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Les femmes ne servent plus à rien !



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Le 15 janvier 2012 à 11:32

par

nemo


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Le Janvier 2012 à 14:10
par
Mansur
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Le Janvier 2012 à 16:29
par
johnR
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Le Janvier 2012 à 18:33
par
nemo
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Le 15 janvier 2012 à 15:27

par

MG 42


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Le 15 janvier 2012 à 15:33

par

MG 42


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Le 15 janvier 2012 à 16:30

par

fifty miles


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Le 16 janvier 2012 à 02:47

par

picadello


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Le Janvier 2012 à 21:49
par
shoananas
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Le 16 janvier 2012 à 11:54

par

kirikoo


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Le 21 janvier 2012 à 12:19

par

FaridDominique


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Le Janvier 2012 à 13:21
par
celeste
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Le Février 2012 à 23:09
par
Catherine
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Le 29 janvier 2012 à 23:48

par

Youssef


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Le 23 février 2012 à 19:54

par

Catherine


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Le 10 juin 2012 à 13:21

par

yon96


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Il ne leur reste plus que leur utérus. Elles enfantent et puis quoi, plus rien.
Elles n’aiment plus les hommes, elles ne s’occupent plus de leurs enfants, veulent travailler comme des hommes mais sans en avoir les contraintes, elles détruisent la société à travers le féminisme.
Que leur reste-t-il pour se différencier de nous ? Rien. Nos enfants grandissent sans sécurité affective, sans leurs parents. Plus personne n’a de temps à leur consacrer, mais plus personne ne s’interroge non plus sur les résultats de ce féminisme.
Issus de cette maltraitance, nos enfants deviennent de moins en moins stables psychologiquement, de moins en moins aptes à construire des relations familiales stables, de moins en moins aptes à comprendre la différence hommes-femmes.
Ceux-là délaissent d’autant plus leur famille qu’ils ont été délaissés, quand ils ne deviennent pas pédophiles ou homosexuels. Ce mouvement imprimé par le féminisme et suivi par la quasi-totalité des femmes s’est imposé dans notre société. Elles ont obtenu ce qu’elles désiraient, ou presque.
Alors maintenant, ne serait-ce pas à nous de les interroger et de les mettre face à leurs responsabilités : A quoi servez-vous ?
Lire la suite de l’article : aimeles.over-blog.com
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Comme mon message à été éffacé (ha ha,ça gêne les avis différents,hein ?) eh bien je le reposte.
C’est ignoble cette façon de coller des rôles aux gens et aux êtres vivants,moi je ne sers à rien non plus et j’ai tout autant le droit de vivre comme je le veux,quoi qu’en pensent les 6 999 999 999 autres personnes !
Donner de l’importance selon un rôle c’est aussi ne pas donner d’importance à quelqu’un ou quelque chose dont on ne voit ,ou n’accepte,pas le rôle. Et c’est comme ça qu’on justifie n’importe quoi dont les meurtres de masse.
Comme si les gens avaient des rôles (reproduction mise à part) comme ça,distribués à la naissance...non mais vraiment !
nemo tu devrais réfléchir sur le rôle de la diversité, ton PC n’est pas uniquement constitué de disque dure... enfin bon il y a une infinité d’exemple.
Non,c’est votre parano-laser qui tire à vue... Enfin,quoi,ça vous fait plaisir d’entendre les autres dire :" Toi tu sers à ça " ?! Comme une machine ?
C’est non seulement faux mais en plus insultant dans le principe même...Mais peut-être que ça ne gène pas quand on est du bon côté ou qu’on essaye pas non plus de comprendre,hein ?
le foulard de couleur vive qui couvre la tête, cerne les joues et se noue sous le menton ! Elles ont dépouillé leur veste ouatinée d’hiver qui leur donnait un tour de matrones. Plus d’yeux larmoyants, de nez rouges, mais des prunelles de myosotis ou de violettes, des lèvres charnues, des rondeurs généreuses sous la jupe noire gancée de rouge, vert mauve, ou le corsage, parfois brodé, laissant évader les pistils des bras charnus dénudés jusqu’à la saignée du coude.
_Comment trouvez-vous nos conductrices ? demande Bérard. _Tout à fait à mon goût ! répond Cuny.
Perrin, le "beau gosse" de la 11è, ne dit rien, lui, mais regarde en technicien. _Un peu fortes tout de même, ces « panienkas », reprend l’homme qui concentre, dans son monocle et sa raideur, de vagues nostalgies de la Prusse.
_Elles ont l’apparence de ce qu’elles sont : les égales de l’homme dans le travail ! Mais elles sont si attachantes, tellement simples, à la fois bonnes camarades et femelles athlétiques ! Un vrai plaisir que d’oublier avec elles mademoiselle de Paris !- Vous avez essayé ?
Trop peu, malheureusement. Mais croyez-moi... Une fois dominés quelques préjugés occidentaux, c’est fort rentable ! Cuny pousse un soupir.
_ Nos filles sophistiquées, prétentieuses, toujours préoccupées de tenir un rôle dans le roman à quatre quatre-vingt-quinze qu’elles viennent de lire, sont ennuyeuses comme la pluie ! Elles feront naître des générations de pédérastes qui leur tourneront le dos . Coucher avec une « panienka », c’est comme épouser la terre. Le goût du miel. Le muscle des tempêtes. L’odeur de l’isba.
Oui. II y a des odeurs, bien sûr ! dit Bérard en rajustant son monosle. Alors, vous croyez ? Eh bien, ce soir, je tenterai ma chance !
Ils sont nombreux, à l’heure du bivouac, qui tentent leur chance !
Article passablement caricatural sur un sujet qui devrait amener les femmes et hommes à se redéfinir par rapport au système. Si le système promeut le féminisme (approx. 68) c’est qu’il y a quelque chose de vicié dans cette démarche. D’accord avec Alain Soral, et certaines voix de femmes contradictoires dés 68 qui voyaient dans la promotion du salariat des femmes : la triple journée, pour reconnaitre que cette soit disant libération ressemble à la campagne de E.Bernays (propagandia) pour surfer sur le sujet et faire de la femme une consommatrice de ...cigarettes à l’égale des hommes et pour le plus grand bénéfice des lobby du tabac U.S. La libération des femmes a eu pour principal effet d’en faire une travailleuse salariée au profit du système capitaliste au lieu d’une travailleuse non salariée au profit de sa famille et d’elle même, ça va avec la concentration du capital économique exigeant toujours plus de main d’oeuvre pour plus de plus-value et plus de consommateurs/trices pour absorber le produit du capital économique. Aujourd’hui que travailleurs/euses du monde entier sont mis en concurrence dans un capitalisme financier qui vit sur la prédation bancaire et tue la capitalisme économique, nombre de femmes et hommes sont devenus surnuméraires et inutiles. Il faudra faire éclater la concentration économique et financière en activités à l’échelle humaine et territoriale où femmes et hommes participeront selon leurs compétences et attractions personnelles, et lorsqu’il s’agira de structures plus importantes nécessaires, à une loi anti-holding efficace passant par la limitation des salaires comme le préconnisait Marx.
@shoananas le rapport, c’est les cheveux ; dans beaucoup de traditions, paraît-il, le Diable s’accroche aux cheveux des femmes . Les femmes avaient beaucoup de fichus sur la tête dans nos sociétés au début du XX èe. Une femme se rendant à la messe en avait un , obligatoire . Une femme en cheveux, comme on disait, je laisse imaginer ce que ça voulait dire .Bon on est très loin de tout ça, mais dans tout ça y’avait des constructions symboliques indispensables à toute psyché . Se faire ratiboiser l’oeuf, c’est un autre truc pour se débarrasser du problème . Certaines le font dans un contexte religieux (Inde), d’autres pour essayer d’évacuer le problème .C’est pitoyable et tellement compréhensible .
Je doute que la plus part des femmes qui porte un voile sur la tête aient des cheveux coupés.
Tout le monde sait que le féminisme est une idéologie mortifère. Il n’y a que les lâches, les imbéciles et les cyniques ou les trois à la fois qui en sont les complices. Autrefois la femme française était synonyme d’élégance, de subtilité, de charme dans le monde. Aujourd’hui elle est perçue, y compris par les femmes, dans le monde comme une pétroleuse, une péronnelle, une folle... Grandeur et dégénérescence de la France...
Je vois bien, et je comprends l’idée de cet article, quand il s’agit de montrer les conséquences perverses de mouvements de libération (mouvements manipulés par le système de domination et donc aussi par les hommes ici, en l’occurrence). Mais c’est bien dommage toutes ces confusions entre lutte contre le système oligarchique oppressif d’un côté, et haine, à l’égard des femmes elles-mêmes , transformée en idéologie globale de l’autre ... Je ne savais pas que les femmes devaient servir à quelque chose... Quelle triste conception de l’humanité ! Et moi en tant qu’homme, je serais bien aliéné et abruti de considérer que ma femme, mes soeurs, ma mère et les femmes en général devraient servir à quelque chose ; conception pauvre et typiquement aliénante de la femme et de l’homme (réduit à un utilisateur). Je peux comprendre que E&R relaie ce genre d’article comme contradiction à l’idéologie dominante, mais sa qualité intrinsèque est d’une pauvreté qui ne fait pas honneur à ce que je crois être E&R. (L’exemple de pédophilie et homosexualité mis sur le même plan est à cet égard consternant.) Le système oligarchique (dirigé par des hommes et leur force physique et militaire en bout de chaîne) n’attend que cela : que la lutte contre l’oppression fasse que les femmes rendent les hommes responsables de leur malheur et que les hommes fassent de même avec les femmes. Il est possible, savez-vous, de se soutenir mutuellement, plutôt que de s’accuser et continuer à s’opprimer. Personne n’a à servir à rien.
Bravo. J’approuve ce que vous dites.
Bravo et merci Farid Dominique. C’est vrai, dès qu’il y a division, on peut être sûr qu’il y a manipulation et la plus belle manipulation, la plus réussie, c’est celle qui a abouti à ce que les hommes et les femmes se haïssent. Il faut dire qu’elle ne date pas d’aujourd’hui. Moi je me dis que si Soral permet la publication de cet article sur son site, c’est qu’il est infiniment moins subtil que je ne pensais,qu’il y a du gros beauf en lui malgré son charisme d’homme viril-et-dupe-de-rien. Ici comme ailleurs, la femme est méprisée. Nous n’avons peut-être pas assez donné ? Oh, et puis à quoi bon parler avec de tels hommes. L’élégance n’est a priori pas seulement l’apanage des femmes. Mais avec les hommes, c’est toujours pareil : ils critiquent les femmes qui ne sont pas parfaites physiquement sans se rendre compte qu’ils sont à moitié chauves et bedonnants et tout le reste est à l’avenant. Adieu, Egalité et Réconciliation, j’avais été séduite mais non, vraiment, je n’ai pas eu besoin de E&R pour mener mes recherches et démystifier beaucoup de choses, E&R m’a pourtant ouvert les yeux sur le fait qu’il y a des gens intelligents chez les lepenistes mais ce discours sur les femmes c’est tellement vulgaire, tellement navrant que ça m’a ouvert les yeux dans l’autre sens, si j’ose dire ! Ca pue trop le sperme, le tabac froid et la Kronenbourg !
le mensonge du féminisme est de promettre le bonheur aux femmes, bonheur à la fois familial et professionnel, oubliant qu’il y a, comme chez les hommes, des catégories sociales, des différences considérables de destins- selon que la Femme habite à Neuilly ou à Trappes, qu’elle gagne 1000 euros ou 4000 etc. que le rêve de la bourgeoise est de travailler, que celui de la prolo serait d’arrêter de travailler...de plus, par les temps qui courent et par l’individualisme galopant, force est de constater que la vie de famille( les gosses, le mari...) constitue de plus en plus un frein à l’épanouissement professionnel de la Femme- l’heure des choix s’impose, mesdames...
Eh ben... vive la généralisation ! Et ce n’est même pas signé. Le problème, c’est peut-être que beaucoup d’hommes ont oublié d’évoluer. Je n’en connais pas qui aient dit à leur femme :"Chérie, ne travaille pas et laisse moi m’occuper de tout pour que tu puisses chérir nos enfants. " Arrêtez de fantasmer les gars et de vouloir une femme sexy, qui fait le ménage, s’occupe seule des enfants, gère seule l’entreprise familiale (administratif, rendez vous chez le médecin, activités des enfants, sorties, vacances) et qui a un bon poste parce que ça fait bien devant les copains de dire "ma femme est...", qui soit rassurante et forte dans les épreuves et qui n’ait pas trop envie de parler etc. Commencez par ressembler un peu à votre idéal masculin. Depuis que j’ai vu des gens se faire agresser sans qu’un homme bouge et que j’ai du moi-même désarmer un homme parce que j’avais peur pour mon bébé qui était dans sa poussette alors que dix hommes étaient spectateurs de la scène sur le trottoir, je suis un peu déçue...
J’ai lu cet article ainsi qu’une bonne partie des commentaires (il y en a beaucoup). Et au risque de ne pas être apprécié je vais donnez mon point de vue. Je ne suis pas d’accord avec cet article. L’idée que les femmes aurait "un rôle" précis, tout comme les hommes, je n’y crois pas. Si les autres y croit c’est eux que cela regarde. Mais moi non. On voit dans les commentaires des gens critiquant jusqu’au fait que les femme fûment. A cela je pense "et alors ?" Si elle veulent fûmer c’est elle que cela regarde. Certains disent que les femmes ne créer pas à cause de particularité biologique. Je ne dis pas que c’est faux ni que c’est vrai : je me fiche de ce genre d’avis car c’est un préjugé et que mon entourage féminin est aussi, voir plus créatif que de nombreux hommes, dont moi. Je suis apolitique et anti-préjugé car ils poussent à l’erreur et aux idées reçus. Je préfère me moquer (dans le sens d’ignorer) ce genre d’idée car je juge les gens quand ils sont face à moi et comme ils sont, pas par rapport à des idée pré-établit. On dit que les femmes sont devenus cariériste et se moque de leurs enfants ? Je n’y croit pas popur la majorité d’entre-elle. Certaines travaille beaucoup justement par amour pour leurs enfants puisqu’il faut de l’argent pour les élevés. Si elles pouvaient passer plus de temps avec leurs enfants elles le feraient. Tout cela pour dire que je ne suis pas d’accord avec cette article. Les gens ont le droit d’être qui ils veulent. Je ne dis pas que cet article devrait être supprimé car je suis pour la liberté d’expression, mais il faut se rappeller dans ce cas que si on est pour la liberté d’expression et d’opinion, il faut se rappeller que c’est pour tout le monde. P.S : s’il vient à l’idée de certains de m’insulter en me traitant de toute sortent de noms (gauchistes, naifs....) Sachez que j’ai le droit d’avoir mes propres opinions et que se n’est pas en insultant que l’on rallie les gens à sa cause. Il faut du respect.

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© 2022 - Marie Bareaud - Tous droits réservés

Marie Bareaud, sexologue et sexothérapeute en région Nantaise
La pulsion chez la femme est un sujet assez tabou. Le plus souvent, les pulsions sont associées à la sexualité masculine avec l’idée que les hommes auraient des « besoins sexuels » qui leur donneraient envie de vivre des relations sexuelles de manière répétées. Est-ce que les femmes sont aussi l’objet de pulsions sexuelles ? Le désir chez la femme est recherché. Mais est-ce qu’il est assumé dans toute sa force, que ce soit par les hommes ou par les femmes elles-mêmes ? Qu’en pensez-vous ?
Le sujet des pulsions sexuelles féminines est donc tabou, il est régulièrement vu comme pas correct. Je vous propose de l’envisager ensemble pour sortir des idées reçues, retrouver de la liberté dans notre sexualité et peut-être nous réconcilier avec notre désir. Les pulsions peuvent-elles être aussi bien masculines que féminines ? Et qu’est-ce que sont les pulsions ? À quel moment se manifestent-elles ?
La pulsion, et en particulier la pulsion sexuelle, est un formidable élan de vie, vers l’intensité et le plaisir. C’est une invitation très puissante à se sentir vibrer, à vivre de l’intensité dans tout son corps. C’est vraiment la vie qui se manifeste à 100 %, même à 200 % et qui rappelle à la femme son besoin d’être vivante. Parfois, la pulsion sexuelle ne fait pas toujours bon ménage avec la raison, mais ça c’est une autre histoire… Les pulsions nous renvoient à notre côté primaire, sauvage de notre nature, notre côté mammifère. C’est la vie « brute » qui se manifeste en nous par de fortes poussées de désir. Certaines femmes seront heureuses de vivre ces pulsions, tandis que d’autres les considèreront comme incorrectes. Pourtant, les élans de vie que nous pouvons ressentir sont positifs ! Ils nous invitent à être vivants le p
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