Les infirmières peuvent juter

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Les infirmières peuvent juter

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Je n’aime pas à faire les choses à moitié : ne dire qu’une partie de la vérité, c’est ne rien dire.


Les difficultés quasi chroniques d’approvisionnement des hôpitaux publics en sang, que connaissait déjà, le Centre National de Transfusion Sanguine (CNTS), se sont accentuées ces derniers mois, sous l’effet de la pandémie à Coronavirus.
Le Directeur du CNTS, Dr Seydou Konaté était même monté au créneau, pour lancer un cri de cœur à l’endroit des Ivoiriens en général et des personnels d’entreprises, afin que les uns et les autres viennent donner un peu de leur sang, pour sauver des vies.
Loin de laisser indifférent, son appel a plutôt suscuté une forte mobilisation des donneurs au CNTS. Lequel avait ainsi réussi à constituer de nombreuses poches du précieux liquide. Malheureusement, et cela dure depuis des années, les quantités de sang régulièrement recceuillies par ledit Centre et mises à la disposition des formations sanitaires, pour répondre aux pressants besoins en la matière, ne sont que difficilement obtenues par les patients et leurs parents. C’est qu’on leur fait quotidiennement croire à une pénurie de sang, même quand il y en a. En réalité, dans la plupart des cas, il s’agit plutôt d’une pénurie artifficielle que n’hésitent pas à entretenir certains agents de santé, pour ainsi développer un juteux trafic du précieux liquide. Au lieu d’être vendue à 5000 Fcfa, comme légalement affiché devant la banque de sang, la poche revient à 120. 000 Fcfa voire 150.000 Fcfa.
Du sang vendu à prix d’or au CHU de Treichville
Au centre hospitalier universitaire(CHU) de Treichville, où nous avons enquêté recemment, pour savoir comment les poches de sang déposés dans la banque qui leur est dédiée, sont utilisées, nous nous sommes apreçus que les choses ne se passent pas toujours convenablement. Ou simplement comme elles devraient l’être. Le constat que nous avons fait est plutôt révoltant.
D’abord, au service de pneumo-phtisiologie plus connu sous l’appelation de PPH, où était admis durant le mois de juillet dernier,le malade Souleymane Koné, souffrant de méningite et anémié ,pour avoir la vie sauve avait absolument besoin de sang.
Etant du groupe sanguin O Négatif ( O-), un donneur universel, donc très rare, l’alibi était tout trouvé pour le personnel médical du service de PPH, pour mettre la pression sur les parents de Souleymane qui, n’ayant plus le choix étaient dans l’obligation de mettre le prix afin d’obtenir le sang sauveur.
Car, dès cet instant, référence n’est plus faite à la banque de sang où les poches, quelque soient les groupes sanguins, sont vendues à 5000 F CFA l’unité.
Mieux, les différents prix fixés, sont affichés devant la caisse sur une note officielle, signée de la main du directeur général du CHU, Etienne Yao.
Selon Abou Koné, l’aîné du malade, deux poches de sang du groupe O- dont on leur avait pourtant signifié l’indisponiblté au sein de la banque de sang, du fait de la rareté de ce rhérus, ont pu être achetés à 140.000 F CFA, dès qu’ils ont accepté de payer le prix à eux imposé par les soignants.
« C’est un réseau ici et ceux qui ne le savent pas, ont moins de chance de voir leurs malades guérir. Nous avons acheté ces deux poches avec ceux qui transportent le sang du CNTS vers la banque de sang du CHU. Etant donné que nous n’avions pas le choix, nous n’avons donc pas hésité à acheter ces deux poches à 140.000 F CFA » explique Abou Koné.
Déplorant le non suivi du transport des poches de sang du CNTS jusqu’à leur destination finale, qu’est la banque de sang, située au sein du service des urgences chirurgicales du Centre hospitalier universitaire de Treichville. Une banque de sang toujours vide. Mais dont la devanture est régulièrement bondée de parents de malades avec leurs ordonnances. Comment comprendre qu’une poche de sang légalement vendue à partir de 5000 F CFA, finie par s’acheter presque quotidiennement à plus de 50.000 F CFA ?
Le samedi 5 septembre dernier à notre passage, le constat était le même.
Des urgences médicales jusqu’en pédiatrie, la tristesse et la désolation se lisaient sur les visages des parents de malades.
Ce samedi là, la caissière de la banque de sang nous apprend qu’il n’y a aucune poche de sang pour les malades. Rendez vous leur a été donné pour le début de la semaine suivante, dans l’espoir d’en avoir.
Mais derrière cette espérance de la caissière, un des parents de malades rencontré en pédiatrie nous apprend que le sang transporté au CHU est détourné en cours de chemin par les ambulanciers. Lesquels agissent ainsi, en complicité avec les membres de ‘’leurs réseaux’’, composés du personnel soignant. Avec en prime les infirmiers et infirmières, qui vendent ces poches de sang à des prix hors de la portée des parents des malades.
« Je suis ici avec mon fils de 4 ans depuis le 29 août dernier. Il est anémié et est du groupe B+. Mais jusqu’à présent, nous n’avons rien reçu. Pourtant à côté de nous, une fillette de 3 ans venue le même jour que nous, a eu du sang. Ces parents avaient les moyens et grâce à leurs relations, ils sont certainement rentrés dans ce réseau. Moi, je n’ai pas de moyens et je ne connais personne appartenant à ces réseaux. Le bon d’achat de sang de mon fils demeure à la banque de sang, depuis le 30 août. Nous attendons toujours », révèle Latif Sanogo, les yeux larmoyants. Ces propos corroborent ainsi les affirmations d’Abou Koné, parent du malade Souleymane Koné.
De son point de vue, la majorité des cas de décès d’enfants en pédiatrie, serait imputable à la pénurie de sang.
Comme pour dédouaner les infirmiers et infirmières, l’un d’entre eux, ayant requis l’anonymat, rapporte ceci : « ce sont les ambulanciers qui vont chercher le sang. A leur arrivée, ceux-ci vont faire le point avec les caissières des hôpitaux.
Les caissières à leur tour, servent les parents des patients sur présentation d’une ordonnance .
Au cas où elles n’ont pas le type de sang prescrit, alors elles orientent les demandeurs vers les ambulanciers ». Il précise : « s’il doit y avoir un arrangement pour avoir du sang, tout se joue entre les ambulanciers et les parents du patient. En plus, dans ce cas, c’est le parent du malade qui paie le carburant pour permettre aux ambulanciers d’aller chercher le sang ».
Par ailleurs, notre informateur soutient que quand il y a deux cas d’urgence pour un besoin en sang, la priorité est accordée au premier venu.
Les affirmations faites par un ambulancier du Chu de Cocody avec qui nous avons échangé le lundi 7 septembre 2020 au Centre national de transfusion sanguine (CNTS) à Treichville, ne concordent pas avec celles de l’infirmier.
Pour lui, en cas d’urgence la priorité est plutôt accordée au patient le plus atteint.
Autrement dit, l’ordre d’arrivée ne compte plus.
En outre, il rejète du revers de la main, les accusations selon lesquelles il y a un trafic de sang dans les hôpitaux. « Il est impossible de faire des arrangements au Chu pour avoir du sang. La seule voie est de s’adresser aux médecins qui prescrivent l’ordonnance selon l’état et le groupe du malade. Je vous le dis tout net n’essayez pas. Les médecins sont très rigoureux à ce sujet. Celui qui prend le risque de le faire s’expose à de graves sanctions », affirme cet ambulancier du Chu de Cocody, qui s’abstient d’utiliser le vocable de trafic, qu’il préfère plutôt remplacer par celui d’arrangement. Un terme recouvrant ici, un concept plutôt flou et surtout trompeur.
Ces ont là, des arguments qui ne résistent pas du tout devant le témoignage d’une dame rencontrée au Centre hospitalier Universitaire (CHU) de Cocody, qui a plutôt vécu une expérience prouvant bien le contraire.
« La semaine dernière, j’avais besoin de sang pour mon mari qui devait subir urgemment une dialyse. Après avoir présenté mon bon au comptoir de la banque de sang, l’agent me dit qu’il n’y a pas de sang disponible. Vu l’embarras dans lequel j’étais plongé, il me propose de payer la somme de 150 mille francs Cfa pour avoir mes 2 poches de sang. Après négociation, il accepte de prendre la somme de 120 mille francs Cfa. 30 minutes plus tard, il m’appelle et me remet les deux poches de sang », relate Mme Ghislaine Onané très déçue d’en être arrivée là, pour sauver son époux.
Pour vérifier cette information, nous nous faisons passer pour un parent de malade. Vu que nous n’avons pas de bon à présenter aux agents de la banque de sang, nous expliquons à l’agent qui nous reçoit, que pour éviter de fatiguer notre malade anémié et qui est à la maison, nous sommes venus voir si nous pouvons avoir du sang.
Ce dernier nous répond que normalement le sang est servi aux malades hospitalisés au sein du CHU de Cocody, présentant un bon signé de leur médecin traitant. Mais qu’il y a une possibilité si nous mettons la main à la poche.
Après lui avoir dit que nous avons besoin de 2 poches de sang, il nous dit ceci : « donnez 120. 000 F Cfa, on va gérer ça ». Etant ainsi convaincus que ce commerce a vraiment lieu dans cet établissement sanitaire, nous promettons à l’agent de revenir après avoir réuni la somme.
Si tant est que le coronavirus a bouleversé toutes leshabitudes, le sang tout aussi précieux ne doit pour autant pas manquer pendant plusieurs jours, dans les CHU de Treichville et de Cocody. Etant donné que ce sont de réels efforts qui sont quotidiennement déployés par le CNTS, pour faire en sorte que ces deux grandes formations sanitaires et bien d’autres structures sanitaires, en soient longuement privées. Et ce, quand bien même ce Centre ne parvient pas régulièrement à recceuillir par semaine, les 5000 litres de sang qu’il lui faut , en vue de répondre convenablement, à la fréquence des demandes à lui adressées. Une aubaine qu’exploitent certains agents de santé, pour s’enrichir et simuler ainsi, la fréquente pénurie attribuée aux banques de sang.
Nous estimons que les premiers responsables de ces deux CHU que nous n’avons malheureusement pu rencontrer, pour en savoir davantage n’ignorent point l’existence de ce commerce honteux, même s’ils peuvent prétendre en avoir pas de preuves palpables. Dans tous les cas, c’est à eux que revient au premir chef, la responsabilité de démanteler ces réseaux de vendeurs de sang. Vient ensuite le ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique, à travers les interventions de ses inspecteurs.
Nous estimons par ailleurs que, la direction générale de ces deux grands hôpitaux publics, gagnerait surtout à communiquer régulièrement avec les parents des malades sur la question des poches de sang. Et partant, sur toutes les questions liées à la santé des malades du CHU de Treichville. Il y va de la crédibilité de tout le système sanitaire ivoirien .
I. Sékou Koné ,Jérémy Junior,Boubacar Barry
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