Les histoires de fellation de Felix #1

Les histoires de fellation de Felix #1




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Les histoires de fellation de Felix #1
      Les histoires de fellation de felix 2 cette jeune fille l'aime brutal
Paste this HTML code on your site to embed.

Size :
533 / 300
622 / 350
711 / 400
800 / 450
888 / 500
977 / 550
1066 / 600

Source : http://www.ruedux.com/




Issue: *

Violation de copyright Spam Contenu invalide Liens brisés


Your Name: *



Your Email: *


Permettez-moi de m’introduire briĂšvement avant de vous raconter mes histoires. Je m’appelle FĂ©lix, 20 ans, je vis Ă  Montreal et viens tout juste d’entrer Ă  l’universitĂ©. Je suis comme la plupart des gars de mon Ăąge, Ă  part les Ă©tudes, les amis et la famille, ce qui me branche le plus, c’est les filles. Je suis cĂ©libataire et veux le rester pour un bout de temps questions de butiner un maximum avant de me caser pour de bon. Je suis plutĂŽt beau garçon, assez confiant et fonceur, donc avec les filles, ça va plutĂŽt bien. J’ai un certain succĂšs, je rĂ©ussi Ă  sĂ©duire la gente fĂ©minine de façon assez rĂ©guliĂšre et suis plutĂŽt efficace pour les attirer dans mon lit. Mon ’’problĂšme’’, s’il en est un, est qu’une fois dans la couchette, il est rare que ça se concrĂ©tise par une partie de jambe en l’air satisfaisante autant pour moi que pour mes conquĂȘtes. La raison vous surprendra peut-ĂȘtre, j’ai une trop gosse queue. C’est un fantasme pour bien des femmes de se faire prendre par un Ă©norme engin et bien sĂ»r, pour bien des hommes d’en avoir un entre les jambes. Il y a par contre une certaine limite physiologique au-delĂ  de laquelle les choses peuvent se compliquer. Comme tous les mecs, je l’ai bien sĂ»r dĂ©jĂ  mesurer, en Ă©rection, elle fait 30cm en longueur et 15cm de diamĂštre. Quand les jeunes femmes baissent mon pantalon pour la premiĂšre fois, elles sont toujours sous le choc et certaines se mettent carrĂ©ment Ă  avoir peur. Donc, je dirais que, 3 fois sur 4, l’espoir d’une baise s’arrĂȘte net. Souvent, elles quittent rapidement les lieux Ă©voquant une excuse bidon, d’autres fois, elles me disent sans dĂ©tour que c’est trop gros pour elles. Au moins, de temps en temps, j’ai droit Ă  une fellation ou une branlette. Certaines filles essaient, mais n’y arrivent pas, c’est trop douloureux ou bien ça n’entre tout simplement pas, c’est trĂšs frustrant. Parfois, je tombe sur une nympho accroc au grosses bites et c’est le pied, celle-lĂ  vĂ©nĂšrent littĂ©ralement mon phallus.
Je me suis rendu compte Ă  l’adolescence de ma spĂ©cificitĂ© en prenant la douche aprĂšs les matchs de sport Ă  l’école, les autres avaient l’air de pĂ©nis miniatures Ă  cĂŽtĂ© du mien. Puis plus tard, en regardant des vidĂ©os porno sur le web, mĂȘme les types avec des supposĂ©s ’’big cock’’ en avaient des plus petites que la mienne la plupart du temps. DerniĂšrement, j’ai essayĂ© la stratĂ©gie suivante, quand je conclus avec une fille et que je sens qu’elle a envie de baiser, je lui dis sans dĂ©tour que j’ai un Ă©norme membre, et que j’espĂšre bien que ce ne sera pas un problĂšme pour elle. Les rĂ©sultats sont plutĂŽt mitigĂ©s, la plupart du temps, elles s’enfuient, pensant probablement que je suis un espĂšce de pervers ou un type trop bizarre ou mĂȘme dangereux. Donc maintenant, je prĂ©fĂšre quelles dĂ©couvrent par elles-mĂȘmes, puis aprĂšs on verra

Ma derniĂšre conquĂȘte remonte Ă  vendredi dernier, un cas classique de ’’one night’’, trĂšs banal. Je vous la raconte pour vous montrer le genre d’histoires typiques que je vis trop souvent. Nous Ă©tions dans un club bien connu de la ville frĂ©quentĂ© par des jeunes gens de mon Ăąge, entre 18 et 25 ans. Je reluquais une belle jeune femme depuis un moment, elle devait avoir aux alentour de 20 ans tout comme moi. Elle avait un trĂšs jolie visage, longs cheveux teints blonds, grandeur moyenne. Une jolie jupe d’étĂ© laissait deviner facilement une belle paire de fesse bombĂ©s. Elle avait surtout des seins gĂ©nĂ©reux, bien larges et ronds, probablement le rĂ©sultat d’une augmentation mammaire, qu’elle dĂ©ployait fiĂšrement sous un ’’tank top’’ plutĂŽt ajustĂ©. C’était le genre de fille qui s’entraĂźnait au gym Ă  tous les jours et qui passait la majoritĂ© de son temps Ă  sculpter son corps et magasiner des fringues. Pas spĂ©cialement mon genre mais ce soir, elle m’allumait, je voulais voir ses nibards. Je lui sors mon baratin habituel, lui paye quelques verres, ça fonctionne. La soirĂ©e avance, il est tard, 3 heures du matin. Je l’invite chez moi, elle accepte. Nous repartons en taxi Arianne et moi vers mon appart situĂ© pas trĂšs loin, nous aurions pu marcher la distance. Pendant le trajet, je ne cesse de reluquer sa poitrine sans aucune discrĂ©tion, nous savons trĂšs bien tous les deux oĂč nous conduira cette rencontre d’un soir.
— J’en meurs d’envi, je les boufferais tout de suite.
Je me penche vers elle et porte ma bouche Ă  son sein droit par dessus son pull. Ma main droite agrippe son autre sein, je la tripote sans gĂȘne. Mon Ă©lan est arrĂȘtĂ©e par le chauffeur qui nous annonce le terminus. Nous montons chez moi, je la conduis par la main directement Ă  ma chambre. Je retire son pull en mĂȘme temps qu’elle retire le mien tout en s’embrassant. Ses seins sont magnifiques sous son soutient-gorge rouge ornĂ© de fines dentelles. Elle porte ses mains Ă  son dos pour le dĂ©tacher en me regardant droit dans les yeux pendant que le bout de tissu tombe au sol. De mes deux mains, je les empoigne avec fermetĂ© et les lĂšche, ils sont fermes comme je m’y attendais, impossible de dire si ce sont des faux, ils sont parfaits. La voyant porter ses mains Ă  mon jean, je la devance et abaisse sa jupette, je prĂ©fĂšre prendre les devant et l’exciter d’abord, persuadĂ© que ça augmentera mes chances qu’elle accepte le coĂŻt malgrĂ© ma bite gĂ©ante. Sa petite culotte, ou du moins le minuscule bout de tissu qui cache son sexe, est rouge et blanche aux couleurs de son soutif. Je l’enlĂšve aussitĂŽt pour dĂ©couvrir un pubis entiĂšrement rasĂ©, trĂšs lisse, elle l’a sĂ»rement fait aujourd’hui! C’est si invitant, je la couche sur le dos sur le lit et m’agenouille devant elle pour lui bouffer sa mignonne chatte. Ma langue travaille dans tous les coins, elle gĂ©mit dĂ©jĂ , elle se pince les mamelons de ses deux mains au mĂȘme rythme oĂč je lui lĂšche le clitoris, elle est complĂštement trempĂ©e.
— Tu aimerais que je te suce moi aussi, c’est à mon tour.
— Suce-moi. Sois pas trop surprise, je suis plutît bien nanti.
— T’inquiùte-pas, j’en ai vu d’autre!
Elle se glisse sur le dos vers moi et se retrouve au pied du lit agenouillĂ©e devant moi. La vue de cette belle blonde et de ses protubĂ©rant nichons vue d’en haut en train de dĂ©tacher ma braguette est fantastique. J’ai toujours Ă  ce moment un sentiment Ă  la fois de fiertĂ© de montrer mon engin mais aussi de stress devant les innombrables moments embarrassants auxquels cela a souvent conduit. Elle abaisse mon pantalon, je suis bandĂ© comme un cheval, ma queue est placĂ©e latĂ©ralement sur ma cuisse, le seul endroit qui permet de l’abriter sans qu’elle sorte de mon slip. Arianne a un lĂ©ger moment d’hĂ©sitation devant cette bosse absurde puis elle descend mon boxer jusqu’à mes genoux. Elle porte ses mains devant sa bouche en signe de stupĂ©faction.
— mon dieu, c’est incroyable
J’ai jamais vu quelque chose de pareil,
— Grosse c’est pas le mot, c’est gigantesque, c’est fou, tu as toute une
Parcimonieusement, elle prend ma verge avec sa main, commence de lĂ©gers mouvements de va-et-vient et mets ses lĂšvres autour de mon gland. Sa bouche doit s’étirer au maximum pour l’encercler. Elle suce du mieux qu’elle peut, ma queue n’entre pas plus du quart dans sa bouche. Sa main me branle pendant qu’elle s’affaire Ă  satisfaire mon capuchon. La vision de cette blondasse Ă©tirant ses lĂšvres pour accueillir mon paquebot et tentant bien que mal d’accomplir sa tĂąche malgrĂ© la surprise et la nervositĂ© m’excite sauvagement, j’aimerais tellement la pĂ©nĂ©trer jusqu’à l’orgasme. Vu sa surprise devant la vue de mon membre, je doute qu’elle soit chaude Ă  l’idĂ©e. AprĂšs quelques minutes d’une fellation douce mais efficace, elle me sort alors de sa bouche et, tout en continuant de me masturber, me dit:
— Écoutes, je vais ĂȘtre franche, t’as une trop grosse bite pour me baiser
  ce soir, ça va pas entrer. Je peux te sucer et te faire venir si tu veux ?
— Tu as dit que tu en avais vu d’autres!
— Oui, j’ai connu des gars bien membrĂ©s mais toi t’es hors compĂ©tition.
  SĂ©rieusement, ta queue est plus grosse que mon avant-bras, y’a
  aucune chance que ça puisse entrer en moi.
— Bien sĂ»r chĂ©ri, ça je peux le faire, mĂȘme si ta verge entre Ă  peine dans
  ma bouche, j’vais faire de mon mieux.
Docilement, elle ouvre toute grande sa bouche et avale tout ce qu’elle peux de mon cylindre. Elle tente Ă  chaque va-et-vient d’entrer mon pĂ©nis encore plus profondĂ©ment dans sa gorge et prend soin de garder ses lĂšvres bien serrĂ©es autour de mon membre. De temps en temps, elle utilise une ou deux mains et me branle avant de me rĂ©insĂ©rer dans sa bouche. Consciente que son refus de baiser me déçoit, elle s’applique Ă  la tĂąche du mieux qu’elle peut, elle me fait une pipe digne d’une actrice porno. Elle joint bientĂŽt ses deux mains et entrecroise ses doigts afin de couvrir tout le pĂ©rimĂštre Ă  la base de mon organe et me masturbe vigoureusement en suçant et lĂ©chant mon gland vaillamment en mĂȘme temps. Son travail acharnĂ© porte fruit, mon excitation monte dangereusement. Elle sent le point culminant approcher.
— Dis-le moi avant de venir, j’avale pas.
— Ok je vais te venir sur le visage.
— J’aimerais mieux que tu viennes sur mes seins, ok?
— Remets ma queue dans ta bouche et suce.
Elle replonge mon gland aussitĂŽt et resserre l’étau de ses lĂšvres tout en recommençant ses mouvements de va-et-vient. Ses mains jointes l’une Ă  l’autre autour de ma bite n’ont pas arrĂȘtĂ©es de m’astiquer tout ce temps et elles continuent de plus belle. La belle Arianne s’apprĂȘte Ă  faire connaissance avec un autre de mes ’’talent’’ sexuel, celui de produire des Ă©jaculations monstres. Était-ce reliĂ© au fait que j’avais une bite gĂ©ante ? Je ne le savais pas trop mais Ă  toute les fois que je venais, je pissais littĂ©ralement du foutre. Ça impressionnait habituellement autant les femmes que la dimension de mon attribut lui-mĂȘme. Celles qui n’aimaient pas trop le sperme Ă©taient traumatisĂ©es par le raz-de-marĂ©e sortant de mes couilles.
Elle me sort de sa bouche et dirige mon organe vers sa poitrine afin de le dĂ©charger. De ma main droite, j’entoure ses propres mains et intensifie les mouvements de masturbation tout en rĂ©tablissant l’angle vers son visage. Elle tente sans trop de conviction de ramener mon dard vers le bas, je m’y oppose et le maintient fermement en place, elle sais qu’elle n’aura pas gain de cause, j’ai dĂ©jĂ  essuyĂ© trop de refus pour ce soir, la petite blonde devra se soumettre et elle le sait bien.
— J’avais dit pas dans la face! C’est dĂ©goĂ»tant et en plus
  ça va me tout me gommer les cheveux.
Sa phrase Ă  peine achevĂ©e, une premiĂšre dĂ©charge de sperme lui frappe la joue de plein fouet mais ricoche vers le bas sur son protubĂ©rant sein droit. Voulant Ă©viter les prochaines salves, elle cambre sa tĂȘte sur le lit derriĂšre elle. La pauvre, son visage placĂ© ainsi Ă  l’horizontal tout juste devant moi m’offre une cible parfaite. Un deuxiĂšme jet s’étale parfaitement de son menton jusqu’à sa belle chevelure blonde. Elle ferme alors ses yeux et sa bouche le plus hermĂ©tiquement possible. Une troisiĂšme gerbe s’étend couvrant sa bouche et un il. Elle pousse un grognement d’insatisfaction mais il est trop tard, cette petite allumeuse est en train de tout recevoir. Un autre trait atterri dans le mille. Alors que pour n’importe quel homme, normalement, l’éjaculation s’achĂšverait, dans mon cas elle ne fait que dĂ©buter. D’autres jets puissants et volumineux s’abattent sur son jolie minois les uns aprĂšs les autres, inlassablement. Ce soir mon sperme est trĂšs blanc et particuliĂšrement Ă©pais, il colle littĂ©ralement en place et forme de longues stries. Arianne tourne sa tĂȘte tantĂŽt vers la droite puis vers la gauche, essayant de se soustraire Ă  l’éjaculat projetĂ© vers elle, sans succĂšs. Le dĂ©versement se poursuit, les larges et longues traĂźnĂ©es de sperme Ă©parpillĂ©es un peu partout sur son visage commence Ă  s’agglutiner pour ne former qu’une seule Ă©norme couche visqueuse et collante. La belle blondinette continue de pousser de lĂ©gers grognements rĂ©probateurs Ă  mesure qu’elle encaisse la plus grosse Ă©jaculation faciale de sa vie. La source se tarie enfin, ses cheveux sont dĂ©sormais tout gras et son magnifique visage, arborant une peau si parfaite qu’elle entretient probablement Ă  coup de pots crĂšme valant une fortune, est tout gĂątĂ© par la couche de foutre qui le tapisse maintenant d’un bout Ă  l’autre.
Voyant que ma main lĂąche son emprise sur ses propres mains entourant ma bite, elle me repousse et se lĂšve d’un bond avec un air d’un mĂ©lange de dĂ©goĂ»t et d’insatisfaction. AveuglĂ©e par le masque de sperme, elle cherche la salle-de-bain Ă  tĂątons, je lui indique oĂč se diriger. AprĂšs une courte sĂ©ance de nettoyage, elle rĂ©apparaĂźt dans la chambre, s’habille en toute vitesse et sans mĂȘme me jeter un regard ou dire quoi que ce soit, quitte mon appartement en coup de vent. Nul besoin de vous dire quelle n’est pas restĂ©e Ă  coucher

Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire.
Copyright © 2022. Created by Histoires de Sexe . Notre site Web est constamment mis à jour.



Issue: *

Violation de copyright Spam Contenu invalide Liens brisés


Your Name: *



Your Email: *


Permettez-moi de m’introduire briĂšvement avant de vous raconter mes histoires. Je m’appelle FĂ©lix, 20 ans, je vis Ă  Montreal et viens tout juste d’entrer Ă  l’universitĂ©. Je suis comme la plupart des gars de mon Ăąge, Ă  part les Ă©tudes, les amis et la famille, ce qui me branche le plus, c’est les filles. Je suis cĂ©libataire et veux le rester pour un bout de temps questions de butiner un maximum avant de me caser pour de bon. Je suis plutĂŽt beau garçon, assez confiant et fonceur, donc avec les filles, ça va plutĂŽt bien. J’ai un certain succĂšs, je rĂ©ussi Ă  sĂ©duire la gente fĂ©minine de façon assez rĂ©guliĂšre et suis plutĂŽt efficace pour les attirer dans mon lit. Mon ’’problĂšme’’, s’il en est un, est qu’une fois dans la couchette, il est rare que ça se concrĂ©tise par une partie de jambe en l’air satisfaisante autant pour moi que pour mes conquĂȘtes. La raison vous surprendra peut-ĂȘtre, j’ai une trop gosse queue. C’est un fantasme pour bien des femmes de se faire prendre par un Ă©norme engin et bien sĂ»r, pour bien des hommes d’en avoir un entre les jambes. Il y a par contre une certaine limite physiologique au-delĂ  de laquelle les choses peuvent se compliquer. Comme tous les mecs, je l’ai bien sĂ»r dĂ©jĂ  mesurer, en Ă©rection, elle fait 30cm en longueur et 15cm de diamĂštre. Quand les jeunes femmes baissent mon pantalon pour la premiĂšre fois, elles sont toujours sous le choc et certaines se mettent carrĂ©ment Ă  avoir peur. Donc, je dirais que, 3 fois sur 4, l’espoir d’une baise s’arrĂȘte net. Souvent, elles quittent rapidement les lieux Ă©voquant une excuse bidon, d’autres fois, elles me disent sans dĂ©tour que c’est trop gros pour elles. Au moins, de temps en temps, j’ai droit Ă  une fellation ou une branlette. Certaines filles essaient, mais n’y arrivent pas, c’est trop douloureux ou bien ça n’entre tout simplement pas, c’est trĂšs frustrant. Parfois, je tombe sur une nympho accroc au grosses bites et c’est le pied, celle-lĂ  vĂ©nĂšrent littĂ©ralement mon phallus.
Je me suis rendu compte Ă  l’adolescence de ma spĂ©cificitĂ© en prenant la douche aprĂšs les matchs de sport Ă  l’école, les autres avaient l’air de pĂ©nis miniatures Ă  cĂŽtĂ© du mien. Puis plus tard, en regardant des vidĂ©os porno sur le web, mĂȘme les types avec des supposĂ©s ’’big cock’’ en avaient des plus petites que la mienne la plupart du temps. DerniĂšrement, j’ai essayĂ© la stratĂ©gie suivante, quand je conclus avec une fille et que je sens qu’elle a envie de baiser, je lui dis sans dĂ©tour que j’ai un Ă©norme membre, et que j’espĂšre bien que ce ne sera pas un problĂšme pour elle. Les rĂ©sultats sont plutĂŽt mitigĂ©s, la plupart du temps, elles s’enfuient, pensant probablement que je suis un espĂšce de pervers ou un type trop bizarre ou mĂȘme dangereux. Donc maintenant, je prĂ©fĂšre quelles dĂ©couvrent par elles-mĂȘmes, puis aprĂšs on verra

Ma derniĂšre conquĂȘte remonte Ă  vendredi dernier, un cas classique de ’’one night’’, trĂšs banal. Je vous la raconte pour vous montrer le genre d’histoires typiques que je vis trop souvent. Nous Ă©tions dans un club bien connu de la ville frĂ©quentĂ© par des jeunes gens de mon Ăąge, entre 18 et 25 ans. Je reluquais une belle jeune femme depuis un moment, elle devait avoir aux alentour de 20 ans tout comme moi. Elle avait un trĂšs jolie visage, longs cheveux teints blonds, grandeur moyenne. Une jolie jupe d’étĂ© laissait deviner facilement une belle paire de fesse bombĂ©s. Elle avait surtout des seins gĂ©nĂ©reux, bien larges et ronds, probablement le rĂ©sultat d’une augmentation mammaire, qu’elle dĂ©ployait fiĂšrement sous un ’’tank top’’ plutĂŽt ajustĂ©. C’était le genre de fille qui s’entraĂźnait au gym Ă  tous les jours et qui passait la majoritĂ© de son temps Ă  sculpter son corps et magasiner des fringues. Pas spĂ©cialement mon genre mais ce soir, elle m’allumait, je voulais voir ses nibards. Je lui sors mon baratin habituel, lui paye quelques verres, ça fonctionne. La soirĂ©e avance, il est tard, 3 heures du matin. Je l’invite chez moi, elle accepte. Nous repartons en taxi Arianne et moi vers mon appart situĂ© pas trĂšs loin, nous aurions pu marcher la distance. Pendant le trajet, je ne cesse de reluquer sa poitrine sans aucune discrĂ©tion, nous savons trĂšs bien tous les deux oĂč nous conduira cette rencontre d’un soir.
— J’en meurs d’envi, je les boufferais tout de suite.
Je me penche vers elle et porte ma bouche Ă  son sein droit par dessus son pull. Ma main droite agrippe son autre sein, je la tripote sans gĂȘne. Mon Ă©lan est arrĂȘtĂ©e par le chauffeur qui nous annonce le terminus. Nous montons chez moi, je la conduis par la main directement Ă  ma chambre. Je retire son pull en mĂȘme temps qu’elle retire le mien tout en s’embrassant. Ses seins sont magnifiques sous son soutient-gorge rouge ornĂ© de fines dentelles. Elle porte ses mains Ă  son dos pour le dĂ©tacher en me regardant droit dans les yeux pendant que le bout de tissu tombe au sol. De mes deux mains, je les empoigne avec fermetĂ© et les lĂšche, ils sont fermes comme je m’y attendais, impossible de dire si ce sont des faux, ils sont parfaits. La voyant porter ses mains Ă  mon jean, je la devance et abaisse sa jupette, je prĂ©fĂšre prendre les devant et l’exciter d’abord, persuadĂ© que ça augmentera mes chances qu’elle accepte le coĂŻt malgrĂ© ma bite gĂ©ante. Sa petite culotte, ou du moins le minuscule bout de tissu qui cache son sexe, est rouge et blanche aux couleurs de son soutif. Je l’enlĂšve aussitĂŽt pour dĂ©couvrir un pubis entiĂšrement rasĂ©, trĂšs lisse, elle l’a sĂ»rement fait aujourd’hui! C’est si invitant, je la couche sur le dos sur le lit et m’agenouille devant elle pour lui bouffer sa mignonne chatte. Ma langue travaille dans tous les coins, elle gĂ©mit dĂ©jĂ , elle se pince les mamelons de ses deux mains au mĂȘme rythme oĂč je lui lĂšche le clitoris, elle est complĂštement trempĂ©e.
— Tu aimerais que je te suce moi aussi, c’est à mon tour.
— Suce-moi. Sois pas trop surprise, je suis plutît bien nanti.
— T’inquiùte-pas, j’en ai vu d’autre!
Elle se glisse sur le dos vers moi et se retrouve au pied du lit agenouillĂ©e devant moi. La vue de cette belle blonde et de ses protubĂ©rant nichons vue d’en
Baise lesbienne mythique entre Asa Akira et Katsumi
Une ado trans qui se branle
Bien rangé dans mon bureau

Report Page