présence de sang) aidant. Les outils pour se protéger ? Il n’y en a pas vraiment (du film alimentaire ?) C’est à vous de juger et d’en discuter avec votre partenaire.
Pour éviter la transmission de bactéries (coucou les mycoses), un geste simple suffit parfois : il faut se laver les mains. Se laver les mains avant et si on souhaite passer d’un doigté anal à un vaginal (l’inverse [vagin à anus] est en revanche possible). Un savon au PH neutre suffit et rincez-vous bien les mains. Certains savons sont acides et risquent de perturber la flore vaginale de votre partenaire.
Si vous avez d’éventuelles lésions sur les doigts, évitez le contact avec la cyprine ou le sang. Vous avez la possibilité d’utiliser des gants en latex (coucou Emilie Jouvet ), il y a toute une gamme de couleurs, c’est merveilleux et très doux (possibilité d’en avoir pour 10 à 15 centimes d’euros en pharmacie – à ne prendre que si on vous les présente dans une boîte).
Et l’avantage d’avoir des doigts, c’est qu’on en a dix, on peut donc en utiliser des différents, changer de main. Enfin, si rapport à plusieurs, évitez les doigtés successifs entre les partenaires (ou changez de gants à CHAQUE fois).
C'est souvent méconnu, mais les femmes lesbiennes sont quatre fois plus à risque d’attraper une Infection sexuellement transmissible (IST) que les femmes hétérosexuelles . En 2011, le journal Yagg avait fait un petit sondage auprès de 350 de ses lectrices lesbiennes :
Quand il y a cunnilingus ou anulingus, il y a risque de transmission des infections entre les sécrétions vaginales/anales et d’éventuelles lésions dans la bouche. Si la transmission du VIH par cette voie est basse, il y a toujours risque d’herpès, de condylomes, de papillomavirus et de syphilis.
Le meilleur moyen de s’en protéger est la digue dentaire (digue bucale).
Elle peut se trouver en pharmacie mais n’est pas donnée niveau prix (ou ce qui arrive souvent : le-la pharmacienNE ne sait pas ce que c’est)
Il est possible de s’en fabriquer une avec un gant ou en découpant un préservatif. Sur ce lien, comment placer une digue dentaire .
Il est aussi possible d’utiliser du film alimentaire (sauf celui qui passe au micro-ondes car poreux).
Si l’haleine fraîche peut vous assurer des points en plus dans votre capital de baisabilité, sachez qu’on ne se brosse pas les dents avant ou juste après un rapport sexuel. La brosse peut créer de micro lésions au niveau des gencives (pas safe pour le cunni ou l’anulingus).
Si vous y tenez absolument, vous devez attendre une demi-heure avant de descendre à la cave et attendre une demi-heure de plus après le rapport.
A propos des baisers profonds, du crachat : la salive ne transmet pas le VIH, néanmoins il est plus prudent d’être vacciné contre l’hépatite B. Il faut aussi être vigilant face à l’herpès ou la syphilis.
Les femmes sont toutes différentes. Il y a des femmes qui mouillent beaucoup (ce n’est pas sale) et celles qui ne mouillent pas ou peu. Dans le cas de ces dernières, ce n’est pas parce qu’elles ne vous aiment pas, ne sont pas excitées, ne vous désirent pas.
Les sécrétions vaginales varient selon les personnes, selon les différents moments du cycle menstruel ou encore les prises de produits (médicamenteux ou autres…). Dans ce cas-là, on ne force pas, on ne juge pas et on utilise du lubrifiant à base d’eau ou de silicone (qui est d’ailleurs assez sympa). Cela évitera de provoquer des lésions au niveau des muqueuses vaginales ou anales, mais aussi d’abîmer les digues dentaires.
Autre point important. C’est pas un truc de gouine, un indice qui permet d’activer votre gaydar [un radar pour détecter l’homosexualité d’une personne, ndlr], c’est juste que les ongles longs = grand risque de blesser votre partenaire. J’ajouterai qu’il faut les couper et les limer pour éviter les coins coupants.
Pour ce qui est du vernis… à éviter (désolé les Fem) [les lesbiennes féminines, en opposition aux lesbiennes butch , ndlr], le vernis, c’est chimique donc mauvais pour la flore vaginale. Et enlevez votre vernis au dissolvant, mais n’allez pas directement doigter votre partenaire. Lavez-vous et rincez-vous bien les mains (oui, encore).
Les mêmes conseils sont valables que pour la pénétration anale. Gants, capotes, lubrifiants. Surtout que la muqueuse anale est beaucoup plus fragile et sujette aux lésions et que l’anus ne produit pas de sécrétions lubrifiantes.
Pour le fist-fucking : idem que pour les doigts, les gants sont vos amis et permettront une pénétration plus douce. Cette pratique doit se faire progressivement et avec la mise en confiance de votre partenaire (je sais, je me répète mais demander « ça va ? je ne te fais pas mal ? » c’est un peu la base d’une bonne communication). Et on n’oublie pas le lubrifiant.
La pénétration vaginale avec des jouets sexuels : godes, vibros, différentes formes, tailles, couleurs, matières, vous avez le choix pour vous faire plaisir. Quelques recommandations cependant pour éviter la transmission d’IST : vous pouvez utiliser un femidon (préservatif féminin) ou un préservatif masculin sur le jouet (un préservatif de chaque côté pour le double-gode). Dans le cas de la capote, elle doit être remplacée à chaque changement de partenaire ou d’orifice.
Le nettoyage de vos objets. Les godes et plugs en silicone peuvent bouillir dans l’eau pendant trois minutes ou encore passés au lave-vaisselle. Pour le reste des godes (en latex, vinyl, geniflex), ils peuvent être nettoyés au savon et à l’eau chaude (pas besoin de vous ruiner en nettoyants spéciaux). Les godes en caoutchouc sont poreux donc difficilement nettoyables (eau chaude et savon recommandés, mais pour ceux-là, il vaut mieux mettre un préservatif à chaque utilisation).
Il faut toujours utiliser des lubrifiants à base d’eau car les autres (huile de massage, etc.) abîment le latex des godes et des préservatifs.
Absence de sang, c’est donc la porte ouverte au plaisir. Vous pouvez mordre, lécher, vous enduire de nourriture, etc. Si vous utilisez des pinces à seins, pas plus de vingt minutes pour éviter les lésions. Si vous jouez avec des bougies, n’utilisez pas celles en cire d’abeille car elles fondent à trop haute température.
Ah et on me dit dans l’oreillette, de préciser qu’il est important après chaque rapport d’aller uriner :
Pour plus de renseignements, voir cette page .
Il ne faut pas attendre de ressortir les symptômes d’une maladie pour y aller (un check-up doit se faire tous les deux ans). Mais il est difficile en tant que lesbienne de tomber sur des praticien-ne-s friendly, qui savent vous mettre à l’aise ou qui ne partent pas du principe que vous êtes hétéro.
Dans ce cas, demandez aux femmes de votre entourage si elles peuvent vous conseiller quelqu’un. Si néanmoins, vous ne le sentez pas, apprenez à connaître votre corps et à l’observer régulièrement.
Vous devez consulter un-e gynécologue si :
Modifications hormonales : acné, poils, poussée du clitoris ou de la vulve.
Dans tout ce tas d’informations, le plus important à retenir est que vous êtes l’actrice principale de votre vie sexuelle et qu’avoir des pratiques safe est dans vos moyens. 
Vous avez le droit de ne pas avoir le même fantasme que votre partenaire et celui de dire non, si vous ne sentez telle ou telle pratique (à l’inverse, c’est à vous d’écouter votre partenaire et de ne pas la forcer). Ici, un questionnaire très intéressant sur cette question.
Et oui, il est parfois difficile d’instaurer un cadre de confiance avec un coup d’un soir. Or la prévention aux IST passe surtout par le dialogue. Pour être safe, il faut pouvoir libérer cette parole, prendre le temps de parler prévention, voire de parler de vos statuts sérologiques. Le but n’est pas de se culpabiliser, cela sert juste à évaluer les risques que vous êtes prête à prendre ou non.
Connaissez vos limites, faites attention à ne rien prendre à votre insu. Boire ou se droguer pour une occasion particulière ne vous rendra pas plus cool.
Personnellement, je ne sais pas si j’arriverai un jour à érotiser la digue dentaire, mais cet atelier m’a fait prendre conscience que je devais ouvrir le dialogue et que je ne devais pas me bloquer pour parler prévention avec une éventuelle partenaire.
Certaines oui, d’autres non, ce qui reste valable et possible pour toute sexualité, non ?


En tout cas,ça passionne les femmes vu leur nombre sur ce forum.


IL est important de se protéger en toute circonstance ! Cette chanson raconte la triste histoire de quelqu’un qui pensait être à l’abri...Mais voilà...


-« C’est comme cela que les langues évolues. “


Oui, très bon exemple, c’est aussi comme cela que la conjugaison est velue !



I’m afraid to lose you, afraid to tell you how much I love you.
Afraid it early maybe ? , Scared run away.
Afraid to hurt you, do you hurt the heart.
Afraid to drown in your laughter,
Is like a maze, what if I do not find my way back !
I’m afraid to look at you
You are so beautiful I’m afraid your beauty disappears beauty world
And life will become meaningless without you.
I’m afraid to love you fear and ignored me one day
I’m afraid to destroy us stupidly.
Promise me not to go, I would not lose you one day between thousands
That escape ....
I’m afraid so afraid .....
But our good fortune we have eliminated overhead
Fears, and paved the way
Into the depths of our souls to love
Eternal love
I wish you from keeping an eye
Until I went to sleep.
Always loved your love to me
And I also am yours forever.
And establish love, you give
Huge bunch of kisses.
Lover.






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Par
Juliette Harau
le 07/02/2019


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« Ce ne sont pas tous mes préférés, et tous les films lesbiens que j'aime n'y sont pas , précise-t-elle dans un tweet, avant que vous me demandiez 'Où est tel film ?' » . Le résultat est réussi en tout cas. On adore !
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