Les piqûres de moustiques sont une abondance

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Les piqûres de moustiques sont une abondance

Mis en ligne le vendredi 19 août 2022 à 10h18
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Des bêtes qui piquent, mordent ou lacèrent, il y en a beaucoup en été. Mais dans cet article, on s’intéressera aux piqûres des moustiques.
Il faut savoir que si les moustiques nous piquent, ce n’est pas pour le plaisir de nous importuner. Du moins, ce n’est pas la raison principale. L’insecte le fait pour d’autres raisons, notamment pour la survie de ses progénitures . Cela n’empêche que sa piqûre peut être douloureuse .
Selon nos confrères de Sud-Ouest elle peut même entraîner des réactions graves . Personne n’aime entendre le son de cette petite bête la nuit au moment de dormir. Allons donc voir ce que l’on risque quand on se fait piquer par un moustique.
Avant tout, il faut noter que ce sont les femelles des moustiques qui nous piquent. Les mâles ne possèdent pas d’appareil piqueu r et préfèrent ce qui est sucré. On les distingue des femelles par la présence d’antennes plumeuses sur la tête.
Ce que les femelles ne possèdent pas. C’est non identifiable lorsqu’ils sont en plein vol. Concernant le pourquoi de leur piqûre , il faut savoir que le sang humain est source de protéines . Protéines dont elles se servent pour la maturation de leurs œufs après la fécondation.
Cela dit, le sang ne sert donc pas de nourriture aux moustiques. Il en a besoin pour la naissance de sa progéniture. Autrement dit, si l’on évite leur piqûre, les moustiques femelles auront du mal à mettre au monde de nouveaux moustiques.
La femelle du moustique, quand elle pique, use de redoutables armes . Cette arme se compose d’une trompe (proboscis) constituée de pièces buccales vulnérantes (stylets). Au moment de la piqûre, le labium enveloppant les stylets se replie. La trompe du moustique est flexible et atteint facilement le sang.
Les stylets percent et traversent l’épiderme en tâtonnant pour chercher un vaisseau sanguin. La trompe se maintient en place grâce à des maxilles (qui sont des appendices buccaux). En même temps, un autre appendice permet au moustique d’injecter sa salive.
Des substances sont contenues dans la salive du moustique. Ceux-ci évitent aux vaisseaux sanguins de se contracter et de fluidifier le sang. Ce qui empêcherait sa coagulation et l’agrégation des plaquettes qui est l’étape initiale de la cicatrisation. Par la suite, les stylets délimitent le canal alimentaire et le canal salivaire.
C’est par le premier qu’est aspiré le sang et la salive est injectée par le second. À savoir : selon l’espèce, le moustique prélève de 0,001 à 0,01 mL de sang . Et ce, en moins de 2 minutes.
Quand le moustique pique, il injecte par la même occasion sa salive. Celle-ci déclenche une réaction quasi immédiate de la peau humaine.
En effet, des cellules immunitaires, dites mastocytes, sécrètent de l’histamine qui provoque un œdème . Autrement dit, le bouton de moustique. Cette histamine provoque également les démangeaisons et la forte envie de se gratter.
Par ailleurs, la salive du moustique contient des éléments pouvant être allergènes . Par exemple, dans la salive d’un moustique tigre, il y a une quinzaine de composants. Ceux-ci pouvant provoquer une réaction allergique.
Il faut savoir que selon l’espèce de moustique, la composition de la salive varie. Le nombre d’allergènes aussi. Cependant, les réactions aussi varient d’une personne à l’autre . Chaque personne a sa sensibilité individuelle vis-à-vis de la piqûre.
Si la piqûre de moustiques n’est pas dangereuse en soi , elle peut l’être pour certaines personnes. Celles-ci peuvent avoir une forte réaction allergique ou de chocs anaphylactiques. Surtout les enfants n’ayant pas encore la tolérance naturelle aux piqûres de moustiques.
Dans des cas très rares, les piqûres provoquent un syndrome de Skeeter . C’est une réaction inflammatoire associée à une fièvre. Parfois, elle est accompagnée de vomissements et de troubles respiratoires.
Par ailleurs, certains moustiques peuvent transporter des virus pouvant être dangereux pour l’humain . Il s’agit notamment du moustique tigre qu’on trouve maintenant partout dans le monde. Ou presque.
Ce moustique peut en effet transmettre le virus Zika, la Dengue ou le virus du Chikungunya. Des virus dangereux pouvant atteindre de nombreux organes . Dans le pire des cas, ils peuvent atteindre le cerveau et provoquer des pathologies graves.
Passionné de lecture depuis mon enfance, j’ai fini par m’intéresser à l’écriture en grandissant. Aujourd’hui, je vis de ma passion en travaillant comme rédacteur pour le web. Avec une plume légère, je vous tiens informé sur l’actualité française et les faits et gestes des célébrités. J’écris aussi d’autres contenus sur des thématiques variées.

RTL INFO , publié le 06 juillet 2022 à 14h25
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1 Les moustiques sont attirés par certains composés chimiques de notre transpiration
Oui, les moustiques sont incontestablement attirés par la chaleur qu'ils repèrent à plusieurs dizaines de mètres, mais ce n'est pas le seul élément qui les amènent à vous piquer. "C’est une question de composés chimiques dans notre transpiration" , explique le docteur Lucien Bodson. "Ces composés peuvent être en plus grand abondance chez certains que chez d’autres" , précise-t-il: voilà pourquoi votre partenaire, qui partage votre couchage, sera plus ou moins piqué pendant la nuit.
2 Ce sont les femelles qui nous piquent 
Ce sont bel et bien les femelles qui piquent et qui vont aspirer le sang.
3 Les moustiques ne transportent pas le covid
Si le moustique transporte parfois certaines maladies, le Covid n'en fait pas partie. "Le Covid ne se transmet pas pas de cette façon là, il se transmet par voie aérienne donc pas de danger à ce niveau-là" , affirme le médecin urgentiste. 
4 Le taux de sucre dans le sang n’attire pas les moustiques
Que les diabétiques se rassurent: le taux de sucre dans le sang n'est pas un moteur d'attraction pour les moustiques. "Les diabétiques qui craignent que ça soit le sucre dans le sang qui attirent les moustiques ne sont pas sur la bonne voie" , explique Lucien Bodson.
5 Les eaux stagnantes sont un nid à moustiques 
Il vaut mieux éviter les eaux stagnantes "comme les petits étangs ou les réserves d’eau de pluie" conseille Lucien Bodson, "Puisque les femelles pondent entre 200 et 300 œufs toutes les deux semaines" dans ces endroits-là.
6 Les vêtements sales attirent les moustiques 
Finalement, notre médecin urgentiste recommande d'éviter de laisser traîner les vêtements imprégnés de notre transpiration. "Par exemple, une paire de chaussettes qui n’a pas été lavée depuis trois jours et qui est mise dans un coin va inévitablement les moustiques." Vous serez prévenus! 
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Les pièges à Moustiques sont-ils vraiment efficaces ?


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Tiques, moustiques, guêpes, fourmis… L'été, le risque de rencontrer une petite bête qui pique, mord ou lacère augmente fortement. Notre série « Un été qui pique » fait le point sur les piqûres plus fréquentes, les pires, et sur les façons de les éviter. Pour ce premier article, Yannick Simonin (Université de Montpellier) et Sébastien Nisole (Inserm) nous proposent de rencontrer un sérieux prétendant au titre de roi de la piqûre : le moustique !
Ils sont autour de nous, souvent invisibles, et lorsque nous détectons leur présence il est généralement trop tard… Une petite douleur suivie d’une démangeaison, d’une rougeur et d’un bouton ? Le moustique a fait une nouvelle victime et vous a rajouté sur la longue liste de ses cibles favorites !
Invité surprise bien encombrant de nos apéritifs estivaux, le moustique ne pique pas seulement les humains, tant s’en faut. Suivant ses préférences, ses premières victimes sont soit les oiseaux, soit les mammifères terrestres, notamment les animaux domestiques tels que les chats ou les chiens. Et certaines espèces s’attaquent même aux animaux « à sang froid », comme les grenouilles et les serpents !
Mais comment ce tout petit insecte fait-il pour piquer même les peaux les plus résistantes ? Et quelles conséquences peut avoir son méfait sur les organismes de ses victimes ?
Tout d’abord, il faut rappeler que seuls les moustiques femelles piquent, les mâles préférant de loin à notre sang le nectar des fleurs, ou d’autres sources de sucre (comme le miellat, un liquide épais et visqueux qu’excrètent certains insectes qui parasitent les végétaux, comme les pucerons, les aleurodes, les cochenilles…). Et pour cause : ils ne possèdent pas d’appareil piqueur…
En plein vol, il n’est pas évident de distinguer les inoffensifs mâles des femelles. Une observation attentive permet néanmoins de constater la présence d’antennes plumeuses sur la tête des premiers, absentes de celle des secondes. Mais quoi qu’il en soit si un moustique vous pique, c’est forcément une femelle !
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Pourquoi donc cette appétence des femelles pour les repas sanguins ? Tout simplement parce que le sang récolté constitue une source très riche de protéines, utilisées pour compléter la maturation de ses œufs, après la fécondation par le mâle. Le sang ne sert donc pas à nourrir les moustiques, mais à permettre à leur progéniture de voir le jour. Sans piqûre, pas de nouveau moustique !
Pour nous piquer, la femelle du moustique dispose d’un arsenal redoutable. Il est composé d’une trompe, qu’on appelle proboscis, qui est elle-même constituée de pièces buccales « vulnérantes » (capable de blesser), les stylets. Ces pièces sont enveloppées par le labium, souple, qui se replie au moment de la piqûre. À l’inverse d’un dard, la trompe du moustique est flexible, ce qui facilite son chemin jusqu’au sang.
Lors de la piqûre, les stylets percent l’épiderme et le traversent en « tâtonnant », à la recherche d’un vaisseau sanguin. Des appendices buccaux, qu’on appelle maxilles, permettent à la trompe de se maintenir en place. Dans le même temps, via un autre appendice, le moustique injecte sa salive. Cette dernière contient des substances qui évitent que les vaisseaux sanguins ne se contractent et fluidifient le sang, empêchant sa coagulation et l’agrégation des plaquettes, étape initiale de la cicatrisation. Les stylets délimitent ainsi deux canaux : le canal alimentaire, par lequel est aspiré le sang, et le canal salivaire, par lequel est injectée la salive.
Le moustique prélève, en fonction des espèces, de 0,001 à 0,01 millilitre de sang. Une quantité infime de sang pour nous, mais énorme pour lui : celle-ci peut être équivalente au propre volume sanguin de l’insecte. Et le tout est ingurgité en moins de 2 minutes !
Si la victime « prélevée » n’a pas de souci à se faire quant à la quantité de sang subtilisée, la piqûre entraîne d’autres problèmes, plus ou moins graves…
Pour comprendre les conséquences de la piqûre de moustique, attardons-nous un instant sur le plus grand organe du corps : la peau. En contact direct avec le monde extérieur, elle assure différentes fonctions essentielles à notre organisme, relatives notamment à sa protection vis-à-vis de l’environnement extérieur et à sa perception.
La peau est organisée en deux couches principales : l’épiderme , la partie superficielle de la peau, et le derme , tissu de soutien plus épais situé sous l’épiderme.
L’épiderme est principalement composé de kératinocytes, ainsi nommés car ils produisent de la kératine, une protéine hydrophobe qui forme des filaments résistants et confère à l’épiderme sa souplesse, son imperméabilité et sa résistance. Une fois à la surface de l’épiderme, ces cellules forment une couche de cellules mortes, le stratum corneum , qui sera finalement éliminé par desquamation.
Le derme est quant à lui constitué de cellules éparpillées au sein d’un matériel extracellulaire constitué de fibres faites de collagène et d’autres protéines. Les principales cellules du derme sont les fibroblastes, qui produisent ces fibres, mais le derme contient également des terminaisons nerveuses, des vaisseaux sanguins, ainsi que les glandes sébacées et sudoripares, qui produisent respectivement le sébum et la sueur.
Étant donné qu’elle constitue l’interface entre l’organisme et le milieu extérieur, la peau est confrontée à de nombreuses agressions, notamment mécaniques ou thermiques. Elle est également aux premières loges vis-à-vis des agressions par des micro-organismes, puisqu’elle est une porte d’entrée obligée des nombreux agents pathogènes qui tentent de pénétrer dans l’organisme.
À ce titre, il s’agit d’un avant-poste stratégique des défenses immunitaires et abrite de nombreuses cellules sentinelles, qui veillent à la préserver contre les agressions virales, bactériennes ou fongiques.
La piqûre de moustique est l’une des nombreuses agressions auxquelles la peau doit faire face. Lorsqu’un moustique pique, sa trompe pénètre dans l’épiderme puis dans le derme à la recherche d’un capillaire sanguin.
Outre l’agression physique que constitue cette insertion, c’est surtout la salive injectée au cours de l’opération qui déclenche une réaction de notre peau. Elle contient en effet un mélange complexe de protéines, lequel est reconnu par les défenses immunitaires de la peau comme un agent étranger.
La réaction est quasi immédiate. Des cellules immunitaires, les « mastocytes », sont les premières à réagir. Elles secrètent de l’histamine, un médiateur inflammatoire qui augmente le diamètre et la perméabilité des vaisseaux sanguins, provoquant ainsi un œdème : c’est le fameux bouton de moustique. C’est également l’histamine qui, en stimulant les fibres nerveuses, provoque les démangeaisons et l’envie irrépressible de se gratter.
De nombreux éléments de la salive de moustique peuvent être allergènes. Pour le moustique tigre ( Aedes albopictus ), une quinzaine de composants salivaires pouvant provoquer une réaction allergique ont été identifiés ! En outre, la composition de la salive peut varier d’une espèce à l’autre (tout comme le nombre d’allergènes). Enfin, les réactions varient d’une personne à l’autre, car la sensibilité individuelle à la réaction vis-à-vis de la piqûre n’est pas identique chez tout le monde.
Soulignons que l’histamine n’intervient pas que lors d’une piqûre de moustique. Cette molécule joue également un rôle important lors des réactions allergiques, notamment en réaction au pollen, au latex ou à certains aliments. Elle est ainsi responsable de symptômes allergiques tels que l’écoulement nasal, les larmes, les rougeurs sur la peau, les démangeaisons… Ce qui peut, dans de très rares cas, avoir certaines conséquences après une piqûre de moustique.
La piqûre de moustique s’estompe généralement en quelques jours, elle n’est donc pas réellement dangereuse en soi et provoque majoritairement des démangeaisons. Restant localisées au niveau de la peau, elles peuvent parfois être importantes chez les plus sensibles d’entre nous.
Si les complications sont rares, certaines personnes présentent néanmoins un risque plus élevé de forte réaction allergique, voire de chocs anaphylactiques, notamment les enfants n’ayant pas encore acquis de tolérance naturelle vis-à-vis des piqûres de moustiques .
Dans de très rares cas, les piqûres provoquent un syndrome de Skeeter , une réaction systémique inflammatoire associée avec une fièvre parfois accompagnée de vomissements et de troubles respiratoires. Ce syndrome résulte d’une réaction d’hypersensibilité due à la production d’anticorps (les immunoglobulines E, ou IgE, et G, ou IgG) dirigés contre certains composants de la salive des moustiques.
Il existe de nombreux produits commercialisés et de nombreuses recettes « maison » pour atténuer la piqûre et les démangeaisons associées. Citons notamment l’utilisation d’un tissu imbibé d’eau chaude sur la piqûre ou à l’inverse d’un glaçon ou encore des compresses alcoolisées et certaines huiles essentielles.
Les pommades antihistaminiques ou les antihistaminiques par voie orale sont bien souvent très efficaces. Les pommades à base de corticostéroïdes sont également utilisées . Elles aident à diminuer les démangeaisons et les gonflements, consécutifs de la réaction inflammatoire.
Mais le problème principal lié à la piqûre ne réside pas dans les rares complications ou dans le désagrément que causent les démangeaisons, même si l’inconfort qui en résulte est indéniable.
En effet, dans certains cas, le moustique ne vient pas seul. Selon les région
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