Les jeunes filles et les vieillards les vieilles femmes et les jeunes garçons

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Dans le sud du Malawi existe un rituel initiatique violent : les jeunes filles qui atteignent la puberté doivent avoir des relations sexuelles forcées avec une "hyène", un homme désigné par leur famille. Ce viol est encadré par des règles strictes, et il est organisé dans le plus grand secret. Une pratique qui perdure malgré son interdiction.
Ce reportage a reçu le Prix du jeune reporter d'images de télévision du magazine leRotarien – Édition 2017
C’est un passage obligé dans certaines communautés du sud du Malawi . Dès leurs premières règles, les jeunes filles doivent passer la nuit avec un homme choisi par la famille, appelé une "hyène", pour marquer leur passage à l’âge adulte. Il s’agit d’un "apprentissage de la sexualité" et, dans la croyance locale, d’une nécessité pour se "purifier" et se prémunir contre de graves maladies. Mais pour ces jeunes filles, c’est surtout un événement traumatisant : un viol, qui peut également donner lieu à une grossesse non désirée.
Les "hyènes" sont des hommes choisis par la communauté et recrutés secrètement par les parents des jeunes filles. Ils sont payés pour avoir ces rapports sexuels de force. Et toujours sans protection. Une véritable catastrophe dans un pays où 10 % de la population est séropositive, et encore plus dans cette région pauvre, où 16 % des habitants sont infectés par le virus .
La pratique est désormais interdite, en théorie, mais dans les zones rurales du Malawi, c’est le droit local qui prime. Difficile alors de faire appliquer la loi. Pourtant, les mentalités changent et des voix s’élèvent contre cette coutume. Des cheffes de district et des ONG ont déjà entamé le long combat pour que les jeunes filles du Malawi ne soient plus les victimes de cette tradition.
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Publié
le 25/04/2014 à 11:59 , Mis à jour le 27/04/2014 à 09:54
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Moi, Ziona, 69 ans, 38 femmes et 73 enfants
EN IMAGES - Ziona est un gourou d'une secte millénariste considéré comme un dieu vivant. Dans le nord-est de l'Inde, il règne sur la plus grande famille du monde, soit 162 personnes. Une légende dit que Ziona et les enfants qu'il ­engendre sont immortels.
Juchées sur de hauts talons, soigneusement maquillées, les jeunes filles tournoient, les yeux clos. En pleine extase, elles s'effondrent soudain sur le sol, soutenues avec bienveillance par des femmes plus âgées. Dans l'église, l'ambiance est surchauffée, la musique et la danse s'accélèrent, et les fidèles endimanchés se laissent emporter dans une transe mystique au rythme des percussions. C'est l'occasion de montrer sa foi en public et son attachement au patriarche, Ziona, qui est considéré ici comme un dieu vivant.
Dans le petit village de Baktawng, la ­célébration dominicale rassemble les 2000 disciples du leader de 69 ans, icône vivante d'une secte millénariste unique en son genre. L'homme au visage épais et ­impassible, que l'on appelle ici l'Elu, règne sur un harem de 38 épouses. Il est à la tête d'une famille de 73 enfants, le fils aîné a 53 ans… la petite dernière, 7 ans. Viennent ensuite 48 petits-enfants et 7 arrière-petits-enfants… Au total, la grande maison édifiée à flanc de colline, peinte d'un violet pimpant, héberge 162 personnes.
Dans la presse, le clan de Ziona a été surnommé la «plus grande famille du monde». Un titre qui lui vaut des visites de journalistes venus des quatre coins du globe. Le patriarche y trouve même désormais une source de revenus.
Il réclame des sommes mirobolantes aux équipes de télévision qui se succèdent dans son village, tout en fuyant les interviews et en imposant une longue liste d'interdictions, comme celle de visiter les étages de sa maison. «Il a eu une mauvaise expérience, certains journalistes ont eu des commentaires déplacés au sujet de sa chambre à coucher», explique l'un de ses petits-fils, chargé d'encadrer les visiteurs.
Pour atteindre le village reculé, depuis Aizawl, la capitale du Mizoram, il faut entreprendre un périple de plusieurs heures sur une route qui sillonne les ­collines verdoyantes et les hameaux aux maisons sur pilotis nichées sur les crêtes. Le Mizoram est un petit Etat situé dans l'extrémité nord-est de l'Inde, pris en étau entre le Bangladesh et la Birmanie. C'est la porte d'entrée de l'Asie du Sud-Est, et «les yeux bridés des habitants leur valent de se faire traiter de «Chinois» lorsqu'ils se rendent à Delhi», déplore Ruata, un journaliste local. «Le reste de l'Inde ne sait même pas que nous existons!»
Dans ce petit paradis de forêts de bambous et de palmiers, l'incroyable histoire du patriarche Ziona trouve ses racines au XIXe siècle, dans les Indes britanniques. «A l'époque, le Mizoram est peuplé de tribus guerrières qui se battent entre elles mais n'intéressent pas grand monde», raconte Ruata. Les seuls à s'aventurer dans ces contreforts reculés sont les missionnaires baptistes et presbytériens qui vont peu à peu convertir avec succès toute la population à un christianisme mystique. Ici, la transe, les visions et les miracles font partie du quotidien.
C'est ainsi qu'en 1942, Quantua, un villageois, reçoit «une révélation divine» et fonde sa propre secte. Il promet à ses disciples le salut de leurs âmes pendant la vie terrestre et un règne de mille ans aux côtés du Messie. Lui et ses fidèles sont bientôt chassés dans la jungle par les autorités locales pour hérésie. A la mort de Quantua en 1955, son frère Chana reprend le flambeau et prépare l'avènement de son fils. «Dans la forêt, un tigre avait annoncé à Chana qu'il aurait un fils qui serait l'Elu et qu'il devrait l'appeler Ziona», raconte un ancien membre de la secte. La prophétie du tigre s'accomplit, et dès sa naissance le petit Ziona est considéré comme un demi-dieu.
Mais bientôt, un fléau terrible s'abat sur la région. Tous les quarante-huit ans, la floraison des bambous provoque une surpopulation de rats noirs de la jungle qui se délectent des fruits très nourrissants de ces plantes et se reproduisent alors de manière fulgurante. Une fois la floraison terminée, les bêtes affamées ­déferlent sur les champs et dévorent les récoltes. Frappé par une famine épouvantable en cette année 1960, le Mizoram meurt de faim dans l'indifférence du gouvernement indien. Un réseau local s'organise pour venir en aide à la population. Il finira par se politiser et par réclamer l'indépendance de la région, en lançant une insurrection armée. En représailles, Delhi envoie alors ses avions de chasse bombarder la ville d'Aizawl et ses alentours.
La guérilla prend le maquis, mais pour couper les insurgés de leur soutien local, l'armée regroupe les habitants des collines dans des villages sous contrôle des militaires, qui se livrent impunément à des viols et des actes de torture sur la population locale. De guerre lasse, le Mizoram obtiendra finalement son statut d'Etat, petit confetti de 1 million d'habitants dans l'Union indienne. Parqués dans leur «zone de regroupement», qui deviendra le village actuel de Baktawng, Chana et ses disciples, à force de dur labeur, parviennent au fil des ans à mettre en valeur les terres en friche. La petite communauté est même désormais prospère.
Le ronronnement des scies électriques résonne dans les ateliers de menuiserie où s'affairent les hommes, tandis que les femmes cultivent leurs potagers escarpés et engraissent les cochons avec une bouillie de patates et de cœurs de palmiers. Les villageois ont eux-mêmes goudronné la route et construit l'école, sans attendre les promesses du gouvernement local corrompu.
Sur les toits, citrouilles et piments rouges sèchent au soleil. Dans les ruelles du village, de vieilles femmes passent chargées de fardeau de bois porté sur la tête, tandis que des adolescentes mettent à jour leur statut Facebook sur leur téléphone portable dernier cri et que les jeunes garçons débattent des vertus footballistiques du Manchester United.
Au bout du village, dans l'immense maison violette, la «plus grande famille du monde» s'active dans une discipline militaire: à chacun ses tâches, planifiées au quotidien. Lal Tuagi, 67 ans, chignon gris et jupe longue à fleurs jaunes, supervise dans la cuisine la cuisson des 30 kilos de riz quotidien dans d'épaisses marmites posées sur l'âtre. Elle est la cinquième épouse de Ziona, et la mère de cinq de ses enfants. «Mon mari est un saint, explique-t-elle, Nous avons été choisis par Dieu, nous attendons le jour où nous régnerons avec lui sur le monde.»
« Quand Ziona a pris une deuxième femme, j'étais jalouse, c'est humain !. Puis j'ai fini par l'accepter puisque c'était la volonté de Dieu… »
Ziona a été marié une première fois à l'âge de 16 ans, puis les épouses se sont succédé. «Il est polygame tout comme Salomon ou le roi David dans la Bible», justifie l'un de ses disciples, un vieil homme édenté coiffé d'un bonnet rouge New York Yankees. Zalthiang, 73 ans, vieille dame aux cheveux blanchis par les années, a le digne rôle de première épouse. «Quand Ziona a pris une deuxième femme, j'étais jalouse, c'est humain!, confie-t-elle. Puis j'ai fini par l'accepter puisque c'était la volonté de Dieu…». L'épouse la plus jeune, âgée de 37 ans, n'a pas le droit de donner d'interview. «Nous avons peur qu'elle dise des choses irresponsables», ­explique l'un des petits-fils de Ziona.
Un ancien adepte de la secte, âgé de 85 ans, raconte: «Il y a une croyance selon laquelle Ziona et les enfants qu'il engendre sont immortels. Voilà pourquoi de nombreux fidèles lui ont offert leurs filles en mariage.» Le vieux fonctionnaire, lui, a préféré quitter la secte «le jour où des Anciens du village ont décrété que Ziona était ni plus ni moins que Dieu sur terre et que ce dernier n'a pas démenti».
Dans sa minuscule épicerie, au milieu des sacs de riz, des rayons de shampoings, de cigarettes et détergents, une femme du village voisin est aussi une ancienne adepte de la secte. Elle se moque: «Ziona a besoin de nombreuses femmes pour produire sa prétendue race d'Elus. Mais elles ne sont pas toutes d'accord! J'ai une amie qui a été mariée de force avec lui. Elle s'est enfuie et a menacé de se suicider. Puis elle a fini par lui céder, elle n'avait pas d'autre choix.»
Toute la petite communauté vit sous la coupe de l'Elu, qui dirige le village d'une main de fer et perçoit 10 % des revenus de tous ses disciples. Ziona a même lancé d'imposants travaux de terrassement pour édifier un stade et des terrains de tennis et de basket pour les jeunes du ­village, et à proximité d'un futur gîte pour d'improbables touristes. Au petit matin, des groupes d'adolescentes et de vieillards emmitouflés cassent au marteau de la roche sur le bord de la route: c'est le travail volontaire obligatoire, «demandé par Dieu», sous peine d'amende.
Dans le village d'à côté, le pasteur ­Lalrinsanga de l'église presbytérienne semble blasé par ce voisinage. «Dans cette secte, ils se multiplient entre eux, et je ne vois pas comment ramener ces brebis égarées. Si l'un des disciples veut quitter la secte, il risque de tout perdre. Le conseil de village est sous le contrôle de Ziona, il se comporte comme un roi.» La communauté, qui ­représente un réservoir important d'électeurs, est aussi courtisée par les politiciens. Ziona a ainsi reçu en cadeau des autorités un puissant générateur qui permet de pallier les coupures de courant quotidiennes. De quoi attendre sereinement la fin du monde.
quelles turpitudes! quant à l'illuminé manipulateur, il faut qu'il redescende sur terre, quant aux pauvres d'esprits qui croient en lui et contribuent à sa subsistance il serait temps qu"ils se réveillent!pourvu que cela ne se termine pas en suicide collectif.
Encore un illuminé qui abuse de la crédulité des pauvres gens. Le gouvernement indien qui tolère ce gourou est aussi complice.
Les chefs des différents corps d'armée ont été auditionnés en juillet par la nouvelle commission de la défense de l'Assemblée nationale. Les comptes rendus ont été publiés début août.
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Les soldats ayant franchi le fleuve Dnipro dans la région de Kherson, ville du Sud occupée par Moscou, risquent d'y être coincés après la mise hors d'usage de tous les ponts existants.
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Moi, Ziona, 69 ans, 38 femmes et 73 enfants
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Source : Enquête sur les fantasmes autour du sexe entre femmes, communiqué de presse et enquête Ifop, 25 avril 2018
Publié par Anne Valois , le 25/04/2018 à 12:13
L'amour entre femmes figure parmi les thématiques les plus recherchées sur les sites spécialisés dans la pornographie . Mais qu'en est-il en réalité ? C'est la question qu'a posé l'Ifop à 2 001 personnes (1). En dehors des films X, il semble que le sexe lesbien n'affole pas la population féminine.
Environ une sondée sur six a déjà ressenti du désir pour une autre femme . Les jeunes sont un peu plus nombreuses à l'affirmer, mais le phénomène reste marginal. A peine davantage font preuve de curiosité à l'égard des rapports sexuels saphiques.
17 % des Françaises ont déjà regardé deux femmes faire l'amour, ou le souhaiteraient. Du côté de ces messieurs, deux tiers de la population proclame la même chose. Et il n'y a pas que sur ce plan que l'industrie du X diffère des désirs féminins.
Les pratiques qui font fantasmer les femmes varient largement de celles qui excitent les hommes … et encore plus de celles qui sont présentées à l'écran. Tout d'abord parce que ces messieurs expriment un enthousiasme bien plus élevé à l'égard des pratiques lesbiennes.
Mais alors qu'est-ce qui excite ces répondantes ? Plus d'une sondée sur deux se dit très vivifiée en imaginant deux amantes s'adonner au cunnilingus . Une pratique encore peu représentée dans les films pornographiques, comme le note l'Ifop dans un communiqué.
Ces réponses s'expliquent "sans doute parce qu’il est encore le parent pauvre des scènes de sexe entre hommes et femmes visibles dans les films X, films qui s’avèrent encore trop souvent le fruit d’une vision très phallo-centrée de sexualité".
Au second rang des gestes qui attisent la libido des sondées, la stimulation des seins – que ce soit en caressant, léchant ou suçant. 30 % des femmes interrogées aimeraient voir cela représenté – contre 52 % chez les hommes. Arrive ensuite l'échange de baisers entre deux amantes.
La pénétration est, en revanche, un geste qui ne suscite pas une excitation folle . Seule une sondée sur cinq se dit stimulée à l'idée d'une telle pratique. Les hommes, eux, sont 58 % à exprimer un désir avivé par cette image.
Autre sujet qui divise : les rapports anaux . Seuls 11 % des femmes interrogées expriment un intérêt, que ce soit pour la pénétration avec un objet ou avec ses doigts ou un anulingus. Du côté de la gent masculine, un peu plus d'un tiers des sondés tireraient du plaisir d'un tel visionnage.
(1) Étude Ifop pour le site Référence Sexe réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 27 au 28 mars 2018 auprès d’un échantillon de 2 001 personnes, représentatif de la population
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