Les femmes sont comme des bonbons

Les femmes sont comme des bonbons




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Les femmes sont comme des bonbons
Les meilleurs proverbes sur la femme

Les femmes demandent si un homme est discret, comme les hommes si une femme est belle.


La discrétion des hommes tente les femmes autant que la beauté des femmes tente les hommes, et les deux sexes suivent plus volontiers l'attrait naturel qui les invite à se rapprocher, quand ils sont assurés de rencontrer, l'un chez l'autre, la qualité qu'ils désirent. Ainsi, les deux questions, bien que chacune d'elles porte sur un point différent, partent du même principe, qui est le besoin d'aimer, et tendent au même but, qui est la satisfaction de ce besoin. Mais celle des femmes est plus significative que celle des hommes, où l'on ne voit assez souvent qu'un simple effet de curiosité : elle a quelque chose de raisonné, de prémédité, indice manifeste que les femmes, qui osent la faire, sont déjà décidées à se laisser aller à la tentation, lorsqu'elles savent qu'elles pourront, sans crainte d'être compromises, accorder leur penchant avec la sécurité, leur plaisir avec le mystère. Vous pouvez en conclure, si vous le voulez, qu'elles tiennent beaucoup moins à la vertu qu'au respect humain. En effet, mettre de côté cette vertu incommode et en garder les apparences honorables, c'est, en résumé, ce qu'elles cherchent en s'engageant dans les affaires de cœur. Il n'est pas besoin de dire avec quelles précautions, avec quelle habileté elles poursuivent ce double objet, après en avoir calculé les inconvénients et les avantages. On sait que ces femmes-là ont un art prodigieux, qui leur vient sans doute de ce qu'elles ont mordu plus profondément que les autres au fruit de l'arbre de la science du bien et du mal.


De ce qu'on dit des femmes, il n'en faut croire que la moitié.
Proverbe dont on ne fait l'application qu'en parlant des aventures qu'on leur attribue. « De ces choses-là, suivant l'historien Mézerai, on en compte toujours beaucoup plus qu'il n'y en a, et il y en a toujours beaucoup plus qu'on n'en sait. » Phrase non moins spirituelle que malveillante, à laquelle ressemble beaucoup cette autre de Sénac de Meilhan : « On débite un grand nombre d'histoires fausses sur les femmes, mais elles ne sont qu'une faible compensation des véritables, qu'on ignore. »
Les Italiens ont un proverbe analogue d'après lequel, en matière de galanterie, tout peut se croire et rien ne peut se dire : In materia di lussuria, si puô creder tutto, ma dirne nulla.


La langue des femmes est leur épée, et elles ne la laissent pas rouiller.
Proverbe que nous avons reçu des Chinois qui, du reste, ne se bornent pas à une telle plaisanterie sur l'intempérance de la langue féminine, car un de leurs livres classiques met le babil fatigant au nombre des sept causes de divorce que les maris peuvent alléguer pour se débarrasser de leurs femmes.


Les femmes sont comme les paons dont les plumes deviennent plus belles en vieillissant.
Le plumage des paons acquiert plus de lustre avec les années et la toilette des femmes devient plus brillante à mesure que leur jeunesse diminue, car elles cherchent à suppléer, par les prestiges de l'art, aux charmes naturels que chaque jour qui s'envole leur enlève. Comme elles ne voient pas dans l'avenir de malheur plus grand que de cesser de plaire, elles n'ont pas de désir plus vif ni d'intérêt plus pressant que de paraître toujours jeunes et belles ; et, dans le nombre infini de celles qui peuvent conserver l'espoir d'en imposer sur leur âge, vous n'en trouverez aucune qui dise de bonne foi, comme la belle-mère de Ruth : « Ne m'appelez plus Noémi ; nom qui signifie belle. Ne vocetis me Noemi, id est pulchram. » (Ruth, i,20).
Notre comparaison proverbiale s'applique particulièrement à ces vieilles coquettes récrépies qui aiment à se pavaner sous les magnifiques livrées de la mode et prétendent éclipser les jeunes et jolies femmes par le luxe de leur parure hors de saison.


Les femmes sont des paons dans les promenades, des pies grièches dans leur domestique et des colombes dans le tête-à-tête.
On attribue à Fontanelle cette formule proverbiale qu'il n'est pas nécessaire d'expliquer; mais, en admettant qu'elle soit due à son esprit, ce qui est douteux, il faut reconnaître que les parties dont elle se compose existaient séparément avant lui dans une foule de locutions analogues. Les femmes ont été assimilées à toute sorte d'oiseaux sous le rapport des mœurs et du caractère, et elles ont avec eux des ressemblances assez frappantes pour faire penser qu'elles pourraient être étudiées dans les volières aussi bien que dans les salons. Cette étude morale formerait une nouvelle branche d'ornithologie comparée qui ne serait pas moins intéressante que curieuse.


Les femmes sont comme les énigmes qui ne plaisent plus quand on les a devinées.
Cette comparaison proverbiale existe dans beaucoup de langues comme dans la nôtre, et elle a été employée par beaucoup d'écrivains qui s'accordent à la regarder comme vraie. Cependant, malgré cette imposante unanimité d'opinion, je ne puis me résoudre à penser avec eux que ces aimables enchanteresses perdent à se faire connaître ce qu'elles gagnent à so faire voir. Mais j'aurais besoin, je l'avoue, qu'elles voulussent bien m'expliquer le soin extrême qu'elles prennent de ne pas se laisser deviner et l'antipathie décidée qu'elles ont contre ceux qui les devinent.


La vieillesse est l'enfer des femmes.
C'est ce que répétait la belle et spirituelle Ninon de Lenclos, qui vécut, pour ainsi dire, sans vieillir, inspira une passion à l'âge de quatre-vingts ans et mourut à quatre-vingt-onze... Si elle sentait cette cruelle vérité, combien plus doivent la sentir les autres femmes qui n'ont pas, comme elle, des avantages propres à la leur rendre moins sensible!
La Rochefoucauld a mis textuellement parmi ses maximes le même mot qui est devenu proverbial, s'il ne l'était déjà quand il fut dit par Ninon ou écrit par lui.


Les femmes ne mentent jamais plus finement que lorsqu'elles disent la vérité à ceux qui ne les croient pas.


Pourquoi cela ? N'est-ce point parce que les femmes, en général, sont peu sincères et ne font guère usage de la vérité que pour mieux tromper, quand elles savent qu'on n'ajoutera pas foi à leur parole? On ne peut, ce me semble, expliquer autrement ce malin proverbe qui fait si bien ressortir leur fausseté jusque dans son contraire. Mais l'opinion qu'il exprime est-elle parfaitement fondée? J'ai consulté là-dessus les experts les plus compétents, dans l'espérance qu'ils me fourniraient de bonnes raisons pour la combattre. Aucun d'eux jusqu'ici ne m'a répondu selon mon désir, et je suis forcé d'attendre encore entre le pour et le contre, n'ayant pas les preuves de l'un, et ne voulant pas admettre celles de l'autre.
Je remarquerai seulement que, si le proverbe était aussi vrai qu'il est ingénieux, les hommes ne sauraient éviter, soit en accordant, soit en refusant leur confiance aux femmes, d'être réduits à une alternative fâcheuse signalée par cet autre proverbe : Qui croit sa femme se trompe, et qui ne la croit pas est trompé.


Les femmes sont toutes fausses comme des jetons.
Les femmes veulent plaire à tout le monde, et, pour y parvenir, elles sont obligées de jouer tant de personnages divers, qu'il est bien difficile qu'en s'essayant à un pareil manége elles ne deviennent pas plus ou moins fausses. C'est, sans doute, sur cette observation d'expérience qu'a été fondé le proverbe, qui est parfaitement vrai, des femmes coquettes, et qui ne l'est pas également des autres femmes. J'en connais plusieurs qui méritent une honorable exception, et j'aime à croire qu'elles ne sont pas les seules. Je n'oserais pourtant les compter par douzaines, et je suis forcé de convenir, pour me conformer à l'opinion la plus circonspecte, que les femmes, en général, ont, à des degrés différents, une certaine dose de dissimulation et de mauvaise foi qu'elles cachent sous de belles apparences de franchise et de sincérité, de même que les jetons ne laissent pas voir le mauvais alliage dont ils sont ordinairement composés sous la brillante dorure qui en décore les surfaces.


L'amour des femmes tue le courage des plus braves.
C'est un fait en preuve duquel on peut citer la fable et l'histoire. Voyez Hercule abandonnant sa massue et filant une quenouille aux pieds de la reine Umphale ; voyez Antoine asservi lâchement aux charmes de Cléôpatre; et jugez, par ces exemples qu'il serait facile de multiplier, combien l'amour des femmes est dangereux et funeste. Il étouffe toute énergie chez l'insensé qui s'y abandonne ; il le rend incapable de tout noble élan, il le tient plongé dans une mollesse abrutissante; en un mot, il lui fait oublier tous ses intérêts et tous ses devoirs.
Voilà pourquoi on dit encore l'amour des femmes tue la sagesse : ce qui a son explication suffisante dans les réflexions que je viens de présenter. Ce proverbe et le précédent ne différent l'un de l'autre que par l'application particulière que chacun d'eux fait de cette vérité générale : que la passion pour les femmes a des effets pernicieux sur le moral dont l'homme, et qu'elle fait souvent de lui, par l'usage immodéré des coupables plaisirs qu'elle lui présente, un animal dégradé.


Êtes-vous pauvre, détournez-vous de ces plaisirs : ils coûtent plus cher que les vrais besoins. Aspirez vous à la gloire, détournez-vous-en de même : ils vous la feraient prendre en pitié. Voulez-vous rester bon, fuyez-les jusqu'au bout du monde : ils ne vous laisseraient pas de cœur.


Paris est l'enfer des chevaux, le purgatoire des hommes et le paradis des femmes.


Les chevaux ont beaucoup à souffrir à Paris, les maris y éprouvent bien des contrariétés et les femmes y jouissent de toute sorte de plaisirs. Cette triade proverbiale était autrefois d'une vérité plus incontestable qu'aujourd'hui, surtout à l'égard des femmes, parce que la coutume de Paris, plus favorable pour elles que toutes les autres coutumes du royaume, n'admettait point qu'elles fussent battues comme ailleurs, et ne prononçait point de peines sévères contre la violation de la foi conjugale.


1 Allusion à la coutume de frapper avec un bâton les quartiers de lard salé pour en faire tomber les grains de sel.


Corneille a rappelé la dernière partie de cette triade dans la Suite du Menteur, où Lise dit à Mélisse, sa maîtresse, en parlant de Dorante qu'elle l'engage à épouser :
ll est riche et de plus il demeure à Paris,
Qui, des femmes, dit-on, est le vrai paradis ;
Et, ce qui vaut bien mieux que toutes ces richesses,
Les maris y sont bons et les femmes maîtresses.
On connaît ce mot de Montesquieu : « Quand on a été femme à Paris, on ne peut plus être femme ailleurs. »


Des femmes et des chevaux,
Il n'y en a point sans défauts.
La perfection n'appartient à aucun être sur la terre, et sans doute il n'en faut point chercher le modèle chez les femmes ; mais les hommes sont-ils moins imparfaits qu'elles? La vérité est qu'en général les femmes ont plus de petits défauts et les hommes plus de vices achevés. Quant aux qualités qui brillent en elles, il est impossible de ne pas reconnaître qu'elles se distinguent par des avantages que celles des hommes n'offrent pas au même degré. « Vertus pour vertus, dit une maxime chinoise , les vertus des femmes sont toujours plus naïves, plus près du cœur et plus aimables. »
Le rapprochement des femmes et des chevaux, que présente notre proverbe, n'a pas été suggéré peut-être par une pensée aussi impertinente qu'on pourrait le penser; il tient aux habitudes chevaleresques : tout paladin consacrait sa vie à l'amour et à la guerre. Pour aimer il devait avoir une belle dame; pour combattre, il avait besoin d'un bon cheval, et il confondait ces deux êtres dans une affection presque égale, quoiqu'il fût souvent obligé de reconnaître que ni l'un ni l'autre n'étaient jamais sans défauts.


Les hommes font les lois, les femmes font les mœurs
On sait que le comte de Guibert a placé ce vers heureux dans sa tragédie du Connétable de Bourbon où le premier hémistiche est dit par Adélaïde et le second par Bayard. Mais le comte de Guibert ne l'a point inventé ; il l'a trouvé tout fait dans le recueil des proverbes usités en Provence. Voici le texte patois qui correspond mot pour mot et métriquement au français .
Leïs homès [an l.eïs leis, leïs frémos fan leïs murs.
On a établi, entre les lois et les mœurs, cette différence essentielle, que les lois règlent plus les actions du citoyen et les mœurs réglent plus les actions de l'homme. D'après cela, on peut conclure avec raison que l'influence des femmes est d'une importance qui la rend supérieure à celle des législateurs ; car avec des mœurs on pourrait se passer de lois et avec des lois on rie pourrait se passer de mœurs.


« A quoi servent des lois inutiles sans les mœurs ? » s'écriait Horace :
Tant que les femmes ont fait les mœurs, les femmes ont été respectées. Ce n'est qu'en les défaisant, ce qui leur est arrivé quelquefois, qu'elles ont cessé de l'être. L'histoire nous apprend que c'est à des époques sans mœurs qu'ont été imaginées et mises en circulation ces formules injurieuses qui leur reprochent leurs torts avec une certaine vérité, il faut bien l'avouer, quoiqu'elles soient presque toujours fausses parce qu'elles sont trop généralisées.


Sans les femmes les deux extrémités de la vie seraient sans secours et le milieu sans plaisir.
Il faut laisser à chacun le soin de développer dans son propre cœur cette vérité proverbiale qui résume si bien les obligations dont l'homme, à chaque phase de son existence, est redevable à la femme considérée comme mère, comme épouse, comme amante, comme amie ; car l'esprit ne saurait analyser tant de témoignages ineffables de tendresse, de dévouement et d'abnégation, qu'elle ne cesse de nous prodiguer depuis le berceau jusqu'à la tombe; et le cœur, qui les a reçus, qui en a gardé l'impression dans toutes ses fibres, peut seul les reproduire en ses suaves réminiscences. Je me contenterai de citer les vers suivants que le cœur de Ducis lui inspirait dans son Épître à ma femme :


0 sexe l'ait pour la tendresse!
La douleur vous vend nos enfants:
Vous veillez sur nos pas naissants ;


Sans les femmes les hommes seraient des ours mal léchés.
Si les hommes ne vivaient qu'avec d'autres hommes, ils ne seraient pas seulement malheureux, mais grossiers, rudes, intraitables, et nous voyons que ceux qui, dans le monde, restent isolés du commerce des femmes ont généralement un caractère disgracieux et même brutal. Ce sont donc elles, on n'en saurait douter, qui préviennent ou corrigent de tels défauts et y substituent des qualités aimables, délicates, dont le principe est dans leur douce nature. Le plus rustre se polit et s'humanise auprès de ces enchanteresses; transformé par leur merveilleuse influence, il devient un être charmant. C'est la métamorphose de l'âne de Lucien ou d'Apulée. Cet animal est changé en homme après avoir brouté des roses.


L'expression proverbiale ours mal léché, par laquelle on désigne un individu mal fait et grossier, est venue d'une opinion erronée des naturalistes du moyen âge qui croyaient, sur la foi d'Aristote et de Pline, que les oursons naissaient informes et que leur mère corrigeait ce défaut à force de les lécher; ce qu'elle ne fait que pour les dégager des membranes dont ils sont enveloppés en naissant.


La femme est le savon de l'homme.
La femme nettoie l'homme de bien des défauts : elle le corrige de ses instincts grossiers et le décore d'une foule de qualités aimables, dans cet âge surtout où il est porté, par le plus doux des penchants, à lui offrir les prémices de son cœur. C'est elle dont l'heureuse influence l'initie aux manières polies, aux mœurs courtoises, et fait prendre quelquefois à son caractère sa forme la plus épurée. Tel qui se distingue par l'élévation de ses sentiments n'aurait peut-être jamais eu qu'une âme commune, si le désir de plaire aux femmes n'avait éveillé son amour propre et ne lui avait donné ce relief de noblesse et d'urbanité qui manifeste, en traits charmants comme elles, le merveilleux changement qu'elles ont opéré dans sa nature. Voir le proverbe : Sans les femmes, les hommes seraient des ours mal léchés
On dit quelquefois dans le même sens : la femme est une savonnette à vilain ; ce qui est une extension donnée à l'expression savonnette à vilain, par laquelle on désignait, avant la révolution de 1789, une charge qui anoblissait et qui lavait, pour ainsi dire, de la roture celui à qui elle était concédée à prix d'argent. Il y avait alors en France une quantité considérable de ces vilains décrassés.


Il n'y a de femme chaste que celle qui ne trouve pas d'amant.
C'est ce qu'a dit Ovide dans le premier livre des Amours ; élégie VIII
L'auteur des Lettres persanes a reproduit la même idée en ces termes : « Il est des femmes vertueuses ; mais elles sont si laides, si laides, qu'il faudrait être un saint pour ne pas haïr la vertu. » Jehan de Meung, dans le Roman de la Rose, a exprimé la chose d'une manière plus énergique. Quelques poètes licencieux l'ont répétée avec un cynisme révoltant. Enfin il s'est rencontré des écrivains privés de tout sens moral, qui, prenant au sérieux ce que les autres n'avaient avancé que par jeu ou débauche d'esprit, ont osé développer, dans des pages sans raison comme sans pudeur, cette abominable opinion des Esséniens : qu'il est impossible à toute femme d'être chaste et fidèle.


Une femme est comme votre ombre; suivez-la, elle fuit; fuyez-la, elle suit.
Cette comparaison proverbiale a été attribuée à Chamfort, parce qu'elle se trouve dans le recueil des pensées de cet ingénieux écrivain. Mais elle existait longtemps avant lui, non-seulement chez nous, mais chez d'autres peuples. Le poète arabe Zehir , qui, sans nul doute, ne l'a pas plus inventée que l'auteur français, en a fait l'application à la femme coquette, à qui elle convient mieux qu'à toute autre femme; car c'est un vrai manège de coquetterie dont l'image y frappe, en quelque sorte, la vue non moins que l'esprit. « La coquette, dit-il, ressemble à l'ombre qui marche avec vous : si vous courez après, elle vous fuit; si vous la fuyez, elle vous suit. »


La femme est un être qui s'habille, babille et se déshabille.
C'est-à-dire que les trois choses principales auxquelles la femme consacre toute sa journée sont la toilette, la causerie et le sommeil, car elle ne quitte guère ses atours que pour se mettre dans son lit, où elle a grand besoin de se délasser, après tant d'heures si activement employées à se parer et à donner de l'exercice à sa langue. Mais le triple penchant attribué à la femme ne lui appartient pas exclusivement. L'essence de cette nature féminine s'est si bien infusée dans le caractère de certains hommes, qu'on n'y découvre presque plus rien de viril, et notre jeu de mots proverbial s'applique aussi avec raison à tout individu de cette espèce ridicule qui semble avoir abdiqué les occupations sérieuses du sexe masculin pour copier sottement les usages frivoles de l'autre sexe.


La femme a été faite pour l'homme, et non l'homme pour la femme.
C'est ce qu'a dit saint Paul dans sa première épître aux Corinthiens et ses paroles sont passées en proverbe pour signifier que la femme doit être soumise à l'autorité de son mari. Mais l'Apôtre n'a point entendu que cette autorité pût être arbitraire et tyrannique, puisqu'il a dit aussi, au chapitre de la même épître, que, si la femme appartient au mari, de même le mari appartient à la femme, et que tous deux ont des devoirs à remplir l'un envers l'autre.


C'est de l'observation de ces devoirs, réciproques et conformes à la nature de chacun des époux, que dépendent et le bonheur de leur union et le succès dela mission sociale qu'ils ont à poursuivre ensemble. Et qu'on ne s'imagine pas que l'action de l'homme, pour atteindre
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