Les servantes françaises sont toujours chaudes

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PARIS (Dow Jones)--Les douze raffineries de France sont toujours à l'arrêt lundi, en raison des grèves qui touchent ces sites, a indiqué lundi un représentant syndical.


Les salariés de deux des raffineries - celle de Grandpuits et celle de Donges, détenues par Total SA - ont voté la reconduction de la grève jusqu'à jeudi et vendredi, respectivement, a expliqué lundi Charles Foulard, représentant de la CGT chez Total .


Les salariés des autres raffineries doivent voter sur la poursuite de la grève dans les heures qui viennent, a-t-il ajouté.


Total détient six raffineries en France, les autres appartenant à Exxon Mobil Corp. (XOM), Petroplus Holdings AG (PPHN.VX), Ineos PLC et LyondelBasell Industries (LYB).


La raffinerie de Total située près de Dunkerque, que le groupe prévoit de transformer en site de stockage, est quant à elle à l'arrêt depuis plus d'un an.


Les salariés des raffineries ont entamé un mouvement de grève il y a deux semaines, dans le cadre de la mobilisation contre le projet de réforme des retraites.


Par ailleurs, l'approvisionnement des raffineries en brut est perturbé depuis le 27 septembre par la grève des dockers des terminaux pétroliers de Fos-Lavéra, qui protestent contre la réforme portuaire.


-Inti Landauro, Dow Jones Newswires; +33 (0)1 40 17 17 40; inti.landauro@dowjones.com

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Simplement, les religieuses m'intriguent.


Par Anne Marie Lecomte

4 décembre 2012

Enfant, je n’ai eu que des laïcs comme enseignants. Mais quand j’étais petite, ma mère m’a abondamment parlé des sœurs qui lui avaient fait la classe, la leçon de catéchisme, la morale et la chasse aux poux. Elle honnissait les nonnes, toutes congrégations confondues. Maman ne reconnaissait qu’une vertu aux « bonnes sœurs » : leur pouce vert. Elle leur enviait leurs belles fougères.
Vérification faite, les sœurs ont aussi le tour avec les violettes africaines. C’est le cas du moins des Servantes du Très Saint Sacrement qui vivent au Saguenay. D’heureux détours de la vie m’ont amenée à passer une nuit dans leur monastère, l’au­tomne dernier. Aux fenêtres de leur salle à manger j’ai admiré quantité de violettes fleuries. Sur le mur du réfectoire, en lettres cursives régulières et soignées, une inscription : « D’un cœur léger et joyeux, j’ai tout donné. » Jadis, ces religieuses étaient cloîtrées et se consacraient à l’adoration, de orer, prier, en ancien français. Prier à plein temps ! Mine de rien, ce n’est pas rien faire, même à notre époque si peu propice à la contemplation.
Coupées du monde, les Servantes du Très Saint Sacrement le sont encore un peu. Au populaire bistro de la rue Racine où je m’étais arrêtée plus tôt ce jour-là, le serveur anglophone ignorait où se trouvait le couvent. Idem pour son collègue, pur Bleuet. Pourtant, les sœurs ne sont qu’à 10 minutes du centre-ville, juchées sur une colline, non loin de la cathédrale. Dans ce paysage grandiose, Chicoutimi la fière s’étale jusqu’au Saguenay, qui coule à ses pieds.
À mon arrivée, sœur Yolande, responsable de « l’hôtellerie », m’accueille. Elle me tend deux clés, l’une pour ma chambre et l’autre pour la lourde porte du soubassement. Je peux aller et venir à ma guise mais… prière de ne pas déranger la maisonnée. Lunettes cerclées de métal doré et teint laiteux, sœur Yolande a le visage épanoui des femmes que la vie n’a pas déconfites. Mais qu’est-ce que j’en sais ? Elle est en forme, en tout cas ! Je cavale à sa suite dans un couloir aux murs épais comme ceux d’une forteresse. Yolande habite ce monastère depuis 10 ans. Auparavant, elle vivait dans une communauté du Nouveau-Brunswick. Ses consœurs saguenéennes l’avaient fait venir pour deux semaines à l’occasion de quelque jubilé et… elle n’est jamais repartie. Un revirement de carrière !
L’ascenseur met cent ans à arriver, puis à s’ébranler. Le premier étage est dévolu à la chapelle et aux espaces communs, le deuxième aux sœurs, le troisième aux visiteurs de sexe masculin et le quatrième aux visiteuses. Exception faite ce soir-là pour un couple marié, qui dormira dans des lits jumeaux. Voici ma chambre : un lit, un lavabo, une table, une armoire, une fenêtre. La salle de bains avec douche est à l’étage. Je dépose mes bagages et nous repartons pour un autre siècle en ascenseur, jusqu’à la chapelle pour l’office du soir.
Je pénètre dans cette merveille, intimidée. En jupes, blouses et coiffes blanches, les reli­gieuses chantent d’une seule voix, le nez dans leur missel. Mais je suis sûre qu’elles ne perdent rien du spectacle que j’offre, oie blanche égarée parmi ces servantes immaculées. Elles sont toutes âgées sauf une ou deux, primes jeunesses en provenance du Vietnam. J’apprendrai par la suite que cette terre de vocations nou­velles compte 150 Servantes du Très Saint Sacrement, soit plus que le reste de la communauté dans le monde !
De retour dans ma chambrette, je dors comme un ange. Puis, au matin, je m’embarre dans le couloir. La lourde porte de ma chambre se referme dans un clac froid et mat. L’ascenseur prendra une éternité, vite l’escalier ! Au réfectoire, sœur Yolande m’accueille d’un railleur : « Ah, c’est ça votre petit secret ! » Vrai, je suis distraite, voire étourdie. Mortifiée comme une écolière, je la suis pas à pas jusqu’à la mystérieuse armoire en bois contenant les doubles des clés… C’est alors que cette diablesse me rassure : tous les clients du monastère commettent la même bévue, voyons ! Comme je m’apprête à prendre le petit-déjeuner, elle me conseille le caramel maison, « un incontournable ». Consolation sucrée.
C’est presque l’heure du départ. Dans le hall attenant à la chapelle, la supé­­­­­­rieure provinciale discute avec « la journaliste de Châtelaine ». Sœur Christine, 81 ans,   s’appuie sur sa canne en métal à l’embout de caoutchouc tandis que Yolande tient fermement sa patronne… À voix basse, sœur Christine lui intime de ne pas lui « serrer le bras ». Je réprime un sourire devant cet échange bref, presque fugace, petits arrangements entre sœurs, diplomatie de couvent. Que d’accommodements raisonnables il faut pour vivre en communauté (religieuse ou pas) !
« La joie est toujours dans le moment présent », m’a confié sœur Christine, qui m’observait, pensive, perspicace, comme si elle avait deviné mes peines et mes tourments. Christine – Christ-in – refuse de décliner son nom de famille. Elle explique qu’elle est comme ces épouses (dont ma mère) qui signaient tout entier le nom de leur mari plutôt que le leur. Christine est mariée au bon Dieu… Qu’on puisse ainsi renoncer à son identité me scandalise.
Néanmoins, ces femmes m’ont impressionnée. Je retournerais dans leur monastère n’importe quand. De ma visite chez elles je conserve une image, celle d’une religieuse âgée que j’ai entraperçue dans la salle de lessive du soubassement. Elle vaquait, les mains occupées par quelque linge en coton, plus blanc que blanc sous la lumière crue du néon. Ablutions du soir dans un monde qui s’en va.
Anne Marie Lecomte est journaliste
à Radio-Canada.ca.
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Mondial de hand: les Françaises sont toujours en vie
Par © 2019 AFP Par François BONTOUX



 Photo - AFP/Archives - Anne-Christine POUJOULAT



 Photo - AFP/Archives - LOIC VENANCE
Yamaga (Japon) - Les Françaises sont restées en vie au Mondial de handball en remportant une belle victoire sur les Allemandes, 27 à 25, samedi à Yamaga, au Japon, où on a enfin retrouvé les championnes du monde et d'Europe.
Pour se qualifier pour le deuxième tour, les Bleues devront encore battre le Danemark vendredi. Leur double faux départ face à la Corée du Sud (défaite) et au Brésil (match nul) serait alors presque effacé et la route des demies réouverte.
"Ça fait du bien de revoir l'équipe de France qui se bat, qui joue ensemble, qui a retrouvé la niaque en défense. On a envoyé un bon signal aux Danoises", s'est réjouie l'arrière Alexandra Lacrabère.
Plus efficaces au tir à l'image de Laura Flippes à l'aile (3 buts sur 3 tirs), toutes impliquées des deux côtés du terrain (12 buteuses différentes dont Grâce Zaadi, 4 buts, Gnonsiane Niombla et Pauline Coatanea, 3 chacune), les Françaises ont de nouveau affiché une évidente joie de jouer.
"J'ai toujours dit qu'on n'avait pas perdu l'équipe de France, mais qu'elle était dispersée. Tout le monde nous voyait un peu en dedans lors des deux premiers matches mais ce soir on a montré qu'on en avait dans la tête. J'ai toujours pensé que c'étaient des petits réglages techniques à faire", a assuré la défenseuse et pivot Béatrice Edwige.
L'encadrement technique a réussi un joli coup tactique en faisant jouer à l'équipe une défense dite "1-5" pendant presque tout le match, avec une joueuse en position avancée, Estelle Nzé-Minko, excellente, qui a beaucoup perturbé les Allemandes.
Mais la grande dame du match a été une nouvelle fois la gardienne Amandine Leynaud. La capitaine en l'absence de l'ailière Siraba Dembélé (maternité) a réussi 13 arrêts et aussi une interception cruciale en fin de rencontre.
"Elle est l'une des ou la meilleure gardienne du monde. Elle est très investie. On l'a nommé capitaine et on voit qu'elle veut porter son équipe vers la victoire", a souligné le sélectionneur Olivier Krumbholz.
Privée de ses doublures habituelles, Laura Glauser (blessée) et Cléopâtre Darleux (jeune mère), la joueuse de Györ, le club hongrois champion d'Europe, est restée les 60 minutes dans la cage. "Elle joue plus que prévu, mais on essaie de survivre et on verra après!", a dit l'entraîneur.
Les Bleues ont pris un excellent départ (4-1) et ont toujours été devant, avec jusqu'à 5 buts d'avance en seconde période (23-18), mais le suspense a duré jusqu'à la fin, les Allemandes manquant plusieurs balles d'égalisation.
"Quand on mène tout le match et qu'on voit l'adversaire revenir, c'est très difficile, mais c'est là qu'on voit les grandes joueuses", a souligné Krumbholz.
Les Bleues vont donc jouer leur avenir contre le Danemark, une équipe qu'elles ont souvent battue ces derniers temps, notamment l'an passé à l'Euro. Les Scandinaves n'ont pas montré une forme éblouissante depuis le début du Mondial et les Allemandes avaient remporté contre elles leur troisième succès d'affilée la veille de leur match contre la France.
Le camp français s'intéressera aussi de près au match entre la Corée du Sud et l'Allemagne, en espérant une victoire des Européennes. Dans ce cas de figure, la France, l'Allemagne et la Corée partiraient au tour principal avec deux points chacune et tout resterait ouvert pour les Bleus.
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