Les hommes soumis existent

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Les hommes soumis existent
Pourquoi certaines hommes aiment-ils être soumis / dominés et parfois de façons extrême ?
Médecine et santé · Mis à jour le 10 mo
Qui sont les hommes soumis dans le BDSM ? 
Les femmes qui pratiquent le BDSM sont souvent interrogées et remises en cause sur leur féminisme. Aujourd’hui, NEON questionne ces hommes qui désirent se soumettre...
https://www.google.com/amp/s/www.neonmag.fr/qui-sont-les-hommes-soumis-dans-le-bdsm-569986.html%3Famp%3D1
La raison surprenante pour laquelle les hommes aiment être dominés
«J'aime dominer dans la chambre», dit une fille aux cheveux bruns brillants alors qu'elle croisait les yeux avec mon petit ami de l'autre côté de la table. Je les ai regardés tous les deux avec lassitude.
https://ichi.pro/fr/la-raison-surprenante-pour-laquelle-les-hommes-aiment-etre-domines-32081768322453
Qui sont les hommes soumis dans le BDSM ? 
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La raison surprenante pour laquelle les hommes aiment être dominés
«J'aime dominer dans la chambre», dit une fille aux cheveux bruns brillants alors qu'elle croisait les yeux avec mon petit ami de l'autre côté de la table. Je les ai regardés tous les deux avec lassitude.
https://ichi.pro/fr/la-raison-surprenante-pour-laquelle-les-hommes-aiment-etre-domines-32081768322453
Pourquoi certains Français n’aiment-ils pas leur pays ?
Pourquoi certains hommes n'aiment-ils pas parler de leurs sentiments à leurs conjointes ?
Pourquoi certains Français sont-ils des râleurs ?
Pourquoi certains hommes sont attirés par les femmes dominatrices ?
Pourquoi certaines femmes acceptent-elles d'être soumises aux hommes ?
Lieu : Île-de-France, France ( 2001 – aujourd'hui ) · L'auteur a 1,1 k réponses et 427,9 k vues de réponse · 7 janv.
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Pourquoi nous ne nous souvenons pas de 99% de nos rêves ?
Pourquoi certains hommes n'aiment pas sortir avec des femmes de leur âge ?
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Pourquoi les hommes aiment-ils sentir que leur partenaire dépend d’eux ?
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J’avais lu que ce sont souvent les cadres/dirigeants en entreprise qui aiment être soumis. À force de diriger au quotidien un grand nombre de personnes, ils aiment passer de l’autre côté durant la nuit.
Udapte : J’ai trouvé un forum avec 2 témoignages, d’un scénariste et d’un cadre en entreprise
témoignage du cadre qui approuve la théorie :
Autre article qui confirme maintenant la théorie 😂😂 :
J’avais lu que ce sont souvent les cadres/dirigeants en entreprise qui aiment être soumis. À force de diriger au quotidien un grand nombre de personnes, ils aiment passer de l’autre côté durant la nuit.
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Pourquoi ? je ne sais pas précisément, mais j'éprouve beaucoup de plaisir au travers de certaines douleurs, contraintes. C'est du plaisir non construit, qui est gratuit puisque donné par l'abandon de soi. Assez difficile à décrire, il faut l'expérimenter.


Etre soumis(e) : Qu’est-ce que ça veut dire exactement ?

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Au lit, certain(e)s aiment dominer, d'autres aiment être soumis(es). Souvent car ils/elles trouvent cela terriblement excitant de s'abandonner totalement à l'autre et perdre le contrôle. Mais qu'est-ce qu'être soumis(e) exactement ? Faisons le point. 
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Si 50 Nuances de Grey a mis en lumière les relations dominant(e)s/soumis(es), nombreux sont ceux qui connaissent déjà cette pratique dans l’intimité. Jeux de pouvoir, domination, soumission, bondage… il existe 1001 façons d’exercer ce type de fantasmes au lit, et le nombre de personnes curieuses de ces expériences sexuelles ne cesse d’augmenter. Encore faut-il en connaître véritablement les rouages et savoir quels sont ses réelles envies. Car bien souvent, cette idée de soumission a une image négative. Entre irrespect et violence, c’est en réalité tout le contraire ! Mais être soumis(e), qu’est-ce que c’est réellement ? Les explications ici.
La soumission est un jeu sexuel entre deux partenaires, que les rapports soient hétérosexuels ou non. Il se traduit par des rôles de soumission et domination, pouvant être interprété aussi bien par un homme que par une femme. Ainsi, tu peux très bien inverser les rôles avec ton/ta partenaire si vous êtes mutuellement en accord avec la situation. La personne soumise se laisse totalement aller aux désirs de la personne dominante, qui peuvent se traduire de différentes manières : bondage, fessés, scénarios insolites, accessoires, sadomasochisme… Dans tous les cas, la personne soumise doit se plier aux ordres de son/sa dominant(e).
Contrairement aux idées reçues, la soumission n’est en aucun cas de l’irrespect ou de la violence gratuite. Elle est souvent mal comprise ou mal interprétée. Il s’agit en réalité d’une relation entièrement consentie qui se base sur le respect mutuel avec son/sa partenaire. Ce jeu sexuel doit être voulu par les deux partenaires. C’est pourquoi tu dois absolument en discuter avec lui/elle avant de t’engager dans ce type de pratiques sexuelles. Les deux partenaires doivent ressentir du plaisir et être soumis(e) ne veut pas dire être contraint(e), ni gêné(e). Ainsi, la soumission ne doit pas t’être imposée et tu ne dois pas non plus l’imposer à ton/ta partenaire.
La soumission peut très bien faire grimper la température et être utilisée en guise de préliminaires. Mais cette pratique sexuelle peut également permettre à la personne soumise de totalement lâcher prise durant ses rapports. Souvent jugée contraignante, la soumission est en réalité très libératrice pour ceux/celles qui la pratiquent . Grâce à ton/ta dominant(e), tu auras tout de suite beaucoup moins de responsabilités que dans un rapport sexuels plus « classiques ». Une relation de soumis(e)/dominant(e) peut également renforcer la confiance au sein du couple. En effet, pour s’abandonner totalement comme cela à son/sa partenaire, il faut avoir 100% confiance en lui/elle.
Comme dans toute relation, l’important est de bien en discuter avant avec ton/ta partenaire. La communication est la clé pour de bons rapports sexuels, peu importe leur nature. La personne soumise doit pouvoir fixer clairement ses limites avant d’exercer cette pratique sexuelle . N’oublie pas de bien dire à ton/ta partenaire ce que tu aimes ou non, ce que tu es prêt(e) à faire ou non. Ne pas en parler au préalable peut réellement être dangereux, surtout dans les cas les plus extrêmes de soumission/domination. Par exemple, pour ceux qui sont friands du sadomasochisme, un mot de sécurité (comme « rouge ») est souvent employé. Ne pratique pas la soumission avant d’avoir une idée claire de ce dans quoi tu t’engages.
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Comme dans toute relation, l’important est de bien en discuter avant avec ton/ta partenaire. La communication est la clé pour de bons rapports sexuels, peu importe leur nature. La personne soumise doit pouvoir fixer clairement ses limites avant d’exercer cette pratique sexuelle . N’oublie pas de bien dire à ton/ta partenaire ce que tu aimes ou non, ce que tu es prêt(e) à faire ou non. Ne pas en parler au préalable peut réellement être dangereux, surtout dans les cas les plus extrêmes de soumission/domination. Par exemple, pour ceux qui sont friands du sadomasochisme, un mot de sécurité (comme « rouge ») est souvent employé. Ne pratique pas la soumission avant d’avoir une idée claire de ce dans quoi tu t’engages.
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Tous les homosexuels ne pratiquent pas la pénétration anale, de même qu’on peut être hétérosexuel et aimer être pénétré. Notre construction de la masculinité traditionnelle veut qu’un « vrai » homme se doit d’être au-dessus. Cela n’a pas toujours été le cas, nous explique Maïa Mazaurette, chroniqueuse de « La Matinale du Monde ».
Publié le 01 juillet 2018 à 06h29 - Mis à jour le 03 juillet 2018 à 13h58 Temps de Lecture 5 min.
Au risque de terrifier les anatomistes, il semblerait que les hommes aient deux corps. Le premier, organique, serait constitué de muscles, de nerfs et autres rotules, offrant d’innombrables potentialités érotiques. Le second corps, symbolique, formerait une version culturellement acceptable du premier : les zones érogènes se concentrent dans le pénis, qui n’existe qu’en érection. La prostate perd son rôle d’organe pour devenir une réponse de Trivial Pursuit (« As-tu lu l’intégrale des œuvres de Prostate ? »). Le mâle se voit amputé de son anus (dommage). Subir une pénétration devient impossible. Sans parler d’aimer ça.
Un dialogue de sourds s’enclenche entre ceux qui peuvent concevoir un homme dans une position de réception sexuelle, et ceux qui littéralement, trouvent cette idée impensable .
Ces derniers nient non seulement le plaisir ressenti pendant l’acte, mais sa faisabilité. Dans ce fascinant univers parallèle, la nature ne permettrait pas d’intromission anale, sauf 1) sur les femmes (nous sommes étrangement plus libérés quand il s’agit du corps féminin), 2) entre gays, 3) à Guantanamo, comme torture.
Cette incapacité à envisager des hommes hétérosexuels pénétrables ne concerne pas que le mâle lambda : mêmes les études scientifiques viennent à manquer. Nous ne disposons pas d’imagerie cérébrale sur le Super-O (pour « super-orgasme »). Mais nous savons par exemple qu’un homme de 63 ans peut obtenir jusqu’à dix jouissances avant l’éjaculation ( université de Sheffield, 2017 ).
Médicalement, le massage prostatique est reconnu comme pourvoyeur d’orgasmes plus longs et plus intenses. Au cas où le doute subsisterait sur la grande motivation des adeptes, la liste infiniment renouvelée des objets retrouvés par les urgentistes dans les rectums du peuple clôt le débat.
Alors, pourquoi tant d’hésitations, quand on sait que notre moralité est aussi élastique que notre culture ? Pourquoi en appeler à la nature, quand il s’agit justement d’utiliser une ressource avec laquelle nous sommes nés ?
En 2018, alors que nous prétendons courir tous les plaisirs imaginables, cette réticence ne laisse pas de surprendre. Il existe bien sûr une homophobie intériorisée (les enfants apprennent très tôt qu’« enculé » est une insulte, mais pas « enculeur »). Cette angoisse n’appartient cependant pas consubstantiellement à notre culture. L’excellente Histoire de la sexualité dirigée par Sylvie Steinberg (à paraître aux PUF dans deux mois) permet ainsi d’expliquer – et de relativiser – ce phénomène.
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