Les filles d'Asie aiment les chattes

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Les filles d'Asie aiment les chattes

Une prostituée attend un client dans un parc à Phnom Penh, le 20/07/2010, Chor Sokunthea/REUTERS



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Cambodge


Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser

Slate.com
— 30 mai 2011 à 0h00
C’était sans doute la
question la plus stupide de toute l’histoire du journalisme. Je venais de la
poser à une jeune femme qui m’avait servi un verre au Zanzibar , bar à
hĂŽtesses de Phnom Penh dont «le personnel constituĂ© de jolies demoiselles
 est
toujours disponible pour vous servir et combler vos moindres désirs». Les
hÎtesses sont payées pour flirter et se consacrer aux clients, mais de toute
Ă©vidence je venais de pousser celle-ci Ă  bout.
«Vous savez bien que ce n’est pas un bon boulot», me rĂ©pondit-elle avec
un sourire affecté qui trahissait son irritation.
Au Cambodge, oĂč le rĂ©gime
de l’ancien communiste Hun Sen supervise une forme particuliùrement brutale de
capitalisme de copinage, les choix économiques sont sérieusement limités et 40%
de la population vit avec moins de 1,25 dollars (0,88 euro) par jour . Pour
les jeunes femmes, travailler dans l’industrie du sexe —ce qui comprend les bars
à hÎtesses, les bars-karaoké, les salons de massage et la prostitution en free
lance— est l’une des rares alternatives à l’industrie de l’habillement, responsable
de 90% des revenus de l’exportation du pays. Aussi dĂ©plaisante qu’elle soit,
beaucoup de femmes trouvent que c’est une alternative prĂ©fĂ©rable.
Les secteurs du sexe et du
textile puisent dans le mĂȘme rĂ©servoir de main d’Ɠuvre: des jeunes femmes sans
Ă©ducation, venues des campagnes pauvres, et qui envoient une partie de leurs
gains à leurs familles pour les aider. La quasi-totalité des 350.000 travailleurs
du textile du pays sont des femmes. Les estimations du nombre de travailleuses
de l’industrie du sexe varient entre
20.000 et 100.000 ; le chiffre inférieur étant probablement bien
plus prÚs de la vérité car le plus grand est celui avancé par les organisations
de lutte contre le trafic humain enclines Ă  l’exagĂ©ration et Ă  l’affĂ»t de
financement, et qui semblent supposer que presque tous les travailleurs du sexe
sont des «esclaves». Dix pour cent est une estimation plus probable du nombre
de prostituées victimes de trafic.
Il existe un flux
permanent de travailleuses entre les deux secteurs: un projet interagences des
Nations Unies de 2009 sur le trafic d’ĂȘtres humains rĂ©vĂšle
qu’aprĂšs la grande crise Ă©conomique mondiale, jusqu’à 20% des ouvriĂšres de
l’industrie de l’habillement licenciĂ©es se sont reconverties dans le «secteur
du divertissement».
Employées dans une usine à Phnom Penh, le 6 août 2010, Chor Sokunthea/REUTERS
Les usines de textile ont commencé à se multiplier à Phnom Penh au
milieu des annĂ©es 1990, aprĂšs la signature par le Cambodge d’un accord
commercial bilatĂ©ral avec les États-Unis lui donnant un accĂšs privilĂ©giĂ© aux
marchés américains à condition que les usines locales fassent respecter de
meilleures conditions de travail. Walmart, Nike, Target et d’autres grandes
marques ne tardĂšrent pas Ă  chercher des fournisseurs au Cambodge, et le pays se
gagna une réputation, comme le décrivit USA Today , de
«producteur sans sweatshop [atelier exploitant sa main d’Ɠuvre] dans un marchĂ©
du textile mondial férocement concurrentiel».
Le
chroniqueur du New York Times, Nicholas Kristof, força le trait en 2008, dans un
article Ă©crit Ă  Phnom
Penh oĂč il Ă©crivit qu' «un travail dans un sweatshop est un rĂȘve convoitĂ©,
un ascenseur pour sortir de la pauvreté». Un peu plus tÎt, Kristof avait acheté la
«liberté» de deux prostituées/«esclaves» et les avait renvoyées dans leurs
villages. L’une d’entre elles ne tarda pas à retourner à son ancien travail . Dans
un article de 2009 , Kristof
appela le gouvernement cambodgien à «organiser des descentes infiltrées» dans
des bordels, mais en pratique ce genre de raids débouchent sur le tabassage ou
le viol des femmes qui sont ensuite envoyées dans des «centres de
réhabilitation» décrits par Human Rights Watch comme des « prisons sordides »: Koh Kor par exemple, ancien
centre de détention des Khmers Rouges.
L’industrie du sexe a fait
son entrée au Cambodge au début des années 1990, main dans la main avec la
mission onusienne de maintien de la paix qui avait supervisé les élections
aprĂšs la chute des Khmers Rouges et des dĂ©cennies de guerre civile (lorsqu’en
1998, on lui demanda quel serait l’hĂ©ritage de la mission de l’Onu, Hun Sen rĂ©pondit:
« le sida »). Elle ne fit que prospĂ©rer avec le flot de membres d’ONG,
d’expatriĂ©s et de touristes occidentaux qui s’y dĂ©versĂšrent ensuite. Dans son
livre paru en 1998 Off the Rails in Phnom
Penh , Amit Gilboa décrit le Cambodge comme un «festival anarchique de
prostituĂ©es bon marché» oĂč «vous n’ĂȘtes jamais Ă  plus de quelques minutes de marche
d’un endroit oĂč le sexe est Ă  vendre» .
La prostitution n’est pas
tout Ă  fait aussi flagrante aujourd’hui, mais la distance temporelle qui vous sĂ©pare
d’une relation tarifĂ©e est plus ou moins restĂ©e la mĂȘme. Des prostituĂ©es travaillent
nuit et jour tout autour de Wat Phnom, temple bouddhique qui figure parmi les
principaux sites touristiques de Phnom Penh. Les bars à karaoké et les salons
de massage sont légion, tout comme les prostituées free lance dans les bars et
discothÚques destinées aux Occidentaux.
Un soir, j’ai demandĂ© Ă  un
chauffeur de tuk-tuk qui parlait trĂšs peu anglais de me dĂ©poser Ă  l’angle de la
104 e rue et du quai de Sisowath, qui longe le fleuve TonlĂ© Sap. À la
place, il m’a dĂ©posĂ© devant le 104 , bar Ă 
hĂŽtesses bien connu oĂč il pensait que je voulais me rendre.
Un autre soir, je suis
allé dans une discothÚque du Quai, pleine à craquer de Cambodgiens qui
dansaient sur de la pop asiatique interprĂ©tĂ©e en live. À peine avais-je
commandé une biÚre que la gérante vint me voir et me cria quelque chose
par-dessus la musique. Je ne rĂ©ussis pas Ă  saisir ce qu’elle me disait, mais
quelques instants plus tard, une jeune femme d’une vingtaine d’annĂ©es, vĂȘtue d’une
minijupe noire, vint s’asseoir Ă  mes cĂŽtĂ©s. Je compris alors ce que la gĂ©rante
m’avait criĂ©: «Vous voulez une fille?»
La jeune femme Ă©tait plutĂŽt
belle, mais la main qu’elle me tendait Ă©tait si molle et dĂ©motivĂ©e que toute
envie que j’aurais pu avoir en fut tuĂ©e dans l’Ɠuf. Un soir, je payai la « bar fine » [compensation versĂ©e au bar
pour que l’hîtesse puisse s’absenter avec un client] afin que l’hîtesse avec
laquelle j’avais discutĂ© puisse rentrer tĂŽt chez elle, et je lui offris un
pourboire gĂ©nĂ©reux qu’elle prit pour le paiement de faveurs sexuelles. «Vous
voulez venir avec moi?» , me demanda-t-elle sans conviction. Quand je refusai,
son soulagement fut plus qu’évident.
Les bars à hÎtesses, trÚs concentrés au bord de la riviÚre et dans
quelques autres quartiers de la ville, constituent la face la plus visible de
l’industrie du sexe. Des nĂ©ons clignotent en vitrine et de jeunes femmes
assises Ă  des tables sur le trottoir interpellent les hommes qui passent et les
invitent à entrer. La musique est trÚs rock des années 1960 et 1970; des
chansons comme Brown Sugar et Whiskey Bar (« Show me the way to the next little girl [montre-moi oĂč est la prochaine
gamine – dans l’original, c’est
montre-moi oĂč est le prochain bar Ă  whisky] ») sont des classiques. Des
hommes occidentaux d’ñge mĂ»r sont assis Ă  des tables et conversent, des
hÎtesses enroulées autour de leurs épaules, assises sur leurs genoux ou en
train de leur masser le haut du dos.
Bar disco au Cambodge, le 14 février 2009 Adress Latif/REUTERS
Les relations sexuelles ne
sont pas proposées de façon agressive, et toutes les filles ne sont pas
disponibles. En revanche, les hĂŽtesses insistent lourdement pour que les
clients achÚtent à boire car elles touchent une commission (en général 1 dollar: 0,70 euro) sur
chaque consommation. Les salaires Ă©voluent entre 60 dollars (42 euros) et 70 dollars (49 euros) par mois, et en
comptant les commissions et les salaires, les hîtesses peuvent se faire jusqu’à
trois fois plus. Celles qui ont des rapports sexuels avec les clients gagnent
davantage. On m’a proposĂ© 10 dollars (7 euros) pour une heure et 40 dollars (28 euros) la nuit. Les clients
cambodgiens paient bien moins cher, tout comme les expatriés de longue date
plus au fait des tarifs locaux.
Un soir, je suis allé au
104 avec deux amies cambodgiennes qui militent pour la défense de travailleuses
du sexe et en collaboration avec des syndicats de l’industrie textile. Elles
ont interrogĂ© de ma part plusieurs hĂŽtesses vĂȘtues de jeans moulants et de
dĂ©bardeurs rouges. L’une d’elles, ĂągĂ©e de 25 ans, a commencĂ© ce travail Ă 
la mort de sa mÚre (son pÚre avait depuis longtemps abandonné sa famille). Certains
aspects de ce métier ne lui plaisent pas du tout, surtout les clients qui se
sentent autorisĂ©s Ă  la peloter, mais elle est fiĂšre de ne pas ĂȘtre au chĂŽmage.
«Ces jobs sont difficiles à obtenir» , expliqua-t-elle. «Je ne suis pas belle, et
je ne parle pas bien anglais, mais le propriĂ©taire m’aime bien et il a eu pitiĂ©
de moi.»
Les prostituées free-lance
travaillent dans des établissements bas de gamme comme le Martini , ainsi décrit par le guide Wikitravel de Phnom Penh : «un lieu pour hommes esseulés et dames légÚres» ,
et le Walkabout , qui est aussi un hĂŽtel oĂč l’on peut louer une
chambre Ă  l’heure. Parmi les Ă©tablissements un tantinet plus haut de gamme, on
trouve des bars comme le Sharky's , qui
propose des tables de billard et des concerts, et attire une clientĂšle plus
variée comprenant des femmes et des couples en plus des stéréotypes habituels
genre Disco Stu .
Je suis allée chez Sharky's
vers 21h un soir de semaine tranquille et j’ai pris place sur un balcon donnant
sur la rue avec une jeune femme de 24 ans aux mĂšches blondes, vĂȘtue d’un
jean et d’une chemise en soie imprimĂ©e de cƓurs roses et rouges. Elle parlait
peu anglais, et nous ne sommes pas allés trÚs loin au-delà de «Comment tu
t’appelles?» et «D’oĂč viens-tu?»
«Depuis combien de temps
habites-tu Ă  Phnom Penh?» et «Avec qui vis-tu?» m’attira des regards vides (elle
répondit « oui » à la deuxiÚme interrogation). Mais une de mes questions fut
instantanĂ©ment reconnue: «C’est combien?» La rĂ©ponse: pour un massage et «boom
boom», 5 dollars (3,5 euros) de l’heure et 20 dollars (14 euros) la nuit.
Mes deux amies
cambodgiennes m’ont aussi emmenĂ© dans un bar Ă  karaokĂ© principalement frĂ©quentĂ©
par des clients chinois et des touristes d’autres pays asiatiques. Plus de
100 femmes, certaines en minijupes et d’autres en robe de bal avec des
fleurs dans les cheveux, étaient installées dans des canapés alignés des deux
cĂŽtĂ©s de l’entrĂ©e. Nous avons pris une salle Ă  l’arriĂšre et demandĂ© Ă  quatre
femmes de nous rejoindre. Elles ne tardÚrent pas à arriver, chargées de plateaux
couverts de bols de cacahouĂštes et de choses Ă  grignoter; des assiettes de
pamplemousse, de raisins et de mangues, et des bouteilles de biĂšre tiĂšde servie
dans des verre avec des glaçons. Elles se mirent à chanter pour accompagner des
vidéos, principalement de la pop chinoise et cambodgienne.
L’une d’entre elles, qui avait arrĂȘtĂ© l’école avant la fin de la
primaire, portait une robe de bal rose et des barrettes dans ses longs cheveux.
Elle Ă©tait payĂ©e 60 dollars (42 euros) par mois et se faisait environ la mĂȘme somme chaque
semaine en pourboires. Elle ne couchait pas avec les clients, mais ses
collĂšgues qui le faisaient pouvaient gagner 100 dollars (70 euros) la nuit ou plus avec un client
«riche». Elle avait un frÚre plus ùgé qui gagnait 45 dollars (31 euros) par mois en travaillant
comme agent de sĂ©curitĂ©, et une grande sƓur dans une usine textile. «Ma mĂšre
n’aime pas savoir que je travaille ici, alors il va peut-ĂȘtre falloir que
j’arrĂȘte, mais je ne veux pas travailler avec ma sƓur», me confia-t-elle. «Les
produits chimiques puent, son patron est toujours en train de crier et elle ne
gagne pas grand-chose.»
Prostituées cambodgiennes cherchant des clients à Phnom Penh, le 27 juillet 1994, STR New/REUTERS
Combien rapporte un
travail Ă  l’usine comparĂ© au commerce sexuel? Les emplois dans l’industrie
textile au Cambodge ne sont pas un ascenseur permettant de sortir de la
pauvreté, contrairement à ce que voudrait faire croire Kristof; à peine un
escalier de service. Les employés du secteur du textile gagnent environ
33 cents de l’heure; il n’y a guùre qu’au Bangladesh qu’on trouve des
salaires plus bas. MĂȘme en faisant beaucoup d’heures supplĂ©mentaires, le
salaire mensuel dépasse rarement 80 dollars (56 euros). Les employés doivent se rendre à leur
travail, parfois depuis des villages Ă  des heures de route, ou vivent Ă  quatre
ou cinq par piĂšce dans des masures Ă  la porte de l’usine. Une Ă©tude menĂ©e
par deux spĂ©cialistes de l’Organisation internationale du travail rapporte que
les employĂ©es du textile sont rarement capables d’économiser le moindre sou, et
que peu d’entre elles ont «l’opportunitĂ© d’évoluer dans leur carriĂšre, que ce
soit dans l’industrie du vĂȘtement ou Ă  l’extĂ©rieur» .
Les ouvriĂšres des usines
de textile sont sur le pont toute la journée, sauf pour leur courte pause
dĂ©jeuner, et leurs journĂ©es sont si longues qu’elles voient rarement la lumiĂšre
du jour. Les usines sont bruyantes, Ă©touffantes, et le vrombissement constant
des machines rend toute conversation impossible. Les ouvriĂšres sont soumises Ă 
un rùglement strict (par exemple demander l’autorisation de se rendre au
toilettes), subissent une pression constante pour augmenter leur rendement, et,
malgré la réputation du Cambodge de pays «sans sweatshop», elles sont de plus
en plus nombreuses Ă  travailler avec des CDD qui les privent de leurs droits
les plus élémentaires .
Les journées des hÎtesses sont
longues elles aussi—de la fin de l’aprùs-midi jusqu’à 2 heures du matin
environ—mais elles prennent en gĂ©nĂ©ral un repas sur leur lieu de travail,
passent du temps avec des amies, et regardent la télévision pendant les heures
creuses. Certaines des hĂŽtesses avec qui j’ai parlĂ© ont des relations sexuelles
avec les clients, mais c’est loin d’ĂȘtre le cas de toutes, et elles ont le
droit de refuser des propositions (bien que les accepter est Ă©videmment un
moyen de se faire plus d’argent).
Je ne suis pas en train de
dire que l’industrie du sexe est une profession sĂ©duisante. Il existe un risque
évident de contracter le sida, et les prostituées sont victimes de violences
aux mains des clients, de la police et dans les «centres de réhabilitation». La
plupart des femmes que j’ai rencontrĂ©es commandaient des jus de fruits quand
elles Ă©taient avec moi, mais certaines boivent de leur propre initiative ou Ă 
la demande des clients. Travailler dans l’industrie du sexe est autant une
impasse que dans une usine de vĂȘtements; quand elles vieillissent, les femmes
trouvent une autre occupation, ou bien sortent des bars et des discothĂšques
pour atterrir dans la rue. Pourtant, 20% des travailleuses du sexe
cambodgiennes interrogĂ©es pour le rapport de l’Onu de 2009 ont dĂ©clarĂ© qu’elles
avaient choisi cet emploi Ă  cause des bonnes conditions de travail ou du
salaire relativement Ă©levĂ© (55% l’ont fait poussĂ©es par des «circonstances
familiales difficiles». Environ 3,5% ont été attirées par la ruse, piégées ou
vendues).
Les travailleuses du sexe
sont-elles exploitées? Absolument. Mais les employées des usines textile aussi.
Quand je suis allĂ© au Cambodge en 2009 pour faire un reportage sur l’industrie de
l’habillement , j’ai obtenu le «profil» d’une entreprise qui
produit des t-shirts, des pantalons et des jupes pour des marques comme Aeropostale
et JCPenney. On y lisait que les 1.000 ouvriùres de l’usine
produisaient 7,8 millions de piÚces chaque année. En estimant approximativement
que chaque piÚce est vendue 25 dollars (17,6 euros), chaque employée génÚre donc 195.000 dollars (137.425 euros) de
chiffre d’affaires annuel, pour lequel elle touche environ 750 dollars (528 euros) en salaires, en
comptant les heures supplémentaires généralement effectuées.
«Beaucoup
de femmes ne veulent plus travailler dans les usines textile» , m’a confiĂ© Tola
Moeun, activiste du droit du travail au sein d’un groupe appelĂ© le Community
Legal Education Center. «Vu que la prostitution offre une vie meilleure, nos industriels
vont devoir se mettre Ă  penser Ă  autre chose qu’à leurs marges de profit.»
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— 30 mai 2011 à 0h00
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