Les bon amis n'ont rien à cacher

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Les bon amis n'ont rien à cacher
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Vos témoignages Plus rien à cacher
Je m’appelle Morgane*, j’ai 20 ans et je suis étudiante. Je devais avoir 16 ans quand j’ai commencé à me poser des questions sur ma sexualité. En effet, au lycée, j’ai commencé à avoir des sentiments plus qu’amicaux envers une de mes meilleures amies. Je voulais la voir tout le temps et, dès qu’elle me montrait le moindre signe d’affection (amicale uniquement), cela me rendait extrêmement heureuse. J’étais amoureuse d’elle et voulais l’embrasser, la serrer dans mes bras. Mais je ne voulais surtout pas en parler à qui que ce soit, car penser pouvoir être attirée par une autre fille me dégoûtait. C’était inimaginable pour moi d’avoir ce genre de sentiment. J’avais l’impression que quelque chose clochait en moi, ou que je distinguais mal l’amitié de l’amour. Je voulais me “guérir” au plus vite de ce sentiment.
J’ai alors pensé que ce n’était que de la frustration suite à mes échecs antérieurs avec les garçons. Je me rassurais en pensant que ce n’était qu’une phase. Et pourtant, je savais très bien au fond de moi que mes sentiments étaient sincères, mais je ne voulais pas les accepter. C’était trop difficile à vivre, à assumer. Je préférais être comme “tout le monde”. Malheureusement, j’étais incapable d’en parler ; j’avais trop peur du jugement des autres, de ne plus être aimée comme avant, même si cet aspect de moi ne changeait rien à ma personnalité. Mais je voulais passer à autre chose. Alors toutes les nuits, je me répétais que c’était mal de penser ça, et que ce n’était pas moi. Si bien qu’à force, j’ai réussi à me convaincre moi-même que j’étais 100% hétéro.
Mais deux ans après, à mon arrivée à la fac, mon attirance pour les filles a refait surface. Et plus particulièrement pendant ma deuxième année, où je suis à nouveau tombée amoureuse d’une fille. Cette fois-ci, aucun doute possible : un message d’elle suffisait à me donner des papillons dans le ventre. Un soir, je suis sortie dans un bar avec elle et un ami, qui m’a révélé qu’il était bi. Je lui ai dit que moi aussi, et cela m’a fait du bien de pouvoir enfin partager ça avec quelqu’un. Cette année, la question de ma sexualité m’a obnubilée de plus en plus, et j’ai donc fini par avouer à mes meilleurs amis d’enfance que j’étais bisexuelle. Ils ont tous très bien réagi. J’ai aussi fini par dire à la fille de ma fac que j’étais amoureuse d’elle. Elle n’y croyait pas, et ne savait pas comment réagir. Je pense qu’elle m’aimait bien mais n’osait pas le reconnaître. Et moi, j’étais enfin prête à l’assumer, à sortir avec une fille. Elle a commencé à agir bizarrement, un jour à se montrer intéressée par moi, l’autre pas du tout. J’ai beaucoup souffert de la situation, mais il ne s’est rien passé.
À ce point là de ma vie, 20 ans donc, je n’étais jamais sortie avec personne, je n’avais jamais eu de relations sexuelles, et je commençais à m’inquiéter, pensant que quelque chose clochait chez moi. Et je sais maintenant que le problème est juste dû au fait que je n’arrivais pas à m’accepter. Je me cherchais beaucoup sans me trouver et me questionnais beaucoup trop. J’étais arrivée à un stade où je me disais presque que je devais coucher avec le premier mec trouvé pour me débarrasser de toutes ces questions.
Heureusement, je n’ai pas fait cette erreur et j’en suis heureuse maintenant, même si j’en ai fait d’autres, comme embrasser un maximum de mecs à chaque soirée pour me rassurer, me dire que je pouvais plaire même si je n’y trouvais aucun réel intérêt. Je pensais alors que me fixer sur mon orientation sexuelle était une priorité et que, pour cela, des rapports sexuels étaient nécessaires (ce qui est faux). En effet, j’étais complètement paumée, un jour me pensant bi, et le lendemain lesbienne. Honnêtement, je pense à présent que l’idée d’être bi était juste un moyen de me rassurer (même si actuellement je ne me considère pas lesbienne à 100% car je me dis qu’on ne sait jamais ce qu’il peut se passer demain, quelle rencontre on peut faire, et que, au final, se mettre une étiquette est inutile).
Évidemment, me considérer lesbienne me posait un problème uniquement vis-à-vis du regard de mes proches, de ma famille en particulier. J’avais très peur de les décevoir, et il me paraissait alors plus “simple” d’être bi. Ma difficulté à comprendre mon désir profond, je pense, est liée au fait que je n’arrivais pas à y réfléchir uniquement par moi-même, sans analyser mes ressentis en fonction des pensées des autres. En effet, mes amis pensaient que j’étais plutôt lesbienne. En revanche, dans ma famille, aucun d’eux ne se doutait que je me posais toutes ces questions, ils me pensaient hétéro et c’est tout. Par ailleurs, ma famille est très fière de moi et j’avais donc très peur de les décevoir en faisant mon coming out. J’ai alors essayé de trouver pour qui j’avais du désir. Et je me souviens honnêtement que j’avais du désir pour les deux sexes : les filles et les mecs. Cependant, sentimentalement, la connexion était plus facile avec une autre fille.
Je trouvais également difficile de m’assumer bisexuelle parce que beaucoup de personnes considèrent que les bis sont des homosexuel-le-s qui ne s’assument pas ou des hétérosexuel-le-s juste prêt-e-s à s’amuser (ce qui n’est évidemment pas le cas). En effet, comme j’avais dit à la fille de la fac que j’étais bi, elle m’a plus tard avoué qu’elle n’avait pas souhaité tenter quelque chose avec moi à cause de cela ; elle pensait que je n’étais pas sérieuse. Puis je suis partie en Erasmus à Londres faire mes études, et la situation s’est un peu arrangée. Ne connaissant personne là-bas, le jugement des autres m’importait moins, et lors d’une soirée en boîte, j’ai finalement embrassé pour la première fois une fille. Les étudiants de mon campus m’ont évidemment vue, et quand je suis retournée avec eux, je ne savais pas trop quoi dire. Mais j’ai été positivement surprise face à leur réaction. Ils étaient tous super contents pour moi, et cela m’a fait extrêmement plaisir, et m’a libérée. Finalement, j’ai eu plusieurs aventures à Londres plus ou moins compliquées et sérieuses avec des filles, jusqu’à rencontrer ma copine actuelle, que j’aime et qui m’aime sincèrement. On a eu tout de suite un super feeling, je parlerais même de connexion (et oui ça existe, honnêtement, moi-même je n’y croyais pas avant). C’est grâce à cela que j’ai finalement décidé de faire mon coming-out à mes parents.
Nous étions tous les trois en voyage et je cherchais le bon moment pour le dire mais j’avais peur. J’ai néanmoins eu comme un déclic, un soir, et je me suis lancée. J’ai donc dit à mes parents que j’étais lesbienne. Ils ont tous deux très bien réagi. Ma mère n’a pas été très bavarde mais a dit que l’important était que je sois heureuse et ça me suffisait amplement comme réaction. Mon père, lui, n’a pas caché sa préférence que je sois hétéro mais ça ne le dérange pas. Il s’inquiète surtout pour moi et le regard des gens (particulièrement dans le reste de ma famille). Il m’a posé pas mal de questions, ce qui montre qu’il s’intéresse à ma vie et c’est un bon point. Cela n’a absolument rien changé à ma relation avec mes parents. Au contraire, maintenant je me sens libre de tout leur raconter et je n’ai plus rien à leur cacher. Je suis heureuse.
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"On n'a rien à cacher" tel est le titre du podcast sans tabou réalisé par le collectif ResKP et produit par Trésorsmédia. Tour à tour, sous la forme d'une interview, avec simplicité mais aussi beaucoup de courage parfois, chacun se livre pour vous partager ses expériences, parler de ses tentations, de ses combats mais aussi de ses joies, de sa restauration ou de sa délivrance. Ainsi vous découvrirez que ces jeunes rescapés sont avant tout des gens comme vous... des jeunes ordinaires secourus d'une manière totalement extraordinaire. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
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Guibens ne rêvait pas de devenir narcotrafiquant, mais, bien malgré lui, influencé par son entourage et déçu par la vie, il a été pris dans les mailles du filet. Il n'a finalement que 15 ans lorsqu'il commence à vendre du cannabis dans son collège, en Guyane... Fasciné par la "belle vie" des grands dealers avec lesquels il travaillait, Guibens voulait devenir le dealer le plus craint du pays...S'interdisant d'avoir peur, il prenait tous les risques. Mais aujourd'hui, Guibens n'est plus le même et c'est en prison que sa nouvelle vie a commencé. Découvrez comment le coeur de Guibens a été totalement transformé dans ce nouvel épisode de notre podcast "On n'a rien à cacher" ! Un podcast du collectif ResKP #reskp #drogue #narcotrafiquant #dealer #prison Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
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Fausse couche... vivre après la perte d'un bébé
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De manière assez systématique, lorsqu'on évoque la question de l'adoption, la plupart des gens pensent adopter un enfant étranger mais savez-vous qu'aujourd’hui en France, près de 3000 enfants sont adoptables ? Il faut d'ailleurs préciser qu'une majorité d’entre eux ont été confiés à l’adoption dès leur naissance après un accouchement sous le secret... Lucas a été éligible à l'adoption et a grandi en famille d'accueil, il a accepté de nous raconter son histoire, comment il a pu se construire et trouver sa place malgré l'abandon. Ne manquez pas son touchant témoignage dans un nouvel épisode de notre podcast "On n'a rien à cacher". Un podcast du collectif ResKP Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans la logique des choses, nous naissons, nous grandissons, nous fondons notre propre famille et formons des tas de projets. Nous nous réalisons professionnellement, nous construisons notre maison, nous marions à notre tour nos enfants puis nous enterrons nos parents et enfin nous mourons... Mais parfois il arrive que ce schéma ne se passe pas de cette manière. Il arrive en effet malheureusement que des parents soient amenés à enterrer leurs enfants. C'est justement le cas de la famille de Cornélia qui a dû enterrer sa petite sœur Rebecca, décédée à la suite d'une grippe à l'âge de 13 ans... Face à un tel drame, il est légitime de se demander "pourquoi"... Pourquoi elle ? Pourquoi si jeune ? Comment ces familles endeuillées arrivent-elles à continuer de vivre après le décès d'un enfant ? Cornélia a accepté de nous raconter ce qui s'est passé dans sa famille. Ne manquez pas son témoignage dans un nouvel épisode de notre podcast "On n'a rien à cacher". Un podcast du collectif ResKP Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
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Avez-vous déjà vu le film "Hitch, expert en séduction" avec les célèbres Will Smith et Eva Mendes ? Dans ce film, Will Smith est le "Doctor Love", une sorte de coach spécialisé en séduction pour les hommes malchanceux en amour avec la gent féminine. Seulement, bien qu'il sache donner de très bons conseils aux autres, le "doctor love" ne sait pas s'y prendre quand il s'agit de sa propre vie, il semble souffrir d'un profond besoin d'être aimé. Bien sûr il s'agit d'une fiction... Mais ce film ne met-il pas le doigt sur une corde sensible ? Les séducteurs/trices ont-ils/elles tous véritablement confiance en eux/elles ? Notre besoin de plaire n'est-il pas le signe de notre besoin d'être aimé ? Edwin n'est pas "Hitch", mais il a, lui aussi, eu l'occasion de pratiquer l'art de plaire ou de séduire... Il a d'ailleurs accepté de nous en parler dans un nouvel épisode de notre podcast "On n'a rien à cacher". Ne manquez pas son interview ! Un podcast du collectif ResKP #onnarienacacher #reskp #seduction #seduire Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Merci pour ces témoignages vécus qui sont donnés avec tant d’authenticité
Bravo à vous de parler avec courage de tout ce que vous avez vécu. merci pour cet encouragement pour nous !


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