Les filles ont pas besoin des mecs pour jouir

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Les filles ont pas besoin des mecs pour jouir
Publié
le 22/11/2018 à 12:15 , Mis à jour le 19/12/2018 à 16:39
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«Jouir c’est éjaculer», «la prostate est le point G des hommes», «l’orgasme masculin est moins fort que le féminin»… Deux professionnels démêlent le vrai du faux des préjugés sur la jouissance masculine.
Et si nous nous fourvoyions sur l'orgasme masculin ? D'apparence moins mystérieux que le féminin , plusieurs rumeurs courent à son sujet. Passage en revue de neuf idées reçues à l'aide de la psychiatre sexologue Anne-Marie Lazartigues et du psychanalyste sexothérapeute Alain Héril (1).
Vrai. Mais... "On ne jouit pas sans éjaculer", énonce Anne-Marie Lazartigues. À l'acmé du plaisir et de l' excitation sexuelle , la contraction de certains muscles pelviens va entraîner une émission de sperme : c'est l'éjaculation.
En revanche, deux cas particuliers peuvent sembler contredire cette affirmation. Certains hommes éjaculent en estimant ne pas avoir ressenti de sensations orgasmiques : "Les éjaculateurs précoces éjaculent vite et n'ont pas, la plupart du temps, de véritables orgasmes", précise Alain Héril. De même, d'autres hommes peuvent souffrir d'"éjaculation rétrograde". D'extérieur, l'éjaculation est invisible car au lieu de sortir, le sperme remonte vers la vessie.
Faux. Mais... "Penser que la femme a besoin de plus de temps que l' homme pour jouir est une idée reçue. Toutes les études faites à ce sujet montrent que les femmes peuvent avoir des orgasmes très rapides au bout de deux à trois minutes", explique le psychanalyste sexothérapeute. Statistiquement, le préjugé est faux. Mais dans la pratique et dans les consultations de couples qu'a pu réaliser la psychiatre sexologue : "L'homme a souvent un orgasme plus rapidement."
Vrai. Si on estime qu'un rapport sexuel s'achève lorsque l'homme débande une fois qu'il a joui après éjaculation et qu'il perd son érection, alors il ne peut jouir qu'une fois par rapport. "Très peu d'hommes vivent une continuité orgasmique", relate Alain Héril. La multi-orgasmie, que peuvent expérimenter les femmes, est différente de l'orgasme masculin. Mais, rien n'empêche un homme d'avoir plusieurs rapports et autant d'orgasmes par nuit : "Si l'excitation revient, il peut faire l'amour deux, trois voire quatre fois par nuit sans problème s'il est jeune et en bonne santé", ajoute Anne-Marie Lazartigues.
Un homme, quel que soit son âge, peut avoir une belle qualité orgasmique
Vrai. Dans les faits, quand les années passent, il est effectivement possible que ce soit plus compliqué après une "baisse du désir et des érections de moins bonne qualité", explique la psychiatre sexologue. Mais cela ne veut pas dire que "la fête est finie" : "un homme, quel que soit son âge, peut avoir une belle qualité orgasmique", complète le psychanalyste sexothérapeute.
Vrai et faux. Comme dit plus haut, pour jouir, sauf cas particuliers, un homme doit éjaculer, et il n'est pas possible de simuler une éjaculation. Mais, rien ne les empêche de mentir. "Lorsqu'un homme est à l'intérieur de son ou sa partenaire, il peut simuler un orgasme. Beaucoup le font", informe Alain Héril.
Vrai. "Les femmes ont des intensités orgasmiques supérieures à celles des hommes. Certaines études parlent d'un ressenti cinq fois supérieur chez une femme", révèle le psychanalyste sexothérapeute.
Faux. Ce n'est pas automatique. Il peut arriver que les hommes n'arrivent pas à éjaculer et à jouir pour diverses raisons liées notamment "à un problème de prostate ou à l'alimentation, à un état dépressif ou à la prise de certains médicaments. L'érection a lieu mais l'éjaculation non", développe Alain Héril. De même, "un homme peut perdre son érection avant d'éjaculer et ne pas avoir d'orgasme", rappelle Anne-Marie Lazartigues.
Vrai. On parle du point P, "une zone de la prostate qui peut procurer des orgasmes très profonds et très forts chez les hommes", affirme le psychanalyste sexothérapeute. Mais, pour pouvoir y accéder, plusieurs hommes doivent réussir à éliminer une barrière psychologique. "Pour cela, il faut stimuler et masser la prostate, ce qui se fait par pénétration anale. Impossible pour certains hommes qui associent ce geste et cette région de leurs corps à l'homosexualité", indique Alain Héril.
Plus on a de rapports sexuels, plus on met du temps à jouir
Faux. Mais… Vous pensiez que lorsque le mécanisme ne fonctionnait pas pendant un certain temps, il avait tendance à se rouiller ? Selon la psychiatre sexologue, c'est l'inverse : "Plus on a de rapports sexuels, plus on met longtemps à jouir". Pour Alain Héril, avoir du mal à atteindre l'orgasme après une abstinence longue est davantage liée à "un souci émotionnel et au stress généré par l'abstinence elle-même qui peut être ressentie comme une période de perte de masculinité et associée à la honte".
Alain Héril est l'auteur de Dans la tête des hommes , Éd. Payot, 200 pages, 16 € et de Je fantasme donc je suis , Éd. Eyrolles, 142 pages, 14,90 €.
"Neuf idées reçues sur la jouissance masculine" On a gardé les idées reçues qui font plaisir aux femmes exemples: «Les éjaculateurs précoces éjaculent vite et n’ont pas, la plupart du temps, de véritables orgasmes» On se demande bien pourquoi ! «Les femmes ont des intensités orgasmiques supérieures à celles des hommes. Certaines études parlent d’un ressenti cinq fois supérieur chez une femme» On se demande avec quel instrument ils ont mesuré ça.
En ce qui me concerne, c est réglé, puisque je n arrive plus à avoir d érection. Et je m en fiche.
C'est vrai que cette photo me choque en fait elle est très féminine... Ensuite chaque homme est différent, il y a les chauds lapins et puis ceux pour qui le sexe est totalement secondaire. Il faudrait déjà scinder les 2 catégories !!
La bonne question.- «Le temps passe à une vitesse folle !», dit-on constamment. Surtout pendant l'été. Mais est-ce une simple impression ou la réalité ? Éclairage avec une neuropsychologue.
TÉMOIGNAGES - Elles ont occulté un pan de leur personnalité pendant une grande partie de leur vie. Jusqu'au jour où une rencontre produit le déclic. À plus de 30 ans, ces femmes ont pris une nouvelle orientation amoureuse, opérant un coming out tardif.
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Neuf idées reçues sur la jouissance masculine
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  Elisabeth, 49 ans : « J’ai fait taire mon surmoi. » 
« Longtemps, je me suis mis la pression. Il fallait que tout soit toujours idéal, réussi au lit ! Je refusais les petits aménagements intimes, les réconciliations sur l’oreiller, la lingerie coquine, tout ça… Pas assez “vrai” pour moi qui décortiquais tout. Et puis, il y a dix ans, j’ai rencontré un homme qui m’a fait mûrir, reconsidérer mon approche du plaisir. Aujourd’hui, tout ce qui y mène est bon à prendre, que ce soient les fantasmes pas avouables ou la dentelle. Cela dit, l’orgasme, maintenant que je suis plus cool, c’est bingo presque à tous les coups ! »
« Pour moi, le sexe est ludique. Ça a commencé comme un jeu : la première fois que j’ai fait l’amour, c’était avec un copain… et une copine. Un bon souvenir ! Faire l’amour, c’est comme manger : une source de plaisir. J’adore découvrir des situations nouvelles, comme des nouvelles recettes ! Parfois, bien sûr, ça rate. Une fois, avec deux garçons, je me suis trop sentie leur objet, je ne maîtrisais plus rien, je n’ai pas aimé. Emportée oui, dominée non. Cela doit être fait dans la complicité. J’aime les scénarios un peu pornos, s’attacher l’un l’autre, faire intervenir une copine… les mecs adorent ça ! La première fois que j’ai essayé la sodomie, c’était avec un type d’un soir, une espèce de Ken dont mes copines se refilaient le numéro. Il m’a fait jouir pendant trois heures ! Mais si je n’avais pas senti de respect, de jeu, de délire partagé, je ne l’aurais pas fait. »
« On s'est affranchis du respect au lit. »
« Dans la journée, je suis la femme de sa vie, la plus belle, sa chérie, limite gnangnan. Au lit, c’est très différent, il me dit des mots crus, on s’affranchit du respect, on n’a aucune inhibition. A part ça, on a une sexualité plutôt tranquille, sans sodomie ni sex-toys, et je l’assume complètement. Je ne m’interdis rien dans l’absolu mais je ne me sens pas coupable de ne pas faire l’amour en groupe ! »
« Je n'ai plus peur de passer pour une salope. »
« J’ai l’impression d’avoir commencé ma vie sexuelle avec plein de tabous, et de les avoir éliminés au fur et à mesure de ma découverte du plaisir. Je n’ai plus peur de passer pour une salope parce que j’aime ça, je ne crains pas de ne pas me faire respecter si je couche le premier soir. Ça n’a l’air de rien, mais, malgré tous les articles qu’on lit sur le sujet, les gens sont encore très coincés ! Heureusement, le contraire existe : l’autre jour, j’ai accosté un garçon en sortant de boîte, je lui ai demandé de me ramener chez moi, où je lui ai offert un verre. On a beaucoup ri et flirté, je me sentais libre avec lui, au point de lui dire les mots les plus crus que j’aie jamais prononcés ! J’étais pleine de désir et résolue à assouvir tous mes fantasmes. Il était comme un fou, et puis, tout à coup, il m’a dit : “Tu me fais complètement craquer, je ne veux pas le faire ce soir mais de façon magnifique après t’avoir invitée à dîner !” C’est ce qui s’est passé. Alors, ces histoires de respect que les hommes n’auraient pas pour nous, il faut s’en détacher ! »
« Le mariage ne m’a jamais semblé très sexy. J’ai été une grande amoureuse, alors le même homme dans mon lit tous les soirs, bof. Et puis, je suis tombée amoureuse et je me suis fait piéger, j’ai dit oui, dans l’anxiété, il faut bien l’avouer. Je suis folle de mon mari, mais ma vie d’avant, mes fantasmes me reviennent en rafales, et je m’en sers pour l’exciter. Je lui raconte tout, des trucs que j’ai pu faire autrefois, comme l’amour à plusieurs, quitte à romancer un peu. C’est un super aphrodisiaque… »
« Il y a des filles qui ne veulent pas faire l’amour parce qu’elles ont grossi ou parce que leur épilation n’est pas au poil, moi je m’en fiche complètement. Les hommes ne s’intéressent pas à ces détails. Je me souviens d’un garçon dont j’étais folle amoureuse. La première fois que nous avons fait l’amour, j’étais poilue comme un yéti. J’ai désamorcé la chose en disant : “Je te préviens, je suis très poilue.” Ce à quoi il a répondu en riant : “Moi aussi.” Dédramatiser, c’est créer de la complicité. Avoir trop conscience de son apparence, c’est quasiment s’interdire de jouir. Il faut être animale. »
« Un jour, j’étais en train de faire l’amour avec un garçon, et soudain j’en ai eu assez, ça ne me plaisait plus. Alors, je le lui ai dit, j’ai tout arrêté. Je sais que ce n’était pas très sympa mais je crois que rien n’est dû dans ce domaine. Surtout pas mon corps. Cela ne nous a pas empêchés de rester ensemble. Il s’est d’ailleurs avéré être le meilleur coup de ma vie. Ça ne sert à rien de se forcer. Je l’ai fait avec un ancien copain, j’avais 23 ans, c’était affreux, douloureux, et je me trouvais nulle. »
« Plus je prends du plaisir, plus j'en donne. »
« Pour moi, il n’y a qu’une règle en amour : être détendue. Sinon, ça ne marche pas. Je me considère comme très sexuelle, j’ai besoin de faire l’amour. J’ai une liste de garçons que j’appelle quand j’ai envie. On n’a pas besoin d’être amoureuse pour prendre son pied, mais de complicité, de respect. Il n’y a rien de vulgaire dans ces histoires ; au contraire, c’est en général très amusant. Une fois, j’ai passé la nuit avec un très beau chauffeur de taxi avec lequel j’avais rigolé pendant la course puis bu un verre. On se revoit parfois. Il y a également un agent immobilier… Ils m’appellent aussi, on a un rapport égalitaire. J’ai confiance, je me lâche totalement. Plus je me lâche, plus je prends du plaisir, et plus j’en donne. »
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Le fait d’avoir une activité sexuelle régulière peut être un élément intéressant pour la lutte contre la prise de poids, puisque faire l’amour souvent est capable de vous faire brûler jusqu’à 500-600 par semaine. Par conséquent, le fait de rester inactive sexuellement pendant une assez longue période fait que vous vous dépensez moins, ce qui signifie que vous avez plus tendance à gagner du poids .
L’un des avantages pour lesquels les rapports sexuels sont connus c’est de baisser le niveau de stress de façon assez visible et comme ce dernier est l’une des causes principales se cachant derrière les troubles du sommeil tels que l’insomnie, sa réduction signifie que vous n’aurez que plus de chances de passer des nuits paisibles dans les bras de Morphée !
Le sexe est bon pour la mémoire. C’est le résultat d’une étude qui a suivi 78 femmes âgée de moins de 30 ans et relayée par nos confrères du Cosmopolitan . Les chercheurs canadiens ont découvert que les femmes qui avaient le plus de rapports sexuels surtout celles qui atteignent l’orgasme ont une meilleure mémoire que les autres. Cela est dû à l’effet de la dopamine qui est libérée dans le cerveau durant un rapport sexuel et qui permet de développer de nouvelles cellules améliorant ainsi la mémoire. Il est donc tout à fait logique que l’abstinence sexuelle ait un effet inverse.
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Bien que cela puisse sembler incroyable, l’abstinence sexuelle peut tout à fait augmenter la probabilité de tomber malade. D’après une étude menée par l’université américaine de Wilkes-Barre, faire l’amour au moins trois fois par semaine est en mesure de faire monter le taux d’immunoglobuline de sorte à ce que le système immunitaire puisse se renforcer suffisamment pour faire face à plus d’une maladie et menace virale.
Le fait de sortir avec des amies peut tout à fait avoir l’air pour une femme d’être la parfaite solution pour contourner la négligence dont elle fait preuve vis-à-vis de sa propre vie sexuelle, or, c’est plutôt l’effet inverse qui se produit puisque votre manque de sexe vous donnera encore moins envie d’être en contact avec les autres.
Ce point s’explique simplement par le fait que si vous n’évacuez pas le stress par le biais du sexe, vous avez bien plus de risques d’en souffrir dans votre quotidien. Et comme vous devez sans doute le savoir, le stress est l’une des principales causes du vieillissement précoce.
Traverser une longue période de sécheresse sur le plan sexuel vous mènera généralement à vous poser des questions sur vot
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