Les membres du conseil baisent à une conférence

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Les membres du conseil baisent à une conférence





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Conseils pour une conférence gesticulée

20 bis, rue du département, 75018 Paris
Tél.+33(0)1 40 05 01 50
legrandparquet@legrandparquet.net
et
La Godais - 35430 Gahard
Tél : 02.99.45.73.48
scoplepave@gmail.com
Avec le soutien
du Conseil Régional d’Ile de France
Présentent
Résidence d’écriture
Conférences gesticulées
Janvier-juin 2010
1
Historique de l’action
En 1998, André Benedetto, directeur du Théâtre des Carmes à Avignon, croisait Franck
Lepage dans un colloque et lui conseillait « de monter sur une scène de théâtre plutôt que de
rester sur les tribunes de colloque ». En 2004, ce même André Benedetto, acceptait donc
d’accueillir la tentative de Franck Lepage de monter sur scène pour témoigner de son
expérience. Inculture(s) 1 était née, suivie en 2006 d’Inculture(s) 2, puis d’autres tentatives
encore plus tard..
En janvier, le théâtre du grand parquet à proposé à Franck Lepage et à la SCOP Le Pavé une
résidence d’écriture de six mois pour peaufiner Inculture(s) 2, mais rapidement l’idée
d’inviter quiconque en aurait le désir, de réaliser sa propre conférence gesticulée est apparue
plus intéressante.
Un appel à candidatures a été lancé. Nous estimions que 5 ou 6 conférences pouvaient être
présentées fin juin. Mais dés le début l’intention initiale a été débordée par le nombre de
volontaires.
Il nous faudra donc reconsidérer notre mode de travail :
1 – un accompagnement individuel léger (conseil à l’écriture ou au jeu)
2 – des séminaires de travail collectifs, des petits groupes thématiques
3 – une première présentation mutuelle des travaux en l’état, deux week-ends de juin.
4 – Les conférences publiques scéniquement abordables, entre le 15 et le 30 juin.
5 – une poursuite des travaux après juin, vers décembre ou le courant de l’année 2011.
Pour l’accompagnement individuel des amis qualifiés ont accepté d’embarquer dans l’histoire
et de prêter leur concours. Vous aurez donc peut-être la chance de travailler également avec :
Rafaële Arditti. « Sarkophonie ». Formatrice Clown.
http://le.gendarme.free.fr
Fabienne Brugel :Théâtre NAJE – « Les impactés » (Orange) Formatrice théâtre forum.
http://www.naje.asso.fr
François Gosjean, (Théâtre du Grand Parquet)
http://www.legrandparquet.net
Nicolas Lambert (« ELF La Pompe Afrique ») Association Un pas de côté
http://www.unpasdecote.org/UnPasdeCote/Accueil.htm
Franck lepage, (SCOP Le Pavé)
http://www.scoplepave.org
Jean Paul Ramat, (Théâtre NAJE – Nous n’Abandonnerons Jamais l’Espoir) idem.
http://www.naje.asso.fr
2
Planning Indicatif
Retenez les dates suivantes :
Dernières présentations des conférences du Pavé :
Mercredi 10 mars : Inculture(s) 5 / le travail / Franck lepage et Gaël Tanguy (Grand Parquet)
Samedi 13 mars : Inculture () 1 : MJC Palaiseau (92)
Dimanche 14 mars : Inculture(s) 3 / L’engagement / Avec « les incultes »…travail collectif.
Mercredi 17 mars : Inculture(s) 2 / L’école : Franck Lepage.
Séances de travail :
Dimanche 25 avril : séminaire commun de rencontre de tous les gesticulants.
Bloquez votre dimanche! Décommandez le repas dans votre belle famille, le tour du lac
Daumesnil à la rame, les moules au Tréport ou Avatar en cachette.
Indiquez nous vos disponibilités à ces dates :
Du 26 au 30 Avril : Semaine de travail en accompagnement individuel ou collectif
Du 17 au 21 mai : Semaine de travail en accompagnement individuel ou collectif
Du14 au 18 juin : Semaine de travail en accompagnement individuel ou collectif
19 et 20 juin : 1er Week end de présentation des travaux
du 21 au 28 : semaine de travail en accompagnement individuel ou collectif
26 et 27 juin : 2ème Week end de présentation des travaux
Afin de vous donner une idée des propositions en cours, nous vous adressons ci-après une
liste des amis et personnes ayant donné un accord de principe. Cette liste n’est ni exhaustive
ni définitive. Elle n’est présentée qu’à titre indicatif
3
Candidatures spontanées ou sollicitées…
Liste exclusive des personnes ayant donné un accord de principe.
De nombreux autres contacts non encore aboutis sont en cours.
Thème
Personne
coordonnées
Rapports de genre
rapport H/F, Education genre,
stéréotypes sociaux
Rapports de genre
Rapports de genre (2)
Fabrice Tanguy
educ spe,
théâtre du fil
Yvelise Bandecchi
Peut-être avec un homme
féministe
(régis) ?
06 99 66 15 65
fabrice.tanguy@yahoo.fr
02 43 39 99 84 (après 21h)
06 30 84 02 58.....
02 43 88 16 74.......
02 40 52 44 05 ou 18
« Les pressoirs » 72210 Louplande
Avec groupe de CEPJ
Conférence prête en avril.
Ronan (…)
02 98 99 71 78 Plouyé (29)
Jérôme Guillet. Suite à la
conférence sur la
consommation, (ce qu’on
nous fait….
06 03 44 79 52
02 47 05 05 88
jerome.guillet@matieresprises.org
jeromeguillet37@gmail.com
Stéphane Lazarecre
Ex directeur artistique
06 42 12 74 96 :
sté phane@lignesdirectes.org
formation pro. ANPE privée.
Bureau de placement / plans
sociaux.
Management
Démarche Qualité
Virginie Dupressoir
06 20 48 39 84 :
virginie.dupressoir@orange.fr
FISCALITE MEDEF
L’exemple de la mobilisation des
intermittents
Laurent LEDERER
comédien / ex-ingénieur
06 73 37 60 29: le2rer@gmail.com
Capitalisme vert
Traitement de l’image
Arts plastiques
Sabine JAUFFRET
ZA le pré grand, rue Jean Jaurès
81 400 Carmaux
05 63 43 01 86 / 06 30 45 22 73
sabjau@wanadoo.fr
Fragilité masculine
Intimation des rôles sociaux
ART - CULTURE
« Nouveaux territoires de l’Art »
ENTREPRISE /
CAPITALISME
Alexia Morvan
06 37 93 68 73
Annaïg Mesnil
06 43 71 26 02
alexia.morvan@wanadoo.fr
annaigmesnil@yahoo.fr
4
Développement durable
contradictions -
Mickaël Bodergat
06 50 17 21 33 :
mickaelbodergat@yahoo.fr
travail, santé, rapport de
pouvoir
Blaise Porcheron
06 20 86 90 93
blaise.porcheron@gmail.com
toxicomanie
Laurence Rousselet
Association Le Triangle - 18,
Rue de Bouillé - 44000
NANTES
Nantes
laurencerousselet@yahoo.fr
02 40 20 43 04
Politique de la ville
Acccès au droit / Milieu
associatif /
Noémie Baltazart
06 11 37 28 14 :
noemie.baltazart@yahoo.fr
www.Justiceetville.fr
Conseiller éducation nationale
Pierre Muratet
lance.strapontin@gmail.com
Pédagogie Freinet
Véronique Decker
l'école
Pauline Christophe :
institutrice
v.decker@laposte.net
06 83 25 22 87
06 70 38 20 16
christophe.pauline@gmail.com
Communisme
Jean Jacques Barey
jean-jacques.barey@wanadoo.fr
Communisme
Leila Cukierman
lcuk@free.fr
Prison
Comité Métallos
Annaïg Mesnil
Joëlle Morel.
annaigmesnil@yahoo.fr
122 rue Oberkampf 75011
06 84 90 72 16
joelle.morel4@wanadoo.fr
Publicité / perte du sens
Natalie Froissart
06 76 41 63 06 :
natfroissart@noos.fr
http://natcom.potentiel.fr
Lute contre le sida /
Contradictions du
sidaction.
Frédérique Viaud
06 15 04 75 25 :
eloges.et.charivari@hotmail.fr
PSYCHIATRIE
TRAVAIL SOCIAL
EDUCATION - ECOLE
SOCIETE
5
AGRICULTURE
CLIMAT
ECOLOGIE
Agriculture
Cécile dubart
Terre de liens
03 20 42 95 44
03 20 74 43 83
06 03 17 76 67
tdl5962@gmail.com
Fabrice - Perpignan
faboufabou@hotmail.com
06 11 33 75 84
06 11 33 75 84
mathieu.doray@gmail.com
Nantes / Ifremer.
Daily motion.
28 rue des marguerites
91 160 Longjumeau
06 33 91 71 17
cultures.robinson91@orange.fr
conférence sur le climat :
Climat d'urgence :
Mathieu Doray :
Développement durable.
(contradictions)
Robin : Association
Intermèdes
Solidarité internationale
Education au développement.
(contradictions)
Somoza Alec
aleqoh@yahoo.fr
06 64 20 97 25
Personnes ressources
Thème
Aide à la mise en scène /
jeu d’acteurs
Aide à l’écriture
Aide au jeu
Personne
Coordonnées
Pierre Frenkiel
Rafaële Arditi
01 45 41 23 42
06 80 87 99 00
rafaelearditti@free.fr
Aide à l’écriture et au jeu
Fabienne Brugel
Théâtre NAJE
fabienne.brugel@wanadoo.fr
Aide au jeu
Nicolas Lambert
06 09 75 26 45
nicolas@unpasdecote.org
6
Conseils pour une conférence gesticulée
Une conférence d’accord, mais pourquoi « gesticulée « ?
On pourrait définir la conférence gesticulée comme la rencontre entre des savoirs chauds et des savoirs
froids. Cela ne donne pas un savoir tiède, cela donne un orage !
Les savoirs « chauds » : savoirs « illégitimes », savoirs populaires, savoirs politiques, savoirs de
l’expérience…savoirs utiles pour de l’action collective…d’où l’idée « d’inculture », ou encore de
« conte politique non autorisé »…s’il faut faire partie du CNRS pour être autorisé à poser une parole
publique en France sur un sujet, du coup, ce qu’on a compris pendant 20 ans d’activité ne vaut pas
grand-chose et n’a que le statut méprisé d’« états d’âme ».
Les savoirs « froids » : L’université publie d’excellentes analyses politiques, sociologiques, sur tous
les sujets dont nous avons besoin…Boltanski et Bourdieu sur la culture du capitalisme, Castels sur le
social, Eme et Wuhl sur l’insertion, Dubet sur l’école, Donzelot sur la Ville…comment se fait il que
ces savoirs ne servent à rien dans la mobilisation et l’action collective ? Les « acteurs » sociaux ne
lisent pas ou peu la production des intellectuels, qui elle-même ne rencontre pas ou peu le travail des
acteurs sociaux.
On pourrait rétorquer que les assistantes sociales n’ont qu’à aller dans les colloques mais quand donc
les colloques s’intéresseront ils au travail de l’assistante sociale ? Et à Quelle occasion aurons nous la
chance de nous faire raconter, expliquer, et analyser le travail d’une assistante sociale, auquel – il faut
bien le dire – nous ne connaissons rien !
L’idée de la conférence gesticulée est celle d’une transmission, qui n’est JAMAIS autorisée, jamais
organisée : la transmission de l’expérience collective, (c'est-à-dire politique) que nous emmagasinons
au fil de notre expérience.
La conférence gesticulée est une arme que le peuple se donne à lui-même. C’est une forme
volontairement pauvre, pour ne pas être parasitée par des considérations « culturelles » où l’esthétique
prendrait le pas sur le politique. Permettre à autrui d’entrer dans notre subjectivité et d’y atteindre
l'universel et donc le politique. Dévoiler les systèmes de domination à l’œuvre tels que nous les avons
vécus et rassembler des savoirs utiles pour l'action collective
1 – Le contenu
-
Un récit personnel, des anecdotes autobiographiques, qui illustrent et rendent « véridiques »
les analyses. Le pouvoir de l’anecdote est réel.
Un commentaire politique analysé du problème en question (les savoirs « chauds »)…ce que
j’ai compris moi-même. Mes réflexions.
Des apports extérieurs universitaires sur la question les savoirs »froids)…ce que d’autres en
ont dit. On apprend quelque chose.
Une dimension historique : l’historicité c’est le rappel de la marge de manœuvre, c’est de
comprendre comment le problème s’est construit.
2 – la forme
Raconter des histoires vécues qui font réfléchir en y apportant nos éclairages et prolongements (vers
l’action). Elle emprunte à la convention spectaculaire. Pourtant ce n’est pas de « théâtre » à
proprement parler dont il s’agit. Il s’agit d’un moment militant. Subjectif. Radical. Il vise à
7
communiquer une émotion : colère ou enthousiasme, tristesse ou amertume…on n’est pas dans le seul
registre de l’intellect. Il s’agit de partager de l’intime ! Tout est permis ! pédagogie de l’intimité : pour
l’humour (sketch, autodérision, mise à mal de l’image de l’expert … par quelle scène commencer à
mettre le pied à l’étrier de la conférence qui nous positionne dans cette intimité ?
3 - Comment travailler ?
L’idéal est de maîtriser un sujet….c’est à dire de pouvoir en parler librement sans préparation…
comme dans une conversation de repas ou de bistrot. C’est pour cela que les souvenirs ancrés dans
une pratique professionnelle longue sont favorables…pour prendre des exemples, une responsable
d’une association Freinet, peut parler sans trop préparer de la pédagogie Freinet. IDEM pour une
assistante sociale sur le RSA, ou une Infirmière psy sur la psychiatrie, etc.… ce n’est pas une
condition rédhibitoire, mais nous n’avons pas encore essayé de conférence sur un sujet sur lequel il y a
tout à apprendre et à découvrir : par exemple : « je voudrais faire une conférence sur la banque »,
parce que je pense que c’est important, mais je n’y connais rien…il va falloir se lancer dans un travail
d’enquête et de documentation. Pourquoi pas, il n’y a pas contre-indication, mais probablement une
difficulté supplémentaire.
a – Créer un archipel…on verra plus tard comment le premier. Identifier et lister les « bouts » de trucs
à dire. Ce que l’on veut absolument dire ! Ne pas chercher un ordre ou des transitions, cela procèdera
plus tard du processus de construction d’un « récit »…on n’en est pas là ! Établir une liste ! S’aider
pour cela en pensant à des choses que l’on a souvent racontées, ou que l’on raconte encore souvent :
des anecdotes, des bouts de théorie, etc…qui constituent notre discours et noter fonds militant, notre
culture…
b) Ne pas hésiter à mêler deux histoires qui n’ont apparemment rien à voir…et tenter une métaphore.
On sera là pour aider.
- l’ascension sociale et le parapente (inculture 2)
- la culture et le jardinage (inculture 1)
c) Trouver un début…
par quelle scène commencer à mettre le pied à l’étrier de la conférence qui nous positionne dans cette
intimité partageable ? L’idée du début entraîne souvent la situation générale : « Tiens si je jouais ça
dans un bistrot »…ou « Tiens, si je faisais comme si j’étais en panne dans ma voiture »…
d) trouver une fin…sur quel message voulons nous faire atterrir le spectateur ?
e) trouver des transitions entre les îles de l’archipel, pour voir peu à peu émerger un récit…du calme
on a le temps.
etc.
Foire aux questions :
Ai-je besoin de savoir faire du théâtre ?
A mon sens non. Ce n’est pas de cela dont il s’agit, mais d’utiliser la convention spectaculaire
(quelqu’un debout sur une scène parle à des gens assis dans une salle en face) pour dire des choses
d’une façon un peu construite, et qui fasse « récit ». C’est pour cela que j’avais sous-titré la mienne
« petits contes politiques ». Il faut que « cela fonctionne » et que ça ne soit pas seulement une
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conférence ou un exposé. Mais les conteurs ont parfois très peu d’éléments scéniques. Notre rôle est
de vous aider à cela, et vous dire si « ça fonctionne » ou pas… Quelques amis ultra compétents dans la
direction d’acteurs se sont joints à nous pour donner un coup de main, vous aurez peut-être la chance
de travailler avec eux :
Fabienne Brugel et jean Paul Ramat du théâtre-forum « NAJE » (Nous n’Abandonnerons Jamais
l’Espoir)
Nicolas Lambert, (ELF La pompe Afrique) de l’association « un pas de côté
Raphaële Arditi, (Sarkophonie) animatrice d’ateliers clown.
François Grosjean, directeur du Grand Parquet
Franck lepage, conférencier gesticulant
Ai-je besoin d’être expert du sujet.
A mon sens non, mais d’avoir quelque chose à dire sur le sujet. C’est pour cela que j’avais également
sous-titré « …et autres récits non autorisés »…cela voulait dire qu’il n’y a que les chercheurs
estampillés CNRS qui ont la légitimité de s’exprimer sur un sujet en France. Selon nous il existe une
autre forme de légitimité issue de l’expérience. On pourrait parler aussi d’éducation populaire. Cela
étant, c’est bien de potasser le sujet du point de vue des gens qui ont produit des écrits théoriques sur
la question, car il est très agréable pour les spectateurs d’apprendre quelque chose, ou de se faire une
idée sur l’approche intellectuelle ou universitaire de la question. Une autre dimension à ne pas négliger
est la dimension historique du problème. D’où ça vient, où on en est… car l’historicité d’une
problèmen c’set aussi noter marge de manœuvre politique. Sinon, on erst en face d’une fatalité.
En Juin, ce serait à quelle date?
Ce n'est pas encore fixé mais à l'évidence une priorité sur les deux derniers week ends de juin. Toute la
quinzaine a été bloquée. Il nous reste à imaginer une programmation en fonction de l'avancée des
conférences des uns et des autres...en semaine, en journée, en séminaires, en week-ends, en
soirée...entre le 14 et le 30 juin.
Combien de temps cela doit-il, peut-il durer?
entre 45 minutes et...
je suggérerais (comme Benedetto me l'avais imposé) de viser une heure. Cela contraint et oblige à
faire des choix. Quitte à déborder une fois dans l'action. Une heure c'est une forme recevable pour un
spectateur, et cela donne une contrainte d'écriture acceptable. Je suis mal placé pour dire cela, car les
miennes durent trois heures. Mais cela m'oblige à capter l'attention des spectateurs par un travail de
relance permanent (par l'humour ou par des coups de théâtre sur le contenu ) qui s'avèrent exténuant.
Cela doit-il être auparavant écrit (c'est une résidence d'écriture, n'est-ce pas?) ? Et quand?
cette question est délicate. Chacun entretient un rapport particulier à l'écriture, et certains préfèrent
l'oralité et l'improvisation. Je n'en ferais pas personnellement une condition, mais à l'évidence il me
semble que c'est un facteur facilitateur.
On pourrait suggérer de procéder en plusieurs temps :
1) écrire un canevas. (les points que je veux raconter). Une liste !
2) développer certains de ces points par oral et par écrit (pendant le travail d’accompagnement,
notamment) S'assurer que chacun de ces points est un support d'improvisation ne présentant aucune
difficulté...(je peux en parler de façon fluide)
3) Tenter des assemblages différents de ces différents points...dans quel sens pourrais-je les
enchaîner ?
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4) se les raconter dans sa tête ou à voix haute sous la douche ou en promenant son chien dans les
bois (mais pas dans le métro), développer certains points de ce canevas, au besoin en se faisant
interviewer et en dactylographiant, puis en corrigeant. Laisser les points délicats. La processus
d'écriture se réalise de conférence en conférence, et non pas une fois pour toutes avant.
5) Écrire (en revanche) l'introduction, les transitions, et la conclusion, de façon parfaite. Ce sont ces
éléments qui feront "récit". Pas d'impro sur l'introduction. Pas d'hésitation sur la conclusion, pas de
bâclage sur les transitions.
Quelle forme cela doit-il prendre ? Obligatoirement le one (wo)man show ?
C’est évidemment laissé à l’appréciation de chacun. Cela peut être seul, ou à deux, ou à plusieurs,
avec un dialogue, ou un musicien, ou une marionnette…
Comment va-t-on travailler dans l’atelier ?
Plus légèrement que prévu. Vous allez devoir faire l’essentiel du travail, ne vous attendez pas à être
pris par la main. Vous êtes trop nombreux ! Entre cinq personnes à bichonner (format initial), et
soixante génies à ne pas perdre de vue (tsunami actuel) , on change de catégorie d’accompagnement.
Plus sérieusement, on est là pour vous aider à faire en sorte que ce que vous proposiez « fonctionne »
du pont de vue du récit et de la convention scénique. Mais vous devez amener de la matière, on n’ira
pas la chercher. On n’a pas le temps.
Cela étant on dépasse juin, et il est hors de question qu’une fois engagés dans le processus de
réalisation d’une conférence, on vous laisse en plan. On débordera donc vraisemblablement sur 2011
pour aller jusqu’au bout des écritures.
Faites savoir le plsu rapidement possible vos disponibilité en fonction des dates :
-
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