Les hôpitaux excitent Brooke

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POUR LA PREMIÃ?RE FOIS, l'Assistance
publique des Hôpitaux de Paris (AP-HP) est renvoyée, comme personne morale, devant le tribunal
correctionnel pour « homicide involontaire » et « mise en danger de la vie d'autrui ». Au cours
de l'audience, qui devrait se dérouler début juin, dix personnes, employées par l'hôpital parisien
Trousseau, vont devoir s'expliquer sur la mort suspecte d'un enfant, en février 1999.
Le petit Olivier, né le 19 juin 1997, admis aux urgences de
cet établissement, réputé en matière pédiatrique, pour une simple gastro-entérite aiguë, est
décédé des suites d'une « inhalation alimentaire massive ayant entraîné un broncho-spasme ».
L'information judiciaire, menée par la juge Odile Bertella-Geffroy, a conclu à une série de
fautes, qui ont entraîné le décès de l'enfant. Hospitalisé le 1
il a d'abord passé une nuit aux urgences avant d'être transféré, le lendemain, en pneumologie.
L'aide-soignante exerçait la fonction d'infirmière, alors qu'elle n'avait pas les qualifications
requises. Un dysfonctionnement qui vaut à plusieurs personnes d'être également renvoyées devant
le tribunal, pour « exercice illégal de la profession d'infirmière ».
que la mère s'inquiétait de la dégradation de l'état de son enfant, les infirmières ne lui auraient
prêté aucune attention particulière. Le médecin présent dans le service, pendant deux jours,
n'a pas vu une seule fois l'enfant. Le petit Olivier n'a pas été repesé après son départ des
urgences, alors qu'il aurait perdu deux kilos... Un fait contesté par le personnel infirmier,
qui a expliqué que les balances étaient « fausses ». Une commission rogatoire spécifique a dû
être menée pour vérifier l'état des balances, qui se sont révélées en parfait état de fonctionnement...
Les négligences se sont ajoutées aux erreurs de diagnostic. Informée de la perte de perfusion
de l'enfant, l'étudiante en médecine en 4
année a estimé qu'il n'était pas nécessaire
de la replacer, sans demander de surveillance particulière. L'enquête ne s'est pas limitée aux
seuls personnels en contact avec l'enfant et sa mère. Le chef du service
de l'organisation des activités médicales et de la formation du personnel,
pour « homicide involontaire ». Il a reconnu notamment l'existence d'un « glissement des tâches
» d'infirmière vers l'aide-soignante. La directrice de l'hôpital Trousseau a été considéré comme
responsable de l'« absence de contrôle suffisant de la qualité des soins ».
rapport de l'AP-HP, qui avait révélé l'existence d'un glissement des tâches, la situation avait
perduré. Au-delà de ces « fautes individuelles », les experts médicaux ont également mis en
exergue un problème d'organisation du service dû à l'« insuffisance de moyens » et la « surcharge
de travail », ce qui relève de la responsabilité de l'AP-HP. Ce dossier devrait donner lieu
à de vifs débats lors du procès : la plupart des mis en examen contestent, en effet, les faits
reprochés. Le service juridique de l'AP-HP nous a indiqué qu'il espérait que ce procès permettra
de « faire toute la lumière » sur cette affaire et entend démontrer que l'AP-HP n'a pas « failli
à ses responsabilités ». Cette structure, qui gère 39 hôpitaux en Ile-de-France, est actuellement
mise en examen comme personne morale dans deux autres dossiers : « Ce qui est peu eu égard à
l'activité de l'AP-HP », conclut-on au service juridique.
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Le congrès d'Honolulu attire l'attention sur les conditions de domaine. Les deux témoignages suivants apportent deux aspects traitement des maladies mentales, et sur la difficulté d'établir des contradictoires sur les hôpitaux psychiatriques de la région pari-jugements de valeur sur la qualité et la finalité des soins dans ce sienne : domaine. Les deux témoignages suivants apportent deux aspects contradictoires sur les hôpitaux psychiatriques de la région parisienne :
Il n'y a pas, à ma connaissance, d’hospitalisation psychiatrique " politique " en France. Mais les psychiatres français qui ont fait, à Honolulu, le procès, certainement justifié, des abus politiques de la psychiatrie soviétique n'ont pas à avoir la conscience tranquille en ce qui concerne la psychiatrie française couramment pratiquée dans les hôpitaux psychiatriques.
Je ne prendrai qu'un exemple vécu : l'hôpital psychiatrique de Vaucluse (Épinay-sur-Orge). De ma vie je n'ai vu un hôpital ressemblant de si près à un camp de concentration pour certains pavillons. Celui où j'étais notamment. Les locaux, très vieux (un ancien couvent), n'ont pas été repeints depuis des années. Ils sont sombres, sinistres, démoralisants. Les malades portent presque tous un uniforme, ils sont mélangés, on trouve de tout. (...)
Si vous êtes fatigué, vous n'avez pas le droit de vous étendre sur un lit. Vers 7 h. 30, les dortoirs sont fermés. Drogué, le sommeil vous prend, vous vous couchez à même le sol sur un carrelage froid, c'est normal. Le traitement de base : les médicaments à outrance. Réduit à néant, vous marchez les bras le long du corps comme un somnambule. Au fil des mois vous gonflez. J'ai grossi de 15 kilos en deux mois et demi et les infirmiers sont heureux de constater : " Il a meilleur mine. " Le placement prétendument libre ne vous offre aucune liberté ; quant au placement d'office, il vous assimile à un prisonnier au sein d'un hôpital. Si vous êtes, naturellement faible de caractère, vous pouvez rester longtemps à avaler des pilules sans qu'on semble s'intéresser à votre cas. Si vous ne vous manifestez pas, c'est que vous n'êtes pas prêt pour la sortie et personne ne semble chercher à vous faire sortir.
Je suis resté en contact avec d'anciens " malades " : sortis de l'hôpital, ils continuent à être suivis au dispensaire par une équipe attachée à l'hôpital, tournent en rond : " Je ne m'en sortirai jamais, je suis un malade mental. " Tous affirment être plus ou moins les victimes de leur hospitalisation. (...)
Mais tout se passe dans l'ombre. Les pavillons sont le plus souvent fermés. Il y a le secret professionnel : même des infirmiers consciencieux, il y en a bien sûr, ne dénoncent pas le scandale, car ils veulent gravir l'échelle hiérarchique, si petite soit-elle, et ont un argument : " Nous ne sommes par assez nombreux. " La réputation de cet hôpital est, en partie, faite auprès des médecins de l'extérieur, qui évitent d'y envoyer leurs malades. Ils savent. Qui dénonce ? Qui parle ? J'ose parler. Il est fou, diront-ils.
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Reportage dans les hôptaux de New York, dans les heures qui ont suivi les attentats à l'avion suicide contre les tours du World Trade Center, et qui ont eu pour conséquence l'effondrement des tours. Commentaire sur images de blessés amenés à l'hôpital par les ambulances, sur images de pompiers et de policiers, de voitures de police couvertes de poussière, de personnes venant donner leur sang, de personnes donnant leur sang, de l'hôpital de campagne installé devant le Pentagone, en alternance avec l'interview d'un médecin sur les grands brûlés.
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Journaliste :
Florence Bouquillat

11 septembre 2001, attentat, blessé, centre hospitalier, Etats Unis, New York, terrorisme, victime

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