Les déesses à la plage

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Les Déesses de la plag..., Les Déesses de la plage d'Epesses, un délice à lire... un poème qui correspond bien au thème du concours d'ilv de cette année "de la terre au ciel"... j'ai aimé...
un peu, comme, lorsque..., un peu, comme, lorsque , l'être aimé vous quittant, vous réalisez la place qu'il tenait!
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Petit texte sur mes tours de pierres.
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Aragonite a longé la plage durant des heures. Une paroi abrupte interdit l’accès au plateau boisé. Il ne comprend pas, la lune était recouverte de glace. Quel phénomène a accéléré la pousse des...
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À l’extrémité ouest du Canada, Tofino nous attire. Entre yoga, surf et planche à pagaie, c’est la destination idéale pour le ressourcement, faisant émerger un sublime sentiment de liberté.
C’ est dans ce petit coin de paradis que Nadia Bonenfant, fondatrice de Juna Yoga, organise des retraites d’aventure pour femmes. Au menu: repas santé, yoga sur la plage, planche à pagaie (surf SUP), randonnée et ateliers de groupe.
À chaque nouvelle arrivée, Nadia attend les convives dans la salle à manger. Elles viennent de partout au pays : Victoria, Ottawa, Calgary, Rouyn-Noranda et Montréal. Toute la semaine, Andréanne «Dede» Monette, son acolyte québécoise, accompagne le groupe dans ses activités.
Nadia nous invite dans la grande salle de yoga pour l’ouverture officielle de la retraite. Sur un ton timide, nous nous présentons et exprimons nos intentions envers la retraite. «M’initier au surf, manger plus sainement, avoir du temps pour moi, approfondir ma pratique du yoga»… Nos deux guides nous écoutent attentivement.
Nous nous dirigeons ensuite à l’extérieur sur un sentier traversant la forêt. Passerelles et escaliers nous mènent vers un bras de mer calme, où nous immergeons nos pieds pour prendre contact avec la mer. Une fine bruine nous rafraîchit le visage. En silence, nous retournons sur nos pas, épatées par cette nature verte et luxuriante.
Dans la salle à manger, Sarah, notre superchef de la semaine, a dressé la table et nous a servi saumon frais, pommes de terre et salade de betteraves et de chèvre. Comme dessert, fraises et dattes enrobées de chocolat. Succulent!
En soirée, Dede nous guide dans une séance de yoga régénérateur. Les mouvements sont lents, la respiration est profonde. Coussins et blocs soutiennent nos postures. Puis nous regagnons nos chambres et tombons dans les bras de Morphée.
Entre Nanaimo et Tofino, deux arrêts s’imposent. D’abord, à Cathedral Grove, dans le parc MacMillan, où se trouventles plus gros arbres du Canada. Un petit sentier permet d’admirer la forêt pluviale tempérée. La végétation est impressionnante: la mousse pousse littéralement sur les arbres.
Un peu plus loin, il faut s’arrêter au magasin général Goats on Roof, où des chèvres broutent sur le toit vert du bâtiment. Fruits, gelato, pizza, fromage frais, saumon fumé, c’est l’endroit où se ravitailler avant de poursuivre son chemin sur cette route sinueuse.
Goûter à la sensation de surfer sur la vague, c’est en devenir accro assurément.
Le matin, sur la côte Ouest, il fait gris et le mercure peine souvent à atteindre les 10 degrés. Bien au chaud dans la grande salle, Nadia réchauffe ses convives avec une séance de Prana Flow. Dynamique, ce style de yoga prépare au surf, en éveillant l’énergie du ventre, mais aussi celle des jambes et des bras.
La plage de Cox Bay est un lieu prisé des surfeurs. D’ailleurs, une compétition de surf bat son plein au moment de notre passage. Malgré les vagues anormalement petites et le temps frais, les meilleurs surfeurs de la région y sont rassemblés. L’ambiance est relax. Les athlètes d’élite commandités par Roxy, Billabong et Rip Curl sont au rendez-vous. Un courant naturel divise la plage en deux: les pros se retrouvent à une extrémité, tandis que les apprenties se tiennent de l’autre côté.
Pour les nouvelles venues qui n’ont jamais fait de surf, l’idée de plonger dans l’eau froide du Pacifique tracasse. L’effet de groupe est un puissant moteur, convainquant de se lancer toutes unies vers la plage où l’une des caravanes de l’école Surf Sister nous attend. Une fois les combinaisons isothermiques enfilées, nous avons notre premier cours directement sur la plage.
Kristy commence la formation en nous rassurant: Cox Bay est une plage dépourvue de requins, de gros courants et de récifs. Puis elle enchaîne avec quelques notions de base. «Lorsque vous voyez votre vague arriver, pagayez comme si votre vie en dépendait», indique-t-elle sourire aux lèvres.
Une planche imaginaire tracée sur le sable permet de pratiquer à se positionner, à pagayer et à monter sur ses pieds. «Votre positionnement sur la planche est capital: un peu trop à gauche ou à droite, vous perdrez l’équilibre. Un peu trop en avant, vous piquerez du nez. Trop derrière, vous ralentirez et manquerez la vague.»
Vient enfin le moment de se mouiller. L’eau froide pénètre la combinaison, mais se réchauffe rapidement. Les filles avancent dans l’écume, et plus loin vers les vagues blanches. Même s’il pleut, les conditions sont parfaites. Il n’y a aucun vent, les vagues sont régulières et d’une grosseur idéale pour débuter
Rapidement, on s’approprie la technique. Les mains et la tête sont froides, mais l’activité et les vagues à répétition réchauffent le reste du corps. Le retour au bercail se fait avec un poids en moins. «La mer vous a lavées», s’esclaffe Nadia en nous voyant. La journée se termineà nouveau autour de la table avec des burgers végétariens et des brownies au quinoa, suivis d’une séance de yoga relaxante.
Chaque journée débute avec la même routine: fruits frais, séance de yoga et déjeuner. De temps en temps, le soleil irradie. À 9h30, l’atelier de groupe est plus introspectif: bonheur, transformation et réalisation de soi.
Les guides demandent de dessiner sur papier de nouveaux projets. «Semez de nouvelles graines », ajoute Nadia. Je dessine un Westfalia avec plusieurs fenêtres d’où l’on aperçoit mes trois enfants et mon conjoint. Autour, un globe terrestre, un palmier et la mer. Sur le toit du fourgon, une caméra filme notre périple. Mon rêve.
Plus tard sur la plage, l’instructrice nous transmet des notions plus avancées. « Il y a trois facteurs qui affectent la qualité des vagues : le vent, la houle et la marée. Aujourd’hui, il fait beau, mais il y a beaucoup de vent qui arrive du large. Ça écrase les vagues, et elles sont plus petites et plus difficiles à aller chercher.»
Elle nous explique ensuite comment éviter une grosse vague. «Il y a deux options : lever sa poitrine pour permettre à la vague de passer entre votre corps et votre planche, ou faire la tortue en vous retournant à l’envers pour permettre à la vague de passer sur le dessous de votre planche.» Armées de ces conseils, nous avançons dans la mer. C’est le moment d’attraper les grosses vagues vertes, celles qu’on laisse habituellement aux vrais surfeurs !
Il faudra plusieurs minutes pour accéder à la zone. Un courant pousse vers la gauche, tandis que le vent repousse vers le rivage. La zone calme, là où les grosses vagues se forment, n’est pas si facilement accessible que ça. Kristy demande de faire une belle ligne et d’attendre son tour.
Voyant la vague se former, je m’élance et je pagaie de toutes mes forces durant quelques interminables secondes. Je sens alors la vague me soulever. À plat ventre, je pousse la planche de mes deux mains et replie mes genoux. Sentant la vague emporter ma planche, d’un bond, je saute en position surf et je me lève doucement. La sensation est sublime, je flotte. Je réussis à rester en équilibre jusqu’au rivage.
Cette sensation enivrante nous mène à y revenir après chaque vague. Les trois heures passent en un temps record! Personne n’a le goût de quitter la plage en fin de journée.
Depuis 40 ans, l’artiste et propriétaire George Patterson travaille à son œuvre originale. Véritable havre de paix, le Tofino Botanical Gardens se compose du pavillon où nous avons logé, mais aussi d’un jardin botanique exceptionnel et de sentiers traversant la forêt. Sur le domaine, 25 sculptures de bois sont dispersées, et plusieurs haltes permettent d’admirer la nature environnante, dont l’étang aux grenouilles, le jardin de légumes et de plantes médicinales, de même que les coqs et les poules qui picorent librement.
Cette radieuse journée se transforme ensuite en initiation à la planche à pagaie. Le fameux SUP. La plage de Chesterman dispose d’une baie tranquille, idéale pour la pratique de ce sport. Malgré le soleil et l’absence de vagues, la combinaison isothermique est de mise.
Sur la plage, deux guides enseignent les rudiments de ce sport en émergence au concept simple: on monte debout sur la planche et on pagaie. Le reste n’est que pratique et équilibre.
En quelques minutes, les planches se dirigent presque toutes seules. Objectif: deux petites îles rocailleuses plus loin au large. Étoiles de mer et anémones s’y accrochent. Entre les deux îles, la houle et le courant se font sentir. Par endroits, il faut pagayer fort pour avancer, tandis qu’à d’autres endroits, on pourra se laisser porter par le courant.
Nadia propose de s’ancrer dans un amas d’algues de mer à la surface de l’eau. «Voici de longs cheveux de sirène», nous indique la belle en riant. Sur un ton plus sérieux, elle enchaîne: «Le varech est une algue comestible qui pousse extrêmement rapidement. Plusieurs espèces animales du Pacifique s’en nourrissent.»
Le SUP est idéal pour faire l’exploration du long de la côte. Dans le ciel, un aigle à tête blanche tournoie à la recherche d’une proie. Pour les filles, c’est l’heure du yoga sur planche. Grâce à différentes postures, on explore l’équilibre et on revisite certains muscles stabilisateurs. Un beau défi!
Sur l’île de Vancouver, Tofino, qu’on appelle aussi «le bout de la route», est le véritable paradis du surf au Canada. Mais c’est aussi un petit village d’artistes, où gastronomes et amateurs de plein air se rejoignent pour profiter de la nature. Au bout de l’autoroute 4, il fait face à l’océan Pacifique et est situé dans la réserve de la biosphère de Clayoquot Sound. La végétation s’y déploie dans toute sa splendeur. Kayak, planche à pagaie, surf, pêche, observation des baleines en Zodiac, randonnée en bordure de mer, peu importe l’activité que vous choisissez, l’air salin vous remplit les narines et vous offre une grande liberté.
Le soleil n’est pas encore levé que la séance de yoga matinal débute. Dans le calme absolu, avec les tapis déposés sur le sable, Nadia guide ses élèves doucement dans une pratique à la fois douce et tonifiante. À pleins poumons, l’air marin se fait sentir et l’horizon s’étend à perte de vue. La lumière s’intensifie graduellement, les esprits s’éveillent.
Au-delà de l’activité aquatique, Tofino est aussi un charmant petit village, au cœur duquel se trouve l’impressionnante galerie Eagle Aerie. L’artiste amérindien Roy Henry Vickers y expose peintures, gravures, calendriers, cartes et sculptures. Dans la rue principale, de nombreuses boutiques de vêtements et d’équipement de surf invitent au magasinage. Casquettes, camisoles, bijoux et savons artisanaux, les boutiques sont remplies de souvenirs à rapporter à la maison.
À l’autre l’extrémité du village se trouve l’entrée des sentiers de randonnée pédestre. Un premier sentier traverse la forêt ancestrale et mène à la plage de Tonquin. Ce sentier est parfois bordé de certaines plantes comestibles et odorantes. Les effluves de cèdre le parfument sur toute sa longueur.
Tofino est un endroit calme, qui vibre au rythme de la nature qui l’environne. Pas pour rien si on y trouve des retraites et des ateliers spécialisés dans la détente et la relaxation. Même la randonnée en forêt est paisible, loin des défis rocailleux des Rocheuses, sur le continent, ou même des pistes de vélo de montagne de Comox et du centre de l’île.
Au terme de la semaine, il faut toutefois clore ce chapitre en écrivant deux mots dans le sable meuble de la plage. Une semaine en deux mots ? Puis on fait un dernier plongeon dans la mer, une dernière fois pour la chance.
Une chance dont toutes semblent avoir profité à fond. «Être ici avec vous m’a permis de prendre de la perspective par rapport à ma dernière année», confie Lenny. Caroline enchaîne: «La retraite m’a permis de mieux me connaître, de mieux me comprendre et de savoir ce que je veux atteindre à ce moment de ma vie.»
À cet instant, et pour toujours, nous sommes des déesses du Pacifique.
En 1959 , un chemin destiné à l’exploitation forestière est construit à travers les montagnes, entre Port Alberni et la côte. Pour atteindre l’océan, les voyageurs ne peuvent utiliser que cette route, la fin de semaine, lorsque les bûcherons sont en congé. Au fil du temps, les restrictions sur l’utilisation des routes forestières sont assouplies, et Tofino devient une destination de plus en plus populaire.
À la fin des années 1960 , attirés par la beauté sauvage des lieux, les jeunes issus de la culture hippie se construisent des camps de fortune sur les nombreuses plages des environs. À cette époque, le surf est en émergence, et on voit tranquillement des surfeurs apparaître sur les plages.
En 1970 , la réserve de parc national Pacific Rim est créée. Puis l’autoroute 4 est pavée en 1972. Tofino devient le terminus officiel de la route transcanadienne, comme en témoigne la signalisation officielle au quai First Street.
En 1993 , Tofino et Clayoquot Sound se retrouvent sous les projecteurs, tant au Canada qu’à l’international. Après un été passé dans les bois, et ce, dans la controverse, 856 militants sont arrêt
Jolie brune se fait punir
Une pipe paradisiaque
Type musclé se tape une superbe Latina

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