Les vigiles de la cave

🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

Les vigiles de la cave

Connectez-vous pour obtenir des informations sur vos voyages et envoyer des messages à d'autres voyageurs.

Visite de la cave - Bodegas Marques de Riscal
Date de l'expérience : septembre 2016
Poser une question à 36Pep63 à propos de Bodegas Marques de Riscal
Cet avis est l'opinion subjective d'un membre de Tripadvisor et non l'avis de Tripadvisor LLC. Les avis sont soumis à des vérifications de la part de Tripadvisor.
Façons de découvrir Bodegas Marques de Riscal
Excursion avec la dégustation des meilleurs vins guidée par les guides locaux les plus...
L'Espagne est largement réputée pour la grande qualité de ses vins et le berceau de ces vins,...
Visite semi-privée pour le plaisir et l'exclusivité !Visitez Marques de Riscal et Ysios, les...
Découvrez le Pays Basque comme un local. 5 excursions d'une journée le long du Pays basque, en...
En rapport avec des éléments que vous avez consultés
Avant publication, chaque avis passe par notre système de suivi automatisé afin de contrôler s’il correspond à nos critères de publication. Si le système détecte un problème avec un avis, celui-ci est manuellement examiné par notre équipe de spécialistes de contenu, qui contrôle également tous les avis qui nous sont signalés après publication par notre communauté. Les avis sont affichés dans tous les classements chronologiquement. Fonctionnement du site Contrôle des avis
Découvrez ce qu'en pensent les voyageurs :
Date de l'expérience : octobre 2016
Poser une question à auroreh103 à propos de Bodegas Marques de Riscal
Cet avis est l'opinion subjective d'un membre de Tripadvisor et non l'avis de Tripadvisor LLC. Les avis sont soumis à des vérifications de la part de Tripadvisor.
Date de l'expérience : septembre 2016
Poser une question à Jean-Michel A à propos de Bodegas Marques de Riscal
Cet avis est l'opinion subjective d'un membre de Tripadvisor et non l'avis de Tripadvisor LLC. Les avis sont soumis à des vérifications de la part de Tripadvisor.
Date de l'expérience : septembre 2016
Poser une question à benatte à propos de Bodegas Marques de Riscal
Cet avis est l'opinion subjective d'un membre de Tripadvisor et non l'avis de Tripadvisor LLC. Les avis sont soumis à des vérifications de la part de Tripadvisor.
Date de l'expérience : octobre 2015
Poser une question à del-estadio à propos de Bodegas Marques de Riscal
Cet avis est l'opinion subjective d'un membre de Tripadvisor et non l'avis de Tripadvisor LLC. Les avis sont soumis à des vérifications de la part de Tripadvisor.
Date de l'expérience : juillet 2016
Poser une question à Flogfe à propos de Bodegas Marques de Riscal
Cet avis est l'opinion subjective d'un membre de Tripadvisor et non l'avis de Tripadvisor LLC. Les avis sont soumis à des vérifications de la part de Tripadvisor.
Grosse entreprise, impressionnantes galeries remplies de fûts, un film sur l'élaboration du vin mais on est très loin de la passion du vigneron, d'ailleurs invisible malgré le fait qu'on se trouvait en pleine période de vendanges. La guide récite sa leçon comme une automate et se dépêche de larguer ses visiteurs: des cars arrivent. Tourisme de masse pour un site qui se veut pourtant élitiste. Finale plutôt lamentable: la dégustation de vins qui n'incitent guère à l'achat car le blanc n'est pas de la région (mais de Valladolid) et le rouge est un premier prix, certes correct mais décevant après l'esbroufe omniprésente... En bref: visite (payante) pour touristes américains mais pas conseillée aux aficionados.
Une visite très complète et pédagogique des plus grandes caves que j'aie jamais vues ! Un petit film explique bien la fabrication du vin en début de visite; puis on poursuit par la visite des caves anciennes puis modernes. On a même appris comment ouvrir une bouteille de 100 ans d'âge sans risquer de faire tomber le bouchon dans le vin... La visite se termine bien sûr par une dégustation, mais les guides ne poussent pas à l'achat.
Réservation sur internet / bon accueil / visite du domaine très intéressante MAIS en Espagnol ou Anglais ( ce qui était connu depuis Reservation sur le site internet) / durée visite 1 h30 un peu au pas de course car départ des groupes toutes les 20 minutes / dégustation à la fin de 3 vins ( crianza et réserva et blanc) je n'en dirai rien chacun ses goûts / Boutique peu agréable pour les touristes on y vend de tout depuis le vin , c'est le minimum , jusqu'à des crèmes de beauté bordelaises des Sources de Caudalies!/ Repas découverte à 85€ excellent dégustation de vin au verre très conseillé 5 différents pour le repas ( possibilité d'en prendre 1 pour 2 personnes) Sommelière parlant français / Hotel à voir pour architecture ++++ ( architecte du Musée Guggenheim à Bilbao) nous n'y avons pas dormi car prix prohibitifs . Le responsable du restaurant nous a donné accès ( très sécurisé) à la terrasse de hôtel pour prendre café et flâner . En conclusion : visite obligatoire de Bodega Marques de Riscal pour découverte du RIOJA et pour architecture hôtel , Repas sur place très conseillé/des vins meilleurs avec rapport qualité / prix plus intéressants ailleurs ( bodega Marquesa à Villabuena par exemple)
Le site est très grand , on gare la voiture au milieu de nombreux vigiles qui circulent : pas très engageant ! On veut s'approcher du magnifique hôtel , mais on ne le verra que sur carte postale car un vigile nous en barre l'accès . Dans la bodega , le personnel est indifférent . Bref , on se dépêche de repartir et on visite d'autres bodegas bien plus accueillantes .
Endroit magnifique à visiter avec du oersonnel très sympathique' les chais, le site' tout est beau. Et puis la dégustation finale avec un vin simplement délicieux.
Une très belle visite avec un personnel très professionnel et agréable. Nous remercions Emma pour sa belke visite rt son excellent anglais. La jeune femme à la réception était gracieuse, consciencieuse et professonnelle car un soucis au niveau de notre réservation en ligne ; mais extrêment bien géré. Merci pour tout. Nous avons parlé de votre cave à tous nos amis On reviendra, cette fois à l'hôtel (ce serait un beau cadeau ;-) )




Sign up

Sign in



Sign up

Sign in



Congrats ! Your account has been created



Congratulations! Your support has been sent to the author


In which collection would you like to register this item?

×



Published März 19, 2021
Updated März 20, 2021


Collaborate with Clémence Jeanne

×




humour
humour absurde
Monde du travail
Théâtre
theatre
Travail
Valeur travail






Bookmark article




Unbookmark article





Extending the travel in the universe Entrepreneurship
Extending the travel in the universe Entrepreneurship


Are you sure ?



close




You are about to delete this comment:




Delete


Cancel




You must be logged in to comment



close





You must have published on Panodyssey to comment



close




About
Panodyssey presentation
Panodyssey Pro
Our Odyssey
Writing contests
Pressroom


Services
Contact
Account

FAQ


Legal
Legal Notices
TOU / GSC
Privacy Policy
Cookie management


© 2022 Panodyssey Holding Group. All rights reserved


Manage cookies
Reject
Accept


You’ll enjoy quality content made by enthusiasts and can even
create …


We invite you to visit the creative rooms,
and let curiosity be your guide !


On Panodyssey, you can read up to 10 articles per month without being logged in.
Enjoy 9 articles more articles to discover this month.

To have unlimited access, log in or create an account by clicking below, it's free!
Sign in

ASTRID, se souvient tout à coup, baisse les yeux sur ses assiettes
Charles, le pot ! Mince (elle regarde l’heure) . Il va arriver et voilà que rien n’est prêt !
Le pot de départ de Charles. Tu n’avais quand même pas oublié ? C’est sa dernière semaine.
LE PHILOSOPHE, mord la lèvre et au public
Avec toutes ces histoires de machine à café, ça m’était complètement sorti de la tête. Oui, le départ à la retraite ! J’ai pourtant signé la carte.
ASTRID, elle dispose les couverts sur un bureau près de la machine à café avec précipitation.
Mon dieu, il risque d’arriver et je n’ai rien préparé, avec tous ces contretemps. Aide-moi, veux-tu ?
Elle ne le laisse pas répondre, elle range les chaises et ordonne les verres, débouche la thermos.
Là, dans mon bureau il y a une guirlande qu’on peut accrocher au plafond.
Le Philosophe fouille dans les tiroirs du bureau. Il en extrait une guirlande. L’assistante est gênée par ses talons, elle n’a pas accès aux clous du mur, alors elle fait signe au Philosophe de monter sur la chaise. Il s’exécute avec la guirlande. D’en bas, l’assistante le fait décaler à plusieurs reprises la guirlande. Elle tourne autour de lui avec ses petits pas cadencés, regarde sous divers angles.
Tu as encore besoin que je fasse quelque chose en dernière minute ? Je pourrais, par exemple, aller acheter quelque chose en bas.
J’ai tout prévu ne t’inquiète pas. C’est un petit pot. Tu connais Charles, ce ne serait pas le genre à vouloir d’une grande fête. Et puis il n’a jamais rien dit sur le sujet. J’ai préféré lui faire la surprise mais je ne veux pas l'indisposer.
Il mérite qu'on salue son départ. C'est vraiment quelqu'un Charles.
Les deux personnes commencent à discuter et s’assoient chacun dans la chaise de leur bureau respectif. Les chaises ont des roulettes. Ils se rapprochent l’un de l’autre pour discuter en face à face.
Oui, vraiment un bon collègue. Très agréable, jamais un mot plus haut que l'autre.
C'est vrai, depuis cinq ans que je suis ici, je ne l'ai jamais vu s'énerver une seule fois. Il a un talent au niveau relationnel. Il sait comment respecter la marge de manœuvre de chacun, comment apaiser la situation et éviter de se brouiller avec les uns et les autres. Je suis d'ailleurs étonné qu'il ne soit pas devenu manager.
Il a toujours décliné poliment les promotions. Je crois que ça ne l'intéressait pas.
Ah... Et, au fait, tu sais s’il va être remplacé ?
Hum, j'en doute. Ils serrent la vis au niveau du département, on n'a plus embauché de CDI depuis le dernier plan RH.
Son départ laissera un grand vide...
Oui. Je l'ai toujours connu. Il était déjà là quand JPK est arrivé, il a vu les débuts de Margaret aussi. Charles a précédé tout le monde.
Eh bien, dans quel état serons-nous à son âge. Il me reste quoi, cinquante ans à tirer…
Astrid compte sur ses doigts. Ça semble lui demander de l’effort.
Impossible de se projeter aussi loin. Et je crois qu’il ne vaut mieux pas.
Soudain, le téléphone sonne chez Astrid. Elle se précipite sur le combiné.
Astrid Beni-oui-stiti, assistante en chef senior rattachée à la direction générale du pôle orientation stratégique de la BURST, oui, j’écoute ? (on lui dicte quelque chose, elle opine régulièrement du chef) Ah bon ? Je n’étais pas au courant ! Depuis combien de temps est-il bloqué dans le hall ? (après un temps) Je vous rejoins tout de suite en bas !
Margaret a commandé un stagiaire mais personne n'est là pour l’accueillir ! Je n'ai même pas été mise au courant !
Astrid utilise le téléphone pour appeler le bureau voisin. On entend la sonnerie. Personne ne décroche au bout du fil. Astrid s'énerve passablement tout en fermant son manteau.
Je suis l'assistante du service, il vaut mieux que ce soit moi qui l'accueille.
Non. Tant pis, je descends. Je vais essayer de trouver JPK, il doit tourner dans les bureaux. Si tu le vois avant moi, essaye de le prévenir, pour le Stagiaire. Bonjour la première impression. Il doit déjà se demander où il a atterri !
(Astrid commence à montrer des signes d'énervement.)
On a beau être au travail, on reste humain. Comme tout le monde, on oublie parfois. C'est vrai quoi, la dernière fois que Margaret a parlé d'un stagiaire, c'était l'année dernière. Si JPK m'avait relayé l'information, j'aurais pu la noter. Après tout, peut-être que c'est de notre faute, on a peut-être aussi oublié de notre côté, mais dans ce cas, ce n'est pas compliqué de planifier un rappel !
Ah, notre prestataire en externe est très efficace, pour sûr. Ils s’occupent de tout, de A à Z. Seulement ils sont devenus si efficaces qu'ils ne trouvent plus utile de nous prévenir. Ce n'est pas la première fois que ça arrive. Ils savent pourtant que les délais sont longs, que les stagiaires et les intérimaires mettent des mois à venir à pieds du Bangladesh. C'est sûr, on y gagne à tous les points de vue : pas d’empreinte carbone. Il faut être du tiers-monde pour accepter de venir quarante heures par semaine sans RTT et sans tickets restaurants pour quatre cent euros par mois. Pour ce prix-là, les stagiaires sont habitués, chez eux. Ils trouvent une cave coquette à Paris avec leur salaire, ça les rend heureux. On économise aussi sur les déchets puisqu’on leur laisse fouiller dans les poubelles de la cantine. Sans compter que, grâce à eux, on conserve un peu notre retraite puisqu’ils n’en atteignent pas l’âge.
Margaret logera bientôt tous les stagiaires et les alternants au sous-sol du siège, comme ça ils épargneront à l'entreprise le salaire des vigiles. (Elle hausse les épaules) Le bénéfice représenté par un métier de plus sur leur CV n’est pas négligeable. Ils ne demanderont pas d’augmentation ni d’horaires de nuit. L'aubaine pour nous.
C'est un peu triste pour les vigiles qui pointeront au chômage.
Les gens se foutent bien des agents de sécurité. Seuls les bergers allemands les préoccupent. On renverrait une mauvaise image de l'entreprise si on euthanasiait des chiens à cause de nous. Songe à ces malheureux chiens de garde derrière les barreaux, à l’abandon, dans ces chenils surpeuplés. Les refuges sont aussi pleins que les prisons.
Mais ils passionnent davantage. Il suffirait donc de garder les chiens et de les faire dormir avec les stagiaires comme ça ils se tiendront chaud en hiver. Vous réussirez bien à rogner sur les dépenses chauffage.
ASTRID, soudain intéressée et guillerette.
Tu n'as jamais songé à te reconvertir ? Le service défiscalisation, magouille & lobbying cherche un nouveau chef de projet.
Ah, je sens que je me fais vieux, j’ai presque assimilé la culture d’entreprise.
(Plus fort, en direction d'Astrid) Je devrais sans doute songer à une mutation en interne. Des vocations se découvrent parfois sur le tard. Comme notre self-made-man local, ancien agent de surface devenu Dircom avec son slogan : « Coffres forts CMO : au service l'étanchéité sociale ». Un véritable modèle d’inspiration. Cela fait longtemps que je ne me rappelle pas avoir vu passer un truc sur lui. Il est parti ?
On peut dire ça. Il s’est suicidé il y a deux ans, peu de temps après avoir été promu Directeur général adjoint. On l’a retrouvé oscillant au bout de sa cravate. Il paraît qu'il a fallu pas moins de quatre personnes pour le décrocher : c'était l'été, le ventilateur tournait à blinde.
PHILOSOPHE , les yeux dans le vague, plus pour lui
Ça a été si bien étouffé que j’avais complètement oublié le fait divers. Un bel exemple parmi les météores : une ascension flamboyante, mais une fois au sommet, ils se sont déjà consumés. Quand ils retombent au sol, il ne reste qu’un vulgaire caillou desséché.
Astrid acquiesce sans comprendre. Elle semble encore un peu perchée. Mais elle trouve le moyen de se souvenir qu’elle a une mission. Elle secoue les épaules.
Je dois descendre. Reste ici au cas où Charles arriverait. Je fais juste un aller-retour, je n'en ai pas pour longtemps.
(I,1) : L'insoumission De La Machine
You can support the independent writers you care about by making a donation to them

« Quel intérêt de gravir l’échelle sociale si ce n’est pour en tirer quelques avantages en natur...


J’ai reçu ce commentaire d’ Olivier Carré, coach révélateur de talents, à propos...


J’ai reçu ce commentaire interpellant de Jean Luc Loiseau à propos de mon dernier post, « le pla...


The Principles of Balanced Leadership
Listen to the interv...


The hijacking of corporate conscience...

There is no advertising on Panodyssey. Cookies will never be used to serve targeted advertising.
With your consent, we would like to use cookies subject to your consent to measure the audience by tracking the number of visitors and understanding how you arrive at our site.
For more information, please visit our Priva
Une pute de Stockholm
Une blonde et une brune qui se lèchent
Petite écolière qui perd sa dignité