Les filles emo veulent de l'amour

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Trois couples de femmes nous parlent du secret de leur amour, de leur sexualité et nous racontent tout sur leur rencontres.
Questions à l'expert : Tout savoir sur l'attirance
Ils se détestaient, maintenant ils s'aiment profondément
En couple, notre santé mentale "se synchronise" avec celle de notre partenaire
Elles ont pris un amant (beaucoup) plus jeune
Pas peur de souffrir, elles ont renoncé à l'amour
L'ultimatum amoureux, un coup de poker risqué pour l'avenir du couple
Je suis tombée amoureuse de mon meilleur ami
Ces couples qui n'arrivent pas à se quitter
Que se passe t-il dans la tête des homme
Remariage, elles ont dit "oui" une seconde fois
Le phénomène des couples d'adolescents
Des preuves d'amour complètement folles

Personnellement, ma sœur est homosexuelle, elle est en couple avec une femme depuis quelques années. Elle ne s'en cache pas forcément, mais ne s'expose pas non plus de façon exagérée. Et pour info, niveau vie de couple, socialement, elle rencontre exactement les mêmes problèmes et engueulades qu'avec un mec, ou autrement dit, qu'avec son ancien copain. Et je pense qu'il en va de même pour la vie quotidienne des homosexuels masculins. Donc l'homosexualité féminine change-t-elle quelque chose à l'entende entre les deux amoureux dans leur vie de couple ? Réponse: Non, c'est pareil. Faut juste trouver quelqu'un qui aura la force de vous comprendre, et de vous accepter comme vous êtes, ou presque (oui je dis presque, car sinon, que à quoi servirait-il de faire des efforts et des compromis pour l'autre, lorsque l'on est en couple ? Pourquoi nous le mentionnerions si souvent, dans ce cas ?)

Coïts torrides et fabuleux et rien d'autre évidemment (cela va sans dire mais c'est aussi bien en le disant..)

Slt,Dans la vie pour etre hereuse faut un peu se taper de c k pensent les autres t a le droit d tamuser avec ki Tu veux vit ta vie,saisit tes chances, sautes sur des occasions tant k Tu peux ma belle. Y a rien de mal a avoir des sentiments pour une fille t es pas la seule,courage

J'aime ma meilleure amie mais j'ai peur qu'elle me rejette si elle apprend mes sentiments
Que dois je faire ?

Bonjours , J'ai 14 ans et J'aime une fille plus jeune mais extraordinaire et elle aussi m'aime ,mais on est obligé de ce cacher de peur du regard des autres.. Nous on s'assume comme on est, mais le manque de maturité , le regard et les remarque des autres blesse... Pourquoi ne pas pouvoir vivre et pouvoir se montrer comme on est sans etre jugé..? :/
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Quand on observe ces amoureuses, on a l'impression d'une forteresse à deux têtes, d'une fierté d'être deux, mais d'une garde jamais vraiment baissée face au monde.« Ce qui est mis en avant, c'est l'importance de s'occuper de l'autre, mais ce qui tient le couple, c'est le désir, explique Natacha Chetcuti, sociologue. 
Trois couples ont accepté de nous dévoiler le philtre de leur amour et les clés de leur sexualité.
Géraldine, 31 ans, visiteuse médicale, une fille de 5 ans, et Orel, 32 ans, artiste. En couple depuis deux ans.
Géraldine : J'ai été amoureuse de mon institutrice de CP, j'ai adoré Mylène Farmer. A 12 ans, je savais que j'étais lesbienne. J'ai embrassé une fille pour la première fois à 18 ans. Ça m'obsédait, mais je ne savais pas comment ni où trouver une fille. Orel : Quand on allait faire les courses avec mon mari, je regardais les filles, c'était bizarre... Un jour, j'ai eu rendez-vous avec ma prof de fac, dans un café. Elle était en retard, je l'attendais, j'étais troublée, je l'ai enfin vue arriver par la vitre, et là, j'ai réalisé, pour la première fois, que j'avais du désir sexuel. 
Orel : Sur un site de rencontres , j'ai cliqué sur son profil et j'ai vu une blonde. J'ai dit : « C'est cette nana. » Pour être sincère, elle ressemblait terriblement à mon ex... Géraldine : Pour sa douceur. On a discuté sur le Web jusqu'à 2 heures du mat. Enfin, j'avais quelqu'un en face de moi.
Orel : Elle arrivait de Tarbes, je suis allée la retrouver à son hôtel. On s'est assises sur le lit. C'est la première fois qu'on se retrouvait face à face, après trois semaines à se parler par webcam. J'ai pu la toucher, découvrir son odeur. Ensuite, rideau. Géraldine : Je me souviens de ses yeux... Lors de notre premier moment d'intimité, j'ai été émue par le regard qu'elle a porté sur moi tout le long. 
Orel : La première fois, je la compare à un saut à l'élastique... On peut tout faire. On est face au même corps que soi, et surtout, on peut éprouver le plaisir de l'autre. Avec Géraldine, je me sens femme et je peux aussi la désirer comme un homme pourrait désirer une femme. Avec un homme, il me manquait quelque chose. Mais en tant qu'homo, on peut regretter de ne pas ressentir l'homme profondément en soi. L'orgasme entre femmes n'en est cependant que plus magique. Géraldine : Je sens que je ne serai plus jamais avec un homme. En fait, je n'en ai jamais désiré.
Orel : Je pense tout de suite à la chanson « Et un jour, une femme », de Florent Pagny. Je sortais d'une histoire très difficile et Géraldine m'a ressuscitée. Pour la première fois, je me sens vraiment en couple. Mais je n'ai plus l'idéalisme de mes 22 ans, quand je me suis mariée. Mon grand regret, c'est de ne jamais pouvoir faire un enfant né du mélange de nous deux. Géraldine : Notre lien est très fort. C'est elle que je voulais. Si on avait le droit, en France, de se marier, je le voudrais. J'ai d'ailleurs demandé Orel en mariage l'année dernière, à Dakar, sur un jet-ski, loin des côtes. La plus belle chose, n'est-ce pas en réalité ce moment où elle m'a dit oui ?
Géraldine : On se tient par la main, on s'embrasse au supermarché. Vous imaginez la frustration si on ne pouvait pas le faire ? Quant à ma famille, maman me vole des photos de nous dans mon portefeuille...
Orel : J'y tiens énormément, sinon, ça veut dire que c'est fini. Géraldine : A partir du moment où tu vas voir ailleurs, c'est qu'il te manque quelque chose. Si Orel me trompe, je tue la fille avec qui elle a été.
Orel : A un moment, je suis partie pour mon ex, et quand je suis revenue, je ne savais que faire pour me faire pardonner. Je lui ai apporté cinquante-six roses pour les cinquante-six jours où je l'avais laissée. Géraldine : Quand je l'ai vu débarquer avec ses roses, en larmes... Je ne m'attendais pas à ce qu'elle revienne, je n'étais pas sûre de le vouloir, j'avais si peur de me reprendre le mur. Malgré tout ce que me dictait ma raison, ce que je ressentais était plus fort, alors j'ai replongé. Inch'Allah .
Corinne, 45 ans, responsable marketing dans une banque, deux enfants de 16 et 19 ans, et Isabelle, 45 ans, organisatrice d'afterwork. En couple depuis onze ans.
Isabelle : La première fois que j'ai touché des fesses de fille, oh que c'était bon ! J'avais 11 ans, je dormais dans un couvent, nous étions deux par chambre. On a commencé à se toucher, à faire des jeux ensemble... Mon éducation judéo-chrétienne m'a ensuite poussée vers les garçons, mais à 16 ans, j'ai définitivement choisi les filles. Corinne : « Lesbienne » est un mot qui pour moi ne veut rien dire. J'aime Isabelle ; je suis « isasexuelle ». Je n'ai jamais été attirée par d'autres femmes. 
Corinne : On s'est retrouvées à travailler dans le même bureau. J'étais hétéro, mariée, avec deux enfants de 4 et 7 ans. On est devenues très copines, on se racontait tout. Un jour, il y a eu un pot au bureau, j'ai sorti mon petit miroir, mis mon rouge à lèvres , et là, je suis tombée sur ses yeux qui regardaient ma bouche... C'était hyperexcitant. Isabelle : On s'est découvertes et on a été emportées sans s'en rendre compte. 
Corinne : C'était au bureau, je me suis approchée d'elle. J'en avais tellement envie, je n'en pouvais plus. C'était gourmand et fougueux. Je ne savais pas où j'allais. Isabelle : Il était passionnel et déraisonnable, plus rien d'autre n'existait. Corinne était mariée et maman, et moi, je vivais avec une femme depuis quinze ans.
Corinne : Je n'ai jamais éprouvé de sensations aussi fortes qu'avec Isabelle. C'est à hurler, à en pleurer. La première fois que j'ai caressé son sexe, j'avoue que je ne savais pas comment m'y prendre. C'était doux, rond et tendre. Et lorsqu'Isa m'a touchée, je n'avais jamais senti de pareilles caresses... Parce que c'était des mains de lesbienne : des mains de femme qui aime vraiment les femmes. Isabelle : Sans cul, il n'y a plus rien. Aujourd'hui, on découvre encore des choses avec Coco. Je la trouve toujours aussi belle et désirable. 
Isabelle : On est comme des sœurs siamoises, on a du mal à se passer l'une de l'autre. Corinne est mon oxygène, mon énergie, mon moteur. Plus on avance, plus on s'aime. Différemment, mais intensément. On est pacsées depuis le 22 mai 2003 ; pour moi, ça signifie qu'on est unies à jamais. J'ai envie d'être grand-mère avec elle. Corinne : Avec mes deux enfants, Isa est pour moi la personne la plus importante au monde.
Isabelle : Avant, dans la rue, je faisais très attention au regard des autres, je faisais un tour à 360° avant de pouvoir l'embrasser. Aujourd'hui, j'ai 45 ans et je n'en ai plus rien à faire. Je suis homo depuis que je suis enfant : la bataille intérieure, la peur de décevoir, j'ai donné. Désormais, je m'affiche. Je serais même dans la provocation. Corinne : Je suis fière de notre histoire, mais dans mon boulot, je ne l'ai jamais dit. J'ai vu des gays se faire placardiser pour ça. J'ai un ami homo, avocat d'affaires : de temps en temps, je joue sa femme, et lui, mon mari. Je n'ai pas envie de me battre pour changer les mentalités. Quant à mes parents, ils ne l'acceptent toujours pas. Ils n'ont jamais voulu venir à la maison. C'est difficile... 
Corinne : Je ne pourrais pas la tromper. Parfois, je joue avec un homme ou une autre femme comme avec un jouet, mais elle est là. Moi, je suis très possessive. Je lui dis souvent : « C'est moi qui t'ai trouvée. » Si une mouche se pose sur elle, je lui arrache les ailes. Isabelle : J'ai dû faire un travail sur moi-même pour accepter son besoin de jouer. Mais, si je la sens dévier, je peux l'humilier et lui balancer : « Ça pourrait être ton fils. » 
Isabelle : Le jour où, de retour de Saint-Domingue, j'ai dit à la femme avec qui je vivais alors que je partais retrouver Corinne. C'était viscéral. Rien ne pouvait m'en empêcher. Corinne : Quand on a fait l'amour pour la première fois et que j'ai raccompagné Isa à la gare. Nous étions sur le quai, elle allait monter dans le train, on s'est regardées - on avait envie de se toucher, de s'embrasser, de se prendre dans les bras, mais on ne pouvait pas le faire devant tout le monde - et j'ai ressenti très fort que je l'aimais. Le soir, j'étais à la maison avec mes enfants, on regardait la télé et je n'avais qu'elle en tête.
Caroline et Delphine Caroline, 38 ans, et Delphine, 33 ans, propriétaires de la boutique Dollhouse, un sexy shop (www.jeuxdefilles.fr). En couple depuis deux ans. 
Caroline : A 18 ans, je disais : « Jamais avec une femme. » Un jour, je chahutais avec une amie et le baiser est venu spontanément. On a vécu pendant quatre ans une histoire cachée. Delphine : Toute petite, j'adorais les personnages ambigus. J'ai eu deux ou trois expériences avec les filles, mais ça ne m'a pas plus bouleversée que ça. Je ne pense pas être définitivement lesbienne.
Caroline : Elle est mon idéal de femme. Quand elle est entrée dans la boutique, j'ai eu un coup de foudre. Mon premier. Mais je ne savais pas si elle aimait les femmes, et surtout, j'étais avec quelqu'un depuis six ans. Delphine : Pour son sourire. J'étais en train de rompre avec quelqu'un que j'aimais très fort et, tout d'un coup, la vie avait l'air simple et légère sur son visage.
Delphine : On s'est fait la cour pendant cinq mois, on l'attendait, ce baiser. On s'est assises sur le canapé de la boutique, comme si on avait 14 ans. Caroline a dégagé mes cheveux, m'a embrassée dans le cou, j'ai eu la chair de poule. C'était doux et tendre. Caroline : Delphine peut être froide, rien n'était acquis. J'ai voulu l'embrasser avec douceur. Waouh ! Le lendemain, j'emménageais chez elle.
Delphine : J'ai eu des orgasmes aussi forts avec des hommes qu'avec des femmes, mais entre filles, c'est plus voluptueux, plus érotique. Il y a un effet miroir, tu vas plus loin dans la découverte. Avec un homme, c'est plus sexuel. Nous, on n'est pas du tout dans le rapport de force. Si on utilise des toys et que l'une pénètre l'autre, elle ne va pas se sentir mec pour autant. Caroline : J'ai vécu huit ans avec un homme et j'ai aimé faire l'amour avec les hommes autant qu'avec les femmes. Avec Delphine, on aime le sexe toutes les deux. Elle est aussi très câline et ça m'avait manqué...
Caroline : Fusionnel. Souvent, on dit la même chose au même moment. Ce qui nous a beaucoup rapprochées, c'est notre amour pour les enfants. On essaie d'en avoir un par insémination artificielle depuis un an, mais c'est très compliqué. Delphine : Avant Caroline, je ne voulais pas de vie de couple. J'avais une existence dissolue. Avec elle, j'ai appris à vivre sans avoir envie de fuir. Notre relation est beaucoup plus fusionnelle parce qu'on est deux femmes. C'est comme être, en permanence, avec sa meilleure amie. 
Delphine : Dans la rue, on entend parfois : « T'as vu, c'est des gouines », mais ça retombe comme un soufflé. Mes parents, je ne leur ai pas laissé le choix. Ils ont compris que Caroline était ma partenaire de vie au même titre que l'est l'amie de mon frère avec qui il a trois enfants. Quant à la famille de Caroline, une amie m'avait dit : « A partir du moment où sa mère t'appelle "bichette" c'est validé ». Quelques secondes après notre rencontre, ce fut le cas. 
Delphine : C'est un sentiment que je ne connaissais pas. Au début, les crises de jalousie de Caroline m'ont fait peur, je n'avais jamais accepté ça de personne. Aujourd'hui, c'est moi qui joue au coq, je fais pipi autour d'elle. Caroline : On est toutes les deux charmeuses et séductrices. J'adore le contact, mais quand je la vois en pleine « action-séduction » dans une soirée, ça me fait mal.
Caroline : Tous les jours. On aime se surprendre et, si ce n'est pas le cas, on dit : « Aujourd'hui, il n'y a rien eu. » Delphine : On s'était disputées très fort et je suis partie me réfugier chez ma grand-mère qui m'a quasiment élevée. Le lendemain je l'ai vue débarquer dans le Jura . C'est la première personne qui a été capable d'entrer dans mon jardin secret.
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Publié
le 29/10/2016 à 10:45 , Mis à jour le 16/06/2017 à 10:39
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Dans une époque qui valorise tant l'épanouissement sexuel, les femmes éprouvent pourtant toujours des difficultés à exprimer leurs envies. Comment l'expliquer ? La sexologue Valérie Doyen fait le point sur les entraves au plaisir des femmes.
Le Figaro.fr/madame.- En 2014, une enquête de l'Ifop révélait que seulement 2 femmes sur 10 avaient souvent éprouvé du plaisir lors de leurs rapports sexuels de l'année. Ce chiffre vous étonne-t-il ? Valérie Doyen (1) .- Du côté des sexologues, on parle plutôt de 3 ou 4 femmes sur 10 qui ont eu un orgasme. Mais le chiffre de l'étude ne m'étonne qu'à moitié. Il faut tout de même relativiser car on fait souvent à tort un raccourci entre l'orgasme et le plaisir. Heureusement les femmes qui n'ont pas d'orgasme, ont généralement du plaisir.
Dans une époque qui valorise l'épanouissement sexuel, pourquoi les femmes semblent encore bridées ? On observe une certaine contradiction entre le discours, très libéré, et la timidité réelle des femmes. Elles réflechissent beaucoup trop et ne lâchent pas prise, ce qui les empêche d'accéder à l'orgasme. Elles sont dans le contrôle permanent, par complexes ou peur du regard de l'autre. Elles ont honte de se mettre dans certaines positions qui seraient plus agréables. D'autres se laissent mener, sont passives pendant le rapport sexuel. Mais il faut toujours être un peu égoïste et aller chercher soi-même l'orgasme.
Toujours selon cette étude, les pratiques sexuelles les plus fréquentes ne sont pas celles qui favorisent le plus le plaisir féminin.Les femmes ne seraient-elles pas insatisfaites parce qu'elles ne verbalisent pas leur désir ? Oui, parce qu'elles sont souvent persuadées que leur partenaire sait, qu'il devine. Bien sûr, c'est le cas quand le couple se connaît depuis longtemps, mais nous avons souvent plusieurs partenaires sexuels maintenant. Un geste peut fonctionner avec une femme et ne rien provoquer chez une autre . Souvent elles optent pour des positions sexuelles qui plaisent à leur partenaire. Or contrairement à l'orgasme masculin réflexe, celui de la femme est provoqué quand plusieurs zones sont stimulées à la fois, par des caresses et des baisers. La seule pénétration suffit rarement. Le contexte est aussi plus ou moins favorable au plaisir et à l'orgasme. Les enfants absents de la maison, une ambiance érotique, des jeux sexuels... Pourquoi n'osent-elles pas demander ? Dans notre culture judéo-chrétienne, la femme doit ménager. Or formuler ce dont on a envie sous-entend que le partenaire n'est pas satisfaisant. Ça touche à la performance et on a peur de blesser, de créer des crispations. Cela explique que les femmes simulent. On craint aussi de modifier notre image. Que va-t-il penser si j'ai envie d'ébats plus "sauvages" ? On passerait de madone à femme libérée, et, pour certaines, ça ne se fait pas. C'est souvent le cas chez les femmes qui deviennent mamans. Alors comment en parler sans vexer ? On en discute lors d'un moment à deux mais surtout en dehors du rapport sexuel, pour éviter de le prendre au dépourvu. On aborde le sujet à la maison tranquillement ou au restaurant. Il faut toujours dire le positif pour ensuite rebondir en proposant : "J'ai beaucoup aimé la dernière fois quand tu as fait ça, du coup j'ai pensé que l'on pourrait faire ça". On partage et l'homme ne pense pas qu'il a fait une erreur. Pendant l'amour, on peut aussi simplement utiliser le langage du corps.
Les scènes au bord de la mer ou de la piscine les plus torrides du cinéma
(1) Auteure avec Pascal de Sutter de Désir, Roman sexo-informatif (Éd. Odile Jacob).
Le féministe c'est bien . Mais dans les faits , la femme sait comment mettre toutes les responsabilités sur le dos du mari . Elles sont moins stressées comme cela .
Oh non je t'en prie…...Ooh…...Oh oui continue…..Oh n'arrête pas….Oooooh…...c'était bon….
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Irritable, un rien pourrait vous faire exploser lorsque la sensation de faim vous tenaille ? C'est normal. Gilles Mithieux, directeur d'un laboratoire Inserm nutrition, nous livre les raisons.
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