Les esclaves de mon donjon

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BC Classic : Les Enclos aux esclaves, Donjon


BC Classic : Les Enclos aux esclaves, Donjon



Publié
26 avr 2021


Par
Laerezh


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Le site Millenium.org est édité par Webedia. (C)2010 MGG. Tous droits réservés


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Les Enclos aux esclaves sont l'une des instances de Burning Crusade Classic. Afin de mieux appréhender cette instance nous vous guidons du premier au dernier boss. Au programme : boss, loots, quêtes et même quelques astuces pour vaincre les boss.

Les Enclos aux esclaves sont l'un des donjons de Burning Crusade Classic . Il est possible d'y accéder à partir du niveau 59. L'entrée se situe dans la partie Ouest du Réservoir de Glissecroc dont l'entrée se trouve au Marécage de Zangar , en Outreterre .
Important : Pour accéder au Mode Héroïque,il vous faut être de niveau 70 et posséder la Clé du réservoir accessible aux joueurs ayant atteint le niveau de réputation Révéré(e) auprès de l' Expédition cénarienne .
Mennu est extrêmement faible, ses compétences principales sont des totems qu'il invoque très régulièrement et que vous devez détruire le plus vite possible.
Gardien guérisseur : Soigne Mennu
Totem de poigne de terre souillé : Applique Sarments aux joueurs proches
Totem de peau de pierre souillé : Réduit les dégâts subis par Mennu
Totem Nova de feu corrompu : Explose au bout de 15s et inflige de lourds dégâts aux joueurs à moins de 10 mètres
En Mode Héroïque, le Totem Nova de feu corrompu explose après 15 secondes ou lorsqu'il est détruit. L'objectif étant que tous les joueurs se trouvent à plus de 10 mètres de celui-ci quand il expire ou est détruit.
Rokmar applique Blessures graves au Tank ce qui lui inflige un saignement qui perdure tant que sa barre de points de vie n'est pas au maximum. Le Soigneur doit s'assurer de l'annuler dès que possible en soignant rapidement et fortement le Tank. La Forme de pierre retire cet effet, au même titre que le Bouclier divin par exemple.
Les casters et le Soigneur doivent se placer à plus de 30 mètres du boss pour éviter sa Mousse piégeuse qui ralentit largement la vitesse d'incantation.
Périodiquement, le boss lance son Crachat des eaux sur tous les joueurs à moins de 40 mètres. Il est rare que ce sort puisse être esquivé mais il inflige peu de dégâts globalement.
En Mode Héroïque, Rokmar est pris de Frénésie lorsqu'il passe sous la barre des 20% de points de vie.
Bourbierreux est relativement simple à vaincre à condition que la stratégie soit respectée.
Le Tank doit attirer le boss hors de l'eau et le placer de sorte à ce qu'il soit dos au reste du groupe afin qu'il soit le seul à subir ses Enchaînements .
Périodiquement, Bourbierreux canalise une Pluie d'acide en ciblant un joueur. Celui-ci doit alors s'isoler loin des autres joueurs puisque cette technique touche tous les joueurs à proximité de la cible du boss.
Finalement, l'effet de Poison appliqué aux joueurs touchés par la Salve d'éclairs de poison peut être dissipé.
La stratégie est identique en Mode Héroïque.
Chef des portails WoW Shadowlands, WoW Classic, Burning Crusade Classic et Lost Ark. J'aime tous les MMO, sauf ceux que je n'ai pas cités dans cette signature.

(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)

Dès le premier jour des vacances, je reçois un sms me disant que tout va bien, nous avions pris la précaution de « coder » les sms, qui devaient être précédés d'un +. Le code figure donc je suis un peu rassuré, le suivant également ainsi que le dernier à la fin de leur séjour. À peine rentrés , Tony et Yann me téléphonent en me disant qu'ils sont rentrés, ça été très dur, et on se donne un rendez-vous , pour le samedi suivant... ils me raconteront leur aventure. C'est donc leur récit que je vous raconte :

Ils devaient prendre un train pour arriver à une petite gare, là quelqu'un les attendrait pour les conduire au lieu du stage en voiture. Ils devaient porter un jean usé et déchiré et un tee shirt blanc très moulants et des skets sans chaussette plus un sac à dos contenant un nécessaire de toilette, deux strings ou jock-straps et un fouet. Le gars qui les attendait leur a passé un masque et leur a menotté les mains dans le dos puis ils sont montés à l'arrière de la voiture. Ainsi ils ne pourraient pas reconnaître le chemin. Au bout de 20 à 30 minutes, la voiture stoppa, le chauffeur les fait descendre, leur enlève masque et menottes, ils sont arrivés. C'est une cour de ferme, isolée dans la campagne, apparemment bien aménagée et entourée de grands murs en pierre, la grille de la porte se referme.

Le chauffeur les conduit jusqu'à une porte du bâtiment et les fait s'installer dans un petit salon. Quelques minutes plus tard, le Maître des lieux arrive et leur souhaite la bienvenue. Grand, 35 ans environ, bien costaud , jean et tee shirt moulants laissant deviner une belle musculature. Il leur propose un verre, jus de fruit, et commence à parler du stage pour lequel ils se sont inscrits. Ce sera un stage très dur, de dressage d'esclaves, l'esclave par définition est obéissant, exécute les ordres du maître sans discussion, doit tout faire pour satisfaire le maître qui peut tout exiger, mais il doit aussi être très fort, endurant et pouvoir supporter les plus dures épreuves. C'est pas une lope passive, avilie, c'est au contraire un mec en forme mais totalement soumis au maître. Les esclaves s'entraînent physiquement chaque jour, sont bien nourris, et doivent se reposer suffisamment pour tenir toute la journée. Le moindre manquement est sévèrement puni, le fouet est utilisé à tous moments ainsi que différents supplices ou tortures auxquels l'esclave doit résister. Le maître leur donne leur « contrat » qu'ils doivent accepter, fixant les limites et les règles qui s'imposent aux esclaves (obéissance, respect, tenue, attitude etc...) ; ils sont libres jusque là de partir, après ils ne pourront plus faire marche arrière, sauf si ils décident d'arrêter définitivement, à tout moment au cours du stage. Dans ce cas, ils seront reconduits pour prendre le prochain train, après avoir subi une dernière épreuve d'une heure pendant laquelle ils seront fouettés sur toutes les parties du corps qui gardera les marques des zébrures pendant plusieurs jours, c'est le cadeau d'adieu... Le maître leur indique qu'ils ont environ une demi-heure pour réfléchir et signer leur contrat, jusqu'à l'arrivée de deux autres esclaves qui doivent rejoindre le stage. Le maître sortit de la pièce, les laissant seuls avec Jeff (le chauffeur qui est aussi « son homme de main »).

Après quelques hésitations et avoir relu le contrat dans ses détails, Tony et Yann signent le contrat et le remettent à Jeff. « c'est bien les mecs, vous avez des couilles... Ce sera dur pour vous mais vous serez fiers de votre performance dans 15 jours » ; un bruit de voiture et quelques minutes plus tard, deux mecs très balèzes, 25 ans environ, aussi en jean tee shirt moulants et déchirés entrent dans la pièce accompagnés d'un mec bien bâti aussi, en jean cuir et débardeur noir brillant, bien moulant et faisant ressortir des pecs impressionnants. Jeff fait les présentation :

— Pat, mon collègue, qui assistera le Maître pendant votre stage avec moi,
Arnaud et Phil qui seront stagiaires avec vous pendant ces 15 jours. Ils ont déjà fait 2 petits stages d'un Week-end ici et ont déjà signé leur contrat. Suivez nous tous les 4, on vous montre vos piaules, vous déposerez vos affaires de toilettes et nous irons au salon attendre le maître pour le début du stage.

Les chambres sont minuscules, très spartiates, juste un sommier et matelas recouvert d'un drap et une couverture, une minuscule fenêtre laisse passer un peu de jour et d'air frais. Jeff nous montre la salle de bain commune, 1 pomme de douche et un lavabo, un wc dans l'angle.
Nous déposons tous les 4 nos affaires de toilettes dans les chambres, Jeff nous demande nos portables.

— Je vous les rends dimanche prochain juste pour envoyer un message si vous voulez, puis on vous les redonne à la fin.

Ensuite nous nous dirigeons tous vers le salon, avec nos sacs à dos.
Jeff montre 4 petits tapis, à droite et à gauche de l'entrée

— Ce sont vos places ici pendant les repas du maître et de nous deux, petit déjeuner à 8h00, déjeuner à 13h00, dîner à 20h00 . Vous prendrez vos repas avant à la cuisine qui se trouve derrière le salon. Pendant notre repas vous serez à genoux sur ces tapis, mains dans le dos, sauf celui chargé du service, chacun à votre tour . Installez-vous maintenant ce sera votre place pour tout le stage, le maître va arriver.

Le maître arrive et s'installe dans un canapé devant une grande table basse et prend la parole immédiatement en présentant Jeff et Pat comme ses collaborateurs qui sont chargés d'encadrer le stage.

— Ils ont tout pouvoir sur vous dans la limite de mes directives, vous exécuterez ce qu'ils vous demandent de faire de manière identique aux ordres que je peux vous donner personnellement. Puis le maître appelle Tony.

— Viens te placer ici sur le tapis devant la table avec ton sac et reste debout. À partir de maintenant tu n'es plus Tony mais esclave numéro 1 ou numéro 1 tout court. Ton prénom ne doit plus être prononcé.Je vous avais demandé de venir en tee shirt moulant et en jean usé et déchiré, je constate que tu as respecté cette tenue, c'est bien. Tu vas te déshabiller, baskets, tee shirt et jean que tu plieras et poseras par terre à côté de toi.

Tony s'exécute et se retrouve en boxer, motif tigre, debout mains derrière le dos.

— Parfait... Sympa ton boxer, t'as l'air en forme à ce que je vois. Pat qu'est-ce que tu en penses ?

Pat s'approche de Tony, le palpe un peu partout y compris son « paquet » au travers du boxer.

— Bel esclave ,maître, c'est du solide...

— Voyons voir ses attributs, lance le maître.

Pat descend le boxer lentement laissant la bite de Tony apparaître en début érection, ses couilles bien gonflées et pendantes. Il lui masse un peu les couilles et la bite, ce qui a pour effet de parfaire son érection presque aussitôt, sa bite est maintenant bien raide et le gland décalotté.

— Bel engin... ça fait bien 17-18 cm, précise le maître. Tu as l'air d'être bien chaud esclave, il va falloir te contrôler. Un esclave ne doit bander que quand son maître lui demande. Tu te masturbes souvent ?

— Ce n'est pas une réponse, combien de fois par semaine ou par jour peut-être ?

— Deux, trois fois par semaine... des fois un peu plus...

— C'est mieux, fait attention la prochaine fois. Tu éjacules à chaque fois ?

— Non, mais quand même au moins une fois dans la semaine, ça dépend.

— Va falloir t'apprendre le respect esclave... Pat tu vas me faire jouir ce gourdin et lui vider un peu ses couilles qui me semblent un peu trop pleines.

Pat commence à branler la belle bite de Tony avec de lents mouvements de va-et-vient, sa bite gonfle à vue d’œil, Tony ne tarde pas à éjaculer un bon flot de sperme que Pat récupère in-extrémis dans un bol, puis un deuxième qui arrive rapidement.

Pat essuie les restes de sperme sur la bite de Tony avec un papier absorbant.

Pat fait se courber Tony et commence à le doigter.

— C'est bien serré tout ça, détends-toi, lui dit-il. Pas très ouvert, maître, en plus il est très musclé du cul.

— C'est vrai qu'il a un super cul, va falloir travailler ça... Tu as apporté des sous-vêtements, esclave ? Sors les et enfiles en un.

Tony ouvre son sac, sort un string en cuir souple, muni d'une fermeture zip et le met, puis se remet debout bien droit, mains derrière le dos. Pat s'approche de lui et descend lentement le zip, sa bite jailli hors du string légèrement bandée.

— Bon choix... Tu le porteras en journée pour les activités. Tu en as un 2ème ?

— Va vraiment falloir t'apprendre à répondre correctement. Jeff tu t'en occuperas après cette séance de présentation. Passe ton autre slibard, esclave.

Tony enfile alors le jock-strap en cuir qu'il avait apporté, muni d'une coque amovible à pressions et se replace en position.

— Tourne-toi un peu... bien, bon choix aussi, tu le porteras pendant les repas. Tu as amené un fouet ?

— Oui, maître et Tony sort un super beau fouet de 1,50 m environ de son sac. Pat examine l'engin, le fait claquer à vide.

— Bel objet, ça doit laisser de bonnes marques.

— T'as respecté le contrat, remballe tout ça et va te mettre à ta place.

Tony s'exécute et se remet à genoux sur le tapis près de l'entrée.

Le même scénario va se dérouler pour Yann, le maître appréciera sa belle musculature pour ses 17 ans ainsi que sa superbe bite de 20 cm environ. Pat fait remarquer au maître qu'il a de belles couilles mais qu'elles ne pendent pas beaucoup. Il a amené 2 jock-strap, un, un peu identique à celui de Tony, en cuir avec poche dégrafable et un de marque, très récent, lui dégageant bien les 2 lobes de ses fesses musclées. Il présente enfin un magnifique fouet de type « bullwhip » de 2,5 m.

Pour Arnaud et Phil, 2 beaux bodybuilders, les présentations seront un peu plus rapides, le maître les connaissant déjà. Ils n'ont apporté que des strings, dont un en cuir avec zip et un autre très « sexy » ne couvrant (et encore) que leur sexe, en tissu brillant très fin, quasi transparent. Arnaud a apporté un fouet à 5 lanières et Phil un fouet de type martinet avec une quinzaine de lanières fines mais assez longues.

Tous les 4 sont à nouveau à genoux de chaque côté de l'entrée et le maître leur fait part de plusieurs directives et termine par une annonce importante :

— Vous êtes ici des esclaves et vous ne devez jamais l'oublier dans votre comportement. Pour chaque manquement aux règles que vous devez suivre, c'est la punition et ici la punition est synonyme de « fouet ». Chaque journée débutera par une séance de fouet pour l'un d'entre vous afin de vous rappeler votre condition d'esclave. Après le petit déjeuner, vous vous rendrez au donjon dans le bâtiment en face. À l'entrée se trouve 2 jarres, l'une contient 4 petites plaquettes de bois avec l'inscription : esclave numéro 1 à 4... L'autre jarre est vide pour l'instant.
L'esclave de service tirera une plaquette dans la première jarre : c'est l'esclave désigné par la plaquette qui sera fouetté ce jour là. Puis il tirera une deuxième plaquette : c'est l'esclave qui sera chargé de fouetter son collègue. Le premier jour, donc demain, il n'y aura qu'une seule plaquette dans la seconde jarre, portant le nombre 10. A l'issue de la séance, chaque jour, on ajoutera des plaquettes. Le 2ème jour, 2 portant le nombre 20, le 3ème jour, 3 portant le nombre 30 et ainsi de suite jusqu'au 10ème jour de votre stage. L'esclave de service tirera donc également une plaquette dans la seconde jarre qui déterminera le nombre de coups de fouet à donner. L'esclave tiré pour donner le fouet utilisera le fouet qu'il a apporté. Il aura le choix d'attacher son collègue comme il l'entend pour le supplice, mais attention, les fouetteurs « trop complaisants » avec leur collègue seront punis très sévèrement, la séance sera arrêtée et reprise à 0 d'une part et le fouetteur défaillant subira le même supplice avec un nombre de coups fois deux. C'est le premier supplicié qui lui infligera la sentence.
Vous avez bien compris esclaves ?

— Bien maintenant suivez vos instructeurs au donjon. L'esclave numéro 1 a commis une faute tout à l'heure, il doit recevoir sa punition, ce sera un exemple pour tous les autres. Allez et ne traînez pas.

Nos 4 esclaves se retrouvent dans le donjon, toujours à genoux, mains dans le dos, sur 4 tapis portant leur numéro, contre les 2 murs latéraux, disposés de façon à ce qu'ils puissent « apprécier » le spectacle. Jeff ordonne à Tony (esclave numéro 1) de venir à genoux au centre de la pièce :
— Esclave tu as manqué de respect dans tes réponses au maître lors de la présentation. C'est inadmissible et tu dois être châtié pour cela. Comme c'est la première punition, je serai un peu moins sévère, tu seras fouetté avec cet instrument sur ton cul. Et Jeff lui montre un « leather strap », large lanière de cuir surmontée d'un manche, utilisée autrefois dans certaines prisons. Combien de coups je vai te donner pour ton manque de respect, esclave ?

— Ce n'est pas une réponse ça, quand on te pose une question, tu dois répondre. Tu auras droit à 10 coups supplémentaires pour cette mauvaise réponse. Alors combien mérites-tu pour ton manque de respect ?

— Esclave numéro 2 combien mérite-t-il ?

— Bien, il aura droit à 30 coups pour son manque de respect plus 10 coups pour son manque de réponse et encore 10 coups pour sa dernière réponse. Ça fera 50. Va te mettre devant ce chevalet esclave.

Tony se place devant le chevalet, Pat le bascule dessus et lui attache poignets et chevilles aux pieds de l'appareil. Il est complètement renversé sur le chevalet, tête en bas, cul en l'air, parfaitement offert à la lanière qui va le cingler.

— Un esclave ne doit pas gémir ou crier quand il reçoit une punition, il l'a méritée et doit se contenir. Ce sont les lopettes et les bâtards qui gueulent, pas les vrais esclaves... OK numéro 1 ? lui dit Jeff.

— Numéro 2 tu compteras les coups à haute voix.

La lanière claque son cul musclé qui se contracte sous l'effet de chaque coup, 10 coups déjà, Tony serre les dents et agrippe très fort les pieds du chevalet, son cul est déjà écarlate, 25... 26... 30 coups. Pat marque un temps d'arrêt, puis la lanière vient à nouveau claquer très fort le cul de Tony, 45... 49... 50. Il n'a pas émis le moindre son, mais il a le cul en feu. Pat le détache et il va rejoindre sa place.

— J'espère que tout le monde a bien compris la leçon, maintenant il est l'heure d'aller en cuisine où on vous expliquera le fonctionnement pour les repas de la journée. Allez et ne traînez pas.


Monsieur me passe ensuite une cagoule sur la tête; me voilà alors attachée et humiliée, dépersonnalisée, ou presque. La cagoule que je porte me cache les yeux, seule une ouverture à ma bouche me permet de respirer et donne également l’accès à mon Maître de cet orifice. Puis plus un bruit, le calme plat, je n’entends rien, je fait des tonnes de suppositions et me perds dans mon imaginaire, jusqu’au moment ou sans prév
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