Les préservatifs c'est la vie

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Les préservatifs c'est la vie

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2.2 Prévention des infections sexuellement transmissibles

2.3 Lutte contre l'épidémie du SIDA

3.2 Les différents préservatifs externes

5.1.2 Trempage dans le bain de latex

5.2 Prise en compte des allergies au latex

5.3 Industrie du préservatif en France

6 Positions et attitudes des religions

7 Positions et attitudes des personnes gay ou bisexuelles
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Pour les articles homonymes, voir Capote .

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Le préservatif ou condom (ou capote, plus familier, en Suisse, au Québec et en France) est un étui mince et souple, imperméable au sang , au sperme ainsi qu'aux sécrétions vaginales et péniennes , fabriqué en latex ou en polyuréthane . Il en existe deux types : le préservatif masculin et le préservatif féminin. Le premier est aussi nommé plus familièrement « capote » en français européen .

Le préservatif s'avère être très efficace pour empêcher la transmission des infections sexuellement transmissibles (IST) par les sécrétions vaginales, péniennes et le sperme mais n'offre pas de protection face aux IST présentes sur les surfaces cutanées de la zone génitale. Ainsi le préservatif, correctement utilisé lors d'une relation sexuelle avec pénétration, est le seul contraceptif qui protège de la transmission du VIH et de l' hépatite B . Il ne constitue en revanche pas une protection efficace contre d'autres IST occasionnant un nombre important de décès, comme la syphilis (30% de protection seulement) [ 1 ] ou encore le papillomavirus humain [ 2 ] , responsable de plusieurs types de cancers dont le cancer du col de l'utérus et contre lequel seule la vaccination s'avère efficace. Enfin, il ne permet pas non plus de se protéger contre l' herpès génital [ 3 ] responsable de conséquences psychologiques et sociales importantes pour la personne atteinte [ 4 ] et dont la transmission au fœtus durant l'accouchement, appelée herpès néonatal , occasionne une importante mortalité et des séquelles lourdes [ 5 ] .

On trouve des protecteurs de pénis sur des peintures de l'Égypte antique, mais il semble s'agir d' étui pénien à visée décorative ou magique, plutôt que de préservatif au sens moderne [ 6 ] .

À l'époque romaine, des vessies d'animaux sont utilisées comme moyen de protection du pénis au cours de rapports sexuels [ 6 ] .

Les Chinois fabriquaient des préservatifs avec du papier de soie huilé. Les Japonais se servaient du kabutogata , un étui pénien rigide fait d' écailles de tortue , qui servait à la fois de contraceptif et, éventuellement, de prothèse pour les érections défaillantes [ 6 ] . Les Japonaises pouvaient s'en servir comme godemichet , et se placer aussi des boules de cuivre à clochettes ( boules de geisha ) dans le vagin, pour un accompagnement musical [ 7 ] .

Gabriel Fallope propose l'utilisation de ce que certains ont d'abord cru être un préservatif [ 8 ] , « fourreau d'étoffe légère, fait sur mesure, pour protéger des maladies vénériennes » , pour se protéger de la syphilis dans De morbo gallico , publié après sa mort en 1564 , après avoir testé son efficacité sur 1 100 hommes. Il écrivait en fait : « Demum cum coiverit ponat supra glandem et recurrat praeputium » , indiquant qu'il s'agissait d'un remède posé après la relation [ 9 ] .

Les origines exactes du préservatif ou condom restent inconnues. Le terme condum (condom) apparait au début du XVIII e siècle dans des poèmes anglais [ 10 ] . En 1709 , le journal anglais Tatler évoque le préservatif, appelé « condom », comme ayant été conçu par un « éminent » médecin anglais éponyme , mais le succès de son invention aurait fini « par rendre toute allusion à son nom contraire aux usages de la décence » .

Cette théorie, la plus fréquemment citée, attribue l'invention à un docteur Condom ou Conton, médecin du roi d'Angleterre Charles II alors ennuyé par le nombre de ses enfants illégitimes. Une autre version fait de Condom non pas un médecin, mais un colonel de la garde. En fait, les historiens n'ont pu retrouver aucune trace d'un personnage nommé Condom [ 8 ] , [ 10 ] .

Il existe d'autres théories marginales. Le terme « condom » serait l'accusatif du latin condus , du verbe conderre , « cacher, protéger ». Il existe en France une ville nommée Condom , mais le nom du lieu n'aurait aucun lien avec l'objet en question. Kendü , un terme persan, désigne par ailleurs un long récipient fabriqué à partir de boyaux d'animaux utilisé pour garder le blé [ 11 ] …

Dans la littérature médicale, le mot « condom » apparaît dans un traité sur les maladies vénériennes de Daniel Turner (1667-1741) [ 10 ] en deux volumes, dont le premier est paru en 1717 à Londres sous le titre Siphylis [sic] . Les deux volumes de l'ouvrage ont été traduits en français et publiés à Paris en 1767 : Dissertation sur les maladies vénériennes [ 12 ] .

Le premier médecin français à mentionner le condom est Jean Astruc (1684-1766) dans son De morbis venereis (1734) . Il semble avoir lu Turner, car il utilise la même expression que lui : « entrer en lice avec une pique bien cuirassée » [ 11 ] .

La fabrication des condoms, du XVIII e siècle jusqu'au milieu du XIX e siècle, se fait à partir de membranes animales, et relève du domaine de la triperie . Le condom se prépare à partir de baudruche , ou de caecum de mouton, d'agneau ou autre animal – chèvre, veau… L'utilisation de vessie de poisson n'est pas démontrée [ 10 ] .

Il existait trois modèles de qualité différente, selon la matière première et le traitement : commun, fin et superfin. Les superfins sont les plus élaborés : la matière première subit plusieurs lavages, et est ensuite parfumée, puis séchée sur des moules en verre, ce qui leur donne « un beau glacé ». Leur fragilité nécessitait de les doubler, en les mettant l'un dans l'autre, de façon inséparable [ 13 ] .

À la fin du XVIII e siècle, des historiens mentionnent, à Londres, une guerre commerciale des prospectus entre deux fabricantes de condoms, Mme Philips et Mme Perkins, qui se vantent d'avoir des commandes dans toute l'Europe, et de fournir jusqu'aux ambassadeurs et capitaines de navire [ 13 ] .

Ils sont appelés « gants des dames », « peaux divines », « chemisettes », etc [ 11 ] . À Paris, dans les années 1820, on peut se procurer des condoms aux galeries marchandes du Palais Royal , chez les « marchands de taffetas ciré » [ 14 ] .

Giacomo Casanova (1725-1798) lui donne le nom de « redingote anglaise » et fait un usage important de ce « petit sac de peau que les Anglais ont inventé pour éviter au beau sexe de s'inquiéter. » Il donne la préférence aux condoms les plus fins, mais en testant leur résistance en les gonflant d'air [ 11 ] .

Français et Anglais se rejettent mutuellement l'origine du condom, les anglais l'appelant french letter ou french baudruche . Ce refus d'assumer l'invention dans les deux pays indiquerait que l'origine du condom se situe d'abord dans les milieux libertins ou de prostitution comme un moyen de protection masculine, et non pas comme un moyen contraceptif [ 14 ] .

Les textes médicaux de l'époque signalent le peu d'efficacité (fragilité) et les inconvénients (sensations émoussées) du condom d'origine animale. Ce qui était déjà établi par Madame de Sévigné à propos du préservatif en baudruche « Bouclier contre le plaisir et toile d'araignée contre le danger » [ 10 ] .

Daniel Turner signale en 1717 que beaucoup préfèrent risquer une chaude-pisse [ 10 ] ; Philippe Ricord (1800-1889) compare le condom à un simple parapluie que « l'orage peut briser ou enlever [...] et qui n'empêche pas d'avoir les pieds mouillés » [ 15 ] .

De façon générale, les médecins de cette époque discutent du condom pour sa valeur de protection antivénérienne, et refusent le plus souvent de discuter de sa valeur contraceptive. Ce qui entretient dans l'esprit du public l'association condom/prostitution [ 15 ] .

Les premiers préservatifs en caoutchouc (à partir du latex naturel ) sont proposés à partir de 1855, pour être remplacés dans les années 1930 par des préservatifs en latex synthétique [ 16 ] .

En 1839, l'américain Charles Goodyear découvre la vulcanisation du caoutchouc [ 17 ] , [ 18 ] , et l'anglais Thomas Hancock en dépose le brevet en 1843. Les premières fabrications de préservatifs en caoutchouc débutent en Angleterre, apparemment à l'initiative de la firme fondée par Charles Macintosh . Cette fabrication ne représente qu'une très faible part de l'industrie du caoutchouc, puisqu'en 1872, la fabrique de préservatifs n'occupe que quelques dizaines d'ouvriers travaillant l'hiver, le reste de l'année étant consacré à la production de ballons pour enfants [ 19 ] .

Les deux tiers de la production anglaise (« capotes anglaises ») partaient à l'étranger, ceux de qualité supérieure vers l'Europe du Nord et la Russie, et ceux de qualité inférieure vers la France et les pays méditerranéens. De qualité variable, épais et peu résistants [ 19 ] , ils étaient aussi lavables et réutilisables.

Des condoms courts, ne recouvrant que le gland et le serrant à sa base, au niveau du sillon balano-préputial, sont présentés lors de l' exposition universelle de 1876 . D'origine américaine, ils sont vendus en Angleterre sous le nom de « American tips » [ 19 ] , et en France sous le nom de « Bout américain » [ 20 ] .

En France, au tournant des XIX e et XX e siècles, les préservatifs sont vendus dans les bureaux de tabac et les lupanars , au prix de 50 centimes, ce qui est encore trop cher pour les pauvres. Des médecins de l'époque signalent qu'ils sont largement utilisés dans les milieux aisés (protection et contraception), mais peu connus des classes populaires qui pratiquent le plus souvent le coitus interruptus [ 14 ] .

Des condoms « fantaisie » avec des noms de marque évocateurs se multiplient à Paris, tels que « L'explorateur », « Le rêveur », « Le délicieux », « Le porc-épic », « Le conquérant », « L'inusable », « Le cocorico », « La sainte-nitouche », et « Le bibi chatouilleur » [ 13 ] , [ 14 ] .

Des immigrés de l'époque, le plus souvent italiens participèrent aussi à la création et démocratisation du préservatif en France, souvent à références artistiques, notamment en 1882, le créateur de mode Alessandro Denes qui en confectionna un modèle portant comme thème du fameux opéra Carmen .

Lors de la Première Guerre mondiale , le Corps Expéditionnaire Américain dénombra durant l'été 1918, près de 18 000 soldats manquants chaque jour, pour cause de maladies vénériennes [ 21 ] . De ce fait, durant la Seconde Guerre mondiale , le commandement abandonna la « prévention morale » basée sur l'abstinence, au profit de la distribution de préservatifs dans un but de prophylaxie . Près de cinquante millions de préservatifs par mois ont été distribuées (ou vendus à très bas prix) aux troupes américaines durant ce conflit. Mais les ventes chutèrent lorsque les femmes remplacèrent les hommes dans les magasins de l'armée, d'où l'apparition de distributeurs automatiques de préservatifs [ 22 ] . Voir Abraham Nathaniel Spanel .

Cependant, après la fin de la guerre et l'arrivée des antibiotiques, le commandement américain revient à la prévention morale, largement admise dans la société américaine. Dans les années 1960, la NBC interdit aux premières séries médicales télévisées (comme Docteur Kildare ) de parler de maladies vénériennes. Dans la même période, l' AMA se refuse à discuter du préservatif, par crainte de favoriser la licence sexuelle. En 1977, aux États-Unis, onze États interdisent toute publicité aux préservatifs [ 23 ] .

En Allemagne , le préservatif était connu avant la Seconde Guerre mondiale sous le nom de « Fromm », du nom du fabricant qui en vendait cinquante millions d'unités par an. Avec l'arrivée des nazis , Fromm, de confession juive, dut abandonner son entreprise et se réfugia à Londres [ 24 ] [source insuffisante] . La consommation continua cependant de croître, à plus de 70 millions d'unités par an en 1940 [ 25 ] .

En France, les lourdes pertes de la guerre de 14-18 favorisent l'adoption de la loi du 31 juillet 1920 , qui réprime non seulement l'avortement et la provocation à l'avortement, mais aussi la contraception et la propagande des moyens contraceptifs [ 26 ] . L'utilisation ouverte et répandue des préservatifs (communication au grand public) réapparait à la suite de l' épidémie du sida : la publicité des préservatifs est autorisée en janvier 1987 par la ministre de la santé Michèle Barzach [ 27 ] .

L'efficacité du préservatif en tant que contraceptif est bien connue. Son indice de Pearl (qui donne le nombre de grossesses parmi 100 femmes utilisant régulièrement ce procédé de contraception durant une année) va de 2 à 15 % pour le préservatif masculin et de 5 à 25 % pour le préservatif féminin.

L'efficacité du préservatif dans la prévention des infections sexuellement transmissibles dépend grandement de l'infection concernée. Pour le VIH, elle varie, selon les études disponibles, entre 60 et 96 % environ (par exemple, une méta-étude de 1993 conclut à une réduction du risque de 69 % [ 28 ] ; une autre étude de 1994 donne 87 % moyenné (entre 60 % et 96 %) [ 29 ] même si ces études concluent au peu de fiabilité de leurs propres mesures). Elle est très sensiblement moindre dans le cas de l' herpès génital [ 30 ] , de la syphilis et du papillomavirus humain pour lesquels le préservatif ne constitue pas un moyen de protection approprié.

Un rapport des National Institutes of Health (agences gouvernementales américaines), paru en 2000, relève une réduction de 85 % du risque de transmission du VIH en cas d'utilisation « correcte et systématique » de préservatifs en latex [ 31 ] .

La commission nationale d’évaluation des dispositifs médicaux et des technologies de santé (CNEDiMTS) de la Haute Autorité de santé indique une efficacité de 70 à 80 % contre le VIH et moins pour les autres IST.

En 2011, un rapport publié par l' OMS sur l'efficacité des méthodes contraceptives, affirme que le préservatif masculin correctement et régulièrement utilisé, à une efficacité contraceptive de 98 % [ 32 ] . Le préservatif féminin a une efficacité de 95 % selon la même étude.

Dans les pays où la prévalence du SIDA est la plus importante, et notamment en Afrique sub-saharienne (qui compte 67 % des personnes infectées par le VIH et 75 % des décès dus au SIDA [ 33 ] ), la question de l'efficacité des procédés de lutte contre l'infection se pose non seulement en termes d'efficacité de l'usage individuel, mais plus largement en termes de stratégie globale de réduction des risques.

Ainsi la stratégie CNN (en) ( Condoms, needles, and negotiation , c'est-à-dire « préservatifs, seringues et négociations ») consiste à promouvoir avant tout des pratiques plus sûres parmi les groupes à risques : les prostitués et leurs clients, les consommateurs de drogues, et les femmes dans les milieux déshérités. La stratégie ABC ( Abstinence, be faithful, use a condom , « Abstinence, fidélité, préservatif ») est basée sur l'idée d'une hiérarchisation des réponses, en promouvant un idéal d'abstinence et de fidélité et en proposant l'usage du préservatif [ 34 ] comme troisième recours. Cette stratégie est également associée à une forme d' empowerment , la diffusion du message étant confiée à des acteurs locaux. Parmi les scientifiques l'efficacité et la doctrine d'emploi de ces stratégies fait débat [ 35 ] .

Les différents modes d'échec entraînent différents niveaux d'exposition au sperme.
Les risques sont différents pour les rapports vaginaux ou anaux.
Un certain nombre d'études donnent une idée de l'efficacité du préservatif quand il est correctement employé. Il convient alors de distinguer suivant l'effet principal mesuré : contraception ou protection contre les infections sexuellement transmissibles, et notamment le SIDA.
Des études ont montré qu'une part non négligeable de l'inefficacité occasionnelle du préservatif provient souvent d'une mauvaise éducation quant à son usage [ 41 ] , [ 42 ] . Le principal problème reste essentiellement celui d'une mauvaise pose du préservatif et d'une mauvaise connaissance du dispositif.

Le préservatif externe, ou préservatif masculin, est généralement en latex . Il se place sur le pénis en érection , avant une relation sexuelle mettant en contact le sexe masculin et une muqueuse. Il remplit à la fois une fonction contraceptive , pour éviter la procréation non désirée et une fonction prophylactique , pour éviter la propagation de maladies et d'infections sexuellement transmissibles ( MST et IST ).

Le préservatif externe doit respecter des normes strictes [ 43 ] . Les différents contrôles peuvent concerner les dimensions, les volumes et pressions d'éclatement, la résistance à la traction avant et après vieillissement, l'absence de perforations, la stabilité des couleurs, la résistance au stockage, les emballages.

Il peut être utilisé en cas de fellation , de pénétration vaginale ou anale (les risques de transmettre une infection sexuellement transmissible sont plus élevés dans ce dernier cas, il est recommandé d'utiliser des préservatifs spécifiquement destinés à cet usage)

Des préservatifs avec des caractéristiques différentes existent : la taille, la texture, les parfums , mais aussi le lubrifiant varient.

Les préservatifs standards sont ceux disponibles dans les distributeurs (en France, situés devant les pharmacies, dans les lycées et certaines universités). Les préservatifs plus fins ont une épaisseur de 40 à 55 micromètres [ 44 ] . Le préservatif le plus fin vendu en Europe a une épaisseur de 15 micromètres [ 45 ] .

Certains préservatifs sont mieux lubrifiés. Cela permet de contourner les problèmes de sècheresse vaginale ou anale. L'utilisation de lubrifiant est recommandé en particulier pour l'usage anal [ 46 ] .

Des préservatifs de grande et de petite taille existent [ 47 ] .


Pour les personnes allergiques au latex , des préservatifs sans latex existent (ils sont alors constitués de polyuréthane par exemple). Attention, si certains m
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