Les femmes effectuant des travaux de la langue

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Les femmes effectuant des travaux de la langue
Chercheuse au Centre Perelman de philosophie du droit de l’UniversitĂ© libre de Bruxelles
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Le journaliste du « Monde » Julien Bouissou rapporte dans sa chronique l’enquĂȘte de l’économiste Shrayana Bhattacharya qui a interrogĂ© des Indiennes sur leur rapport au travail par un moyen dĂ©tourné : celui de la star de cinĂ©ma Shah Rukh Khan.
Publié le 01 février 2022 à 06h00 Temps de Lecture 3 min.
Chronique. Pendant sept ans, l’économiste Shrayana Bhattacharya a sillonnĂ© les quartiers pauvres d’Inde pour interroger des femmes sur leur travail. Une mission difficile, tant les interviewĂ©es sont rĂ©ticentes Ă  parler de ce sujet qui leur semble sans intĂ©rĂȘt. PlutĂŽt que de les questionner sur leurs salaires, leurs conditions de travail ou leurs aspirations, l’économiste a choisi d’engager la conversation sur Shah Rukh Khan, une star de cinĂ©ma rĂ©vĂ©rĂ©e dans le sous-continent. Les langues se sont dĂ©liĂ©es. En parlant de leur admiration pour lui, elles ont Ă©voquĂ©, en creux, leurs dĂ©sirs, leurs frustrations, les problĂšmes auxquels elles font face dans leur travail. « En me disant quand, comment et pourquoi elles se tournent vers Shah Rukh, elles nous parlent de quand, comment et pourquoi le monde leur brise le cƓur », Ă©crit l’économiste dans son ouvrage Desperately Seeking Shah Rukh (HarperCollins, 2021, non traduit).
Les tĂ©moignages rassemblĂ©s permettent de mieux comprendre, autrement que par les statistiques, la marginalisation croissante de la main-d’Ɠuvre fĂ©minine dans l’économie du pays. L’Inde est le seul pays au monde oĂč le dĂ©veloppement s’est accompagnĂ© d’une chute de la participation des femmes dans la population active , Ă  un niveau qui est l’un des plus bas de la planĂšte, proche de celui de l’Iran ou de l’Egypte. Elles ne reprĂ©sentaient en 2019 que 20 % de la population active. La situation a empirĂ© depuis le dĂ©but de la pandĂ©mie de Covid-19 puisque ce sont, en trĂšs grande majoritĂ©, des femmes qui ont perdu leur emploi. Leur place sur le marchĂ© du travail dĂ©pend de leur condition dans la sociĂ©tĂ©. « Ma famille pense que le seul mĂ©tier qui puisse convenir Ă  une femme, c’est de rĂ©ussir son mariage », tĂ©moigne ainsi Gold, une jeune hĂŽtesse de l’air originaire de Jaisalmer, aux confins du Rajasthan, dont l’éducation ne fut considĂ©rĂ©e par son pĂšre que comme un simple « loisir », en attendant son mariage.
En regardant le film Kabhi Khushi Kabhie Gham ( La Famille indienne, en français), dans lequel joue Shah Rukh Khan, Gold dĂ©couvre qu’ « il y a un autre monde que Jaisalmer, et oĂč vivent des hommes dĂ©cents » . Le film emmĂšne les spectateurs Ă  Londres, oĂč des Indiennes comme elle peuvent travailler, ouvrir des magasins. Bien que lointain, ce monde n’est finalement pas aussi hostile que ce que lui dĂ©peint sa famille, en l’enfermant dans un mariage ou un foyer pour sa « protection » . Gold choisit alors de s’émanciper, Ă  ses risques et pĂ©rils, car s’éloigner de son mari ou de sa famille, c’est prendre le risque de devenir une paria. « Si vous traitez le travail comme une vocation et non comme un simple dĂ©tour sur la route du mariage, vous devez continuellement fournir des preuves que vous ĂȘtes une femme dite “honorable” », ajoute l’économiste. Elle explique que la plupart des femmes restent donc chez elles, Ă  effectuer des tĂąches domestiques, un travail non rĂ©munĂ©rĂ© qui n’est pas reconnu comme tel : « La musique et les films sont un moyen d’échapper Ă  une vie confinĂ©e, oĂč aller chez le mĂ©decin, mĂȘme aprĂšs que votre mari vous a battue, nĂ©cessite sa permission. »
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Une femme indigÚne guarani de la communauté Tentaguasu du Chaco bolivien tissant avec des feuilles de palmier, décembre 2021.
Guatemala. Personnel du PAM Deborah Suc
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Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a appelé à amplifier la voix des femmes autochtones, essentielle à la réalisation d'un avenir juste pour tous les peuples. 
Il a lancé cet appel dans un message à l'occasion de la Journée internationale des populations autochtones, célébrée chaque année le 9 août. 
Cette année, l'accent est mis sur le rÎle des femmes autochtones dans la préservation et la transmission des connaissances traditionnelles. 
« Les femmes autochtones sont les gardiennes des connaissances sur les systÚmes alimentaires et les médicaments traditionnels. Elles sont les championnes des langues et des cultures indigÚnes. Elles défendent l'environnement et les droits humains des peuples autochtones », a déclaré M. Guterres. 
« Pour construire un avenir équitable et durable qui ne laisse personne de cÎté, nous devons amplifier la voix des femmes autochtones ». 
Le savoir traditionnel autochtone peut offrir des solutions Ă  de nombreux dĂ©fis mondiaux communs, a dĂ©clarĂ© le chef de l'ONU, rappelant sa rĂ©cente visite au Suriname, oĂč il a appris comment les communautĂ©s protĂšgent la forĂȘt tropicale et sa riche biodiversitĂ©. 
M. Guterres a exhortĂ© les pays Ă  mettre en Ɠuvre la DĂ©claration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, qui a fait date, et Ă  promouvoir les connaissances traditionnelles autochtones pour le bĂ©nĂ©fice de tous. 
À l'occasion de la JournĂ©e internationale, le Programme alimentaire mondial ( PAM ) a mis en avant les contributions de certains de ses employĂ©s issus de communautĂ©s autochtones. 
Deborah Suc, agronome au Guatemala, est la premiÚre femme issue du groupe ethnique Poqomchi à obtenir un diplÎme universitaire. 
Elle travaille comme technicienne de terrain du PAM dans la municipalité de San Cristóbal, qui se trouve dans le département d'Alta Verapaz, dans le centre-nord du Guatemala.  
Elle soutient la mise en Ɠuvre d'activitĂ©s de rĂ©silience dans les communautĂ©s indigĂšnes Poqomchi et Q'eqchi' en vue de rĂ©duire la pauvretĂ© et la faim. Son travail consiste Ă  animer des ateliers, Ă  diriger des rĂ©unions ou Ă  rendre visite aux familles Ă  leur domicile. 
« Lorsque les femmes me voient conduire la voiture et que je sors habillĂ© de mon costume, elles sont surprises et disent : « Nous savions que vous parliez poqomchĂ­, mais nous ne savions pas que vous Ă©tiez l'une des nĂŽtres. Je leur dis que nous sommes les mĂȘmes et que nous pouvons tous faire des choses diffĂ©rentes ». 
La façon dont Mme Suc est traitĂ©e Ă  San CristĂłbal est Ă  des annĂ©es-lumiĂšre de son expĂ©rience Ă  l'universitĂ©, oĂč certaines personnes faisaient des blagues grossiĂšres Ă  ses dĂ©pens. 
Malheureusement, la discrimination n'a pas pris fin lorsqu'elle a obtenu son diplÎme de maßtrise. 
« Lorsque je me rends Ă  certains endroits avec mon costume, on me dĂ©visage avec des expressions mĂ©prisantes. À une occasion, alors que j'attendais de commencer un atelier dans une institution gouvernementale liĂ©e Ă  l'Ă©ducation, une personne s'est approchĂ©e de moi pour me remettre la vaisselle sale parce qu'elle pensait que j'Ă©tais la personne chargĂ©e du nettoyage. Il a Ă©tĂ© trĂšs surpris lorsqu'il a appris que j'allais animer l'atelier », se souvient-elle. 
« Avant, j'Ă©tais trĂšs affectĂ©e par la façon dont ils me voyaient, mais maintenant je ne prends pas le temps d'y prĂȘter attention parce que je me sens trĂšs fiĂšre de qui je suis, de la maman et du papa que j'ai, de la personne que je suis maintenant ». 
Mme Suc avait toujours travaillĂ© en dehors de sa municipalitĂ©, mais maintenant qu'elle est revenue Ă  San CristĂłbal, elle dit que « c'est une satisfaction de travailler pour mon peuple ». Elle est Ă©galement fiĂšre d'ĂȘtre une source d'inspiration pour sa communautĂ©. 
« Rien ne me rend plus heureuse que de savoir que je peux inspirer d'autres personnes et leur dire : "Regardez, si nous n'avons pas eu la chance d'étudier, maintenant, avec ces formations, vous allez avoir d'autres compétences, vous allez apprendre d'autres choses », a-t-elle déclaré. 
A l'occasion de la Journée internationale, Mme Suc souhaiterait que ses collÚgues sachent que les peuples indigÚnes ont des principes et des valeurs, et qu'ils ont un grand respect pour la nature, ce qui signifie à son tour le respect des personnes.
« J'aimerais qu'ils apprennent que nous plaçons beaucoup de valeur dans la parole donnée, que nous possédons de nombreuses valeurs culturelles et que nous sommes des gens qui aiment aller de l'avant », a-t-elle indiqué. 
« Beaucoup de clichés négatifs sur les peuples autochtones sont faux. Le fait est que durant longtemps, nous avons été dépourvus d'opportunités. Mais une fois que nous nous en sommes procurés, nous avons été capables d'accomplir beaucoup de choses », a-t-elle ajouté.
Un expert indĂ©pendant de l’ONU a saluĂ© ce lundi la dĂ©cision de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples d’accorder des rĂ©parations aux peuples autochtones Ogiek pour les prĂ©judices subis du fait d’injustices et de discriminations au Kenya.
Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH) a fait part de sa prĂ©occupation quant Ă  la disparition au BrĂ©sil, dans la rĂ©gion de l’Amazonie, du journaliste britannique Dom Phillips et du dĂ©fenseur des droits des autochtones Bruno AraĂșjo Pereira.

Les femmes de Beaumont-du-Périgord pendant la Révolution française






Pour ce mĂ©moire, soutenu Ă  l'universitĂ© de Bordeaux Montaigne, l'auteure a obtenu le prix 2013 de l’Association MmĂ©mosyne pour le dĂ©veloppement de l’histoire des femmes et du genre.









Sous-titre
Les femmes de Beaumont-du-Périgord pendant la Révolution française


Prix

Pour ce mĂ©moire, soutenu Ă  l'universitĂ© de Bordeaux Montaigne, l'auteure a obtenu le prix 2013 de l’Association MmĂ©mosyne pour le dĂ©veloppement de l’histoire des femmes et du genre.



Éditeur
Presses universitaires de Rennes





BISAC Classifications thématiques

HIS010000 HISTORY / Europe
HIS031000 HISTORY / Revolutionary





BIC Classifications thématiques

HBJ Regional & national history





Public visé

05 Enseignement supérieur





CLIL (Version 2013-2019 )

3388 Les temps Modernes (<1799)


Date de premiĂšre publication du titre
20 août 2015


Code Identifiant de classement sujet


     93 Classification thématique Thema: NHD



     94 Qualificateur de lieu Thema: 1D



     93 Classification thématique Thema: NHTV




Nb de pages

204 p. Bibliographie .



Nombre de pages de contenu principal 204

Mathias Bernard, Philippe Bourdin, Jean-Claude Caron


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Comment les femmes des campagnes ont-elles vĂ©cu la RĂ©volution française? Loin du Paris rĂ©volutionnaire, dans un bourg rural du PĂ©rigord, les Beaumontaises prennent la parole, pĂ©titionnent, s'organisent collectivement. À partir de fonds conservĂ©s aux Archives dĂ©partementales de la Dordogne, mais Ă©galement aux Archives nationales, Pauline Moszkowski-Ouargli a effectuĂ© un vĂ©ritable travail de mosaĂŻste. Elle explore la pĂ©nĂ©tration de la RĂ©volution française dans les territoires ruraux et comment la pratique de la langue française, la justice ou l'Ă©ducation devinrent alors des nouveaux enjeux quotidiens. Tout en remettant en cause la hiĂ©rarchie politique entre les sexes, les femmes de Beaumont-du-PĂ©rigord Ă©taient loin d’ĂȘtre unanimes, quant Ă  la politique religieuse rĂ©volutionnaire ou Ă  propos du droit de vote des femmes. Cette recherche permet, en personnifiant les citoyennes des champs, mal connues et marginalisĂ©es parce qu’éloignĂ©es des lieux de pouvoir, de mieux connaĂźtre l’engagement des femmes pendant la pĂ©riode rĂ©volutionnaire.


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