Les robots veulent des chattes aussi

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Les robots veulent des chattes aussi

Accueil â€ș ActualitĂ©s â€ș Ces robots qui nous veulent du bien

Actualités Gala Jacquin 13 février 2022 - 17:00


6 conseils pour se sentir mieux au quotidien




Quels sont les mĂ©canismes de l’angoisse ?




Sexisme au travail : que dit la loi ?




La sidération, un mécanisme de défense




Travail : Comment mettre le sexisme au placard ?




Sept pistes pour faire face au harcĂšlement sexiste




Un jeu pour cultiver sa répartie face au sexisme




Habitat nomade. J’ai pris la route
 et ma maison




L’habitat, bien plus qu’un simple abri




La pĂ©niche, ou l’attrait du bateau-logement




À quoi ressembleront nos logements en 2050 ?




Le top 6 des habitats insolites Ă  travers le monde




De petits jeux pour de grands enjeux




Plante ton slip, une pédagogie culottée




Des livres pour leur dire autrement




Les enfants, pierre angulaire du changement




Manon Crivellari : la petite souffleuse de vers




Festivals : des états généraux pour se réinventer




Art et Covid-19 : ces lieux d’exposition insolites




De la poĂ©sie par tĂ©lĂ©phone, au creux de l’oreille




L’impact de la Covid-19 sur le secteur culturel




Les amateurs de techno ont trouvé la parade




La culture se rĂ©invente Ă  l’ùre de la Covid-19




Le top10 des moyens de transport du futur




Covid-19 : l’ùre de la mobilitĂ© individuelle ?




Mobilité : une mutation post-Covid19 est en cours




SOS AmitiĂ© reste Ă  l’écoute des confinĂ©s




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COHABITATION. Les robots sont en marche. Nous les invitons, ou parfois les subissons, de plus en plus dans notre quotidien. Ils accompagnent la main d’un chirurgien, soulagent l’agriculteur d’une partie de son travail, ou encore guident les passagers dans les aĂ©roports. Pourtant, leur place est encore Ă  trouver dans notre sociĂ©tĂ©. Faut-il s’en mĂ©fier, les adorer ? Adapter une attitude plus pragmatique et simplement les juger sur piĂšces ? Pour y voir plus clair, le JT est parti Ă  leur rencontre.
ProthĂšses mĂ©dicalisĂ©es, drones, voitures autonomes
 Le temps de l’évĂšnement Futurapolis les 4 et 5 novembre, les robots seront sous les projecteurs du Quai des avoirs, du MusĂ©um et de la facultĂ© de mĂ©decine. Il faut dire que Toulouse est une ville qui donne la part belle Ă  ces technologies : depuis 2011, le cluster Robotics Place, le premier regroupement français d’entreprises du secteur, y est installĂ©. Ce lieu mutualise les ressources techniques et humaines de l’ensemble des acteurs de la rĂ©gion : fournisseurs de composants, utilisateurs, organismes de formation et de recherche. DiffĂ©rents types de robotique y sont Ă©tudiĂ©s : de service ou industrielle, militaire ou civile.
Mais la relation de la ville avec ces machines ne s’arrĂȘte pas lĂ . Le Laas-CNRS (laboratoire d’analyse et d’architecture des systĂšmes) prĂ©pare quotidiennement les changements scientifiques de demain depuis sa fondation en 1968, et l’Institut de recherche en informatique de Toulouse fĂ©dĂšre quant Ă  lui des Ă©tablissements parmi les plus avancĂ©s de France sur les questions d’autonomie, de dialogue, et de raisonnement liĂ©es Ă  la robotique. Au total, en Midi-PyrĂ©nĂ©es, plus de 200 entreprises et 18 laboratoires de recherche fabriquent ces technologies ou y rĂ©flĂ©chissent.
L’organisation de Futurapolis permet donc aux Toulousains de prendre, le temps d’un salon, du recul sur ces robots qui vont assurĂ©ment gagner de plus en plus de place dans notre sociĂ©tĂ©. Si de nombreuses questions ne sont pas encore rĂ©solues – Comment doit-on les intĂ©grer dans la sociĂ©té ? Vont-ils nous remplacer au travail ? Quelles responsabilitĂ©s peut-on leur confier ? Peuvent-ils prendre les mĂȘmes dĂ©cisions que les humains ? -, les perspectives qu’offrent les robots dans des domaines comme ceux de la santĂ©, de l’environnement, ou de la biochimie sont nombreuses. Avec l’agriculture de prĂ©cision, l’optimisation de tri et de traitement des dĂ©chets, ou encore le contournement de handicaps physiques, une rĂ©volution est dĂ©jĂ  clairement en marche. Cette semaine, le JT a donc dĂ©cidĂ© d’interviewer ces robots qui font dĂ©jĂ  partie de notre environnement et ceux qui les utilisent au quotidien.

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Stray : les joueurs sont fascinĂ©s par cette pĂ©pite
 et leurs chats aussi !

L'erreur concerne * Une / des fautes d'orhographe Une formulation erronĂ©e Le sens mĂȘme de l'article
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Annapurna



Chat



Playstation 4



Playstation 5



steam



Stray





Discord sur Xbox : voici comment installer la messagerie sur votre console



NFT Square Enix : quand Cloud détruit la planÚte plutÎt que de la sauver

Par Arthur Nicolle le 21 juillet 2022 Ă  18h30

Le petit nouveau du studio Annapurna ne manque pas de faire parler de lui, si bien que mĂȘme les chats de nombreux foyers en sont fan.
Le fameux Stray se sera fait attendre, mais l’attente en valait la chandelle. AnnoncĂ© officiellement il y a deux ans dĂ©jĂ , le titre du studio MontpelliĂ©rain BlueTwelve publiĂ© par Annapurna est une vĂ©ritable rĂ©ussite. Bien que trĂšs court (environ 5 heures de jeu pour arriver au bout de l’aventure), le jeu se dĂ©marque par sa direction artistique distinguĂ©e et son petit protagoniste absolument adorable : un petit chat de gouttiĂšre au pelage roux.
Disponible depuis le 19 juillet dernier sur PlayStation 4, 5 et PC, Stray a rĂ©ussi Ă  conquĂ©rir les joueurs grĂące Ă  l’attention au dĂ©tail portĂ© Ă  son gameplay . Tout dans ce jeu est pensĂ© pour offrir une expĂ©rience digne de la vie d’un chat errant. Sans surprise, cette originalitĂ© fait un vĂ©ritable carton et le jeu rĂ©colte dĂ©jĂ  des milliers d’évaluations positives sur Steam. La fidĂ©litĂ© du titre se doit peut-ĂȘtre Ă  Murtaugh, un chat errant trouvĂ© par les fondateurs du studio qui leur aura inspirĂ© ce projet vidĂ©oludique.
PurrSA: This is Murtaugh. The IRL stray cat adopted by BlueTwelve co-founders that inspired the hero of #Stray .
— PlayStation UK (@PlayStationUK) July 15, 2022
Faire ses griffes sur les murs, miauler sans relĂąche et faire tomber des objets des tables : tout y est. L’immersion proposĂ©e par le titre ne manque pas d’attirer l’attention des joueurs, mais le contenu du jeu semble Ă©galement plaire Ă  certains animaux de compagnie

Quelques jours (voire quelques heures) aprĂšs la sortie du jeu, les vidĂ©os de chat rĂ©agissant au dernier-nĂ© d’Annapurna envahissent Twitter. Les rĂ©actions sont tellement nombreuses qu’un compte Twitter rĂ©servĂ© Ă  la publication de ces extraits a vu le jour sous le nom de @CatsWatchStray (littĂ©ralement “ les chats regardent Stray ”).
@CatsWatchStray yeah! Also my cats were excited when I started playing the game. Now when I play I want to focus so I leave them in the bedroom haha pic.twitter.com/4LcP54ojUE
— Jenny Spence (@Jenyenydot) July 21, 2022
Certaines rĂ©actions sont surprenantes alors que les chats se retrouvent trompĂ©s par le rĂ©alisme des fĂ©lins de Stray. L’utilisation du bouton “ miaou ” implĂ©mentĂ© dans le jeu doit sĂ»rement y ĂȘtre pour quelque chose, mais les vidĂ©os n’en sont pas moins adorables. Qui aurait cru qu’un simple jeu vidĂ©o pourrait se transformer en une vĂ©ritable expĂ©rience miaule-tijoueur Ă  partager avec son ou ses chats ? En tout cas, Stray est une pĂ©pite Ă  ne pas manquer, dĂ©jĂ  disponible gratuitement dans les abonnements PlayStation Plus Extra et Premium ou bien vendu au prix tout doux de 26,99€ sur le PlayStation Store et Steam.
Ce n’est pas surprenant les chats voit juste un autre chat donc il sont curieux pour la plupart, les miens ont essayer d’attraper des skieurs a l’écran, a en faire le tour quand je regardais les compĂ©tition de ski
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Les scientifiques ont crĂ©Ă© un robot-chat alimentĂ© par intelligence artificielle qui sert de compagnon aux personnes ĂągĂ©es et leur rappelle de prendre leurs mĂ©dicaments. Le robot est Ă©galement capable de leur rappeler un rendez-vous chez un mĂ©decin ou les aider Ă  trouver leurs lunettes. Ces robots-chats ronronnent et miaulent comme de vrais chats. Ils ont aussi Ă©tĂ© conçus pour endiguer les sentiments de solitude, de dĂ©pression et d’anxiĂ©tĂ©.
Le projet qui a Ă©tĂ© nommĂ© ARIES ou « Affordable Robotic Intelligence for Elderly Support » (intelligence robotique abordable pour les personnes ĂągĂ©es) est nĂ© d’une collaboration entre l’entreprise Hasbro et l’universitĂ© Brown. Le projet est encore en cours de perfectionnement bien que des prototypes soient dĂ©jĂ  disponibles sur le marchĂ©.
Au niveau du visuel, le robot-chat est d’un rĂ©alisme stupĂ©fiant et peut facilement ĂȘtre confondu avec un vrai chat.
ARIES est nĂ© quand le fabricant de jouets Hasbro et des scientifiques de l’universitĂ© Brown ont reçu une subvention d’un million de dollars de la National Science Foundation. Ce financement a Ă©tĂ© octroyĂ© pour trouver des moyens d’ajouter l’IA au chat robotique « Joy for All » de Hasbro.
Le chat-robot, qui est sur le marchĂ© depuis maintenant deux ans, est un produit qui s’adresse aux personnes ĂągĂ©es.
Le chat ronronne et miaule, et peut mĂȘme se lĂ©cher la patte et se rouler pour quĂ©mander une caresse du ventre. Le projet ARIES vise Ă  dĂ©velopper des capacitĂ©s supplĂ©mentaires pour aider les personnes ĂągĂ©es Ă  accomplir des tĂąches simples. Selon les chercheurs, cela pourrait aider les personnes ĂągĂ©es Ă  vivre de façon indĂ©pendante dans leur propre maison aussi longtemps que possible.
Les scientifiques de Brown’s Humanity-Centered Robotics Initiative tentent de dĂ©terminer quelles tĂąches sont essentielles pour les personnes ĂągĂ©es afin qu’elles puissent rester indĂ©pendantes. « Personne ne s’attend Ă  ce qu’ils fassent la conversation. Personne ne s’attend Ă  ce qu’ils se dĂ©placent et rĂ©cupĂšrent un journal. » a dĂ©clarĂ© Bertram Malle, professeur de sciences cognitives, linguistiques et psychologiques de l’universitĂ© Brown.
Par cette dĂ©claration, Malle montre qu’il ne veut pas faire des promesses exagĂ©rĂ©es sur ce que le chat peut faire. L’équipe responsable du projet espĂšre crĂ©er un chat qui exĂ©cuterait parfaitement un petit ensemble de tĂąches bien dĂ©finies. Les responsables veulent aussi que le coĂ»t reste abordable. La version actuelle coĂ»te 100 $.
Le projet ARIES est encore en cours de dĂ©veloppement et le rĂ©sultat final promet du jamais-vu en termes de robotique et d’IA.
Passionné de la vie, sportif et à ce que l'on dit, un bon vivant !

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Chez les robots aussi, le made in France est Ă  la mode. Nao, le petit humanoĂŻde (58 cm) d'Aldebaran Robotics a Ă©tĂ© vendu Ă  2.000 exemplaires, en grande majoritĂ© Ă  l'Ă©tranger (85 %), essentiellement au Japon et aux Etats-Unis. Conçu par la PME française comme une plate-forme de recherche, il va bientĂŽt ĂȘtre rejoint par RomĂ©o. TĂȘte ronde d'un enfant, 1,43 mĂštre pour 40 kilos, cet autre robot humanoĂŻde doit ĂȘtre lancĂ© dans le courant de l'Ă©tĂ©.
Une arrivée trÚs attendue, alors que vient de se tenir à Lyon le Salon Innorobo, qui est un peu la « fashion week » de la robotique : une centaine d'exposants venus du monde entier et au moins autant de robots. Les machines à l'image de l'homme voisineront avec des robots moins ludiques, mais tout aussi -voire plus- utiles.
Si beaucoup de laboratoires mettent au point « leur » robot, le marché, lui, se cherche encore malgré des prévisions alléchantes. De 2009 à 2020, il devrait passer de 13,5 milliards à 100 milliards de dollars, selon l'International Federation of Robotics, et serait dominé à 85 % par la robotique de service, les 15 % restants étant dédiés à la robotique industrielle. Pour l'heure, on est loin du compte, les engins professionnels, civils et militaires (inspection en milieu hostile, démolition, nettoyage...) ayant généré en 2010 un chiffre d'affaires mondial de 3,2 milliards de dollars (+ 15 %) et de 538 millions de dollars (+ 39 %) pour les robots de service personnels (assistance, domotique, éducation...). Cela, alors que les prévisions font état pour ces derniers de 35 milliards de dollars en 2025, selon la Japan Robotics Association.
Aujourd'hui, le problĂšme ne vient pas tant de l'offre que de la demande : un robot, oui, mais pour quoi faire ? A mesure que les machines arrivent Ă  maturitĂ©, leur avenir se dessine davantage autour de leurs fonctions que de leur look. A Nice, l'Inria utilise un mannequin, Charlie, pour mettre au point un prototype de robot conçu pour les personnes Ă  mobilitĂ© rĂ©duite. InstallĂ©e dans un laboratoire-appartement, cette plate-forme expĂ©rimentale est surmontĂ©e de cĂąbles et de poulies. Il s'agit d'un « robot parallĂšle Ă  cĂąbles », capable d'extraire une personne de son lit, de l'installer sur un siĂšge ou de la soutenir dans un harnais pour ses dĂ©placements Ă  l'intĂ©rieur de la maison. Actuellement en phase d'homologation, il ne devrait pas ĂȘtre commercialisĂ© avant plusieurs annĂ©es.
D'autres domaines, comme la rééducation physique, voient également une demande émerger. A la frontiÚre du civil et du militaire, l'exosquelette est une structure extérieure au corps, qui offre de nombreuses possibilités y compris celle de porter de lourdes charges. Hercule, qui sera produit à partir de 2015, sera fabriqué par une PME de l'Yonne, RB3D. Doté d'une centrale inertielle, il doit aider les soldats, les pompiers ou les secouristes à porter leurs équipements.
La vraie percée, ce sont les robots domestiques, dont les ventes en 2010 ont atteint 369 millions de dollars. D'ailleurs, les aspirateurs robots (3,4 % du marché français en volume, 9,8 % en valeur) constituent avec 71 500 exemplaires vendus en 2011 le créneau le plus dynamique de l'électroménager en France. D'autres produits arrivent sur le marché, comme le robot tondeuse à gazon ou le laveur de carreaux. Dommage, toutefois, que ce segment soit tenu par des marques américaine (iRobot) ou coréennes (Samsung et LG). Pour ce type de robots, les entreprises françaises brillent par leur absence.
Il s’appelle Charles mais n’a pas l’allure guindĂ©e de son homonyme princier britannique. C’est plutĂŽt une baraque, jugez-en : 80 centimĂštres de cĂŽtĂ© pour 1,80 m de haut
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