Les nounous sont aussi pour les adultes

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Publié le

25/01/2015 à 09:46
| Mis à jour le

02/06/2017 à 13:24



C'est la première fois que Gisèle Murgue, assistante maternelle chevronnée, est confrontée à une absence totale d'enfants à garder. « J'attends depuis le mois d'août dernier. »

© (Photo Patrick Lavaud)

Si le nombre d’assistants maternels a sensiblement augmenté depuis quelques années dans la Vienne, le nombre de places a, en revanche, fait un bond.
Les parents aiment familièrement les nommer « nounous », du diminutif de nourrice ; un mot qui n'est plus usité depuis des décennies. Aujourd'hui, l'assistante maternelle se conjugue aussi au masculin et elles/ils sont même guidés par le Syndicat des assistants maternels ou assistants familiaux (SPAMAF). Dans la Vienne, le conseil général en comptabilise 3.633 sur l'ensemble du département, avec des « concentrations » importantes dans certaines communes ou quartiers. C'est le cas notamment dans le quartier Saint-Eloi/Breuil-Mingot de Poitiers, dans lequel il y a le plus important contingent de « nounous », 70 exactement.
" J'accepte les week-ends et horaires décalés "
Gisèle Murgue habite le quartier et propose ses services, dans ce quartier, depuis mars 2009. C'est à la suite d'un licenciement économique en 1997 qu'elle fait la demande d'un agrément. « J'avais deux enfants et j'ai eu un agrément pour garder deux enfants. J'ai commencé en région parisienne avant que mon mari ne soit muté à Poitiers en 2003. » Arrivée dans la Vienne, elle réitère sa demande d'agrément qu'elle obtient. A cette époque-là, elle n'a aucune difficulté à travailler même si certains parents n'ont pas été très « réglo ». Après une parenthèse de près deux ans (2006-2007), période au cours de laquelle elle a travaillé au centre Laborit, notre nounou chevronnée décide de déposer une nouvelle fois sa candidature à l'agrément, qu'elle obtient pour deux enfants puis quatre ensuite. Pendant cinq ans, elle rencontre bambins et parents sans difficulté jusqu'à l'été dernier. « Il est vrai qu'une crèche s'est ouverte dans le quartier , commente Gisèle Murgue. Et on ressent aussi les effets de la crise. Certaines personnes, en congé parental, gardent aussi des enfants. Les parents ont beaucoup de choix. » En effet, certains parents doivent même être assez dépassés par le nombre de propositions, uniquement sur ce quartier. Comment faire une « sélection » ? Sur quels critères ? Le lieu géographique, les horaires, le cadre, les activités mais aussi sur le feeling… Gisèle se met souvent à la place des parents. « J'accepte de garder des enfants le week-end, pendant les vacances scolaires, tout comme dès le matin 6 h, précise-t-elle. Et le soir, si des parents ont besoin jusqu'à 21 h 30, ce n'est pas un problème. » Dévouée, humble et professionnelle… Voilà qui devrait rassurer des parents encore hésitants.

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Si le nombre d’assistants maternels a sensiblement augmenté depuis quelques années dans la Vienne, le nombre de places a, en revanche, fait un bond.
Les parents aiment familièrement les nommer « nounous », du diminutif de nourrice ; un mot qui n'est plus usité depuis des décennies. Aujourd'hui, l'assistante maternelle se conjugue aussi au masculin et elles/ils sont même guidés par le Syndicat des assistants maternels ou assistants familiaux (SPAMAF). Dans la Vienne, le conseil général en comptabilise 3.633 sur l'ensemble du département, avec des « concentrations » importantes dans certaines communes ou quartiers. C'est le cas notamment dans le quartier Saint-Eloi/Breuil-Mingot de Poitiers, dans lequel il y a le plus important contingent de « nounous », 70 exactement.
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Gisèle Murgue habite le quartier et propose ses services, dans ce quartier, depuis mars 2009. C'est à la suite d'un licenciement économique en 1997 qu'elle fait la demande d'un agrément. « J'avais deux enfants et j'ai eu un agrément pour garder deux enfants. J'ai commencé en région parisienne avant que mon mari ne soit muté à Poitiers en 2003. » Arrivée dans la Vienne, elle réitère sa demande d'agrément qu'elle obtient. A cette époque-là, elle n'a aucune difficulté à travailler même si certains parents n'ont pas été très « réglo ». Après une parenthèse de près deux ans (2006-2007), période au cours de laquelle elle a travaillé au centre Laborit, notre nounou chevronnée décide de déposer une nouvelle fois sa candidature à l'agrément, qu'elle obtient pour deux enfants puis quatre ensuite. Pendant cinq ans, elle rencontre bambins et parents sans difficulté jusqu'à l'été dernier. « Il est vrai qu'une crèche s'est ouverte dans le quartier , commente Gisèle Murgue. Et on ressent aussi les effets de la crise. Certaines personnes, en congé parental, gardent aussi des enfants. Les parents ont beaucoup de choix. » En effet, certains parents doivent même être assez dépassés par le nombre de propositions, uniquement sur ce quartier. Comment faire une « sélection » ? Sur quels critères ? Le lieu géographique, les horaires, le cadre, les activités mais aussi sur le feeling… Gisèle se met souvent à la place des parents. « J'accepte de garder des enfants le week-end, pendant les vacances scolaires, tout comme dès le matin 6 h, précise-t-elle. Et le soir, si des parents ont besoin jusqu'à 21 h 30, ce n'est pas un problème. » Dévouée, humble et professionnelle… Voilà qui devrait rassurer des parents encore hésitants.


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