Les dangers du test PCR (Extrait du Manuel de Survie en Dictature)

Les dangers du test PCR (Extrait du Manuel de Survie en Dictature)

Hayssam Hoballah

Le Hayssam Libéré

De l’aveu même du prix Nobel de Chimie 1993, le biologiste Kary Mullis (décédé le 7 août 2019), l’inventeur du test PCR (réaction en chaîne par polymérase), un test PCR ne fonctionne pas pour déterminer si une personne est malade.( voir note 1 en bas de page)

Kary Mullis, inventure du test PCR

En outre, lorsqu’on amplifie le nombre de cycles de test (CT=Cycle Threshold) d’un test PCR à un niveau trop élevé, toutes les personnes testées deviennent positives. (voir note 2 en bas de page)

CT = de 20 à 30

  • Charge virale importante
  • Présence d’un nombre de copies de virus compatible avec une infection
  • à interpréter en fonction de la clinique
  • Subsiste le risque de l'erreur de mesure.

CT = 35

  • Compromis utilisé par l'IHU, mais donne des faux positifs

CT = 40 ou plus

  • 90% de FAUX positifs = pas de virus COVID
  • Les 10% restants ont une charge virale extrêmement faible
  • On n’est PAS contagieux (mais il n’y a pas de faux négatifs)

Source: France Soir : http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-grande-supercherie-des-tests-pcr

Normalement les tests PCR sont utilisés par la police scientifique exclusivement pour isoler de l’ADN et jamais pour détecter les maladies infectieuses.

En outre ces tests d'ADN se font avec un simple prélèvement buccal pas besoin d’un prélèvement nasopharyngé.

Il est donc tout à fait ridiculede penser qu’il n’en serait pas de même pour le test d’un ultra-contagieux virus censé pouvoir se propager par des postillons.

Ceci étant dit, il est de notoriété publique que sont menées depuis près de 10 ans au moins des expériences médicales visant à administrer un traitement qui permette aux molécules chimiques (médicaments, anticorps…) de pénétrer vers le cerveau, en franchissant la barrière hémato-encéphalique (BHE), ce réseau serré de vaisseaux sanguins qui protège le cerveau des molécules étrangères circulant dans le sang. (voir note 3 en bas de page)

Représentation de la Barrière Hémato-Encéphalique

Le test PCR dans sa version nasopharyngéeconsiste justement à introduire un écouvillon de 15cm de long jusqu’à la plaque cribriforme, un os d’un millimètre d’épaisseur situé au sommet de la cavité nasale (là où va frapper l’écouvillon), qui est le dernier rempart avant la dite BHE.

Cette plaque cribriforme (également appelée lame criblée) est semblable à un grossier tamis criblé de très nombreux trous qui arrivent directement dans la cavité cérébrale via le bulbe olfactif(pour le passage de vos nerfs olfactifs).

Il est de notoriété publique.que les écouvillons de 15 cm de long qui passent par le nez et vont jusqu'au fond de la gorge frappent directement contre cette plaque cribriforme. C’est d’ailleurs certainement la raison pour laquelle nombreux sont ceux qui ont des douleurs persistantes après avoir fait un test PCR nasopharyngé, voire même perdent définitivement le sens de l’odorat (anosmie). (voir note 4 en bas de page)

La plaque cribriforme se situe au fond de la cavité nasale

A vu de ces faits scientifiques indiscutables, il faut comprendre que tous les produits chimiques, virus, nanotechnologies, qui seraient placés contre cette plaque cribriforme auraient littéralement un accès direct et immédiat au cerveau.

Mais quel serait alors l’objectif de placer directement des substances contre cette plaque cribriforme?

La réponse est simple: franchir la barrière hémato-encéphalique dans un but thérapeutique. (voir note 5 en bas de page)

C’est donc bien un traitement médical.

Ce constat est corroboré par certains témoignages de tests PCR inutilisés revenus positifs après envoi aux laboratoires, ce qui prêterait à penser que les tests eux-mêmes seraient porteurs du fameux virus. (voir note 6 en bas de page)

Pour résumer

Me soumettre au test lui-même est un acquiescement tacite au fait que le test fonctionne et qu'il est nécessaire pour la santé et la sécurité publiques — deux éléments qui sont manifestement faux.

Il est donc de mon droit (me référer à l’article L1111-4 du CSP) de refuser ce “traitement”, même s’il est présenté comme un “test”.




Sources:

1 "Le test PCR ne permet pas de savoir si vous êtes malade"(Interview vidéo de Kary Mullis), Fils de Pangolin, 9/10/2020

https://odysee.com/@filsdepangolin:e/kary-mullis-le-test-pcr-ne-permet-pas-de:d

2 “La grande supercherie des tests PCR, 90% des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux”, Docteur Peter EL BAZE, France Soir, 21/09/2020

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-grande-supercherie-des-tests-pcr

3 “Jusqu'ici impénétrables, les voies d'accès au cerveau s'entrouvrent”,Sciences et Avenir, 25/05/2015 https://www.sciencesetavenir.fr/sante/jusqu-ici-impenetrables-les-voies-d-acces-au-cerveau/-s-entrouvrent_29013

4 “Covid-19 et perte d’odorat : l’IRM révèle un œdème transitoire d’un étroit canal des fosses nasales”, Le Monde, 15/09/2020 https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2020/09/15/covid-19-et-perte-dodorat-lirm-revele-un-oedeme-transitoire-dun-etroit-canal-des-fosses-nasales/

5 “La barrière hématoencéphalique: une nouvelle cible thérapeutique dans la maladie d’Alzheimer ?”, INSERM, Novembre 2011

http://www.ipubli.inserm.fr/bitstream/handle/10608/7662/MS_2011_11_987.pdf?sequence=4&isAllowed=y

6 “Des milliers d’écouvillons importés de Chine par Québec sont inutilisables: D’autres provinces signalent des tests de dépistage contaminés”, Radio Canada, 22/04/2020

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1696091/test-depistage-ecouvillons-covid-19-contamines-chine-quebec

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