Les infirmières jouissent de leurs quarts

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Dépêche n°491049

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La décision de la FHP « compromet la formation et génère une iniquité entre eux » (Académie des sciences infirmières)

Les infirmiers lancent 60 idées pour améliorer leurs pratiques et la qualité des soins (60e congrès de la FNI)

Infirmiers : 61 % jugent leurs conditions de travail dégradées selon un sondage du SNPI auprès de 1 215 syndiqués
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Quelle est la réalité d’emploi et de travail des infirmières, qui représentent aujourd’hui près du quart des effectifs des hôpitaux ? C’est à cette question que tente de répondre la Drees dans une étude qualitative sur le thème de l’emploi du temps des infirmiers et infirmières du secteur hospitalier publiée vendredi 28 novembre 2014. "Si le diplôme fait l’unité de la profession, le terme d’infirmière masque cependant une réalité d’emploi et de travail très diverse", indiquent les chercheurs qui notent que "les infirmières rencontrées sont assez satisfaites de leurs horaires". La Drees note que si les 35 heures sont allées de pair avec une intensification du travail "la répétition des temps de coupure (RTT) semble apporter de véritables bénéfices" et que "la qualité des horaires peut s’apprécier à l’aune du nombre de jours de repos et explique l’attractivité des horaires en 12 heures".
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L’équipe AEF info


L'Académie des sciences infirmières (ASI), qui regroupe nombre d'associations professionnelles représentatives des infirmiers, estime dans un communiqué daté du 4 mars que la décision de la FHP « compromet la formation de nos étudiants et génère une iniquité entre eux, in fine, elle remet en cause l'obtention de leur diplôme ». L'ASI qui dit comprendre les « inquiétudes légitimes exprimées par la Fédération nationale des étudiants en soins infirmiers », « encourage la FHP à reconsidérer sa position ».

Les infirmièr(e)s libéraux cadres de la FNI (Fédération nationale des infirmiers) se sont livrés lors de leur 60e congrès national les 3, 4 et 5 décembre 2013 à Charenton (Val-de-Marne) à un exercice original consistant à noter « deux idées pratiques dont vous vous êtes déjà dit qu'elles amélioreraient grandement votre sécurité, votre performance, le quotidien de votre exercice ou encore la qualité des soins délivrés aux usagers » (1). Au final, ce sont 60 idées classées par thèmes (simplification administrative, processus de soins, outils collaboratifs, etc.) que la fédération a rendues publiques jeudi 5 décembre et va transmettre aux pouvoirs publics, aux institutions ( HAS ), aux industriels et aux autres professionnels de santé. « Il est bien rare que, pour lever les points de blocage ou simplement identifier les leviers d'amélioration, on donne la parole aux professionnels de terrain », observe Philippe Tisserand, président de la FNI.

38 % des syndiqués du SNPI CFE-CFC ressentent de l'inquiétude mais seuls 12 % disent rester motivés. 66 % signalent une augmentation du stress, avec une charge de travail en croissance, notamment du travail administratif, et ressentent « une perte de sens ». Tels sont les enseignements qui ressortent de l'enquête sur l'état d'esprit des infirmiers, réalisée en janvier et février dernier et rendu public le 16 mars 2011 lors de son congrès national et à laquelle ont répondu 1 215 adhérents du syndicat (dont 52 % d'infirmiers et 39 % de cadres infirmiers 55 % travaillant à l'hôpital public et 22 % à l'hôpital privé non lucratif).

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La grève des urgences reprend de plus belle, malgré les promesses de Buzyn
Une étude Medscape montre que la plupart du harcèlement sexuel sur le personnel médical est perpétré par les patients. Le HuffPost a posé la question à des infirmières. Leurs déclarations sont alarmantes.
SANTÉ - Deux ans après #Metoo et #Balancetonporc, c’est comme si rien n’avait changé. Selon une enquête Medscape , un site d’information médicale, le harcèlement et les agressions sexuelles en milieu hospitalier sont encore monnaie courante.
L’étude indique que 41% des infirmières et sages-femmes y ont déjà été confrontées, et qu’elles sont “dix fois plus souvent harcelées par un patient que par un collègue.” Ce qui n’empêche pas les agressions de venir aussi de leurs pairs ou de leurs supérieurs hiérarchiques.
Parmi les victimes interrogées dans cette enquête, 65% disent avoir subi des “commentaires, regards à connotation sexuelle sur les parties du corps” et 36% des “gestes à connotation sexuelle non désirés”. Dans les trois quarts des cas (76%), le harceleur était un homme. Ces derniers aussi peuvent être victimes de harcèlement de la part de femmes ou d’hommes, comme vous pourrez le lire dans nos huit témoignages recueillis la semaine dernière.
Le HuffPost a demandé à des infirmiers, pour la plupart des femmes, de nous raconter leurs expériences. En deux jours, nous avons reçu une vingtaine de témoignages. Nous en avons sélectionné huit d’entre eux.
Signe que le sujet est encore tabou, tous nos interlocuteurs ont demandé à rester anonymes, par “honte”, par “peur d’être mal vus” ou “pour ne pas faire d’histoires.”
Il suffit de poser la question pour se rendre compte de l’ampleur du problème. Parmi les infirmières ayant répondu à notre sollicitation, elles sont unanimes: chaque infirmière ou aide-soignante a déjà été harcelée ou agressée sexuellement au moins une fois sur son lieu de travail.
En parcourant les citations recensées par “ Paye ta blouse ” (témoignages de sexisme en milieu hospitalier) il apparaît que le harceleur est très souvent un médecin ou un chef de service. Selon l’étude Medscape, lorsqu’il fait partie du corps médical, l’agresseur occupe une position hiérarchique supérieure à celle de la victime. Difficile d’avoir des chiffres représentatifs de la réalité, tant ces actes sont étouffés au sein des établissements hospitaliers.
En 2017, l’ISNAR-IMG, intersyndicale d’internes en médecine générale, regrettait que “sous couvert de tradition, ‘d’humour carabin’, et souvent dans un contexte de liens de subordination”, des actes quotidiens soient “banalisés” alors qu’ils “peuvent pourtant correspondre à de véritables violences psychologiques”.
L’histoire est souvent la même: une agression, la découverte d’autres victimes, une hiérarchie qui ne réagit pas ou qui culpabilise la victime. C’est ce qui est arrivé à Sarah*, agressée sexuellement par un médecin sur son lieu de travail en 2014, dans un hôpital en Île-de-France. Elle a alors 32 ans. Ce soir-là, elle est de garde de nuit en réanimation, avec un médecin qu’elle connaît depuis plusieurs années et en qui elle a “totalement confiance”.
“Comme d’habitude, nous allons faire une pause cigarette ensemble, raconte-t-elle au HuffPost . Et comme il pleut, nous allons fumer dans la chambre de garde, ce qui nous arrive souvent. On discutait de choses et d’autres, des patients, du service.” Sarah propose une cigarette mentholée au médecin. Sa réponse la pétrifie: “Il s’approche de moi et me dit ‘fais-moi sentir ta bouche’. Je lui dis non. Il répète cette phrase deux fois.” Elle essaye de sortir de la pièce et se rend compte qu’il a fermé la porte à clef.
“Je ne comprenais pas ce qui se passait. Ce n’était plus la personne que je connaissais, j’étais comme face à un inconnu. Il m’a entourée de ses bras en me répétant ‘Fais-moi sentir ta bouche’ dans l’oreille et a commencé à m’enserrer. Je lui ai crié de me lâcher. Il a commencé à me faire des compliments tout en me touchant, la poitrine, le haut des fesses. Il me montre ses mains qui tremblaient en me disant: ‘Regarde, tu me rends dingue.’ Il me jette les clefs sur le lit et me dit que je peux partir. J’en suis incapable. Il avait une emprise totale sur moi.”
Elle sera sauvée par un appel des urgences, qui les oblige à sortir de la pièce. Le médecin fera comme si rien ne s’était passé. Elle parviendra à en parler à des collègues. “Le problème, c’est que c’est un médecin et je suis une infirmière. C’est arrivé aux oreilles de mes chefs de service, qui m’ont dit: ‘Si tu portes plainte, tu risques de détruire sa vie, sa réputation’.”
Sarah est effondrée par la réaction de sa hiérarchie. La direction de l’hôpital où elle travaille lui explique que la chambre de garde est “comme une chambre d’hôtel” et qu’elle n’avait rien à y faire avec un homme. Elle quitte alors l’hôpital, où elle n’est que vacataire. “Ils m’ont proposé de me changer de service, mais je ne pouvais pas y retourner et ça dure jusqu’à aujourd’hui”, explique-t-elle.
Au chômage, elle portera plainte six mois plus tard. Elle rencontre un peu plus tard, dans les Yvelines, une secrétaire médicale dans un autre hôpital où le médecin a exercé. Elle lui raconte une histoire qui ressemble comme deux gouttes d’eau à la sienne. Malgré cela, les tentatives de minimisation ont laissé des séquelles. “Même aujourd’hui, j’ai des moments de doute où je me dis que peut-être ce n’est pas si grave que ça, que ce n’était pas la peine de porter plainte”, se tourmente l’infirmière de 37 ans.
C’est sa parole contre celle du médecin, qui crie au “complot” contre lui. Au bout de 3 ans de procédures et une prise en charge policière que Sarah estime “insuffisante”, Sarah apprendra par courrier que l’affaire est classée “faute de preuve”. Le médecin est lui retourné travailler à l’hôpital en question.
Aujourd’hui, Sarah vit toujours dans l’appréhension de le recroiser. Elle a du mal à faire confiance à ses collègues masculins, ne peut pas consulter un médecin si c’est un homme. Chaque affaire de harcèlement ravive la plaie de son expérience traumatique. Et les histoires de ce type sont malheureusement très fréquentes, comme le raconte notamment Cécile Andrzejewski dans son enquête “Silence sous la blouse” (Fayard, février 2019).
Une situation encouragée par le formatage des écoles de médecine. “Quand tu entres en école de médecine, on t’apprend la règle d’or qui est ‘Respecter tes pères’, se souvient Laura*, infirmière de 24 ans à Paris, qui a fait une année de médecine avant de se réorienter. Cette règle fait que tes chefs sont comme des Dieux. Tout est fait pour nous infantiliser face aux médecins plus expérimentés. Difficile de dénoncer son ‘père’ de lui avoir fait quelque chose.”
Selon l’enquête de Medscape , les victimes sont 6 fois plus fréquemment harcelées par un patient que par un collègue. Un sujet aussi tabou que banalisé, car “on permet tout aux patients”, affirme Aïcha*, infirmière dans le privé à Pau. À 35 ans, elle a déjà subi plusieurs agressions de la part d’hommes qu’elle soignait.
“Une fois, je faisais la dialyse d’un jeune homme. Je devais lui toucher le bras pour le piquer. Il m’avait déjà fait plusieurs compliments déplacés, sur mon apparence, mon rouge à lèvres, raconte-t-elle. Je l’envoyais balader. Un jour, il me dit: ’je sais que tu aimes passer tes mains sur mon torse, sur moi.′ J’en ai parlé à ma responsable, qui a complètement minimisé les faits en disant: ‘Ce sont des blagues, ce n’est rien.’ Donc en fait, on peut se faire agresser tranquilles.”
Au Québec, Martine*, infirmière de 21 ans, a le même ressenti. “Quand on prend la pression artérielle, on demande au patient de soulever le bras pour installer le brassard. Certains en profitent pour me toucher un sein du revers de la main. Une fois, l’un d’entre eux m’a même saisi l’entre-jambes”, dénonce-t-elle. Face au patient, difficile de toujours savoir comment réagir. “Sur le moment, on reste tellement choquée qu’un patient ose faire ça, qu’on bloque. J’ai un très fort caractère, mais je ne suis pas toujours en mesure de répliquer verbalement. Et pourtant, ce genre de situation arrive au minimum une fois par semaine.”
Le contact avec les patients, nécessaire pour effectuer les soins, est interprété par certains hommes comme des avances. “Parfois, on soigne des patients qui sont un peu coupés du monde, qui n’ont pas de vie sociale et sexuelle, ajoute Laura. Quand ils arrivent à l’hôpital, c’est affreux, mais tu es une femme, tu les douches, tu réveilles des trucs chez eux et c’est gênant.”
Selon l’infirmière de 24 ans, qui travaille dans un établissement public à Paris, l’hôpital semble être un espace où les patients s’autorisent des comportements qu’ils n’auraient pas en dehors. “Ils sont souvent dénudés, ou en pyjama, ils se permettent beaucoup plus de choses, souligne-t-elle. On ne parle même pas des patients qui sont sous un traitement qui modifie leur comportement, car ça existe aussi. Dans ces cas-là, c’est différent.”
Le “fantasme de l’infirmière”, semble même encore présent dans l’esprit de certains. “Il faut arrêter avec cette idée, s’agace-t-elle. Ils pensent qu’on est devenues infirmières en regardant des films pornos et qu’on ne porte rien sous notre blouse.”
Les patients réguliers se sentent “comme chez eux” à l’hôpital et certains se comportent davantage comme des clients, à qui le personnel médical devrait toutes sortes de services. Une réalité exacerbée dans le privé. “Certains nous considèrent comme des bonniches”, tempête Aïcha, qui travaille dans ce mileu.
Le statut de patient est en lui-même un obstacle. Porter plainte contre une personne malade semble tabou. “Il faut y aller, vous imaginez! Vous vous occupez d’un patient et vous portez plainte contre lui. Le pauvre, il est malade! Souvent, on laisse tomber, admet Aïcha. Le pire, ce sont les hommes âgés. Ils ont tous les droits. On les recadre, mais ils ne se privent pas pour autant.”
Selon les infirmières interrogées, les patients jouissent d’une totale impunité et n’ont jamais à subir les conséquences de leurs actes. “C’est comme si les lois étaient différentes à l’hôpital et dans la vraie vie, ces personnes ne sont jamais punies, regrette Laura. Tout le monde est au courant, tout le monde sait ce qu’il se passe, mais personne ne dit rien. Ces situations ne devraient pas être réglées en interne, mais devant la justice.”
Les termes de harcèlement sexuel et d’agression sexuelles sont rarement employés et les actes sont en général minimisés. “Quand j’en parle à mes supérieurs, souvent on me répond: ‘Tu plais aux hommes’, ou ‘C’est normal, tu es jolie’, s’agace-t-elle. On m’a dit que ça faisait partie de mon taf, que j’allais avoir à faire à des pervers parfois...”
Parmi les répondants de l’étude Medscape, les personnes de moins de 45 ans sont les plus touchées (44% victimes ou témoins) et beaucoup indiquent que c’est surtout en début de pratique ou en cours de stage que le risque est le plus grand.
Laura y a été confrontée dès le début de ses études d’infirmière en 2014 à Paris. “J’avais 19 ans et j’étais en première année, raconte-t-elle au HuffPost . J’étais en stage en EHPAD ( établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes ) et j’ai été chargée de faire prendre un bain thérapeutique à un patient âgé, mais sans signes de démence. Il s’est déshabillé d’un coup, sans attendre que je sorte. Puis il s’est mis dans la baignoire, m’a demandé de fermer la porte à clef et de le ‘branler’”.
Estomaquée, Laura refuse, mais le patient insiste: “Je suis déjà en train, tu vas finir.” Elle sort de la pièce, paniquée, tout en se sentant “coupable” de laisser le patient, qui est sous sa responsabilité, seul dans son bain. À sa responsable à qui elle raconte l’incident, celle-ci répond: “Ce patient est un peu bizarre, ça lui arrive. Il a vu que tu étais jeune et il ne s’est pas contrôlé.” L’incident n’aura aucune conséquence sur l’homme en question.
Fanny* se souvient elle aussi d’une expérience traumatisante lors d’un stage en 2018. Elle est deuxième année d’études d’infirmière, dans l’Isère. Elle a alors 19 ans “Lors de la toilette d’un patient, il m’a demandé si j’étais vierge, si j’avais déjà ‘branlé’ un homme et si je voulais le faire avec lui, se souvient-elle. J’ai refusé et j’ai expliqué que j’allais arrêter mon soin. J’ai appelé un collègue aide-soignant pour finir la toilette sans expliquer le problème, j’ai juste dit que le patient m’avait mise mal à l’aise. Mon collègue n’a pas posé de question.”
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