Les filles peuvent le faire toute seules

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Dans une sociĂ©tĂ© qui a tendance Ă  stigmatiser les mĂšres cĂ©libataires, certaines femmes dĂ©cident tout de mĂȘme de faire des bĂ©bĂ©s toutes seules. MĂȘme si la loi est avec elles, dĂ©sormais, leur combat reste ardu dans un pays oĂč le modĂšle familial dominant est le couple de parents.























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Perso, je l'ai fait Ă  Barelone. Mon fils est magnifique, le quotidien pas plus difficile que pour mes amis en duo. Il est trĂšs facile de juger, j'en ai entendu de toutes les couleurs enceinte; Ă  prĂ©sent, voyant ma toute petite famille, pas mal de personnes ont changĂ©es d'avis. D'ailleurs, je compte le refaire et ce toujours en solo, mon fils aura un/e vrai/e petit/e frĂšre/soeur. J'ai rĂ©servĂ© le sperme du mĂȘme donneur. Entre nous, certains duos autour de moi n'ont pu donner un vrai frĂšre ou soeur Ă  leur enfant car ils s'Ă©taient sĂ©parĂ©s entre temps. Au moins mes enfants ne subitont pas de divorce/sĂ©paration. Alors aux biens pensants: qu'est-ce qui est mieux? N'avoir qu'un seul gĂ©niteur ou les voir se dĂ©chirer? La rĂ©ponse est qu'il n'y a pas de solution parfaite ou plutĂŽt chacun a sa solution parfaite.

Je comprends que c'est juste une opinion subjective, mais... Ça irrite quoi! Merci bien pour donner tous les clichĂ©s ici. "Vieille fille", "plus de 37 ans", "personne ne leur Ă  pas dite clairement"... Comme si les femmes cĂ©libataires sont les crĂ©atures intellectuellement infĂ©rieures Ă  celles qui sont dans un couple. Certaines ont choisi l'escalier professionnel, certaines ont des mauvaises histoires d'amour. Tout peut arriver dans notre vie. Mais ce n'est pas la raison de rester seule ou malheureuse. Si la science actuelle permet d'avoir l'enfant Ă  une femme cĂ©libataire c'est bien! Il existe plusieurs raisons pour le favoriser. Tout premiĂšrement pour augmenter le niveau des femmes heureuses, simplement. L'autre raison bien globale est de stoper le vieillissement de la population en Europe. Bien sur, il existe plusieurs spĂ©cificitĂ©s psychologiques d'Ă©lever son enfant en solo... Mais soyons honnĂȘtes, les couples classiques ont besoin d'aide non moins que les femmes cĂ©libataires. Donc je pense que les femmes cĂ©libataires doivent avoir le droit au fiv et fiv don. Malheureusement aujourd'hui en France s'est interdit. Les solos girls et couples lesbiennes partent Ă  l'Ă©tranger. Les centres pma de Belgique, Espagne, Ukraine accueillent ces clientes en grand nombre. Il n'y a pas longtemps, les mĂ©dias ont Ă©tĂ© bouleversĂ© par le scandale des quadruplĂ©s accouchĂ©s par une Allemande de 65 ans. C'est Ă©norme, mais en Ukraine il n'y a pas de la limite d'Ăąge pour fiv.

Ben moi je trouve ca bien car pour ma part si j ai personne c est a cause de la jalousie des femmes et copains de mes exs. Je sais au moins qu elles finiront seules un jour ou qu elles doivent etre mal aimees..car j en ai vu passer des hommes qui m ont confie ne pas etre heureux et chercher ailleues ce que ces femmes la leur offre pas. Donc avoir des enfants malgres toute leur tentative pour faire de ma vie un enfer de solitude a coup de ragot et decredibilisation malsaine sera pour moi un vrai bonheur..merci la science pour cela.
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En septembre 2021, maniant bien l’art de l’anticipation, le collectif des mĂšres isolĂ©es interpellait les futur.e.s candidat.e.s Ă  l’élection prĂ©sidentielle sur la situation de prĂ©caritĂ© des femmes Ă©levant seules leurs enfants.
Dans une tribune parue dans LibĂ©ration , il rappelait des donnĂ©es de l’INSEE datant de 2020 : une famille sur 4 est monoparentale et dans plus de 80% des cas, les enfants sont Ă  la charge des femmes, bien plus exposĂ©es Ă  la prĂ©caritĂ© que les pĂšres cĂ©libataires (22% des enfants en famille monoparentale avec leur pĂšre sont pauvres en 2018, contre 45 % pour les enfants vivant avec leur mĂšre).
Celles qui se considĂšrent comme "les grandes oubliĂ©es de la RĂ©publique" souffrent en effet d’un dĂ©ficit d’image et d’un paternalisme sociĂ©tal. En fĂ©vrier 2021, les mĂšres cĂ©libataires avaient Ă©tĂ© exclues de l’ouverture de la PMA Ă  toutes les femmes, finalement votĂ©e en juillet 2021 : "MĂȘme s’il s’agit d’une monoparentalitĂ© choisie et non subie, l’accĂšs de la PMA aux femmes seules soulĂšve de nombreuses interrogations au regard de la plus grande vulnĂ©rabilitĂ© dans laquelle est placĂ©e une personne seule dans l’éducation d’un enfant", estimait alors le sĂ©nateur Dominique de Legge (LR).
Heureusement, certaines femmes ont décidé de prendre la parole ces derniers mois. FiÚres de leurs choix, elles apportent un son de cloche positif et joyeux à ce brouhaha patriarcal.
Dans son livre Si je veux, paru chez Grasset , la journaliste Johanna Luyssen livre un tĂ©moignage Ă  la fois drĂŽle et poignant sur son choix d’avoir fait un enfant seule. Un choix d’abord par dĂ©faut, mais qui est devenu chemin vers l’émancipation totale envers sa construction personnelle, la sociĂ©tĂ© patriarcale et les tragĂ©dies familiales.
“La maternitĂ© sans homme est une possibilitĂ© parmi d’autres. (...) Nous pouvons crĂ©er d’autres modĂšles ”, Ă©crit-elle pour encourager les personnes voulant faire famille envers et contre tous les modĂšles Ă©crasants .
Je fais mes choix, je gĂšre nos vies seules et ma charge mentale n’implique pas de gĂ©rer un homme en plus du reste.
Son livre, c’est un coup de pied dans la fourmiliĂšre : “la sociĂ©tĂ© est hypocrite avec les mĂšres cĂ©libataires : elles sont Ă  la fois des victimes que l’on plaint, et des Ă©pouvantails ; elles sont celles qu’il ne faut surtout pas devenir”, nous dit-elle.
La posture de la journaliste n’est pas de l’ordre de l’angĂ©lisme, elle raconte une vie pas toute rose : la difficultĂ© des dĂ©marches, ses rapports avec les hommes, les donneurs potentiels, les amants Ă©vanescents. Mais elle raconte aussi qu’elle ne la changerait pour rien au monde : “je fais mes choix, je gĂšre nos vies seules et ma charge mentale n’implique pas de gĂ©rer un homme en plus du reste”.
Avec son tĂ©moignage, disponible en librairie, Johanna Luyssen veut mettre la sociĂ©tĂ© face Ă  la rĂ©alitĂ© : oui, en 2022, les femmes peuvent faire des choix sans l’aval ou l’accompagnement (souvent dĂ©faillant) des hommes. “La sociĂ©tĂ© veut que ça reste silencieux et moi je veux faire du bruit. Qu’on ne nous parle pas d’anomalie, d’étape en attendant de se caser, nous ne sommes pas en stand-by, nos vies sont dĂ©jĂ  complĂštes”.
Aline Mayard avance aussi main dans la main avec son bĂ©bĂ©. Bouleverser les modĂšles dominant n’est pas nouveau pour cette militante de la visibilitĂ© asexuelle et non-binaire qui tĂ©moigne rĂ©guliĂšrement sur les rĂ©seaux sociaux.
AprÚs avoir pensé à la co-parentalité , un modÚle avec deux parents célibataires, elle a finalement penché pour la PMA en Espagne.
CĂ©libataire dans l’ñme, Aline veut ĂȘtre parent depuis toujours. “Quand j’avais 22 ou 23 ans, j’avais rencontrĂ© en auberge de jeunesse une femme prof avec sa fille de 7 ans, elles voyageaient ensembles. Je me suis vue en elles, je me suis dis, tu peux le faire : cette femme ne se doute pas de ce qu’elle m’a fait”. 
Nous ne sommes jamais considérées dans les livres de maternité, dans les formulaires de crÚche, les cours de yoga prénatal, dans les parcours médicaux ou administratifs.
MĂȘme si elle a la chance d’ĂȘtre privilĂ©giĂ©e socialement, elle a dĂ» dĂ©construire beaucoup d’apprĂ©hensions hĂ©ritĂ©es du discours dominant . “Tout le monde dit qu’ĂȘtre parent seul c’est dire adieu Ă  la libertĂ©, c’est forcĂ©ment la galĂšre, c’est vrai pour beaucoup. Mais j’ai vu aussi des personnes qui se dĂ©brouillent bien dans leur vie”.
Aline s’est construit autours d’elle un rĂ©seau d’amis-nounous qu’elle n’hĂ©site pas Ă  solliciter : “j’ai des lits parapluie partout, j’ai forcĂ©ment plus de place Ă  donner Ă  mes amis et ma famille, qui ont rĂ©pondu Ă  mes questions m’ont soutenu.e pour ma PMA, ont Ă©tĂ© lĂ  pour ma fausse couche . C’est important aussi de montrer qu’on ne peut pas tout faire toute seule” . 
Quatre mois aprĂšs la naissance de son enfant, Aline est plus que jamais droite dans ses bottes : “nous ne sommes jamais considĂ©rĂ©es dans les livres de maternitĂ©, dans les formulaires de crĂšche, les cours de yoga prĂ©natal, dans les parcours mĂ©dicaux ou administratifs. Nous n’avons aucune reprĂ©sentation positive dans les mĂ©dias. La sociĂ©tĂ© ne fait rien pour que l’on vive bien notre choix”.
Mais Aline Mayard, comme Johanna Luyssen et leurs compagnes de route, n’est pas du genre à baisser les bras : “aujourd’hui je suis tellement à l’aise avec mon choix que rien ne peut me toucher”.
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