Les conséquences de ses actions

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Les conséquences de ses actions
Fiston, Ce chapitre sur les conséquences de nos actions ou notre inaction (dont paroles, pensées et intentions) a une place singulière dans ma vision du monde (si j’ai bien compris mes contemporains, ma vision serait elle-même singulière). J’ai toujours été « sensible » (choqué, surpris, amusé, outré, offusqué, atterré, énervé…) aux discours de ceux qui refusent de reconnaître la part de leur responsabilité dans les problèmes qui surviennent et dont ils sont (ou seront plus tard) eux-mêmes ou leurs semblables « victimes ». Depuis quelques années, je suis convaincu que reconnaître sa part de responsabilité est un élément nécessaire (parmi d’autres éléments) pour contribuer à arrêter les problèmes en question. Une question lucide et responsable Pour y parvenir, il faudrait que la personne (éthique de responsabilité) se pose la question suivante et décide en fonction des conséquences prévisibles : « Est-ce que mon action ou mon inaction (dont parole, pensée et intention) aura une quelconque conséquence négative ici ou ailleurs, maintenant ou plus tard, pour moi ou pour d’autres créatures ? » Si on enlève le mot « négative » de cette question, la personne se met tout d’un coup à raisonner de manière collaborative et très lucide sur les conséquences et les conséquences des conséquences (encore plus si on remplace le mot « négative » par le mot « positive », là on ne peut plus l’arrêter). Ce type de question peut même devenir insupportable, quand la personne subit dramatiquement un événement d’une grande violence (tsunami, attentat, accident mortel ou handicapant…). La personne est ce qu’on appelle une « victime » (plus ou moins directe). Comment veux-tu qu’une personne qui a tout perdu (biens matériels et membres de sa famille par exemple) dans un tsunami, se pose la question si ses actes en termes de consommation ou d’intervention sur la nature ont eu une conséquence dans l’aggravation du réchauffement climatique, et dans la multiplication qui en découle des phénomènes tels que les tsunamis ? Comment veux-tu qu’une personne victime d’un acte de terrorisme aux états unis par exemple, se pose la question si son propre vote pour des Hommes politiques qui ont commis des injustices dans d’autres régions du monde ou ont porté des discours de haine raciale ou religieuse, a eu une conséquence dans ce dont elle est, directement ou indirectement victime aujourd’hui. En d’autres termes, cela reviendrait à se considérer comme responsable en partie, par ses actes (ou non actes), de la perte de ses biens et la disparition de membres de sa propre famille. C’est tout simplement humainement insoutenable. Si la question est posée par un tiers, alors là, le tiers est accusé de vouloir accabler la victime : « Donc c’est eux LES responsables de ce qui leur arrive, c’est ça ?!!! ». Ma réponse est la même : Pas LES SEULS évidemment, pas les principaux évidemment, mais certains de leurs actes y ont contribué par un enchaînement prévisible de processus de cause à effet. Si des enfants sont également victimes ils n’ont évidemment aucune responsabilité et n’ont commis aucun acte ayant favorisé l’événement catastrophique qu’ils subissent, mais les actes de leurs parents ou grands parents ont d’une certaine manière, et à un certain degré, contribué. Ma démarche intellectuelle ne vise pas à déterminer des responsables, ou des coupables. Je ne suis pas juge, il y a des instances humaines qui jugent, et en définitive, c’est Dieu le juge ultime. Ma démarche intellectuelle est fondée sur une éthique de responsabilité, et je rappelle la question : « Est-ce que mon action ou mon inaction (dont parole, pensée et intention) aura une quelconque conséquence négative ici ou ailleurs, maintenant ou plus tard, pour moi ou pour d’autres créatures ? », il s’agit bien de mon action et non de celle des autres. Comment en suis-je arrivé à me poser cette question ? Ca peut paraître basique : j’aimerais aller au Paradis, et donc agir (au sens large) en bien pour l’humanité. Si possible donc, ne pas causer du mal ou en causer le moins possible. C’est assez simple. Dans cet état d’esprit, je me demande : . Si je vole la terre d’un peuple, si j’écrase ses habitants en commettant quelques crimes contre l’humanité au passage, il est facile de prédire, par la loi de cause à effet, que mes enfants ou mes petits enfants ne vivront pas en paix, parce que les enfants ou les petits enfants de ceux que j’aurais écrasés vont leur faire du mal, par esprit de vengeance ou pour rétablir (de leur point de vue) la justice. Je me serais bien fait plaisir mais j’aurais endossé au passage une responsabilité des conséquences de mes actes (même si elles se produisent beaucoup plus tard, et sur ma descendance). . Si j’occupe un pays et je vole ses richesses et je me barre ensuite en laissant le pays exsangue, les habitants de ce pays vont peut-être vouloir venir s’installer dans mon pays plus tard (ou le pays de mes enfants parce que je serais déjà mort). Je me serais bien fait plaisir mais j’aurais endossé au passage une responsabilité des conséquences de mes actes (même si elles se produisent beaucoup plus tard). . Si je vote pour des discours politiques qui flattent mes intérêts (catégoriels ou personnels ou générationnels) en endettant les générations futures et/ou en affaiblissement mon pays dans une mondialisation compétitive, par mon vote j’aurais contribué à fabriquer le fardeau de mes enfants ou de leurs enfants, et à leur faire vivre les délocalisations et le chômage. En gros, j’aurais refusé les efforts (je me fais plaisir), et je condamne mes descendants à devoir faire des sacrifices (et l’exemple de la Grèce n’est pas très éloigné). Je ne dois pas totalement m’étonner si les générations futures à qui j’aurais contribué à faire ce cadeau, refusent un jour de financer ma retraite (ah bon, ils feraient ça ?) ou ma dépendance. . Si je soutiens une politique d’apartheid et d’injustice d’un pays lointain simplement parce que c’est le pays « de mes origines et de ma religion » (et que je veux garder au passage les bénéfices de ces politiques), je ne dois pas être totalement surpris que mon attitude attise la haine de certaines personnes, et suscite la violence de certains criminels extrémistes qui agissent criminellement sur le terreau de cette haine. . Si je discrimine quelqu’un lors d’un entretien d’embauche, et que ce grain de sable dans son parcours rempli de sable (et de mauvais choix par ailleurs) aura joué un rôle dans le fait qu’il ait un jour mal (ou très mal) tourné (dépression, maladie, délinquance, assistanat, terrorisme…) et pour lequel je vais (ou mes enfants) payer un prix. Je me serais bien fait plaisir mais, par l’effet papillon, j’aurais contribué –très peu mais quand même- à ce qui arrive ensuite. . Si dans une association (de lutte contre la haine qui me touche, et non de la haine en général) ou dans un média ou dans une action politique je pratique le « deux poids deux mesures », il ne faut pas que je sois étonné que ceux qui se sentent lésés (comment les en empêcher ?), produisent d’avantage de haine vers moi et ce que je « représente ». En général, ceux qui haïssent ont tort mais je ne peux pas m’en laver les mains totalement pour autant. J’ai vraiment apporté une contribution bien réelle à la production de la haine qui me touche ou touche « les miens ». En gros, pour résumer, si mes actes tombent sous la définition « après moi le déluge », il faut a minima reconnaître par lucidité que après moi, c’est le déluge qui va arriver en conséquence, en partie, de mes actes.. et sachant que après moi, il y a mes enfants et leurs enfants.. eh bien, je porte une partie de la responsabilité de ce qu’ils vont subir. Tous irresponsables ? L’état d’esprit fréquent dans notre monde (pour ne pas dire dominant, quand on regarde les conséquences) est un mélange de : . « jusque là tout va bien » . « après moi le déluge » . « chacun pour soi » . « ce n’est pas à mon niveau que ça va changer quoique ce soit » est, au mieux, un manque de lucidité, au pire, une préméditation visant consciemment à aboutir aux conséquences catastrophiques (avec toutes les nuances et leur niveau de responsabilité). Mon état d’esprit qui comprend les grands événements de ce monde par ce principe de responsabilité très exigeant est illustré dans l’introduction de ce site http://discernement-islam.weebly.com/ Il y a une différence bien sûr entre conséquences de nos actes, notre responsabilité jugée par un tribunal humain ou par Dieu et la question de la culpabilité. Nous ne sommes pas les juges. La conscience des conséquences de nos actes peut et doit nous aider à décider en conscience (si le mal ne peut être évité quelque soit l’acte, ça nous permet a minima de choisir le moindre).  Rappel d’un principe divin que les Hommes appliquent mal « Personne ne doit payer pour une chose faite par un autre » (même son parent).. Ca c’est la loi divine. Mais dans la réalité, dans la justice des Hommes, la personne paie pour les méfaits de ses aïeux. C’est factuel et cela arrive tous les jours. Par contre si la personne approuve ou soutient les méfaits d’une autre (ses aïeux pour reprendre cet exemple), elle devient « un peu » contributrice (surtout si elle continue de profiter du bien mal acquis par ses aïeux, sans volonté ou action de réparation de l’injustice commise jadis)... L’esprit de vengeance n’est pas une loi recommandée par Dieu mais les Hommes agissent entre eux selon des principes parfois malsains. Je suis convaincu que : tant que les Hommes ne reconnaissent pas leur part de responsabilité dans ce qui leur arrive, il y a peu de chance que cela s’arrête ou que leur situation s’améliore. Cette conviction de l’importance de cette reconnaissance est illustrée dans cet article : https://affinites.weebly.com/reconnaitre.html  Conséquences des bons actes dans le Coran Tu peux relire ces deux sites : https://actesetrecompenses.weebly.com/ https://recompensesetchemins.weebly.com/ Le premier liste les bonnes actions et leurs conséquences en termes de récompenses divines. Le second liste les récompenses divines et les actes dont ces récompenses sont la conséquence. Hadiths portant sur la conséquence des actes . « Celui qui instaure une mauvaise pratique en subira les conséquences et celles qui découlent de sa perpétuation par d'autres jusqu'au jour de la Résurrection » . « Quiconque instaure une bonne pratique en Islam de manière que d'autres l'adoptent se verra attribué une récompense égale à celle donnée à ceux qui auront adopté son innovation, ce qui ne diminuera en rien la récompense de ceux qui auront perpétué sa pratique. De même, quiconque instaure une mauvaise pratique en Islam de manière que d'autres l'adoptent se verra réservé un traitement égal à celui infligé à ceux qui auront adopté son innovation, ce qui n'allègera en rien le traitement de ceux qui auront perpétué sa pratique » . « Chaque fois qu'une âme est injustement tuée, le premier fils d'Adam en assumera une part de responsabilité puisqu'il a été le premier à recourir au meurtre » Remarque : Même si la pratique est au début insignifiante et s'est développée par la suite, la responsabilité de ce développement incombera aussi à celui qui en est à l’origine. Exemple : la consommation d’alcool avec modération qui aboutit à l’excès (peut-être chez une autre personne) et ses conséquences. . « Il n’y a pas un péché mineur lorsqu’il y a obstination et pas de demande de pardon » . « Vous êtes tous des bergers et tout berger sera responsable de son troupeau. L'homme est un berger dans sa famille et sera responsable de son troupeau..»  Paroles de sages et de savants sur les conséquences des actes . « Le croyant voit ses péchés comme une montagne qui menace de s’écrouler sur sa tête et le libertin voit ses péchés comme des mouches tombées sur son nez » . « Ne regarde pas l’insignifiance du péché mais regarde la Grandeur de Celui à qui tu as désobéi » . « Les péchés nuisent à l’âme humaine comme les poisons nuisent aux corps. Ils se différencient par les effets, aucun mal dans la vie actuelle et l’au-delà n’est que le résultat des péchés commis par l’homme »  La bonne intention ne suffit évidemment pas La bonne intention est nécessaire pour valoriser une bonne action mais la bonne intention ne suffit pas si elle n’est pas accompagnée d’une réflexion exigeante sur les conséquences de nos actes : la route de l’enfer est pavée de bonnes intentions dépourvues de réflexion et de lucidité sur les conséquences… « Est-ce que mon action ou mon inaction (dont parole, pensée et intention) aura une quelconque conséquence négative ici ou ailleurs, maintenant ou plus tard, pour moi ou pour d’autres créatures ? » Si tu poses bien cette question et que tu visualises l’ensemble des conséquences positives et négatives des options qui s’offrent à toi, tu pourras décider de manière plus avertie et éclairée d’œuvrer pour Dieu et non pour Satan.. Pour la lumière et non pour les ténèbres. Je t’aime fiston !

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Le premier chapitre de notre dossier « Hausse des taux : quelles conséquences pour les actions ? », abordé sous un angle macroéconomique, nous permettait de conclure que la hausse des taux n’est pas une menace pour les marchés des actions , tant qu’elle n’est pas la réaction à une poussée inflationniste. Dans ce second chapitre, Régis Bégué , Directeur de la recherche et de la gestion Actions chez Lazard Frères Gestion, nous livre son analyse d’un point de vue microéconomique. Cette note met en exergue le double impact d’une hausse des taux sur les actions à travers la valorisation et les résultats. Selon lui, l’impact sera différent selon le type de valeur.
Hausse des taux : un impact différent selon le type de valeurs
Les taux d’intérêt sont en baisse presque continue des deux côtés de l’Atlantique depuis plus de vingt-cinq ans, une tendance de fond à peine interrompue par quelques rebonds d’ampleur modérée. La courbe s’est aplatie au point de frôler 0% de rendement, tant sur les taux d’intérêt à court terme que ceux à long terme (Graphique 1).
Dans ce contexte, il paraît légitime d’évaluer les conséquences d’une éventuelle remontée des taux, qui nous semblerait logique. Pour les marchés obligataires, une hausse des taux provoque une baisse des cours d’autant plus importante que la duration est longue. Pour les marchés d’actions, le raisonnement est loin d’être aussi simple.
Il convient de distinguer au moins trois situations possibles dont chacune peut avoir des conséquences différentes sur les actions :
Par ailleurs, et c’est un point capital souvent négligé, les effets d’une remontée des taux sur les actions sont de deux ordres :
La valorisation des actions est liée aux anticipations du niveau de taux d’intérêt à long terme. En effet, la valeur d’une entreprise repose principalement sur l’actualisation de flux futurs de trésorerie au coût moyen pondéré du capital. Or, ce dernier est pour partie fonction du niveau de taux dit « sans risque ».
Le cas des valeurs dites de « croissance »
Plus une entreprise a une rentabilité stable ou en croissance structurelle, plus sa visibilité sur son activité sera longue dans le temps. En conséquence, plus grande sera la part de valorisation liée à ses cashflows générés dans un futur lointain. Son comportement se rapprochera donc de celle d’une obligation longue. Pour cette raison, le taux d’actualisation choisi est extrêmement important pour calculer la juste valeur d’un tel profil.
À l’inverse, une société industrielle, dont les débouchés sont plus cycliques et sensibles à la conjoncture économique, aura tendance à être évaluée sur la génération de trésorerie à un horizon proche. Dans ce cas, le niveau de taux d’intérêt est de moindre importance pour sa valorisation. Cela peut paraître paradoxal, mais les valeurs cycliques, bien que plus volatiles, peuvent être moins sensibles aux fluctuations des taux d’intérêts que les valeurs considérées comme défensives.
Dans une période de taux bas, les valeurs dites « de croissance » ont tendance à être mieux valorisées que les valeurs cycliques. Ces titres surperforment généralement en période de baisse des taux. C’est l’une des raisons pour lesquelles les secteurs de la pharmacie ou de la consommation non cyclique se sont si bien comportés en bourse depuis plusieurs années : elles offrent croissance et visibilité dans un environnement de taux baissier qui est favorable à ce type de valeurs. À l’inverse, plus les taux sont élevés, plus grande est l’importance du présent par rapport au futur. Si les taux sont élevés, les actions dont l’activité bénéficie d’une bonne conjoncture sont d’autant mieux valorisées (Graphique 2).
Au-delà de la nature des cashflows, se pose aussi la question de leur distribution. À condition que l’entreprise mène une politique raisonnable de rémunération de ses actionnaires, le rendement du dividende présent est le signe le plus tangible de sa capacité à offrir un rendement élevé durable. La période que nous traversons depuis 2011 est, de ce point de vue, remarquable.
Cela a débouché sur une situation, pour ainsi dire unique dans l’histoire récente, où le rendement des actions est devenu supérieur à celui des obligations d’État (Graphique 3).
Les investisseurs institutionnels, en quête de rendement, ont eu tendance à privilégier les sociétés offrant des dividendes réguliers et généreux : pour cette raison, les actifs d’infrastructure, d’assurance , ou encore d’immobilier coté , ont fortement surperformé. Dans un contexte de tension sur les taux, ces valeurs devraient faire l’objet de prises de bénéfices.
Enfin, toujours concernant l’évaluation, il faut mentionner la valorisation du passif. Si la dette financière n’offre pas matière à
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