Les ecolières obtiennent ce qu'elles veulent

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Les ecolières obtiennent ce qu'elles veulent
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January 2001 Revue de l OFCE 77(2):297-306
Do women get what they want, or accept what they are given ?
Society is man-made — but also woman-made. In the long term, social institutions are the product of people’s choices, rather than the cause of them. Two social revolutions in the last three decades have created even greater scope for genuine and free choices and wider opportunities for women. In this new scenario, illustrated most clearly by Britain, women choose between three very different combinations of paid work andfamily work.
Content uploaded by Catherine Hakim
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Depuis quelques années, le nombre des emplois féminins à temps partiel en
France s’est multiplié mais c’est un temps partiel long de quatre jours sur cinq et
non un temps partiel court, ou très court comme les Anglaises, les Allemandes ou
les Néerlandaises. La femme française a toujours eu une position plus indépendante,
plus politique que ses consœurs européennes. Ce qui pourrait s’expliquer par la force
de la vie politique locale. Après tout, les femmes ont été décisives dans les journées
révolutionnaires. Ce qui expliquerait aussi que les mouvements féministes n’avaient
jamais connu en France l’ampleur et les excès qu’ils ont manifesté dans les pays à
dominante protestante. La mère anglaise poursuit ses habitudes traditionnelles de la
classe ouvrière : travailler jusqu’à la première naissance puis cesser de travailler ou
travailler à très faible temps, pour reprendre un temps complet lorsque les enfants
sont élevés. Le choix difficile entre famille et emploi, qui se pose à toutes les femmes
en Europe, trouve des solutions variées en fonction des mœurs coutumières et des
systèmes de valeurs de chaque pays, et même de chaque région.
a perspective d’élargissement de l’Union européenne (UE) a
suscité un regain d’intérêt pour les études comparatives ainsi que
pour les classements des pays de l’UE . Les études comparatives
sur la vie professionnelle et familiale des femmes offrent un écheveau
de contradictions , qui ne facilite ni les explications ni les classements.
Sans compter que les stéréotypes nationaux sur les femmes et l’emploi
féminin ont la vie dure , alors même qu’ils ont été depuis longtemps
remis en cause par les statistiques de l’enquête sur la main-d’œuvre
européenne (The European Labour Force Survey) . Ainsi, les sociologues
français mettent volontiers l’accent sur les taux d’activité élevés des
femmes françaises, ce qui témoigne à leurs yeux du fort attachement
des femmes françaises pour le travail. En réalité , les taux d’activité des
femmes en âge de travailler (15-64 ans dans les rapports de l’Union
européenne) sont presque identiques pour la France , l’Allemagne et la
Grande-Bretagne . Malgré les différences considérables entre ces trois
LES FEMMES OBTIENNENT-ELLES CE QU’ELLES
VEULENT OU SE CONTENTENT-ELLES DE CE
* Article traduit par Olivier Ragasol
pays en termes de politique de l’emploi , de politique sociale et de
protection sociale , les taux d’activité des femmes sont très voisins :
53 %, 54 % et 63 % respectivement . Si la Grande-Bretagne vient
légèrement en tête , c’est du fait de l’importance du travail à temps
partiel , qui a affiché une progression soutenue dans la deuxième moitié
du XX e siècle (Blossfeld et Hakim , 1997). Lorsque les taux d’activité
sont convertis en équivalent temps plein 1 , afin de tenir compte de la
part relative du travail à temps partiel , la similarité entre ces trois pays
apparaît plus nette encore . En 1995, les taux d’activité en équivalent
temps plein pour les femmes d’âge actif étaient de 45 % en France , de
45 % en Allemagne et de 49 % en Grande-Bretagne (Hakim , 1998) . Pour
1997, ces taux sont très proches : 48 % en Grande-Bretagne , 46 % en
Allemagne et 43 % en France (Hakim 2000, tableau 3.3).
Au sein de l’UE , tout au long des années 1990, les taux d’activité
les plus élevés pour les femmes en âge de travailler s’observaient en
Suède, au Danemark , en Finlande, en Autriche et au Portugal (Hakim,
1998 ; Hakim, 2000). Hormis les trois pays nordiques , ces États ne sont
guère comparables quant aux caractéristiques du marché du travail, aux
politiques sociales, aux structures industrielles et à l’influence évidente
du féminisme sur les institutions sociales . Pour résoudre ce problème,
l’une des solutions consiste à mettre en doute la pertinence des
mesures du marché du travail dans l’étude de la structure de l’emploi
féminin, sachant que de telles mesures ont été mises au point par et
pour des hommes. Plusieurs universitaires ont émis une telle hypothèse
et proposé de mettre au point des indicateurs mieux adaptés (Hakim,
1993 ; Jonung et Persson, 1993 ; Pott - Buter, 1993 ; Hakim, 2000). La
deuxième solution est de conclure que le modèle « sociétal » retenu
couramment pour analyser l’emploi féminin repose plus souvent sur
des stéréotypes nationaux que sur les faits mis en évidence par l’ELFS
et d’autres enquêtes, ou sur les données de la recherche en sciences
Les études comparatives sur plusieurs pays concluent souvent que
les facteurs sociétaux permettent seuls d’expliquer les différences entre
pays. T outefois, les études transversales ne font généralement apparaître
que des corrélations et des associations, la nature des liens de cause
à effet étant davantage supposée que prouvée . Ce type d’études tentent
rarement de distinguer entre la cause et l’effet , de démontrer que ce
sont les politiques nationales qui façonnent l’emploi féminin dans tel ou
Il est également plausible (et à plus forte raison dans une
démocratie) que les individus créent la société qu’ils veulent . Plus spéci -
fiquement , les femmes imposent les politiques sociales qu’elles veulent,
et feront la grève des naissances si les responsables politiques ne
1. Les taux d’activité en équivalent temps plein considèrent deux emplois à mi-temps comme
équivalant à un seul emploi à temps plein.
satisfont pas leurs attentes à long terme . Dans chaque pays , l’environ -
nement institutionnel, souvent perçu comme étant la « cause » de la
structure de l’emploi féminin, est en fait l’aboutissement d’un long
processus historique au cours duquel les hommes et les femmes se
sont battus pour obtenir le type de société qu’ils voulaient . Force est
de reconnaître que les hommes réalisent en général leurs objectifs plus
facilement que les femmes . T outefois les structures sociales, à l’instar
des politiques sociales , loin d’être le résultat d’accidents historiques ou
d’autres contigences , naissent aussi bien des demandes des femmes que
de celles des hommes. Dans la pratique , les femmes obtiennent ce
qu’elles veulent , au même titre que les hommes . Dans les riches sociétés
modernes du XXI e siècle, les femmes ont plus de chances d’obtenir
exactement ce qu’elles veulent qu’à aucune autre période antérieure
Les pays européens ont beau différer considérablement par leur
histoire et leurs institutions sociales, ils n’en présentent pas moins des
structures analogues en ce qui concerne l’emploi féminin. La France est
un cas d’espèce en Europe , les femmes ayant participé activement à la
Révolution française au côté des hommes. Il en est résulté la création
, qui assurent l’éducation et la socialisation des
enfants hors de la famille dès le plus jeune âge (Plaisance, 1986). Le
système d’enseignement français a reçu pour mission de dispenser une
éducation laïque , collective et civique à tous les jeunes Français , à l’écart
de toute influence religieuse ou familiale. Autre résultat important,
« l’empêchement au mariage » — à la fois coutume sociale et obligation
légale pour les femmes de quitter leur emploi au moment de leur
mariage (Hakim, 1996) — n’a jamais été adopté en France , contrai -
rement à ce qui s’est passé en Grande-Bretagne , aux Pays-Bas et dans
de nombreux autres pays d’Europe occidentale . D’où une longue
tradition de travail à plein temps parmi les femmes mariées françaises.
Le travail à temps partiel , apparu plus récemment , fait encore l’objet
d’une résistance de la part des syndicalistes femmes et des spécialistes
des sciences sociales . Cependant, il ressort des statistiques que la
plupart des femmes qui travaillent à temps partiel le font volontai -
rement , en France comme ailleurs (OCDE , 1999).
Ni la Grande-Bretagne, ni l’Allemagne, ni les Pays-Bas , n’ont connu
de révolution sociale comparable . L ’absence de services de garde
d’enfants dans ces pays (et dans d’autres) tient avant tout au fait que,
jusqu’à une date récente , les femmes ne les ont pas réclamés . Des
enquêtes menées en Grande-Bretagne ont montré à plusieurs reprises
que les femmes préféraient s’occuper de leurs enfants elles-mêmes, ou
LES FEMMES OBTIENNENT-ELLES CE QU’ELLES VEULENT… ?
les faire garder par d’autres membres de la famille , et non par des
personnes extérieures. T ant qu’elles ont des enfants à la maison , la
décision des femmes de travailler ou non dépend surtout de ces choix
en matière de garde des enfants, et c’est seulement en second lieu
qu’elles font intervenir des considérations pratiques (Thomson, 1995).
L’International Social Survey Program (ISSP) a réalisé plusieurs enquêtes
en Europe qui ont révélé, tant chez les hommes que chez les femmes,
un attachement à la garde familiale des enfants , ainsi qu’une importante
acceptation de la division sexuelle du travail dans la famille . La situation
a pourtant beaucoup évolué ces dernières années . De moins en moins
bien acceptée , la séparation des rôles entre maris et femmes ne revêt
plus un caractère rigide . Néanmoins , la plupart des adultes d’Europe
occidentale restent attachés à un certain degré de spécialisation dans
la famille , à titre de choix personnel. Ce qui signifie que, dans la plupart
des ménages , le mari reste le premier apporteur de revenu (Hakim,
2000) . S’il se produit parfois un renversement des rôles , celui-ci ne
concerne que très peu de couples et est souvent provisoire . Etant
donné ces valeurs et ces préférences , les emplois à temps partiels sont
particulièrement appréciés des femmes aux Pays-Bas, en Grande-
Bretagne et en Allemagne , ainsi que dans d’autres pays où ils ont été
Dans la mesure où il est relativement déréglementé, le marché du
travail en Grande-Bretagne a permis le développement du travail à
temps partiel à partir des années 1950 . Il s’agissait, et il s’agit encore
aujourd’hui , de répondre à la demande de tels emplois de la part des
femmes mariées , qui dans leur grande majorité se considèrent comme
le deuxième apporteur de revenu, contribuant au budget familial par un
appoint, mais dont le principal travail est d’élever leurs enfants. Avec la
baisse de la fécondité et l’allongement de l’espérance de vie, les femmes
disposent de davantage de temps libre . Mais le taux de travail à plein
temps chez les femmes britanniques n’a guère progressé avant la fin du
XX e siècle (Hakim, 1996) . En Grande-Bretagne , entre 1850 (peut-être
même avant) et aujourd’hui, un tiers des femmes d’âge actif travaillaient
à plein temps. En 1998 , ce taux n’était que de 38 %, contre 42 % en
1851 (Hakim, 1996, tableau 3.1) . La relative déréglementation du marché
du travail britannique a produit la nouvelle catégorie d’emplois, à temps
partiel , pour les deuxièmes apporteurs de revenu — des emplois
toujours adaptés au rôle primordial qu’exercent la plupart des femmes
au sein de la famille . D’autres pays de l’UE reconnaissent désormais la
nécessité de modifier le code du travail pour favoriser l’émergence
d’une nouvelle catégorie d’actifs, les deuxièmes apporteurs de revenu,
parallèlement aux actifs classiques. Aux Pays-Bas, la ligne de partage
entre ces deux catégories de salariés est de plus en plus ténue , et
chacun est encouragé à choisir librement son temps de travail à diffé -
rentes étapes de sa vie professionnelle (Wierink , 2000).
A mon sens , le travail à temps partiel devrait se développer
également en France, pour atteindre un taux voisin de celui de la
Grande-Bretagne, avec à terme une même polarisation de l’emploi
féminin entre des femmes axées sur leur carrière , travaillant à plein
temps et de façon continue, et des femmes axées sur leur famille,
travaillant à temps partiel et de manière discontinue (Hakim , 1996). On
voit déjà se dessiner en France une telle polarisation , entre les femmes
ayant un emploi et celles sans emploi . Près de la moitié des Françaises
en âge de travailler ne se présentent pas sur le marché du travail , la
plupart définitivement . La Grande-Bretagne, en revanche, compte une
forte proportion de femmes qui tout au long de leur vie profession -
nelle se présentent sur le marché du travail par intermittences , occupant
des emplois à temps partiel et temporaires qu’elles quittent au gré des
circonstances familiales . Ces femmes se considèrent comme deuxièmes
apporteurs de revenu , et elles font généralement une distinction impor -
tante entre avoir un emploi et faire carrière, une distinction qui n’est
pas toujours claire en France 2 . Pour l’instant , cette distinction n’est
guère prise en compte dans la plupart des théories et des analyses
J’ai élaboré la théorie des préférences (Hakim , 1999 , 2000) pour
rendre compte spécifiquement des diverses structures de l’emploi
féminin en Grande-Bretagne et dans les pays d’Europe occidentale . Les
variations au sein de chaque pays sont d’ordinaire aussi importantes
que celles entre les pays , et elles ne sauraient s’expliquer par des
facteurs sociétaux ou par des théories centrées sur les classes sociales.
La Commission européenne table sur une convergence des pays de l’UE
vers une structure uniforme d’emploi féminin , ainsi que vers un modèle
familial dominant . Or de telles prévisions ne tiennent pas face aux
données de la recherche . Il nous faut une théorie nouvelle pour
comprendre l’hétérogénéité croissante de l’emploi féminin dans les
sociétés modernes , dans les modèles familiaux et la distribution des
rôles familiaux entre hommes et femmes. La théorie des préférences
prend en compte l’évolution historique , elle repose sur une démarche
pluridisciplinaire et empirique, elle est prédictive plus que rétrospective,
et elle peut s’appliquer à toutes les sociétés d’abondance modernes.
Conçue explicitement en référence aux femmes, elle évite l’
LES FEMMES OBTIENNENT-ELLES CE QU’ELLES VEULENT… ?
2. Une carrière est un engagement à long terme dans une branche professionnelle spéci -
fique, suppose généralement un travail à plein temps continu, et comprend souvent des périodes
de formation continue ou de perfectionnement, ayant pour but de permettre une promotion
éventuelle. En revanche, un emploi peut être occupé à temps partiel ou pour une courte durée,
sans aucun engagement à long terme, que ce soit vis-à-vis de l’employeur ou de la profession/du
masculin inhérent aux théories économiques et sociologiques actuelles.
La théorie des préférences s’intéresse essentiellement au choix des
femmes entre le travail à la maison et le travail à l’extérieur , un véritable
choix dans nos sociétés au XXI e siècle.
Cinq changements historiques sont à l’origine d’un nouveau
« scénario » pour les femmes, leur donnant des possibilités qu’elles
n’avaient pas auparavant . Les deux plus importants sont la révolution
de la contraception et celle de l’égalité des chances . A partir de 1965,
environ, la contraception a donné aux femmes , pour la première fois
dans l’histoire, une réelle maîtrise de leur fécondité. Autre première
historique , l’égalité des chances a permis aux femmes d’accéder au
même titre que les hommes à tous les emplois , professions et carrières
sur le marché du travail . En Grande-Bretagne , ces deux révolutions se
sont produites assez tôt, respectivement au milieu des années 1960 et
au début des années 1970 ; dans certains pays européens , elles ont
débuté soit plus tard, soit plus tôt . Le nouveau scénario pour les femmes
ne se met pas en place partout en même temps , et certains politiques
Ces deux révolutions , auxquelles viennent s’ajouter d’autres change -
ments importants concernant le marché du travail et les normes
sociales , donnent aux femmes la possibilité de faire de véritables choix
quant à leur vie familiale et professionnelle. Elles sont à l’origine de
trois modèles familiaux bien distincts (voir tableaux 1 et 2) , tous
largement adoptés tant en Grande-Bretagne que dans d’autres pays
Dans le nouveau scénario, les préférences des femmes touchant leur
vie privée et leur vie professionnelle deviennent plus importantes
qu’elles ne l’étaient par le passé — en un temps où la nécessité écono -
mique était le principal ressort des décisions ayant trait à l’emploi , et
où les taux de fécondité étaient étroitement liés à la prospérité ou à
la pauvreté relatives . La théorie des préférences cadre par conséquent
avec les idées de plusieurs autres théoriciens des sciences sociales, pour
qui les valeurs culturelles et l’expression individuelle deviennent des
variables de plus en plus importantes lorsqu’il s’agit d’expliquer les
comportements sociaux et économiques.
La théorie des préférences permet d’expliquer les tendances
actuelles en Grande-Bretagne et aux États-Unis. Des recherches menées
dans d’autres pays (Europe) montrent qu’elle s’y applique sans doute
également. En particulie r, elle met en lumière les différences frappantes
en matière d’emploi féminin entre les différentes classes sociales britan -
niques . Ainsi, l’analyse sociétale des différentes structures d’emploi
féminin ne parvient pas à rendre compte des importantes différences
existant entre les femmes noires et les femmes blanches en Grande-
Qu’elles soient noires ou qu’elles soient blanches , les femmes britan -
niques sont inscrites structurellement dans le même environnement
social : elles participent d’une même fiscalité, du même système de
protection sociale et du même marché du travail , lequel se caractérise
par une importante ségrégation professionnelle en fonction du sexe
(Hakim , 1998). Pourtant, le comportement des femmes noires diffère
radicalement de celui des femmes blanches.
Les femmes blanches britanniques cessent de travailler à plein temps
lorsqu’elles se mettent en ménage et font des enfants . Si elles restent avec
leur partenaire (mari ou concubin) , elles travaillent généralement à temps
partiel pour le restant de leur vie professionnelle , se présentant par inter -
mittences sur le marché du travail (Dale et Holdsworth, 1998). Cette
structure d’emploi est devenue dominante vers la fin du XX e siècle
(Hakim , 1996). La grande majorité des femmes blanches veulent être
entretenues par un mari qui reste le premier apporteur de revenu , tandis
qu’elles assurent les tâches ménagères et familiales. Elle considèrent le fait
d’occuper un emploi rémunéré comme une source de revenu complé -
mentaire , sans incidence sur leur rôle familial.
LES FEMMES OBTIENNENT-ELLES CE QU’ELLES VEULENT… ?
(entre 10 et 30 %) 60 % des femmes
(entre 40 et 80 %) 20 % des femmes
1. Une classification des modes de vie féminins souhaités au XXI
Source : C. Hakim, Work-Lifestyles Choices in the 21st Century : Preference Theory , Oxford University Press, 2000.
En revanche , les femmes noires britanniques (pour la plupart d’origine
antillaise) travaillent généralement tout au long de leur vie profession -
nelle, même lorsqu’elles sont mariées ou en concubinage , y compris
lorsqu’elles ont des enfants à éleve r, et ell
Pute Arabe - Talismah
Italienne dans un gang bang
Fétichisme à la maison

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