Les grosses sont trop faciles

Les grosses sont trop faciles




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Les grosses sont trop faciles
1. Les femmes rondes ont toujours été considérées comme belles, depuis la nuit des temps
 Ingres, Le Bain Turc, Musée du Louvre
2. L'Art est subjectif ? Mais même la science dit qu'elles sont sexy !
3. Elles sont encore plus belles quand elles ont confiance en elles.
5. Elles ont, pour la plupart, des poitrines magnifiques
6. Elles ont aussi des fesses exceptionnelles !
7. De nombreuses femmes célèbres ont elles aussi des formes !
8. Avoir des rondeurs, c'est pratique... 
9. Au lit, elles semblent moins fragiles... Et on peut s'en donner à cœur joie !
11. Elles ont moins tendance à juger les autres et à critiquer les défauts
 13. Il y a de plus en plus de mannequins "grande taille", ce qui prouve que la beauté peut revêtir de nombreuses formes...
14. Même quand elles sont enceintes, elles restent sexy.
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Les femmes rondes sont à l'honneur dans plusieurs calendriers !
Nike met (enfin) en scène des femmes rondes sur Instagram... Parce que sport et diversité ne sont pas incompatibles
Par Nathan Weber
·
Publié jeudi 09 juillet 2015 à 16h20

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par Helena Ergisi
Créé le 31/07/2020 à 15:55 , modifié le 31/07/2020 à 15:55


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Aujourd'hui, les femmes sont encore beaucoup trop complexées par leur corps. C'est en tout cas le résultat d'un récent sondage mené par Opinion Way et Qilibri, paru au mois de juin 2020.
La relation qu'entretiennent les femmes avec leur corps n'est pas toujours très rose. Si certaines parviennent à l'accepter tel qu'il est et à l'assumer fièrement, d'autres lui mènent une véritable guerre à coups de régimes et autres diètes parfois néfastes pour la santé. Ce désamour est bien réel et vient d'être confirmé par un récent sondage réalisé par Opinion Way et Qilibri. Les chiffres qui en ressortent parlent d'eux-mêmes :
Accepter son corps n'est pas tâche facile, c'est même un travail de longue haleine. Nous passons notre temps à le dénigrer, alors que nous pourrions justement apprendre à l'aimer. Aujourd'hui, le sondage nous apprendre que 75% des Français aimeraient être fiers de leurs corps. Preuve qu'ils sont toujours influencés par ce "corps parfait" qu'ils voient à la télé et dans les magazines depuis leur plus jeune âge, et qui n'existe pas. D'ailleurs, 53% jugent qu'ils sont trop gros, notamment 60% des femmes. Résultat, 47% des Français se sentent complexés par rapport à leur corps, et ce n'est pas normal.
Pour 84% des Français, la perte de poids permet de se sentir plus à l'aise dans son corps. Un discours qui n'est finalement pas étonnant pour une société qui nous radote depuis la nuit des temps qu'il faut être grand et mince pour être beau. Les Français sont d'ailleurs encore beaucoup trop obsédés par leur physique. 89% d'entre eux estiment que le fait d'être à l'aise avec son corps rend plus séduisant, et 83% ont en tête que cela permet d'avoir une sexualité plus épanouissante.
Les Français ont en revanche bien conscience que malmener et torturer son corps n'est pas la solution pour se sentir mieux dans leur peau. En effet, plus de la majorité se montre sceptique sur l'efficacité des régimes et opte aujourd'hui pour le rééquilibrage alimentaire. Une solution beaucoup plus efficace, qui dure sur le long terme et qui est surtout beaucoup plus saine pour le corps. Depuis son lancement il y a un an, la start-up Qilibri accompagne justement les Français en leur proposant un programme de rééquilibrage alimentaire sur-mesure. Et le succès est au rendez-vous ! Pour en savoir plus, c'est par ici .



Publié le 07/06/2022 à 19h12
- Modifié le 08/06/2022 à 07h08




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Vous lisez actuellement : Les (trop) grosses ficelles de Jean-Luc Mélenchon



Par hope for France le 09/06/2022 à 09:38




Par AllonsBon le 08/06/2022 à 21:39




Par bilou.64 le 08/06/2022 à 17:15


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A ttaquée sur le réalisme de son projet économique, la Nupes, l'alliance des partis de gauche, a convoqué, mardi 7 juin, une conférence de presse pour défendre le sérieux de ses propositions et focaliser ainsi l'attention des médias à quelques jours du premier tour des législatives. « La fondation Terra Nova, qui n'a fait aucun travail, s'en est pris à nous en recopiant l'Institut Montaigne : tant mieux, on était très content car ça lançait le débat », a ironisé Jean-Luc Mélenchon , candidat autoproclamé au poste de Premier ministre sans briguer la députation.
Si le leader de la Nupes n'a pas répondu aux questions des journalistes – il a laissé le soin aux économistes de sa campagne et à ses lieutenants de s'en charger –, il a déployé tout son art oratoire pour attaquer le bilan du premier quinquennat d' Emmanuel Macron et la perspective du second dans le cas où le président disposerait d'une majorité à l' Assemblée nationale . Jean-Luc Mélenchon a d'abord regretté que « le débat ne [puisse] pas avoir lieu puisque personne ne veut débattre avec [eux] ». Le président réélu est accusé d'avoir « anesthésié » la campagne pour éviter une mobilisation populaire.
Critiqué sur les 250 milliards de dépenses publiques par an – 10 points de PIB ! – qu'il prévoit au bout de 5 ans, Jean-Luc Mélenchon a appliqué la maxime selon laquelle la meilleure défense est l'attaque. Pour la Nupes, le premier quinquennat d'Emmanuel Macron a été un « désastre économique ». Il en veut pour preuve le déficit commercial qui s'est creusé pour atteindre 100 milliards sur 12 mois en mars, ce qui ne manque pas d'air pour quelqu'un qui veut relancer la consommation à coups de hausse du smic, d'embauches de fonctionnaires et de prestations aux ménages. Pour Jean-Luc Mélenchon, c'est la « politique de l'offre », centrée sur les conditions de production des entreprises et engagée par François Hollande dès fin 2012 qui est responsable de la dégradation du déficit commercial. Comme elle serait responsable, via ses « 140 milliards de cadeaux fiscaux », du déficit de l'État, creusé pour atténuer les conséquences de la crise du Covid sur l'économie.
Selon le leader de La France insoumise, Emmanuel Macron, après avoir géré le quoi qu'il en coûte, prépare une immense cure d'austérité qui ne dit pas son nom, puisque le locataire de l'Élysée s'est engagé à revenir sous 3 % de déficit par rapport au PIB d'ici à 2027. Des économies que le prétendant à Matignon chiffre à 80 milliards par an, l'équivalent des budgets des ministères de l'Intérieur et de l'Éducation nationale, alors que « l'État est en train de s'effondrer », sous l'effet des politiques de rigueur menées jusqu'à présent. Il en veut pour preuve les fermetures des services d'urgences des hôpitaux redoutées à l'été . « C'est la saignée la plus importante qu'on ait jamais vue », s'indigne-t-il, avant de balayer toute autre dimension : « Le reste n'est que mensonge. »
À quelques jours du premier tour des législatives, samedi, le tribun est en pleine forme. Il oublie de dire que le déficit public doit normalement décroître mécaniquement sous l'effet de la fin des mesures d'urgence contre la crise sanitaire, comme celles du plan de relance. Les équipes de campagne d'Emmanuel Macron ont par ailleurs déjà prévenu que l'objectif de réduction du déficit serait adapté en fonction du nouveau contexte économique créé par la guerre en Ukraine.
Pour mieux regretter le manque de vision du président actuel, Jean-Luc Mélenchon a pris l'exemple de l'Allemagne qui a prévu d'engager 100 milliards de dépenses supplémentaires pour sa défense et a décidé d'augmenter le salaire minimum de « 25 % », sans préciser que le smic y est moins élevé ou encore que l'inflation est plus forte.
Selon lui, ses 250 milliards de dépenses supplémentaires au bout de 5 ans correspondent à l'augmentation des dépenses opérée par Jacques Chirac (182 milliards entre 2002 et 2007). Comprendre : cela reste raisonnable. Sauf qu'il s'agit là de dépenses publiques supplémentaires discrétionnaires en plus de la hausse naturelle d'année en année ! Ce qui devrait faire bien plus au total… 
Jean-Luc Mélenchon nie aussi toute baisse du chômage, dont le taux a pourtant reculé de 9,6 % de la population active à la fin du premier trimestre 2017 à 7,3 % à la fin du premier trimestre 2022, et accuse le président d'avoir masqué sa hausse à coups de subventions à l'apprentissage. Et s'énerve face aux journalistes qui lui disent le contraire, comme ce mardi 7 juin sur France Inter. Si les primes à l'apprentissage peuvent expliquer une petite partie de la décrue, elles ne sauraient suffire à expliquer la forte diminution du chômage en pourcentage de la population active. D'autant que beaucoup de jeunes auraient de toute façon été en études, et n'auraient pas grossi les rangs des chômeurs s'ils n'avaient pas eu le statut d'apprentis... Le taux d'emploi de la population a même augmenté depuis la fin de la crise sanitaire. Jean-Luc Mélenchon, qui s'érige lui-même en économiste – instillant au passage le doute sur une statistique de référence, le taux de chômage calculé par l'Insee –, préfère focaliser l'attention sur les chiffres du nombre d'inscrits à Pôle emploi en valeur absolue. Pas de chance, ils sont aussi en baisse pour les catégories A, B et C réunies, de 386 000 personnes.
Pour Jean-Luc Mélenchon, le sérieux de son programme de « gouvernement par les besoins » de la population est, au contraire, attesté par le fait qu'il aurait été passé au crible du modèle économique de la Banque de France. Ses 250 milliards de recettes donneraient, comme par magie, 267 milliards de dépenses par le jeu des multiplicateurs qui voudrait qu'un euro de dépense publique produise davantage de PIB.
Le Point a montré que cet argument massue était très contestable. Comme la Nupes l'a reconnu, La France insoumise n'a pas eu accès au modèle de la Banque de France mais à ses principaux résultats. Elle a changé l'hypothèse du multiplicateur pour dépenses d'investissements afin de retenir une valeur plus favorable, au prétexte que l'institution était pessimiste. Surtout, le modèle de la Banque de France ne prouve pas grand-chose sur l'effet économique de sa gigantesque relance financée à crédits : les recettes promises par Jean-Luc Mélenchon sont fondées sur des hypothèses très contestables de ce que rapporteraient des mesures fiscales miracles (et très difficile à mettre en œuvre) pour lutter contre la fraude fiscale (26 milliards) ou encore l'impôt universel sur les entreprises (26 milliards). Et, quoi qu'il en dise, sa réforme des retraites serait un véritable gouffre financier et diminuerait le taux d'emploi des séniors, alors que la France a besoin de cotisations pour soutenir son généreux modèle social. Bref, la démonstration – brillante sur la forme – peine à convaincre sur le fond.
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Le problème est que Macron lui-même n'a pas dit la vérité

Dans un pays où tous les gouvernements mentent aux français depuis 41 ans, en leur faisant croire que l'Etat est un alchimiste et peut transformer le plomb des dépenses publiques pléthoriques et prélèvements obligatoires records, en croissance rose ou verte, il est naturel que certains candidats politiques poussent la démagogie encore plus loin ! Macron a éludé la campagne des présidentielles, aidé en cela par des médias qui n'ont pas parlé du fond et de la situation économique française, ce qui lui a réussi. Il continue donc avec les législatives. La stratégie et la communication ont remplacé le fond, rendant inaudibles les rares programmes qui osent parler de sérieux budgétaire et des problèmes structurels de ce pays...
On aurait cependant aimé que le Point explique plus en détail les programmes des partis politiques pour ces législatives, notamment au regard de leur sérieux budgétaire et de la résolution des maux endémiques de la France.
Il est bien plus facile de ridiculiser le programme aberrant de Mélenchon.
Ce faisant, on limite le débat entre Mélenchon le communiste caricatural et Macron, qui passe pour un adepte du sérieux budgétaire, malgré le "quoiqu'il en coûte", en comparaison, alors que la démagogie est l'apanage des deux candidats.
L'objectif semble être de vouloir utiliser la même tactique que pour les présidentielles, pour priver de fait les français de réel débat, comme si la présidentielle avait décidé des législatives, en expliquant que les partis politiques traditionnels sont inexistants. Si on ne leur donne pas la parole, ils ont certes du mal à exister !
Les médias ont donc une grande responsabilité dans la montée des extrêmes...
Pourquoi ne pas dire la vérité sur cette farce politique et expliquer la situation réelle de ce pays, qui va se trouver fort dépourvu lorsque la hausse des taux sera venue.

Maus ils vont aller de mieux en mieux au Venezuela. Les USA sont à genoux devant eux depuis le début de la guerre en Ukraine. Toutes les grosses compagnies pétrolières US sont là bas en train de se tirer la bourre pour récupérer le contrat du siècle…

Ya qu'à voir la pleine réussite économique de ses copains Chavez et Maduro au Venezuela...
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