Les conséquences de sa première sodomie

Les conséquences de sa première sodomie




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Les conséquences de sa première sodomie
Pour nous soutenir, acceptez les cookies
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Cookies de performances , Cookies strictements néccessaires , Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
En savoir plus → Refuser Accepter & Fermer









Newsletters
L’Express
Nouvelles vies
Bien-être
Plaisirs







Styles


Vie Perso


Sexo







Publié le
15/03/2015 à 07:00 , mis à jour le

16/03/2015 à 12:39








Styles


Vie Perso


Sexo




Pour suivre l’analyse et le décryptage où que vous soyez

Offrez gratuitement la lecture de cet article à un proche :

« Sodomie: toutes les questions que vous n'osez pas poser sur le sexe anal »


L’article sera disponible à la lecture pour votre bénéficiaire durant les 72h suivant l’envoi de ce formulaire, en cliquant sur le lien reçu par e-mail.


Assurez-vous que la personne à laquelle vous offrez l’article concerné accepte de communiquer son adresse e-mail à L’Express.
Les informations renseignées dans ce formulaire sont destinées au Groupe L’Express pour l’envoi de l’article sélectionné à votre proche, lequel sera informé de votre identité. Pour toute information complémentaire, consulter notre Politique de protection des données .


Vous venez d’offrir à mail@mail.com l’article suivant :


« Sodomie: toutes les questions que vous n'osez pas poser sur le sexe anal »


Une erreur est survenue. Veuillez réessayer.

L’Express, une rédaction engagée aux côtés des Ukrainiens à travers un numéro exceptionnel
Profitez du 1er mois offert, sans engagement

Offre Découverte​

1 er mois offert

sans engagement

37% des femmes auraient déjà pratiqué la sodomie, pourtant encore trop souvent taboue.
Présentée au choix comme déviante ou "naturelle", la pénétration anale est encore souvent perçue comme suspecte. Alors même que, lorsqu'elle est consentie et que les bonnes conditions sont réunies, elle peut mener à la jouissance des deux partenaires. 

Notre mère nous l'a appris petit, on ne touche pas à ses excréments, c'est sale. Cette information reste profondément ancrée en nous, et c'est ce qui explique que la sodomie puisse être si difficile à appréhender. Mais, pour le Dr Mireille Dubois Chevalier, sexologue, lorsqu'on parle de sexualité, il faut être prêt à affronter le "sale" du corps. 

Malgré tout, pour s'éviter des désagréments, certaines femmes anticipent les rapports anaux en utilisant une poire de lavement, voire en surveillant leur alimentation dans les heures qui précèdent. C'est le cas de Viviane, 34 ans: "Lorsque je veux pratiquer la sodomie avec mon partenaire, je veille à ce que mes intestins soient vides. L'idée est de prendre son pied, pas de s'embarrasser de détails techniques scabreux..." Lola, 29 ans, est plutôt une adepte de la spontanéité: "C'est au petit bonheur la chance. Parfois c'est propre, parfois c'est sale. C'est le jeu!" 

D'un point de vue physiologique, l'anus n'est pas conçu pour être pénétré. Il est naturellement plus étroit, et plus innervé que le vagin. La pénétration par ce biais peut donc être douloureuse. Mais comme le corps et le cerveau sont bien faits, lorsque l'excitation est forte, la douleur peut vite se transformer en plaisir. En revanche, l'anus n'étant pas naturellement lubrifié par l'excitation, il est fortement recommandé d'utiliser un lubrifiant -de préférence à base d'eau ou de silicone- afin d'éviter les lésions anales. "Il faut un vrai état d'émoi sexuel pour que les sphincters soient détendus et que le rapport ne soit pas douloureux", explique la sexologue. Pour Lola, la douleur fait partie du jeu: "La sodomie fait appel à un imaginaire 'trash', bestial. La première pénétration peut parfois être difficile voire un peu douloureuse. Mais c'est aussi ce qui m'excite." 

Si Lola pratique aussi souvent la sodomie -un rapport sur deux de son propre aveu-, c'est bien parce que pour elle, la pénétration anale est source d'un plaisir intense. "J'atteins des orgasmes plus puissants qu'avec un rapport 'classique'", assure-t-elle. "L'anus est pour moi une partie bien plus érogène et sensible que le vagin". Viviane, quand à elle, a connu son premier orgasme avec un homme à 26 ans... Grâce à la sodomie. 

Pour Mireille Dubois Chevalier, l'explication est simple: "On est dans une pratique totalement érotique, contrairement à la pénétration vaginale, qui, malgré tout, reste associée à la procréation. La pénétration anale demande qu'on se soumette à la puissance virile de son partenaire." La sodomie, à la limite du sado-masochisme ? C'est aussi l'avis de la sexothérapeute Violaine Gelly. Mais qu'on ne s'y trompe pas: "Entre le sado et le maso, c'est toujours le maso qui gagne. C'est lui qui tient les rênes de la relation, puisqu'il a le pouvoir d'arrêter le jeu quand il veut." 

Qu'on se le dise une bonne fois pour toutes: il est impossible de tomber enceinte en pratiquant la sodomie. En revanche, les parois de l'anus étant très delicates, il peut arriver de créer des lésions si le rapport est trop brutal, ou pas assez lubrifié. Et les selles n'étant pas stériles, les risques d'infection ne sont pas négligeables. Pour éviter les cystites et autres infections urinaires, il est aussi déconseillé de passer de l'anus au vagin sans changer de préservatif, ou sans être passé par la case 'douche'. "Si l'on commence à se poser trop de questions, c'est qu'il ne faut pas le faire", conseille toutefois le Dr Mireille Dubois Chevalier. "Après tout, le sexe est une activité qui met en danger à plus d'un niveau!" 

Après un rapport anal, il arrive d'avoir des gaz, des ballonnements, voire une forte envie d'aller aux toilettes, comme le confie Victoria, 21 ans. Et c'est pourquoi il est préférable d'être (très) à l'aise avec son partenaire afin de pouvoir se détendre après l'acte et de ne pas se cacher, mortifiée sous la couette, si un petit pet vous échappe. 

Si le taux de femmes ayant déjà pratiqué la sodomie est passé de 24% au début des années 1990 à 37% 15 ans plus tard selon l' Inserm , le rapport anal reste considéré par la majorité des femmes comme une expérience assez marginale dans leur vie sexuelle. Astrid, 31 ans, n'a eu que deux fois l'occasion de tenter l'expérience. Elle y voit un "lâcher prise total". Pour Victoria, "c'est encore plus intime que la voie classique". 

Selon Violaine Gelly, on assiste à une forme de banalisation de la représentation de la sodomie (50 Nuances of Grey), mais "cette banalisation est à double tranchant car elle peut autoriser les hommes à l'exiger de leurs compagnes. D'où l'importance d'en parler avec son partenaire si on n'est pas sure, et d'avoir la liberté de dire non." 


Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
E-santé.fr. respecte votre vie privée. Nous vous donnons un contrôle total sur les données que nous collectons et utilisons, cette confiance est une des valeurs fondamentales de notre entreprise.
L’acceptation des cookies nous permet de générer des revenus publicitaires et ainsi nous donne la possibilité de vous délivrer quotidiennement une information gratuite.
Après avoir choisi, vous pourrez revenir modifier vos préférences cookies à tout moment en cliquant sur "Vos consentements" en bas de page. Pour en savoir plus visitez notre Politique de confidentialité .
Publié par La Rédaction E-Santé , le 29/06/2018 à 18:32
L’une des principales inquiétudes lorsque l’on débute cette pratique, c’est la propreté. Beaucoup de personnes pensent, à tort, que le rectum est sale parce qu’il contient des selles. Or, ce n’est pas le cas. En dehors du processus de défécation, la cavité rectale est dépourvue de tous résidus. Si avoir une bonne hygiène intime est indispensable, elle ne doit pas être trop assidue. Les lavements, par exemple, sont à utiliser avec modération.
Contrairement au vagin, la région anale ne bénéficie pas d’un système particulier de lubrification. Mais pour que la pénétration se déroule sans douleur, elle est pourtant indispensable. Il est donc conseillé d’opter pour des préservatifs épais qui seront plus résistants aux frottements et d’utiliser des lubrifiants artificiels spécialement conçus pour la sodomie. Ces deux précautions permettront de limiter le risque de fissures anales.
Il n’est pas recommandé de pratiquer le sexe anal lorsque l’on souffre d’hémorroïdes ou d’une infection de la zone rectale. La sodomie peut occasionner de micro-lésions qui vont constituer une porte d’entrée idéale pour les bactéries. Il est donc préférable de traiter d’abord l’affection avant de s’adonner au plaisir anal. Pour des raisons annexes, il ne faut jamais passer de la pénétration anale à la pénétration vaginale. Les bactéries qui colonisent l'intestin peuvent en effet provoquer des infections vaginales ou urinaires.
Recevez encore plus d'infos santé en vous abonnant à la quotidienne de E-sante.
Votre adresse mail est collectée par E-sante.fr pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus .
Recevez nos articles et dossiers santé gratuitement.
Votre adresse mail est collectée par E-sante.fr pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus .


Société Faits divers Politique Monde Santé Justice


Publié le 15/07/14 à 16h43
— Mis à jour le 15/07/14 à 17h23



Une faute ?


0


commentaire


0

partage



Partager sur Messenger




Partager sur Facebook




Partager sur Twitter




Partager sur Flipboard




Partager sur Linkedin





Sauvegarder l'article




En vous inscrivant à cette newsletter, vous rejoignez la communauté 20 Minutes – Pourquoi je deviens membre 20 Minutes ?


La politique RSE de 20 Minutes est certifiée par le label Silver d’Ecovadis

Merci de lire 20 Minutes ! Nous respectons votre vie privée et c’est grâce à la publicité que nous vous permettons de recevoir à chaque instant une information de qualité gratuitement.
En acceptant ces cookies vous pourrez déguster l’actualité chaude et croquante, garnie avec les pépites du web , ou vous pouvez aussi Continuer sans accepter
*20 Minutes a été élue marque préférée des Français dans la catégorie presse d’information nationale, dans le cadre d’une étude réalisée en juin 2022 avec l’institut OpinionWay, auprès d’un échantillon représentatif de la population française.
Société «La performance sexuelle est l’ennemie de la première fois»

INTERVIEW L’été étant pour beaucoup d’ados la saison de l’initiation sexuelle, le Dr Corman, président du syndicat des médecins sexologues, dispense quelques conseils pour bien vivre sa première fois…
L’été est la saison de la première fois pour de nombreux jeunes. Le Dr Corman, président du syndicat des médecins sexologues dispense quelques conseils pour permettre à chacun de bien vivre sa première expérience sexuelle.
Non, car derrière cet âge moyen, se cachent des réalités différentes. Je constate dans mon cabinet, que de plus en plus de jeunes démarrent leur sexualité tôt (vers 13-14 ans) et que d’un autre côté, d’autres la commencent plus tard (vers 20-22 ans). Car les jeunes se repèrent par rapport à leur groupe d’amis. Si dans celui-ci, l’âge du premier rapport tourne autour de 14 ans, l’ado va se mettre la pression pour se conformer au reste du groupe. Par ailleurs, on assiste à des pubertés précoces chez certains garçons, qui peuvent du coup, ressentir une pression hormonale et démarrer leur sexualité tôt.
Le plaisir n’est pas donné par la nature, il se construit. Démarrer sa sexualité requiert donc une maturité psychologique et une bonne connaissance de son corps. On est prêt lorsqu’on commence à ressentir du désir et que l’imaginaire lié à la sexualité crée de l’émotion. Mais aussi lorsqu’on connaît ses limites et que l’on se sent prêt à refuser certaines pratiques, si l’on n’en a pas envie.
La première fois, ce n’est pas une histoire d’amour, mais de confiance. Il faut donc choisir une personne avec laquelle on se sente en sécurité.
Oui, car cela influe sur les pratiques. Si on fait l’amour dans un lieu en plein air en risquant d’être surpris, les rapports risquent d’être furtifs et stressants. La voiture ne permet pas non plus un confort optimal. Il vaut mieux donc attendre de trouver un lieu intime et sécurisant.
Le stress risque d’entraîner chez le garçon des pannes sexuelles et des éjaculations précoces . Et chez la fille, une fermeture vaginique. Certains jeunes boivent ou fument pour s’étourdir ou se donner du courage avant de passer à l’action. C’est une mauvaise idée, car non seulement ils ne seront pas en pleine possession de leurs moyens, mais ils risquent de ne plus écouter leurs propres limites et celles de leur partenaire. Si la peur est trop importante, il vaut mieux renoncer au rapport et patienter pour être vraiment prêt. En attendant, les corps peuvent commencer à s’apprivoiser avec des caresses et des baisers. Le préservatif pouvant aussi être une source de déconfiture, il est aussi préférable de s’entraîner à l’enfiler avant la première fois.
Celle du missionnaire, même si en termes de sensations ce n’est pas la meilleure, mais elle est rassurante et permet de passer l’épreuve avec succès. Le deuxième rapport permettra d’être plus créatif!
Pas suffisamment. Pourtant, l’idéal est de parler avec son partenaire avant ou pendant le premier rapport pour lui exprimer clairement ce que l’on accepte ou pas. Il faut par exemple refuser la fellation ou la sodomie si on ne se sent pas à l’aise avec ces pratiques. Idem lorsqu’un bug survient (éjaculation précoce, débandade…). Un vrai bide peut donner naissance à une vraie complicité entre les partenaires, à condition de ne pas laisser l’humour dans sa poche!
La performance sexuelle est l’ennemie de la première fois. Et le porno n’est pas une bonne école de la sexualité. La première fois est un rite initiatique, non un paradis des sens! L’important est de se sentir bien à deux. Certains garçons vont se sentir incompétents s’ils n’arrivent pas à faire des exploits et risquent d’en ressentir une certaine honte.
Les trois premiers rapports sexuels jouent le rôle d’empreintes que le cerveau va conserver en mémoire. Ces images peuvent fragiliser l’individu. Et contrairement aux idées reçues, les conséquences de ces premières fois ratées sont souvent plus douloureuses pour les garçons que pour les filles. Des éjaculations précoces ou des débandades peuvent créer chez une anxiété qui va ressurgir à chaque nouvelle partenaire. Les filles sont davantage préparées à des premiers rapports décevants, car on leur a parlé de la douleur qu’elles risquaient de ressentir. La plupart d’entre elles ont donc tendance à davantage relativiser. Mais celles qui ont eu la sensation de se faire avoir parce qu’elles ont accepté une pratique qui les dégoûtait peuvent aussi être bloquées par la suite et faire du vaginisme.
Si la première fois a été difficile, il faut impérativement débriefer l’expérience soit auprès d’un proche (grand frère, ami) ou d’un professionnel, afin de ne pas laisser s’installer des stress post-traumatiques.
>> Vous avez connu votre «première fois» pendant l'été? Racontez-nous dans les commentaires ou via contribution@20minutes.fr

Choix de consentement © Copyright 20 Minutes - La fréquentation de 20 Minutes est certifiée par l’ACPM


Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
E-santé.fr. respecte votre vie privée. Nous vous donnons un contrôle total sur les données que nous collectons et utilisons, cette confiance est une des valeurs fondamentales de notre entreprise.
L’acceptation des cookies nous permet de générer des revenus publicitaires et ainsi nous donne la possibilité de vous délivrer quotidiennement une information gratuite.
Après avoir choisi, vous pourrez revenir modifier vos préférences cookies à tout moment en cliquant sur "Vos consentements" en bas de page. Pour en savoir plus visitez notre Politique de confidentialité .
Publié par La Rédaction E-Santé , le 30/11/2018 à 17:00
Cela semble une évidence, mais une évidence qu’il est bon de rappeler ici : la pratique du sexe anal doit se faire avec le consentement des deux partenaires et non par obligation ou peur d'exprimer son refus. Par ailleurs, le couple doit s’entendre au préalable sur le déroulement de la sodomie, convenir de pouvoir l’interrompre en cas de douleur ou de gêne de l’un ou de l’autre.
Une des craintes du couple est que la sodomie soit une pratique « sale », c’est-à-dire que des selles maculent le sexe de l’homme quand il pénètre la femme, ou qu'elles maculent le doigt, voire le jouet sexuel de la femme quand elle l’introduit dans l’anus de son partenaire. Or, soyez pleinement rassurés : les selles ne sont pas stockées dans le rectum mais dans le gros intestin. Elles ne font que transiter par le rectum lors de l’évacuation et donc, sauf problème de diarrhées par exemple, le rectum reste propre. C’est pourquoi un lavement anal n’est pas indispensable, une douche externe suffit.
Si toutefois vous souhaitez vous rassurer, vous pouvez vous procurer une poire de lavement en pharmacie et faire un lavement anal à l’eau tiède. Mais ce genre de lavement peut affecter l’équilibre de la flore anale et intestinale, aussi doit-il être fait avec parcimonie.
Contrairement au vagin, l’anus ne se lubrifie pas naturellement. Il est donc essentiel, à la fois pour éviter la douleur lors de la pénétration et pour limi
Une bonne vidéo de lesbiennes
Sexe à la couleur des roses
Couple fait du sport et s'excite

Report Page