Les jeunes ne disent jamais NON

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Les jeunes ne disent jamais NON
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Julie Barlow et Jean-BenoĂźt Nadeau, collaborateurs de longue date de L’actualitĂ©, se sont expatriĂ©s en France Ă  plusieurs reprises pour y approfondir l’un de leurs sujets de prĂ©dilection : la langue. De leur dernier sĂ©jour, ils ont tirĂ© un livre intitulé Ainsi parlent les Français, dans lequel ils dĂ©montrent que si les locuteurs de l’Hexagone parlent la mĂȘme langue que nous, ces derniers ne l’emploient pas nĂ©cessairement de la mĂȘme maniĂšre
 Dans cet extrait, les auteurs analysent un phĂ©nomĂšne qui mystifie les QuĂ©bĂ©cois : pourquoi les Français disent-ils toujours non, mĂȘme quand ils veulent dire oui ?
Toutes les cultures du monde ont leur maniĂšre de dire directement ou indirectement « non ». Les anglophones, et plus prĂ©cisĂ©ment les Britanniques, disent « I hear you » («je vous entends») pour annoncer un dĂ©saccord. Les Japonais ne disent jamais «non» Ă  un supĂ©rieur ou Ă  un client. À Tokyo, Kyoto ou Osaka, un commerçant Ă  qui l’on demande un article qu’il n’a pas en stock va tergiverser : «Laissez-moi voir si j’ai ça dans la rĂ©serve», «Je vĂ©rifie dans les catalogues», «C’est un peu compliqué». N’importe quoi pour Ă©viter d’avoir Ă  dire non Ă  un client. Par politesse, le client japonais rĂ©pond alors : «Ne vous en faites pas. Je sais oĂč le trouver ailleurs.» Et le marchand, soulagĂ©, lui dit : « Sayonara .»
Les Français, eux, disent «non», tout simplement. En fait, ils disent non pour tout, tout le temps, sans Ă©tat d’ñme. Ils vont dire non mĂȘme s’ils voudraient en rĂ©alitĂ© dire «oui». Tout l’art consiste Ă  comprendre les divers sens qu’un non peut prendre.
Il y a bien des façons de dire non pour un Français. Si les circonstances obligent Ă  ĂȘtre poli, ce sera «Je suis dĂ©solé», «Ça ne va pas ĂȘtre possible» ou d’autres formules Ă©tranges comme «C’est la France» (sur un ton exaspĂ©rĂ©) ou «Ça n’existe pas» (plus catĂ©gorique). Mais la plupart du temps, ils n’hĂ©sitent pas Ă  ĂȘtre trĂšs clairs : «Non», «Pas question», «Impossible».
Les Français disent tellement non Ă  tout propos qu’ils finissent par dire non Ă  non et par se contredire. C’est pourquoi ils ont dĂ» inventer une maniĂšre de dĂ©mĂȘler leurs conversations : cette solution, c’est «si», qui n’existe pas dans beaucoup de langues — et certainement pas en anglais. Les QuĂ©bĂ©cois, qui n’ont pas le non facile, connaissent le si, mais l’emploient trĂšs peu et souvent mal, car ils y voient une espĂšce de oui emphatique. C’est d’ailleurs ainsi que l’interprĂštent la plupart des Ă©trangers. «Si» n’est pas «oui» : il sert Ă  contredire une affirmation nĂ©gative. «Luc n’est pas venu ?» Dans le cas oĂč Luc est bien venu, la rĂ©ponse est «si». C’est clair, non ?
Le non, quelle que soit son expression, est un concept fondamental dans la mentalitĂ© des Français. De façon superficielle, il porte en lui une puissance dĂ©mocratique, comme un rĂ©flexe «rĂ©publicain» (au sens français du terme). AprĂšs tout, l’objet de la RĂ©volution est bien l’affirmation du droit irrĂ©vocable pour chaque citoyen de refuser. Le non Ă  la française a donc un petit air de revanche des petits, des obscurs et des sans-grades (d’aprĂšs la tirade de Flambeau dans L’aiglon, d’Edmond Rostand, 1900).
Paradoxalement, le non est aussi l’expression d’un autre principe fondamental aux Français, l’autoritĂ©. Tout ce qui n’a pas Ă©tĂ© autorisĂ© explicitement est refusĂ© par dĂ©faut. Les enfants sont formĂ©s trĂšs tĂŽt Ă  fonctionner dans ce cadre. Ceux qui mĂšnent ont le pouvoir de dire non, et ils ne s’en privent pas. C’est le pouvoir du fonctionnaire, du parent, de l’autoritĂ©. Une des grandes rĂ©formes de François Hollande, que nous avons vue entrer en vigueur en 2013, consistait Ă  modifier l’appareil administratif pour qu’il fonctionne Ă  partir du «oui». Une des 200 premiĂšres mesures de simplification administrative oblige l’État Ă  rĂ©pondre Ă  toute demande en 60 jours — ce qui, en soi, est une petite rĂ©volution. Et le gouvernement a mis la barre encore plus haut en dĂ©cidant que la rĂ©ponse par dĂ©faut serait oui, alors que depuis toujours c’était non — eh oui ! C’est le principe du «silence vaut accord», entrĂ© en vigueur en novembre 2014.
La raison fondamentale du non omniprĂ©sent est une crainte trĂšs puissante dans la sociĂ©tĂ© française, peut-ĂȘtre la plus profondĂ©ment ancrĂ©e : la crainte de la faute.
Pendant longtemps, nous avons cru, comme tous les Ă©trangers, que la propension des Français Ă  dire non Ă©tait une sorte de tropisme inexplicable qui ne suivait aucune logique particuliĂšre. Vus de l’extĂ©rieur, on dirait souvent que les Français disent non pour s’amuser et pimenter la conversation. Et c’est souvent le cas. Dans bien des cultures, notamment en AmĂ©rique du Nord (tant chez les francophones que chez les anglophones), le dialogue se fait d’un commun accord et on essaie de respecter une certaine harmonie. Pour les Français, un oui est un cul-de-sac. Un non franc manifeste plus de caractĂšre qu’un oui de complaisance. Mais cette dimension de «joute verbale» que prend le non omniprĂ©sent des Français est superficielle. Il y a en rĂ©alitĂ© autre chose.
Nous avons mis quelques annĂ©es Ă  comprendre que la raison fondamentale du non omniprĂ©sent est une crainte trĂšs puissante dans la sociĂ©tĂ© française, peut-ĂȘtre la plus profondĂ©ment ancrĂ©e : la crainte de la faute. Tout part de lĂ . C’est peut-ĂȘtre mĂȘme la crainte suprĂȘme de la sociĂ©tĂ© française. Il y en a plusieurs sortes : la crainte de ne pas savoir, la crainte du ridicule.
À chaque sociĂ©tĂ© ses peurs. Les Nord-AmĂ©ricains, eux, redoutent de ne pas ĂȘtre aimĂ©s et d’ĂȘtre rejetĂ©s. C’est universel. C’est ce qui explique les immenses sourires, mĂȘme dans les situations les plus dĂ©sespĂ©rĂ©es, les tentatives pour Ă©viter la dispute — et si la dispute devient inĂ©vitable, la recherche quasi immĂ©diate d’un terrain d’entente —, la nĂ©cessitĂ© de ne pas trop montrer son autoritĂ©, le rĂ©flexe de dire qu’on ne sait pas mĂȘme quand on sait — c’est une maniĂšre de tendre la main —, le rĂ©flexe de s’excuser et de se blĂąmer mĂȘme quand ce n’est pas notre faute — toujours pour s’assurer qu’il n’y aura pas de heurt. La faute est peu de chose au regard du vĂ©ritable risque, qui est celui du rejet.
Une des grandes craintes des Français, peut-ĂȘtre la plus grande, c’est d’ĂȘtre pris en faute. Elle se cache derriĂšre presque tous les non qu’on vous riposte. Ce n’est pas tant que les Français veulent dĂ©plaire. Mais pour eux, l’impĂ©ratif de plaire passe aprĂšs celui de ne pas ĂȘtre pris en faute et blĂąmĂ©s.
Les anglophones ont beaucoup de mal Ă  comprendre cette notion de faute telle que les Français l’entendent. La faute recouvre de multiples notions : l’ignorance, l’acte criminel, la nĂ©gligence. La plus simple illustration en est la notion de «faute de langue». C’est trĂšs curieux, une «faute», d’autant que dans la plupart des autres langues on se contente de faire des «erreurs» ou des «mĂ©prises» (c’est le sens Ă©tymologique exact de « mistake » : «mĂ©prise»). Les Français, eux, font des fautes. La faute est une chose grave. Elle Ă©voque le pĂ©chĂ©. Il est fascinant qu’une sociĂ©tĂ© qui se dit si laĂŻque ait intĂ©grĂ© un concept aussi religieux. «Pire qu’un crime, c’est une faute», dit Joseph FouchĂ©, ministre de la Police de NapolĂ©on, en apprenant l’exĂ©cution du duc d’Enghien.
La diffĂ©rence entre une faute et une erreur, c’est finalement la dimension de responsabilitĂ© personnelle. Une faute a forcĂ©ment des rĂ©percussions pour la personne qui la commet. Cette personne est l’« auteur » de sa faute, ce qui engage fortement sa responsabilitĂ© morale.
Dans le droit français, notamment dans le droit du travail, il existe plusieurs degrĂ©s de faute : faute simple, faute grave, faute lourde, faute inexcusable, faute matĂ©rielle. La diffĂ©rence entre une faute simple et une faute lourde n’a rien Ă  voir avec son coĂ»t ou l’importance du dommage. Pour une faute simple, l’individu a manquĂ© Ă  ses obligations par insouciance, incompĂ©tence ou stupiditĂ©. La faute lourde ajoute la notion d’intention de nuire ou de nĂ©gligence. Ça, c’est vraiment grave.
Dans le droit français, trĂšs marquĂ© par l’Inquisition, la confession a une valeur suprĂȘme : il n’y a pas de preuve plus forte qu’un aveu de culpabilitĂ© — admettre qu’on a commis une faute. Vous n’entendrez donc jamais un Français dire que tel problĂšme est sa faute. Les QuĂ©bĂ©cois disent cela Ă  tout propos, mais jamais les Français. Cela reviendrait Ă  plaider coupable. C’est pourquoi un Ă©tranger doit absolument bannir ce mot de son vocabulaire quand il arrive en France. Cela ne peut que lui attirer des ennuis. Ça ne doit jamais ĂȘtre votre faute.
Il devient alors aisĂ© de comprendre pourquoi, mĂȘme pour des manquements insignifiants, les Français vont faire des pieds et des mains pour Ă©viter tout reproche — mĂȘme imaginaire. Or, un reproche arrive vite. Dire non est la pirouette la plus sĂ»re pour se tirer d’affaire — et, en prime, rejeter la faute sur autrui.
Heureusement, chez les Français, le non est souvent un oui dĂ©guisĂ©, ou un «noui». L’astuce est de trouver le moyen de le faire sortir.
Cette crainte de la faute produit d’étranges comportements et des conversations surrĂ©alistes. Au printemps 2013, Jean-BenoĂźt a donnĂ© une sĂ©rie de confĂ©rences sur la francophonie en Belgique. Il en a profitĂ© pour passer par Paris et rencontrer un Ă©diteur qui venait de publier notre dernier livre sur la langue française. Quelques minutes avant d’arriver, il a donc appelĂ© la responsable du service de presse, Élodie Royer, sur sa ligne directe, pour lui faire savoir qu’il aurait quelques minutes de retard.
«Pas de souci. Je vous attends», dit-elle avec entrain.
Et lorsque Jean-BenoĂźt arrive, la rĂ©ceptionniste de la maison d’édition appelle Élodie. C’est lĂ  que commence un dialogue insensĂ©.
«Vous aviez rendez-vous ? demande la rĂ©ceptionniste Ă  Jean-BenoĂźt, en gardant le combinĂ© Ă  l’oreille.
— Oui, je viens juste de lui parler.
— Oui, c’est un M. Jean-BenoĂźt Nadeau
 Oui, Nadeau
 Il dit qu’il est un de vos auteurs
 TrĂšs bien. M me Royez vous recevra aprĂšs sa rĂ©union.»
Jean-BenoĂźt va s’asseoir en croyant ĂȘtre devenu fou. Comment Élodie, Ă  qui il venait tout juste de parler, pouvait-elle l’avoir oublié ? À moins qu’il n’y ait une espĂšce de code de bureau auquel il n’avait rien compris ? AprĂšs avoir passĂ© une demi-heure Ă  se faire du mouron, Jean-BenoĂźt retourne voir la rĂ©ceptionniste, avec une idĂ©e en tĂȘte.
«Est-ce qu’il n’y aurait pas par hasard deux Élodie Royer qui travaillent ici ?
— Parce que j’ai parlĂ© Ă  Élodie cinq minutes avant d’arriver et ça n’a aucun sens : elle m’avait dit qu’elle m’attendait. Elle n’aurait pas eu Ă  vous demander qui je suis.
— Laissez-moi voir
 Euh, nous avons Royez et Royer. Voulez-vous voir -ez ou -er ?
— Mais il fallait le dire, monsieur !»
Jean-BenoĂźt est restĂ© lĂ , stupĂ©fiĂ©, jusqu’à ce qu’arrive la bonne Élodie.
Ce genre de malentendu peut arriver n’importe oĂč dans le monde. Mais sa conclusion est on ne peut plus française : la rĂ©ceptionniste, murĂ©e dans sa crainte, a tout fait pour blĂąmer Jean-BenoĂźt. L’erreur Ă©tait pourtant mineure, mais le fait est qu’elle pouvait ĂȘtre mise en faute. Sa seule façon de s’en sortir Ă©tait de rejeter la faute sur Jean-BenoĂźt, qui aurait dĂ», selon elle, prĂ©voir toutes les orthographes possibles de Royer et les lui Ă©peler.
Contrairement Ă  ce qu’on pourrait croire, les Français ont une grande capacitĂ© d’écoute, mais seulement aprĂšs avoir dit non. Cela demande une certaine tĂ©nacitĂ©, et beaucoup de paroles, mais l’on parvient presque toujours Ă  trouver le oui qui se cache sous le non. Heureusement, chez les Français, le non est souvent un oui dĂ©guisĂ©, ou un «noui». L’astuce est de trouver le moyen de le faire sortir.
MĂȘme si les Français nous servent du «non» Ă  toutes les sauces, les Ă©trangers doivent comprendre une chose essentielle : les Français prennent rarement un non pour une rĂ©ponse et il faut faire en France comme les Français. Le non Ă  la française est rarement un refus de s’engager ou une fin de non-recevoir. En rĂ©alitĂ©, c’est le contraire. La plupart des non, mĂȘme les plus catĂ©goriques, signifient «continuez de parler». Ce non n’est pas un mur : c’est un trampoline qui permet Ă  la conversation de rebondir. C’est une invitation Ă  la conversation, une position de nĂ©gociation, le signe qu’on attend autre chose. Comme pour des nĂ©gociations dans le souk, les interactions avec les Français sont toujours plus aisĂ©es quand les deux parties ont Ă©tabli leur position. Le non est donc un point de dĂ©part. Un Ă©tranger ne devrait pas prendre pour une rĂ©ponse un non qui sort de la bouche d’un Français avant d’en avoir compris la raison.
La seule chose Ă  faire quand vous vous heurtez Ă  un non est donc de continuer Ă  parler. Julie en a fait l’expĂ©rience en allant chercher son titre de transport pour le mĂ©tro. Pour obtenir une carte mensuelle, il faut montrer patte blanche. Cela consiste Ă  prĂ©senter toute une sĂ©rie de justificatifs de domicile. Malheureusement, Julie n’en avait aucun sur elle. La perspective de devoir se retaper deux fois 30 minutes de mĂ©tro pour repasser Ă  la maison afin de les chercher n’était guĂšre rĂ©jouissante. Elle a donc entrepris de convaincre la fonctionnaire derriĂšre le guichet.
«Je vis Ă  Paris, mais je viens Ă  peine d’arriver, alors je n’ai pas de justificatif de domicile sur moi.
— Je suis dĂ©solĂ©e, madame», lui a rĂ©pondu la fonctionnaire, ce qui Ă©tait dĂ©jĂ  encourageant, mĂȘme si c’était non.
Julie pouvait clairement voir que la fonctionnaire, par son langage corporel, ne refermait pas la porte complÚtement. Julie a continué de parler, en utilisant certaines expressions du jargon administratif français.
«Je n’ai pas non plus le livret de famille. C’est mon mari qui l’a pris pour les dĂ©marches Ă  la caisse primaire d’assurance maladie, pour la carte Vitale.»
La fonctionnaire secouait encore la tĂȘte par rĂ©flexe, mais moins catĂ©goriquement. Julie a poursuivi dans ce sens.
«Mais nous avons quand mĂȘme de la chance», a-t-elle dit en tirant une de nos filles vers elle. «L’école primaire est juste en face de chez nous.
— Quelle Ă©cole ?» Maintenant, la fonctionnaire souriait.
Tandis que Julie lui parlait de l’école de l’ArbalĂšte, la fonctionnaire est allĂ©e sur Google, a vĂ©rifiĂ© la rue, puis a souri Ă  Julie, qui ne savait pas encore que la fonctionnaire Ă©tait en train de prendre sa photo. «Bienvenue Ă  Paris», lui a-t-elle dit en lui remettant sa carte. «Qu’est-ce que vous pensez du systĂšme scolaire français ?»
Cet article a Ă©tĂ© publiĂ© dans le numĂ©ro de mars 2019 de L’actualitĂ© .
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Ici, on a des campagnes de sensibilisation contre les agressions sexuelles scandant Quand c’est non, c’est non! Ici ça semble ĂȘtre assez clair!
Ça ne marcherait pas en France! Parce qu’en France, quand c’est non, ça peut voulir dire de continuer

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Paresseux, Ă©goĂŻstes, intolĂ©rants, c’est ainsi que les Français considĂšrent les jeunes d’aujourd’hui, selon un sondage publiĂ© hier dans le journal le Monde. Un regard sĂ©vĂšre qui creuse un peu plus la fracture gĂ©nĂ©rationnelle.
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Franchement la generation Precedente n est pa mieux. Quand on voit ce qu il font franchement.

Les jeunes d'aujourd'hui sont comme ça a cause de l'Ă©ducation qu'il reçoivent l'Ă©ducation que Votre "GĂ©nĂ©ration" nous donnent. Excusez moi mais lorsque je voie des jeunes de mon Ăąges ĂȘtres encore dehors a 1h du matin ou qu'ils parle mal a leurs parent, qu'ils sont Ă©goĂŻste ect c'est essentiellement votre faute. Vous ne savez pas vous occupez de vos enfant vous n'ĂȘtes pas capable de leurs imposez des limites et leurs dire "Non" lorsqu'il le faut. Dieu merci ma mĂšre ma bien Ă©duquer et je suis loin d'ĂȘtres le genre de personne qui vous osez d'Ă©crire car j'ai une mĂšre qui ma appris les valeurs de la vie et le respect. Elle ma appris a ne pas me comporter n'importe comment et a respecter les rĂšgle. Je suis une personne active, tolĂ©rante ect chose que la majoritĂ© d'entre vous n'ĂȘtes pas. La plupart des personnes de ma gĂ©nĂ©ration est plus mature que vous a notre Ăąge mais vous ĂȘtes tout simplement trop butter pour le remarquer. Trop fixer sur les jeunes qui n'on pas su ĂȘtres Ă©lever par leurs parents et des pa
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