Les visites d'une étudiante

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Les visites d'une étudiante
C'est une évidence et ce n'est guère nouveau : les profils techniques sont très demandés. Jamais, cependant, ils n'ont été aussi difficiles à trouver. Chez Alimento, nous surveillons de près les raisons de cette situation et ce que nous pouvons faire pour y remédier. En tant que fonds de carrière, nous vous aidons en organisant, par exemple, des visites d'entreprises destinés aux jeunes talents de l'enseignement supérieur.

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Pour les travailleurs de l'industrie alimentaire qui travaillent dans les commissions paritaires 118 et 220.
Pour les entreprises de l'industrie alimentaire qui emploient du personnel dans des commissions paritaires 118 et 220.
Pour les boulangers qui emploient du personnel dans leur ateliers sous le commission paritaire 118.
Pour les enseignants, professeurs, chefs d'atelier et les tuteurs qui préparent des jeunes pour travailler dans une boulangerie ou une entreprise alimentaire.
C'est une évidence et ce n'est guère nouveau : les profils techniques sont très demandés. Jamais, cependant, ils n'ont été aussi difficiles à trouver. Chez Alimento, nous surveillons de près les raisons de cette situation et ce que nous pouvons faire pour y remédier. En tant que fonds de carrière, nous vous aidons en organisant, par exemple, des visites d'entreprises destinés aux jeunes talents de l'enseignement supérieur .
Grâce aux visites d'entreprises Food Tech Talent, de nombreux étudiants et enseignants du secteur technique ont découvert nos entreprises ces derniers mois et ces dernières années. Ils ne cessent de s'étonner du haut degré d'automatisation, de digitalisation et de robotisation de notre secteur. 
« Avec les visites d'entreprises Food Tech Talent, nous ouvrons les portes à la nouvelle génération de talents STEM (Sciences, Technologie, Engineering, Mathématiques). Les jeunes peuvent voir de leurs propres yeux comment sont produits nos savoureux aliments et boissons, et découvrir surtout comment ils peuvent contribuer à la fabrication des aliments de demain. », Hélène Huyghe, Social Affairs Advisor chez Fevia.
Des études montrent que les jeunes ont souvent une fausse image de leur avenir professionnel . Ils ne savent pas (bien) ce qui les attend dans le futur. Bien souvent, ils décrochent, tant pendant qu'après leurs études. Quel dommage que tant de talents soient gaspillés. 
« Cette année, grâce au réseau Alimento, nos étudiants de première année du Master en Électromécanique ont eu l'opportunité de participer à trois visites d'entreprises : Lutosa, Solarec et Belle-Vue. Ces visites sont très appréciées par les étudiants et les enseignants. C’est chouette de pouvoir sortir des murs de nos institutions de temps à autre. Les visites d'entreprises permettent à nos étudiants de prendre conscience de la réalité professionnelle et de confronter leurs connaissances à la pratique . Elles offrent également la possibilité de rencontrer des professionnels qui partagent leur expertise et répondent à leurs questions. Cela crée un lien avec les entreprises et de nouvelles collaborations voient le jour grâce à des stages, des projets de recherche ou même la participation à notre Jobday. Une expérience gagnant-gagnant ! » Vesna JERKOVIC, coordinatrice du Master en Ingénieur en Électromécanique, CeREF.
Cécile Beauve, conseillère en enseignement supérieur chez Alimento, suit également de près la situation : « Les techniciens sont très appréciés pour leurs capacités d'analyse et leur aptitude à l'abstraction et au calcul. Souvent, ce type d'étudiant ne se rend pas compte que ces compétences sont aussi très vitales dans notre secteur et que nous y attachons une grande importance.
Les étudiants des filières techniques n'envisagent généralement pas un avenir dans une entreprise alimentaire. Une occasion manquée pour les deux parties. De par ma position et mon expérience, je suis heureuse d'aider les entreprises à créer et à renforcer le lien avec ces jeunes. »
Pour tout renseignement, contactez Cécile Beauve.
 
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La Direction culture de l’Université de Lille et le LaM s’associent pour vous proposer deux visites insolites, réservées aux étudiants !
Visites proposées gratuitement aux étudiants de l'Université de Lille dans le cadre des Journées d'immersion vie étudiante. Les réservations sont obligatoires et il est possible de réserver pour une ou deux visites.
Après deux ans de travail, le LaM expose les résultats d’une importante étude scientifique menée par le musée sur les 25 peintures et 3 sculptures de Modigliani issues des collections publiques françaises. Une plongée au cœur de la matière et des techniques employées par Modigliani, afin de mieux comprendre son processus de création.
Visite non moins passionnante autour du ‘parcours d’une œuvre’ qui permettra de comprendre l’itinéraire d’une œuvre depuis le ''quai d’embarquement'' du musée jusqu’aux salles du musée, en passant par l’atelier de restauration. Cette visite d’une heure permettra donc de voir les coulisses du musée, d’aborder la question de la restauration des œuvres (restauration préventive notamment), et les paramètres de conservation qu’il faut prendre en compte lors de l’accrochage d’une œuvre au sein d’une exposition, selon qu’il s’agit d’une peinture, d’une sculpture.
Accèder aux visites organisées le 22 septembre - le 24 septembre
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Université de Lille, Direction Culture 42 rue Paul Duez 59000 Lille | Tél. : +33 (0)3 62 26 81 67


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Qui fait visiter le logement aux étudiants ?

Accueil / ARTICLES ALESC / Qui fait visiter le logement aux étudiants ?

In: ARTICLES ALESC Posted by: alesc 134 0 comments
De quels renseignements l’ALESC a-t-elle besoin pour enregistrer un nouveau bailleur et un logement ?
Comment l’ALESC diffuse-t-elle mon annonce ?

Comment puis-je faire labelliser mon (mes) logement(s) ?

Comment proposer un logement au travers du fichier ALESC ?

Qui gère le contrat de location et l’encaissement des loyers ?
Si vous êtes déjà étudiant à l'UTC ou à l'Escom
Le propriétaire doit se charger de cela. Toutefois, pour les bailleurs qui auraient des difficultés à assurer cet aspect, le personnel de l’ALESC peut gérer les visites de vos logements. Il suffit pour cela de nous confier vos clés et l’une de nos collaboratrices accompagnera les potentiels locataires à chaque visite de votre bien. Ce service vous sera facturé 50€ par logement et par semestre.
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L'Observatoire Numéro 2014/3 (Hors-série 5) Les pratiques culturelles des...






Les pratiques culturelles des étudiants : quels développements, quelles fragilités, quelles représentations ?


Les apports de trois enquêtes réalisées en Rhône-Alpes




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Nadia Nakhili ,

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Arielle Granon

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L'Observatoire
2014/3 (Hors-série 5) , pages 19 à 23








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Ce texte reprend les résultats de 3 enquêtes réalisées en 2011 et 2012 auprès d’étudiants rhônalpins. L’Enquête « Égalité des chances », menée en 2011 par l’Observatoire de la Vie étudiante de l’Université de Grenoble, à laquelle 1746 étudiants ont répondu. L’Enquête « Activités culturelles », menée par la mission Culture de l’Université de Savoie en 2012, à laquelle ont répondu 240 étudiants. Une enquête qualitative, menée en 2012 par l’Observatoire de la Vie étudiante de l’Université de Grenoble. 25 Entretiens semi-directifs auprès d’un échantillon d’étudiants grenoblois et valentinois.
« Je peins, quand j’ai le temps, je manage un groupe de musiciens, pour les sorties je vais parfois au spectacle. Si on prend en compte mon activité associative… oui je suis actif, ça prend au moins le tiers de mon temps… mais moi, je suis plutôt coulisse. »
« Pour la musique, j’ai un cours par semaine 1h30… orchestre 1h30… sport 2h par semaine… ça me prend un bon bout de mon temps libre… je prends le train tous les jours pour rentrer chez mes parents… dans le train, je lis… les sorties avec mes amis ça m’arrive 1 à 2 fois par mois en moyenne, mais je n’ai pas vraiment d’activité culturelle. »
« J’ai plutôt tendance à rester chez moi, je suis plutôt casanier… je préfère une soirée chez moi avec des amis autour d’un verre… le souci d’argent est assez important dans ma vie d’étudiant, c’est lui qui gère tout le reste… pour les expositions photos on y va que si c’est gratuit… sur Internet j’y passe quasiment tout mon temps libre… il y a vraiment quand je dois travailler ou réviser, je me désactive sinon je fais les deux en même temps et ce n’est pas efficace. »
Alexis : « Je suis en deuxième année, j’avais à cœur de prendre des options d’ouverture… j’ai pris « introduction au droit »… je me suis laminé… j’ai eu 0,5… j’aurais pas dû… par contre avoir de temps en temps, pour des profanes, des conférences d’introduction où piocher pour sa culture… là oui plus ».
« J’avoue je ne sais pas… je ne me rends pas compte… je n’ai même pas d’idée de ce que j’aimerais trouver de plus car je pense qu’il y a beaucoup de choses que je ne connais pas. »
« J’ai découvert le théâtre avec mon ami cette semaine… Je ne pensais pas que le théâtre n’était pas si cher, l’année prochaine je vais y retourner beaucoup plus souvent. »
« [Le musée] Moi je n’y vais pas très souvent, cependant pendant les vacances de février je suis allé avec des amis en Suisse, j’en ai visité quelques-uns. C’était pas mal intéressant ».
« Le film ce n’est pas vraiment le plus important, c’est surtout pour se retrouver entre nous ».
« Sortir seul, non personnellement non […] si je suis tout seul je ne vais pas me dire… je vais découvrir… j’ai un pote « films bizarres », c’est vraiment son domaine, il nous en parle et soit on va les voir, soit il nous les montre ».
« C’est bien de susciter l’envie… une fois qu’on a l’envie on cherche l’info. Quand un prof en parlait ce n’était pas une obligation (…) c’était aussi vu comme une possibilité d’évasion, je voyais plus ça comme une proposition, c’est enrichissant ».
« Chez les scientifiques il y a un manque cruel de culture. Je pense à mon école par rapport à polytechnique. Chez eux, il y a des cours de philosophie des sciences, des cours d’art, il y a plein de choses qui font que les étudiants peuvent aller s’inscrire, découvrir… il faut au moins proposer sans rendre obligatoire. Ils te donnent la possibilité d’y accéder… tu n’es pas tout seul pour le faire ».
« [L’Université] se doit de prendre en compte le « déjà-vécu » de l’étudiant, la culture qu’il amène avec lui, sans la dénigrer ni vouloir entamer un phénomène d’acculturation offensif mais en l’associant à d’autres appréciations du domaine culturel et en le confrontant à la culture dite « légitime » dans laquelle il pourra puiser ce qu’il souhaite. »
« La culture c’est une autre sorte de connaissance… une certaine part de la culture comme l’art moderne c’est vraiment pas pour moi… c’est quelque chose que je n’arrive pas à comprendre et que je ne veux pas comprendre… il y a une barrière… je ne vais pas chercher à la franchir ça ne m’intéresse pas spécialement ».
« Je pense qu’il y a, d’un côté, une culture réservée… en lisant certains livres, certaines pièces contemporaines. C’est incompréhensible… mais après, il y a quand même une grande ouverture qui est plus importante ».
« Pour moi la culture comme le théâtre, l’opéra, le cinéma ou la littérature, c’était peut-être il y a 20 ans, aujourd’hui Internet est prépondérant partout, on ne peut pas faire sans. Internet véhicule extraordinairement bien la culture. Dans 20 ans ce sera différent, la culture évolue… vit ».
« C’est un rôle que déjà le collège et le lycée, ils ont… il y a plein de découvertes, comme ça on peut aller au théâtre, etc. Donc je pense qu’arrivé à l’université, tu as déjà ou pas ce goût pour la danse, l’opéra… À partir du moment où tu as déjà eu l’opportunité de découvrir avant dans tes études… je ne pense pas que l’université devrait aller là-dedans… ça m’énerverait que l’université propose des sorties… ça m’énervait déjà au lycée ».
Cette analyse, fondée sur l’exploitation d’enquêtes déjà réalisées et sur de nouveaux terrains d’enquêtes, a été réalisée durant une année en amont du colloque, afin de fournir à l’ensemble des participants des éléments de connaissance et de compréhension des pratiques et représentations des étudiants. Les citations d’étudiants figurant dans les encadrés proviennent d’un travail réalisé par Marie Sibeud, enseignante à l’université Stendhal, avec ses étudiants à l’occasion du colloque.
Par étudiants « fragiles », nous entendons les étudiants qui rencontrent des difficultés pour accéder à la culture.
Références Olivier Donnat, Les Pratiques culturelles des Français à l’ère numérique , 2008. OVE, 2012, Observatoire national de la Vie Étudiante : enquête conditions de vie. Pour aller plus loin Granon A., Nakhili N., 2012, Les Étudiants et la culture Memo , Observatoire de la Vie étudiante, Pôle de Recherche et d’Enseignement Supérieur Université de Grenoble. Granon A., Nakhili N., 2012, Enquêtes sur les pratiques culturelles des étudiants , Rapport, Pôle de Recherche et d’Enseignement Supérieur Université de Grenoble.
Maître de conférences, Université Joseph Fourier
La réussite académique à l’université dépend-elle des études supérieures de ses parents ? Avec Olga Kasatkina , Laurent Lima ,
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