Les culottes ne servent à rien

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Par Lucie D'Agosto Dalibot
Publié le 17 Août 22 à 11:57 





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Saxa, Strasbourgeoise de 24 ans, est travailleuse du sexe depuis deux ans. Elle propose du contenu photo et vidéo porno sur des plateformes payantes et vend ses petites culottes.
Elle a 24 ans, habite Strasbourg et exerce le plus vieux métier du monde , mais façon 2.0, à l’ère du numérique , pas de rencontre en physique.
Sur les différentes plateformes Internet où elle partage du contenu érotique et pornographique depuis deux ans, la jeune femme se fait appeler « Saxa « .
Photographies dénudées, vidéos en pleine action – avec ou sans partenaire – conversations langoureuses avec ses abonnés et vente de petites culottes trop longtemps portées – à la demande des clients -, rencontre avec une Travailleuse du Sexe (TDS) virtuelle .
Pour la jeune femme, l’aventure commence après une licence à l’université. Elle veut être traductrice, mais souffre d’une maladie génétique pour laquelle il n’y a pas de traitement miracle et qui lui cause d’importantes douleurs continues et beaucoup de fatigue. Alors, elle renonce à un emploi du temps de travail classique , même à mi-temps. 
Mais attention, je ne me suis pas tournée vers le TDS à cause de la maladie et je tiens à le souligner. Je fais de la photo en lingerie et nu artistique depuis 2016, c'est quelque chose qui m'a toujours plu et qui me donne confiance en moi. En 2020, j'ai découvert Mym et Onlyfans, des plateformes qui permettent de monnayer les images et vidéos qui y sont publiées et je me suis dit que ce serait sympa que les gens puissent voir mon travail. Qui plus est, j'en avais assez de la censure sur Instagram.
Au fil des semaines et mois, elle glisse doucement vers des photographies plus crues et propose du contenu exclusif en contrepartie d’un abonnement allant de 5 à 40 € .  
« Au début, je pensais que je me ferais un petit peu d’argent de poche. Mais il y a eu beaucoup d’engouement autour de mes publications et je ne m’y attendais pas forcément. Alors, c’est devenu mon activité principale. Depuis peu, j’ai pris la décision de commencer à dévoiler mon visage que je cachais au début, ça transmet plus de choses que »juste un corps » et j’assume totalement, je ne suis pas connue au point d’être identifiée dans la rue », explique la jeune femme.
Saxa travaille souvent avec le même photographe qui ne demande pas de commission pour ses photos. « C’est bien plus propre que des selfies « maison », je veux proposer du contenu de qualité , mais rares sont les photographes qui acceptent, beaucoup blacklistent celles qui font du TDS alors qu’ils ne sont pas gênés de photographier des femmes nues sous couvert de mannequinat », ajoute-t-elle. 
Depuis le début de son activité, Saxa est plus épanouie que jamais.
Être TDS me permet de gérer mon temps, de me sentir bien dans mes baskets. Je fais beaucoup de clichés lors de mes séances photo avec différents ensembles de sous-vêtements afin d'avoir du contenu à publier régulièrement, une à deux fois par jour, comme ça, quand je n'ai pas la forme, je peux tout gérer depuis le fond de mon lit.
En plus de la photo, Saxa propose aussi à la vente ses petites culottes portées, ses bas et chaussettes . Les sous-vêtements peuvent être portés de 1 à 5 jours et sont vendus de 25 à 58 euros. « Rassurez-vous, je me lave quand même tous les jours, il ne faut pas pousser ! », plaisante la jeune femme. 
Mais à la demande des clients , elle va porter ses sous-vêtements le temps souhaité et le prix augmente en fonction. Ils sont ensuite envoyés par la poste pour que le destinataire puisse s’en imprégner . Une technique bien plus courante qu’il n’y paraît et si elle existe, c’est que les acheteurs sont au rendez-vous.
« Il y a une vraie clientèle pour ça ! Par contre, on m’a déjà fait des demandes auxquelles je n’ai pas donné suite, par exemple porter des couches et les souiller ou… vendre mes déjections en sachet », raconte-t-elle avec une mine pas franchement enjouée.
Mais ce qui cartonne le plus sur ses plateformes ces derniers mois, ce sont les vidéos pornographiques qu’elle tourne, soit seule, soit accompagnée d’un ami.
Ça peut faire sourire, mais je suis une personne très pudique dans l'intimité. Alors je fais du porno toujours avec ce même ami et personne d'autre. J'ai besoin d'une relation de confiance et il n'y a aucune ambiguïté entre nous. On tourne nos scènes et l'activité sexuelle s'arrête quand la caméra s'éteint, c'est un travail comme un autre. En revanche, comme c'est du porno maison, ça reste très naturel donc on rit beaucoup entre les scènes, ça me permet d'être plus à l'aise et on y trouve notre compte tous les deux.
Son compagnon lui a déjà glissé qu’ il aimerait qu’elle change de travail, mais il n’a d’autre choix que d’accepter son activité parce qu’ elle ne compte pas arrêter.
Les hommes ont parfois des difficultés à comprendre que c'est un travail, mais je peux l'entendre. Pourtant, je l'envisage comme tel de A à Z, l'ambiguïté vient d'eux, pas de moi. J'ai déjà entendu des gens dire "si tu couches avec quelqu'un d'autre pour un tournage X, je peux aussi aller voir ailleurs" mais ça ne relève pas du tout d'un travail, c'est du sexe plaisir donc ça n'a aucun lien. Dans mon ménage, l'argent que je gagne nous permet de bien vivre. Accepter que cet argent paie nos sorties, c'est aussi accepter sa provenance. Autrement, il ne faut pas l'utiliser, ce serait contradictoire.
Côté vie perso justement, la jeune femme ne voit pas d’intérêt à cacher son activité, alors sa famille et ses amis sont au courant : « J’ai des parents top, une vie classique, travailler en tant que TDS ne veut pas dire que l’on vient d’un milieu défavorisé ou que l’on est stupide. Et surtout, on peut le faire par choix parce que ça nous plaît. C’est un travail comme un autre. Oui des hommes se font plaisir sur mes images, je sais quel but ont mes photos et je n’ai aucun souci avec ça. De plus, ma communauté d’abonnés est très respectueuse ».
Même si certaines TDS virtuelles font le buzz et que leur compte se transforme en véritable jackpot , ce n’est pas le cas de la majorité des TDS et beaucoup n’ont pas conscience de l’investissement que cela représente.
« De nombreuses jeunes femmes se lancent là-dedans sans avoir conscience des conséquences . Ce qui est publié sur la toile y reste . J’ai l’intention de poursuivre dans ce secteur donc ce n’est pas un souci pour moi, mais les gens débordent de préjugés et même s’il n’y a rien de mal, ça peut poser un problème en cas de reconversion professionnelle « , précise Saxa.
De plus, les revenus de la TDS sont assujettis à son rythme de publication et son audience. Alors ses revenus fluctuent chaque mois. En l’occurrence, quand sa santé ne suit pas et qu’elle ne peut pas être assidue sur les plateformes virtuelles, Saxa gagne environ 500 € , c’est le salaire d’un mauvais mois qu’elle peut rattraper le mois suivant avec des revenus qui peuvent atteindre 3 000 €/mois.
En revanche, mauvaises surprises pour les Travailleuses du Sexe, les plateformes qui hébergent leurs vidéos et l’URSSAF – les TDS sont déclarées en tant qu’autoentrepreneuses – nettoient leurs paies . OnlyFans prend 20 % de commission , Mym dit prendre 25 %, mais d’après Saxa, c’est plutôt 33 % avec les frais bancaires et après, il reste l’URSSAF qui ponctionne 23 %.
« En moyenne, je perds 50 % de ce que je gagne … Certaines TDS gagnent beaucoup, mais elles sont rares et doivent avoir une sacrée notoriété en amont. La réalité est tout autre, on ne gagne pas 10 000 euros par mois et ça demande beaucoup d’investissement en temps et en argent pour conserver et multiplier sa communauté d’abonnés « , témoigne la TDS.
Dans les prochaines années, Saxa espère continuer à développer son activité majoritairement virtuelle. « Mais comme je ne sais même pas ce que je vais manger ce soir ni de quoi l’avenir sera fait, l’évolution des plateformes reste incertain , je ne peux qu’ espérer continuer cette activité le plus longtemps possible » conclut-elle tout sourire.
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À quoi sert vraiment le petit nœud sur les culottes des femmes ?
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À quoi sert vraiment le petit nœud sur les culottes des femmes ?

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D'apparence enfantine, ou bien à caractère sensuel, le petit noeud cousu sur les culottes pour femme est bien plus qu'un simple élément décoratif. Il est historique et a des fonctions bien précises. Décryptage.
Impossible. Il est impossible qu’en tant que membre rattaché à la gent féminine, vous n’ayez pas fait partie du club des porteuses de culottes avec un petit nœud . Placés davantage sur le devant que sur l’arrière de ce sous-vêtement, ces rubans noués sont ancrés dans l'inconscient collectif, à tel point que l’ on n’y prête même plus attention . Pire encore, on ne sait pas à quoi ils servent réellement. Pourtant, et comme bon nombre de pièces mode universelles, les culottes à nœuds ornementaux renferment bien des secrets , que les experts révèlent au grand jour. 
En boutiques de lingerie raffinée, dans les enseignes de prêt-à-porter ou bien vendues en lot sur les e-shops des mastodontes de la fast fashion … Les culottes à nœud sont omniprésentes. Aussi bien commercialisés pour les petites filles que pour les adolescentes, les femmes dans la fleur de l’âge et les femmes plus matures, ces sous-vêtements caractéristiques véhiculent une image troublante, menant également à se demander quel message font-ils passer ? 
Une place dans la société actuelle que la journaliste Alice Pfeiffer analyse pour Slate « Le nœud sur la culotte est posé au-dessus du pubis de façon à jaillir d'un ventre plat, il suffit d'avoir un peu de bide pour ne plus le voir, tandis que celui positionné au creux de la poitrine jaillit entre des seins très remontés et collés ensemble... Le nœud promeut un corps très juvénile. ». De quoi remettre en perspective cet attribut vestimentaire ancestral à l’antipode de la modernité, contrairement aux rubans fixés entre les seins sur les soutien-gorge. S’il n’est pas aussi sexy que son homologue, le ruban décoratif présent sur les culottes ne doit pourtant rien au hasard.
Sylvain Besson, chargé des collections textiles au musée d'art et d'industrie de Saint-Étienne, précise à Slate , ne pas avoir trouvé “ d'éléments précis sur la date d'apparition des nœuds sur les culottes” . Cependant, selon l’expert “ il semble que dès le début, le ruban était utilisé comme un lien pour fermer et tenir les culottes féminines ». De plus, à l’origine, le petit noeud sur les culottes permettait aux femmes de pouvoir l'enfiler dans le bon sens, étant généralement contraintes de s’habiller dans le noir avant l’arrivée de l’électricité. Le toucher était alors un sens des plus développés, et le ruban faisait office d’un signe distinctif, mais pas seulement.
Si l’on s’en fie aux écrits historiques, le noeud plat servait à empêcher la culotte de tomber puisque l’élastique n’avait pas encore été inventé. Les rubans noués sur les sous-vêtements remplaçaient donc les laçages. « Quand les premières culottes sont apparues, étant donné que l’élastique n’existait pas encore, on tirait sur une lanière ou un cordon. » déclare sur Buzzfeed Denis Bruna, conservateur au département Mode du musée des Arts décoratifs de Paris. “ Le nœud apparaît sur les corps à baleines, l’ancêtre du corset, au XVIIe et XVIIIe siècles ». Selon lui, « les rubans et les nœuds servaient à ajuster le corsage au niveau de la poitrine, du décolleté et des épaules. ». Un transit opéré de la fonction utilitaire à décorative, que l’historien de l’art explique : « cette transformation d’un élément utilitaire vers un élément décoratif s’est faite en le réduisant: le nœud de la culotte du XIXe ou des corps à baleines des XVIIe et XVIIIe siècles était beaucoup plus grand; aujourd’hui, ce sont de tout petits nœuds ».
Pendant le règne de Louis XIV, le ruban noué est même bien plus que cela. Il est érotique et “ se noue et se dénoue au gré des jeux de séduction », selon l’historienne spécialiste de l'histoire de la mode, Elise Urbain Ruano. À Versailles, le nœud sur les sous-vêtements devient alors une institution et incarne de véritables objets de fantasme, de papillotement et de légèreté. Et ce, jusqu’à ce que la mode masculine n’en veuille plus, face à la représentation de la féminité absolue qu’ils véhiculent. Les hommes de la cour, heureux ou non de ce changement stylistique, transitent vers des caleçons et des slips dans les années 1800, inspirés par les vêtements sportifs des athlètes au XXe siècle.
Tout comme les baleines des corsets , le noeud plat sur la culotte aurait pu disparaître. Somme toute, force est de constater qu’à ce jour, les liens solides qu’il noue avec les sous-vêtements ne semblent pas prêt de se rompre. Une récurrence étonnante que Faustine Baranowski, head designer du secteur lingerie et swimwear du bureau de tendance Promostyl, perçoit comme un élément marketing . « Ce nœud standard, bien souvent fait en Asie, est là pour justifier le prix et ajouter de la valeur aux produits de la grande distribution. L’objectif est que la cliente se dise qu’elle en a pour son argent. ». « Dans le cadre d’une mission de consulting pour une marque du Moyen-Orient moyen-bas de gamme, le brief du boss était d’ajouter des nœuds, pour donner l’impression que l’on achète un produit luxueux. ». Par conséquent, le petit nœud sur les culottes donnerait l’impression d'un “ côté fini aux produits ” et agirait tel un trompe-l’oeil permettant de dissimuler “certaines coutures disgracieuses” . `
Aujourd’hui ? Le nœud qui s’invite sur les culottes joue dans la demi-mesure. À la fois infantilisant , il peut tou
Fille douce brésilienne baisée par un Français
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