Les femmes de son age ne sont pas si chaudes

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Les femmes de son age ne sont pas si chaudes
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Publié le 06/01/2012 - Modifié le 01/01/2022
La satisfaction sexuelle des femmes augmenterait avec l'âge, annoncent des chercheurs américains. Parmi celles encore sexuellement actives, les deux-tiers connaîtraient l'orgasme quasiment à chaque fois.
La satisfaction sexuelle n'est pas liée à la fréquence des rapports. Plus les femmes prennent de l'âge et plus elles apprécient, tandis qu'elles pratiquent moins souvent. De quoi faire taire les laboratoires qui affirment que 45 % des femmes souffrent de troubles de la libido ? © Hugrakka, Flickr, cc by nd 2.0 
Certains laboratoires annoncent que la moitié des femmes souffrent de dysfonctionnements sexuels et pointent l'urgence de mettre au point un médicament pour stimuler la libido . Mais si l'on regarde du côté des femmes âgées, des chercheurs de l' université de Californie soutenus par le ministère américain des Anciens Combattants , montrent dans l' American Journal of Medicine qu'il n'y a pas de raisons de s'inquiéter du plaisir féminin après la ménopause .
En effet, sur la base d'un questionnaire, une cohorte de 806 femmes suivies depuis une quarantaine d'années aux États-Unis ont été testées sur leur sexualité , jusqu'aux détails très intimes. Ont ainsi été évalués la fréquence des rapports sexuels, la douleur durant ces rapports, la fréquence de l' orgasme , le désir sexuel , le niveau de satisfaction, en complément de quoi des informations concernant la lubrification des voies génitales ou l'utilisation d' hormones pour stimuler la libido ont également été compilées.
Avec une moyenne d'âge de 67 ans, 63 % de ces femmes sont aujourd'hui ménopausées. La moitié a eu un rapport intime dans les quatre semaines précédant le questionnaire. L'étude montre que 40 % des participantes n'ont jamais ou seulement très peu de désir sexuel, parmi lesquelles un tiers des femmes toujours actives sexuellement. Pour celles qui pratiquent encore régulièrement, elles sont 67 % à connaître l' orgasme à chaque fois ou presque. Cela concerne 47,5 % des dames du 4 e âge. En revanche, les femmes les plus jeunes sont celles qui ont le plus de désir, mais cela ne va pas forcément de pair avec le plaisir puisqu'elles sont les plus insatisfaites.
Le plaisir ne passe pas que par la sexualité. Des moments partagés comme un regard complice ou des gestes de tendresse contribuent à l'épanouissement des femmes. © Baptigrou, Flickr, cc by nc nd 2.0 
Cependant, la fréquence des rapports diminue avec le temps, et les femmes sexuellement actives ont une moyenne d'âge de 59 ans tandis qu'elle tourne autour de 75 ans pour les autres. Le désir n'est pas la seule raison du passage à l'acte. Des sujets ont évoqué vouloir maintenir l'harmonie du couple ou l'affirmation de soi.
Attention pour autant à ne pas faire trop de raccourcis. « Dans cette étude, l'activité sexuelle n'est pas toujours nécessaire à la satisfaction sexuelle » relate Susan Trompeter, première auteure de l'étude. « Les femmes qui ne sont plus actives sexuellement peuvent trouver leur plaisir par la masturbation », signifiant par là que le manque d'activité sexuelle ne correspond pas toujours avec la perte du plaisir.
De plus, il s'avère que la proximité émotionnelle et physique avec le partenaire peut surpasser l' orgasme , et qu'il ne faut donc pas forcément se focaliser sur la jouissance pour mesurer l'épanouissement de la vie sexuelle des femmes. Cependant, ce genre d'études, basé sur le déclaratif, est toujours à prendre avec des pincettes, surtout sur de tels sujets, car les personnes interrogées répondent ce qu'elles veulent. Et parfois même plein de bonne volonté, on ne dit pas tout à fait la vérité...
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Publié le 31/05/2012 - Modifié le 15/06/2020
Lorsque les femmes sont touchées par des hommes à des endroits aussi intimes que la joue et la poitrine, la température de la peau de leur visage augmente fortement, reflétant leur excitation sexuelle. Si de telles observations avaient été faites durant des changements d'états émotionnels, la majorité des participantes ont déclaré ne rien ressentir durant l'expérimentation. Le plus souvent donc, ce phénomène est inconscient.
La communication ne passe pas que par des mots. Les gestes, les expressions faciales accompagnent également notre langage. Mais pas seulement : des signes beaucoup moins perceptibles peuvent trahir nos émotions . C'est typiquement sur ces principes que fonctionnent les détecteurs de mensonges , même s'il n'y a pas que les contrevérités qui nous amènent à exprimer physiologiquement nos pensées.
Des études ont par exemple montré qu'en cas d'embarras ou d'intérêt sexuel, la température de la peau du visage pouvait augmenter de quelques dixièmes de degré en certains points. Un nouveau travail mené par des Britanniques de l' université de Saint-Andrews révèle que cela se passe aussi par un simple contact physique , quand des femmes sont touchées par des hommes, sans qu'elles ne ressentent aucune émotion particulière. Tous les détails figurent dans la revue Biology Letters .
Vingt-trois jeunes femmes, hétérosexuelles, ont constitué le panel de participants. À l'aide d'une caméra thermique , les scientifiques ont mesuré la température à la surface de la peau du visage de leurs volontaires, pendant qu'un expérimentateur, masculin ou féminin, venait leur toucher la paume, le coude (régions non intimes), le visage et le haut de la poitrine (régions plus intimes).
Cette image thermique reflète la température de la peau au niveau du visage d'une des participantes. Les yeux et la bouche sont les régions les plus chaudes (en orange), tandis que les cheveux et l'extrémité du nez sont des zones plus froides (en violet). © Perception Lab , université de Saint-Andrews 
En moyenne, le contact physique quel qu'il soit fait monter la chaleur de 0,1 °C. Cela ne traduit pas cependant la forte disparité constatée. Si toucher le bras ou la paume n'induit pas ou très peu de changement, un contact avec les zones plus intimes augmente la température de 0,4 °C. Lorsque l'expérimentateur était un homme , l'amplitude thermique devenait jusqu'à trois fois plus importante, d'autant plus s'il était jeune.
Lors d'une analyse plus fine des régions qui se réchauffaient, les chercheurs ont identifié trois zones représentant bien l'évolution de la température faciale, à savoir le pourtour des orbites oculaires , la bouche et le nez . 
Suite à cette petite expérimentation, les femmes ont été interrogées sur un éventuel changement de leur état émotionnel durant la manipulation. Les trois quarts d'entre elles déclarent ne rien avoir ressenti. Cette donnée suggère donc que ce phénomène est le plus souvent inconscient.
Pour les auteurs, l'effet des hommes sur ces femmes hétérosexuelles reflète leur excitation sexuelle , même si celle-ci n'est pas consciemment ressentie. Ils s'interrogent aussi sur l'intérêt de ces manifestations. Aucun élément ne leur permet de préciser si ces changements thermiques sont perceptibles par les autres. Si un travail venait à le montrer, on pourrait alors considérer ce processus comme contribuant à la communication non verbale.
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Non, la sexualité ne prend pas sa retraite à 62 ans. Tabou et intimité sont encore très liés lorsque l'on évoque la vieillesse. Enquête au coeur des voies charnelles, passé la soixantaine.
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"Il n'y a pas d'âge pour le désir amoureux, pour la joie érotique et l'intimité charnelle. Il suffit de laisser faire les coeurs et les corps qui savent faire l'amour. Mais si l'on cherche à retrouver ce que l'on a connu plus jeune, alors on est perdu", déclare la psychologue clinicienne Marie de Hennezel en préambule de son livre L'Âge, le désir & l'amour*. La sexualité n'a pas d'âge, on ne le répétera sans doute jamais assez. Pourtant, l'intimité après 60 ans reste ancrée dans le domaine du secret et même du tabou. Comme si elle devait, elle aussi, prendre sa retraite. Il flotte dans l'imaginaire collectif une odeur d'interdit autour de la jouissance de nos aînés : l'impensable vie sexuelle de nos parents et grands-parents. Mais ne serait-il pas réducteur -et triste- de croire que la jeunesse possède le monopole du désir ? Cette sexualité, peu évoquée, fait l'objet de rares enquêtes. Parmi elles, une étude britannique datant de 2015, publiée dans le journal "Archives of Sexual Behavior". Celle-ci révélait que 54 % des hommes et 31 % des femmes de plus de 70 ans avaient encore une activité sexuelle. Des chiffres parlants, qui nous poussent à nous intéresser de plus près à ce thème dont nos regards se détournent trop souvent.
Il semblerait que plus les années passent, plus les femmes s'abandonnent à leur plaisir : "La femme mûre se donnerait plus profondément, ouvrirait son corps et son être plus intensément", écrit Marie de Hennezel. Bien sûr, il serait naïf de penser que l'amour se pratique de la même façon à 20 ans qu'à 70. Cette génération, ayant connu la "révolution sexuelle", rencontre indéniablement certains freins dû à l'âge. L'image du corps, le changement de son enveloppe extérieure mais aussi de son fonctionnement intérieur, peut rendre l'abandon de soi impossible. Car si la vieillesse ne tarie pas l'envie de se donner, il lui arrive de laisser son empreinte ailleurs : dans l'estime, dans les croyances. "Le tabou sur la sexualité est levé depuis quarante ans, et pourtant la majorité des sexagénaires sont encore emboîtées, sans le savoir dans la sexualité des femmes de leur famille", analyse la psychologue. Emboîtées dans des interdits liés à l'éducation, à la religion, et plus largement à la société. S'ajoute à cela, l'amour propre qui s'amenuise avec le passage du temps sur le corps. "Tant de femmes manquent d'estime de soi, guettent dans le miroir les transformation de leur visage (...) Il y a cette petite voix intérieure qui juge que l'on n'est plus désirable", souligne Marie de Hennezel. Outre les barrières mentales et morales, des obstacles physiques apparaissent également. Sécheresse vaginale due à la ménopause , baisse de libido , problèmes urinaires, trouble érectile , douleurs lors des relations... Si ces manifestations peuvent sonner le glas des rapports physiques, rien n'est cependant irréversible pour celles et ceux qui désirent conserver et optimiser leur vie sexuelle. "Longtemps, il fut bon ton de croire que les troubles de l'amour participaient de la fatalité. Aujourd'hui, après soixante ans, les moyens pour se réparer existent. La jouissance peut être à portée de traitements, mais aussi d'une prise en charge de soi" rassure Roselyne Madelénat, auteure du livre Osez... l'amour après 60 ans**. Par la force des choses, la sexualité change avec le temps. Elle ne devient ni médiocre ni ennuyeuse, elle trouve tout simplement d'autres voies.
L'enquête menée par Marie de Hennezel l'atteste : les rapports des seniors deviennent plus sensuels, plus tendres, plus lents. La quête de la performance au lit n'est plus, balayant ainsi toutes les injonctions à l'orgasme, à la durée, à la taille du sexe... "Ils ont découvert d'ailleurs qu'en laissant faire leur corps, en cessant d'être obnubilés par l'érection, ou la quête d'un point culminant à leur plaisir, ils deviennent beaucoup plus présents à la rencontre intime avec l'autre", écrit l'auteure et psychologue. La sexualité est alors appréhendée comme un véritable voyage des sens, où caresses, massages et pleine conscience sont rois. "C'est des caresses, de la tendresse, des baisers", confiait un couple de sexagénaires au journal du 20h de France 2, en 2012. Ces amoureux, rencontrés en maison de retraite, avouaient toutefois ne pas faire "véritablement" l'amour, notamment à cause de l'étroitesse des lits et la peur d'être surpris par le personnel. En 2016, une étude américaine menée par le professeur de sociologie, Hui Liu, démontrait que le risque d'accident cardio-vasculaire augmentait chez les hommes âgés ayant une vie sexuelle. Le stress (difficulté à avoir une érection et à atteindre l'orgasme) et les efforts physiques seraient notamment coupables des potentielles crises cardiaques. Au vu de cette étude, le slow sex apparaît comme une façon plus adaptée de vivre l'amour.
En maison de retraite, la question de la sexualité est largement étudiée par les professionnels de santé. "Il s'agit de lieu vie, il s'agit de leur domicile, la sexualité y est bien sûr autorisée et présente", souligne Sabrina Blot-Leroy, directrice des Sciences Humaines et Sociales et psychologue clinicienne chez Adef Résidences***. Chambres de couple et lits doubles médicalisés sont d'ailleurs proposés à la demande des personnes résidant en maison de retraite. Si la sexualité existe en établissement spécialisé, le grand âge et la maladie poussent les professionnels de santé à appréhender la vie intime "au cas par cas et en fonction des pathologies", explique Sabrina Blot-Leroy. Pour la spécialiste, deux grands types de pathologies peuvent influer sur la sexualité. Celles qui ont un impact sur le corps, comme l'incapacité d'utiliser ses jambes par exemple, et les pathologies neuro-dégénératives : difficultés de reconnaissance (une femme qui croit reconnaître son mari alors que ça ne l'est pas) et difficultés au niveau du consentement . Ce dernier point est d'ailleurs au coeur des préoccupations des personnels de santé, comme chez Adef Résidences. Les troubles de la parole viennent notamment complexifier cette notion de consentement : ne pas trouver les bons mots pour s'exprimer, ne pas avoir une parole en cohérence avec sa pensée... "C'est problématique pour l'entourage et pour le personnel de définir si la personne est consentante ou si elle ne l'est pas", constate Sabrina Blot-Leroy. Analyser la volonté réelle d'une personne souffrant de pathologies neuro-dégénératives nécessite une observation et une connaissance précise des résidents
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