Les pervers doivent être dirigés

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Les 3 étapes pour se reconstruire après une relation avec un pervers narcissique





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Après avoir mis fin à une relation toxique, on pense généralement que le plus dur est fait. Mais ensuite vient une autre étape, celle de la reconstruction, afin de vivre à nouveau. J’aimerais donc dans cet article vous parler des 3 grandes étapes à suivre après la fin d’une relation toxique, celles qui vous permettront de revivre et redevenir la meilleure version de vous-même. En effet, une relation toxique peut nous détruire, mais peut aussi permettre de nous renforcer et nous grandir.
La première grande étape, c’est se pardonner. Se pardonner d’être restée trop longtemps avec cet être toxique, se pardonner de ne pas avoir vu, ou d’avoir vu mais de ne pas avoir agi. Se pardonner aussi d’avoir été trop naïve ou trop gentille et d’avoir toléré l’inacceptable. Je ne rentrerai pas dans les détails de ce processus, mais il est important de se pardonner à soi-même.
Certains diront qu’il faut lui pardonner à lui, mais je répondrai que ce n’est pas le plus important. Le plus important – et le plus difficile aussi – c’est de se pardonner à soi, de se débarrasser de cette culpabilité latente et de cette petite voix qui nous dit « Tu aurais dû », de cette petite voix qui nous rattache au passé, comme si une partie de nous vivait toujours avec cet être toxique que l’on a quitté. Lorsqu’on ne se pardonne pas, on revit sans cesse le passé en essayant de changer les choses.
Il est normal d’éprouver de la rancœur, d’avoir un certain esprit de vengeance du genre « J’espère que la vie va lui en mettre plein la gueule, ce sera bien fait pour lui ». Ce ressentiment, encore une fois, va vous rattacher au passé et va porter votre attention sur lui. Cela va lui donner de l’énergie, alors que l’énergie doit être dirigée vers vous.
D’autre part, vous devez vous libérer de toute cette colère que vous portez en vous, tout ce ressentiment. Pointer sans cesse du doigt ses fautes fait de lui une personne « normale » alors que vous savez bien que ce n’est pas une personne normale, c’est un pervers narcissique. Il n’agit pas de façon raisonnée, il est plutôt proche de la folie, donc cela ne sert à rien de faire une fixation sur ses fautes ou ce qu’il aurait dû faire ou ne pas faire. Il a agi comme il l’a fait uniquement parce qu’il a un problème. Vous devez à tout prix garder cette énergie pour vous reconstruire, pour revivre. Concentrez cette énergie sur vous, et uniquement sur vous.
C’est très important et je trouve que l’on ne parle pas assez de cet aspect. On essaie souvent de minimiser ce qui nous est arrivé, de se dire que ce n’est pas si grave que cela, afin de pouvoir continuer à avancer. On se dit que l’important c’est d’avoir réussi à quitter ce pervers narcissique.
En fait, cette relation nous a fait du mal, nous a causé des traumas. Il nous a traumatisé avec ses attaques, sa méchanceté et ses humiliations. Et comme tout cela a duré un certain temps, et s’est répété plusieurs fois, cela a créé un stress post-traumatique. Des personnes viennent me voir longtemps après une relation traumatique, cinq, sept, voire dix ans après. Ils pensent que tout cela est derrière eux et qu’ils vont pouvoir aller mieux. Je leur réponds que les traumas sont toujours présents, ils sont toujours dans la tête, dans le corps. Il faut donc avant tout s’en débarrasser avant de pouvoir se reconstruire, c’est quelque chose de très important.
Il existe donc trois grandes étapes pour se reconstruire : la première, c’est se pardonner à soi-même ; la deuxième, c’est de se libérer la culpabilité et d’en vouloir à l’autre, d’autant que la personne toxique a énormément joué sur le sentiment de culpabilité au cours de la relation, en vous faisant croire que tout était de votre faute, que c’est vous qui étiez la mauvaise personne. Il a réussi à semer le doute dans votre esprit ; la troisième, c’est se libérer des abus émotionnels, des traumas, des croyances ou des conditionnements que l’on a reçu dans notre jeunesse, surtout si on a été élevé par des parents eux-mêmes toxiques qui nous ont fait croire que tout était noir, que les gens sont méchants, que l’on ne réussira jamais à rien dans la vie…
J’espère que cet article vous a plu. Si c’est le cas, n’hésitez pas à le partager et à me faire part de vos commentaires. À bientôt !
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Pourquoi sommes-nous dirigés par tant d’hommes incompétents ?
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Chief Talent Scientist chez ManpowerGroup, professeur de psychologie du travail et des organisations à l’University College de Londres et à l’université de Columbia et membre associé de l’Entrepreneurial Finance Lab d’Harvard. Il est l’auteur de « Why Do So Many Incompetent Men Become Leaders ? (And How to Fix It) » (Harvard […]
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Pour rendre compte de la sous-représentation des femmes aux postes de direction, trois explications sont régulièrement avancées : (1) elles n’en sont pas capables ; (2) cela ne les intéresse pas ; (3) elles sont intéressées et capables, mais ne réussissent pas à briser le plafond de verre, cette barrière invisible faite de préjugés qui les cantonne dans des rôles mineurs. Les conservateurs et les phallocrates brandissent en général le premier argument ; les progressistes et les féministes le troisième ; ceux à cheval entre les deux positions préfèrent généralement le second. Et si la cause se situait encore ailleurs ?
Selon moi, la principale raison est à rechercher du côté de notre incapacité à distinguer la confiance de la compétence. Comme nous (les gens en général) avons l’habitude d’interpréter la confiance en soi comme un signe de compétence, nous sommes amenés à penser que les hommes font de meilleurs dirigeants que les femmes. En d’autres termes, quand on parle de leadership, le seul avantage que les hommes ont sur les femmes (de l’Argentine à la Norvège en passant par les Etats-Unis et le Japon ) est que l’expression de l’hubris – la plupart du temps interprétée comme une marque de charisme ou de charme – est souvent confondue avec le potentiel de leadership et qu’elle est beaucoup plus fréquemment observée chez les hommes que chez les femmes.
Ceci est confirmé par des études qui montrent que les groupes privés de meneur ont naturellement tendance à se choisir des leaders centrés sur eux-mêmes, narcissiques et présomptueux, autant de caractéristiques plus masculines que féminines. Dans la même veine, Freud soutenait que le processus psychologique en jeu dans le leadership est le fruit d’un transfert du narcissisme d’individus constituant un groupe sur celui du chef qu’ils se donnent, si bien que l’amour pour ce dirigeant est en fait une forme masquée d’amour pour eux-mêmes ou un substitut à l’amour qu’ils ne parviennent pas à ressentir pour leur propre personne. « Le narcissisme d’autrui, écrivait-il, attire fortement ceux qui ont en partie renoncé au leur… comme si nous leur envions leur état d’esprit positif. »
Ce qui est certain, c’est qu’ un peu partout dans le monde , les hommes ont tendance à penser qu’ils sont plus intelligents que les femmes. Pourtant, l’arrogance et l’excès de confiance en soi sont inversement proportionnels aux dispositions pour le leadership, autrement dit à la capacité à bâtir et cultiver des équipes performantes et à inspirer les suiveurs à mettre de côté leurs agendas personnels pour se consacrer à l’intérêt commun du groupe. De fait, que ce soit dans le sport, en politique ou dans le monde professionnel, les meilleurs dirigeants sont en général humbles , une qualité que l’on retrouve bien plus souvent – que ce soit par nature ou par éducation – chez les femmes que chez les hommes. On sait aussi que les femmes font montre de davantage d’intelligence émotionnelle que les hommes , ce qui est un facteur prédictif de comportements modérés. Une étude quantitative sur les différences de personnalité entre genres menée auprès de plus de 23 000 individus issus de 26 cultures différentes a ainsi montré que les femmes sont plus sensibles, attentionnées et humbles que les hommes, ce qui n’étonnera probablement personne. Et lorsque l’on prend en compte les côtés sombres de la personnalité , une image encore plus claire se dégage : les données normatives que nous avons collectées dans quarante pays auprès de milliers de dirigeants issus de toutes sortes de secteurs différents indiquent que les hommes sont systématiquement plus arrogants, manipulateurs et portés à prendre des risques que les femmes.
L’implication paradoxale de ces résultats est que ce sont les mêmes caractéristiques psychologiques qui expliquent l’ascension professionnelle des hommes et leur chute. Autrement dit, les caractéristiques dont il faut faire montre pour obtenir un poste de direction sont non seulement différentes, mais aussi à l’opposé de celles requises pour réussir. Résultat, pléthore d’incompétents sont promus à de tels postes au détriment d’individus mieux qualifiés. Sans surprise, on notera également que bon nombre des caractéristiques attribuées aux « leaders » se retrouvent couramment chez les individus qui souffrent de troubles de la personnalité tels que le narcissisme (Steve Jobs et Valdimir Poutine), la psychopathie (je vous laisse ici choisir le nom de votre despote préféré), la théâtralité (Richard Branson et Steve Balmer) ou le machiavélisme (quasiment tous les politiciens au niveau national). Ce qui est triste, ce n’est pas tant que ces personnalités ne soient pas représentatives du manager moyen, mais que le manager moyen échouera précisément à cause de ces traits de caractère qui lui auront permis de se hisser au sommet.
En fait, la plupart des leaders – que ce soit en politique ou en entreprise – échouent. Cela a toujours été le cas : la majorité des pays, des entreprises, des sociétés ou des organisations sont mal dirigés, comme le montre leur longévité, leur chiffre d’affaires, leur taux d’approbation ou la façon dont les jugent leurs citoyens, leurs subordonnés ou leurs membres. La capacité à être un bon leader a toujours été l’exception, pas la norme. Il me semble donc étrange qu’une bonne partie du débat récent sur ce que devraient faire les femmes pour s’imposer se soit focalisé sur les différentes manières de les inciter à davantage adopter ces traits de caractère dysfonctionnels associés au leadership. Certes, ce sont souvent des individus dotés de tels traits que nous choisissons comme dirigeants, mais est-il souhaitable de continuer ainsi pour autant ?
La plupart des traits de caractère réellement avantageux pour être un leader efficace sont surtout présents chez les individus qui n’impressionnent pas autrui avec leurs talents de manager. Ce qui se retrouve particulièrement souvent chez les femmes. Nous disposons maintenant de preuves scientifiques qui indiquent que celles-ci sont plus susceptibles que les hommes d’adopter des stratégies de leadership plus efficaces. La psychologue sociale Alice Eagly et ses collègues ont notamment montré, à partir d’une revue du corpus d’études consacrées à ce sujet, que les dirigeantes étaient plus à même que leurs homologues masculins d’être respectées par leurs subordonnées et admirées d’eux, de les récompenser équitablement, de les faire monter en compétences et de les guider, de communiquer clairement leur vision et, enfin, d’adopter des méthodes de résolution de problème plus créatives et plus souples (toutes des caractéristiques liées au leadership transformationnel). A l’inverse, les managers masculins sont statistiquement moins susceptibles de se lier avec leurs subordonnés et de récompenser leur travail à sa juste valeur. Ces résultats portent peut-être la marque d’un biais d’échantillonnage dû au fait que les femmes leaders doivent être plus compétentes et qualifiées que leurs homologues masculins pour accéder à des postes de direction, mais tant qu’il en sera ainsi, l’existence de ce biais ne pourra pas plus être avérée que réfutée.
En définitive, il est indéniable que de nombreux obstacles continuent à se dresser en travers des parcours professionnels des femmes et que le plafond de verre est toujours bien en place. Mais il existe un problème bien plus grave : les facilités dont bénéficient les hommes incompétents pour évoluer dans leur carrière et notre tendance à associer le leadership à des caractéristiques psychologiques qui font d’un homme ordinaire un bien moins bon leader qu’une femme ordinaire. En conséquence, on se retrouve face à un système pervers qui récompense les hommes pour leur incompétence et qui punit les femmes pour leurs compétences, tout cela au détriment du bien commun.

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Harvard Business Review Août-septembre 2022
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La première grande étape, c’est se pardonner. Se pardonner d’être restée trop longtemps avec cet être toxique, se pardonner de ne pas avoir vu, ou d’avoir vu mais de ne pas avoir agi. Se pardonner aussi d’avoir été trop naïve ou trop gentille et d’avoir toléré l’inacceptable. Je ne rentrerai pas dans les détails de ce processus, mais il est important de se pardonner à soi-même.
Certains diront qu’il faut lui pardonner à lui, mais je répondrai que ce n’est pas le plus important. Le plus important – et le plus difficile aussi – c’est de se pardonner à soi, de se débarrasser de cette culpabilité latente et de cette petite voix qui nous dit « Tu aurais dû », de cette petite voix qui nous rattache au passé, comme si une partie de nous vivait toujours avec cet être toxique que l’on a quitté. Lorsqu’on ne se pardonne pas, on revit sans cesse le passé en essayant de changer les choses.
Il est normal d’éprouver de la rancœur, d’avoir un certain esprit de vengeance du genre « J’espère que la vie va lui en mettre plein la gueule, ce sera bien fait pour lui ». Ce ressentiment, encore une fois, va vous rattacher au passé et va porter votre attention sur lui. Cela va lui donner de l’énergie, alors que l’énergie doit être dirigée vers vous.
D’autre part, vous devez vous libérer de toute cette colère que vous portez en vous, tout ce ressentiment. Pointer sans cesse du doigt ses fautes fait de lui une personne « normale » alors que vous savez bien que ce n’est pas une personne normale, c’est un pervers narcissique. Il n’agit pas de façon raisonnée, il est plutôt proche de la folie, donc cela ne sert à rien de faire une fixation sur ses fautes ou ce qu’il aurait dû faire ou ne pas faire. Il a agi comme il l’a fai
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