Les aventures de María jeune fille colombienne

Les aventures de María jeune fille colombienne




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Les aventures de María jeune fille colombienne
À propos de "El Mohán" de Maria Inés McCormick (Colombie)
Description des activités de Laurence H Traductions Anglais/Français Espagnol/Français
Parmi les projets de publication de traduction qui me tiennent à coeur, il y a les livres jeunesse de l'écrivaine colombienne María Inés McCormick ... Et en particulier celui qui s'intitule "El Mohán", du nom du personnage d'une légende amazonienne !
Présentation par Ediciones SM, Colombia, 2012 :
Esperanza vit dans un village [au bord d’un fleuve amazonien], elle est maman de quatre enfants. Sa fille aînée, Luisa, et son fils, Manuel, partent tous les deux en bateau au village voisin. Les heures passent et la nuit arrive. Esperanza commence à avoir peu car ils ne rentrent pas. On murmure que le Mohán a pu enlever la fillette et noyer le jeune garçon dans le fleuve. Réécriture réussie d'une légende paysanne avec un dénouement totalement inattendu.
Luisa et Manuel partent rendre visite à leur marraine sous le regard un peu inquiet d'Esperanza, leur maman. Un orage les emmènera à la rencontre d'un personnage dont tout le monde parle et que personne n'aime.
Au delà de la réécriture d'une légende fascinante, mystérieuse et inattendue, "Le Mohán" de Maria Inés McCormick fait la description de magnifiques paysages et des coutumes de ceux qui vivent sur les rivages de ces imposants fleuves colombiens.
Critique par Beatriz Helena Robledo
(…) Cette version de la légende du Mohán imaginée par Maria Inés McCormick prend place dans un environnement familial : on y retrouve la maman, Esperanza, son mari, Alberto, le grand-père, Evaristo, et plusieurs enfants dont les protagonistes : Manuel, dix ans, et Luisa, treize ans. Les enfants partent en canoë sur le fleuve pour se rendre chez leur marraine qui a confectionné une tenue d'anniversaire pour Luisa. C'est ainsi que débute l'aventure qui tiendra le lecteur en haleine. Surpris par une averse torrentielle, les enfants tardent à rentrer et, pour accompagner la maman dans son attente, ses voisines et ses amies viennent l'entourer et la soutenir en racontant des histoires, en particulier des histoires de jeunes hommes et de jeunes filles que le Mohán auraient emportés. Grâce aux murmures des commères, Maria Inés McCormick parvient à créer un entrelacs de récits ; elle parvient aussi à donner une ambiance à son histoire en décrivant la nature sauvage qui entoure le fleuve et le port et en localisant les péripéties dans la géographie réelle du pays, ce qui apporte de la crédibilité au conte qui navigue entre réalisme et légende : "Il passa dans les ports de La Jabonera, de la Rumbosa et du Cachimbo en criant son nom aux quatre vents. Ne le trouvant pas là, il alla le chercher dans les cascades de Boluga, du Triste, des Ánimas et de Barreño, et dans les lagunes de Yaberco et de Totarco. Il chercha sa trace près des mares du Tambor et des Claros, et dans les détroits du fleuve Recio." Elle réussit aussi le dénouement de son histoire que nous laissons à la curiosité des lecteurs. (…)
Elle est Colombienne, née à Bogotá en 1975. Journaliste et communicante, elle a dirigé une revue pour enfants et c'est de là que lui est venue son envie d'écrire pour eux. Elle a obtenu en 2008 le Prix de Littérature de Jeunesse El Barco de Vapor – Bibliothèque Luis Ángel Arango pour son premier roman jeunesse, "Patricio Pico y Pluma en la extraña desaparición del Doctor Bonett". "El Mohán" est le troisième des cinq livres qui sont publiés en Colombie à ce jour. Maman d'une petite fille, elle vit aujourd'hui en France avec sa famille.
Paula est née à Medellín en Colombie et elle a toujours su qu'elle voulait dessiner. Aujourd'hui, elle partage son travail entre la création textile et l'illustration. Son blog permet de découvrir son univers pictural vraiment très expressif.
Liens où l'on parle de « El Mohán » :
Dossier de projet de traduction préparé par Laurence Holvoet
QUESTIONS À DARÍO JARAMILLO AGUDELO (NOVEMBRE...
Invitée par les Collecteurs le 17 novembre dernier à venir parler de l'oeuvre de Darío et de la traduction de... » Lire la suite
INTERVIEW SUR RADIO CLAPAS À L'OCCASION DE LA...
Merci Marc Ossorguine ! Pour en savoir un peu plus sur la "Mécanique d'un homme heureux" de Darío Jaramillo... » Lire la suite



Afficher / masquer la barre latérale











Sur cette version linguistique de Wikipédia, les liens interlangues sont placés en haut à droite du titre de l’article. Aller en haut .

4.1 Contexte et notoriété du roman adapté

5.3 Polémique sur les droits d'auteur
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Scène du film, dans laquelle Efraín rêve qu'il se marie avec María, avec une technique de surimpression pour montrer deux fois le même personnage à l'écran.

↑ Selon les sources, le prénom est orthographié Stella ou Estela .

↑ Citation originale : « Lea este libro maravilloso y estudie la posibilidad de fumarlo. »

↑ Littéralement : « Les origines du cinéma national » .

↑ Citation originale : « El éxito en todo el país y los países de habla hispana fue tan grande que se envió el negativo al Estados Unidos para sacar nuevas copias de mejor calidad. »



↑ Revenir plus haut en : a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z et aa (es) El'Gazi 1999 .

↑ Revenir plus haut en : a b c d e f g h i j k l m et n (es) « María » [ archive ] , Proimágenes Colombia (consulté le 30 avril 2014 ) .

↑ Revenir plus haut en : a et b (es) Juana Suárez, Cinembargo Colombia : Ensayos críticos sobre cine y cultura , Universidad del Valle , décembre 2009 , 218 p. , p. 28 .

↑ Revenir plus haut en : a b c et d (es) « Cinematografía - Caliwood » [ archive ] , Caliwood Museo de la Cinematografía (consulté le 29 octobre 2016 ) .

↑ (es) Largometrajes colombianos en cine y video 1915-2005 , Bogota, Fundación Patrimonio Fílmico Colombiano , 2005 , 352 p. ( ISBN 958-95510-2-5 , lire en ligne [ archive ] [PDF] ) , p. 21 .

↑ (es) Concha Henao 2014 , p. 274.

↑ Revenir plus haut en : a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v et w (es) « Entrevista con Máximo Calvo » [ archive ] , dans Salcedo Silva 1981 .

↑ Revenir plus haut en : a b c et d (es) Historia del cine colombiano 2012 .

↑ (es) Jorge Nieto et Diego Rojas , Tiempos del Olympia , Bogota, Fundación Patrimonio Filmico Colombiano, 1992 , 132 p. ( ISBN 958-95510-1-7 ) .

↑ (es) « Entrevista con Donato Di Doménico » [ archive ] , dans Salcedo Silva 1981 .

↑ Revenir plus haut en : a et b Angélica-Maria Mateus Mora , Cinéma et Audiovisuel latino-américain : L'Indien, Images et Conflits , Paris, Éditions L'Harmattan , 2012 , 266 p. ( ISBN 978-2-296-99706-6 , lire en ligne [ archive ] ) , p. 73 .

↑ (es) Diego Rojas Romero , « Cine colombiano : primeras noticias, primeros años, primeras películas » , Revista Credencial Historia , n o 88,‎ avril 1997 ( lire en ligne [ archive ] ) .

↑ (es) « Fin del periodo "primitivo" » [ archive ] , dans Salcedo Silva 1981 .

↑ (es) Ricardo Rivadeneira, « El drama del 15 de octubre, Francesco y Vincenzo Di Doménico » , Revista Arcadia ,‎ 23 janvier 2014 ( lire en ligne [ archive ] ) .

↑ Revenir plus haut en : a et b (es) Pedro Adrián Zuluaga, « Noviembre 21 de 1915 : El cine que no pudo ser » , Semana ,‎ 30 mai 2004 ( lire en ligne [ archive ] ) .

↑ Revenir plus haut en : a et b Nicolas Balutet , Histoire de la littérature latino-américaine , Lyon, Confluences & Traverses, 2008 , 66 p. ( ISBN 978-2-9530280-1-0 ) , p. 15 .

↑ (es) José Eduardo Rueda Enciso , « Esbozo biográfico de Jorge Isaacs » , Revista CS , n o 4,‎ 1 er juin 2009 , p. 29-30 ( ISSN 2011-0324 , lire en ligne [ archive ] [PDF] ) .

↑ (es) « La literatura fue su redención » , El Tiempo ,‎ 17 avril 1995 ( lire en ligne [ archive ] , consulté le 21 octobre 2016 ) .

↑ Revenir plus haut en : a b c d e f g h et i (es) Concha Henao 2014 , p. 268-270.

↑ Revenir plus haut en : a et b (es) Extranjeros en el cine colombiano I , Cinemateca Distrital, coll. « Cuaderno » ( n o 7), 2005 , 56 p. ( lire en ligne [ archive ] [PDF] ) , p. 30 .

↑ (es) Pedro Adrián Zuluaga, Luis Ospina et Carlos Santa, « Otros escenarios de la investigación cinematográfica: Procesos curatoriales, investigación documental y creación artística » [ archive ] [PDF] , 2009 , p. 6.

↑ Revenir plus haut en : a b et c (es) Dacid Potes, « Foxtrot de una época » , El Tiempo ,‎ 13 novembre 2015 ( lire en ligne [ archive ] , consulté le 17 octobre 2016 ) .

↑ Revenir plus haut en : a b c d et e (es) « Actores - Caliwood » [ archive ] , Caliwood Museo de la Cinematografía (consulté le 18 octobre 2016 ) .

↑ (es) Yamid Galindo Cardona, « María, primer largometraje del cine colombiano » , Cali Cultura ,‎ 1 er février 2013 ( lire en ligne [ archive ] ) .

↑ Revenir plus haut en : a et b (es) Concha Henao 2014 , p. 276.

↑ Revenir plus haut en : a b c d et e (es) Concha Henao 2014 , p. 275-276.

↑ Revenir plus haut en : a b c d e et f (es) Concha Henao 2014 , p. 277.

↑ Revenir plus haut en : a b c d et e (es) Concha Henao 2014 , p. 278.

↑ (es) Concha Henao 2014 , p. 279.

↑ Revenir plus haut en : a b c d e f g h i j et k (es) Concha Henao 2014 , p. 281.

↑ Revenir plus haut en : a et b (es) Collectif, Colombia. La apertura al mundo (1880-1930) , t. 3, Taurus, 2015 , 400 p. ( ISBN 978-84-306-1747-0 , lire en ligne [ archive ] ) .

↑ Revenir plus haut en : a et b (es) Concha Henao 2014 , p. 286.

↑ (es) Concha Henao 2014 , p. 290.

↑ (es) Juana Salamanca Uribe , « El nacimiento de las industrias culturales » , Credencial Historia , n o 268,‎ 1 er avril 2012 ( lire en ligne [ archive ] ) .

↑ Revenir plus haut en : a b et c (es) Concha Henao 2014 , p. 280.

↑ Revenir plus haut en : a b et c (es) « María, el Tesoro del Caliwood » , El País , Cali,‎ 12 juillet 2015 ( lire en ligne [ archive ] , consulté le 20 octobre 2016 ) .

↑ Revenir plus haut en : a et b (es) Juan Carlos González A., « Los años maravillosos de 'Caliwood' » , El Tiempo ,‎ 13 juillet 2016 ( lire en ligne [ archive ] , consulté le 17 octobre 2016 ) .



Cet article est reconnu comme « bon article » depuis sa version du 23 janvier 2017 ( comparer avec la version actuelle ) . Pour toute information complémentaire, consulter sa page de discussion et le vote l'ayant promu .
La version du 23 janvier 2017 de cet article a été reconnue comme « bon article », c'est-à-dire qu'elle répond à des critères de qualité concernant le style, la clarté, la pertinence, la citation des sources et l'illustration.





La dernière modification de cette page a été faite le 7 février 2022 à 11:34.
Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques . En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence .
Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc. , organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.



Politique de confidentialité
À propos de Wikipédia
Avertissements
Contact
Version mobile
Développeurs
Statistiques
Déclaration sur les témoins (cookies)
Modifier les paramètres d’aperçu











Pages pour les contributeurs déconnectés en savoir plus


Sommaire

déplacer vers la barre latérale


masquer


Pour les articles homonymes, voir Maria .

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Premier long métrage de fiction cinématographique réalisé en Colombie, ce film est une adaptation du roman du même nom de Jorge Isaacs . Il relate l'histoire d'amour entre Efraín, fils d'un riche propriétaire d' hacienda , et sa cousine germaine María. Si la plupart des sources disent que l'initiative de produire María serait due au prêtre franciscain Antonio José Posada, d'autres indiquent que l'idée reviendrait à Alfredo del Diestro. Le tournage, qui débute en octobre 1921 , se déroule en partie dans les mêmes lieux que le roman, notamment dans l' hacienda El Paraíso . Ce long métrage est présenté pour la première fois le 20 octobre 1922 à Buga et à Cali .

Ce film est au centre de ce qui est considéré comme la première polémique sur les droits d'auteur dans l'industrie cinématographique colombienne, lorsque la famille Isaacs intente un procès contre Valley Film, la société de production du film, que cette dernière remporte. Cette controverse provoque l'interdiction de projection du film par les autorités locales dans plusieurs villes colombiennes, mais cette affaire juridique sert aussi de publicité additionnelle au film, qui bat des records d'affluence en Colombie.

C'est le seul film colombien de l'époque à être projeté dans les salles nationales durant plusieurs années. Si ce long métrage est un succès au niveau national, il aurait été un échec à l'étranger. L'accueil positif et le succès commercial de María permettent de donner une impulsion à la production cinématographique colombienne, d'autres producteurs étant à l'origine d'une vingtaine de films pendant l'époque du cinéma muet.

Malgré son importance, il ne reste aucune copie du film ; seul un fragment de 25 secondes a pu être préservé, ainsi que quelques dizaines de photographies. Un court métrage documentaire, En busca de María a été réalisé en 1985 par Luis Ospina et Jorge Nieto, avec la volonté de retracer l'histoire du tournage de María .

Ce film est une adaptation du roman du même nom de Jorge Isaacs , qui relate l'histoire d'amour entre Efraín et María [ 1 ] . Dans la mesure où il ne reste qu'un fragment de 25 secondes du film [ 2 ] , l'adaptation ne peut être suffisamment analysée, mais il est très probable qu'elle ne soit pas très différente de l'œuvre littéraire [ 3 ] . En effet, le fait que le roman soit un best-seller , donc familier du public, est censé garantir un certain succès au film à sa sortie [ 3 ] .

María relate l'histoire d'amour entre Efraín, fils d'un riche propriétaire d' hacienda dans le Valle del Cauca , qui étudie à Bogota , et sa cousine germaine María [ 2 ] . Lors de l'une de ses visites à l'hacienda, le jeune homme fait la connaissance de María et tous deux tombent amoureux [ 2 ] . Cependant, Efraín doit partir en Europe pour compléter son éducation [ 2 ] . Pendant son absence, María, qui est atteinte d'une maladie grave, meurt après une lente agonie, soupirant toujours d'amour pour Efraín [ 2 ] . Lorsque ce dernier revient en Colombie, il ne lui reste plus que la tombe de sa bien-aimée et une immense douleur [ 2 ] .

Selon Máximo Calvo, deux autres actrices, dont il ne se rappelle pas le nom, ont également joué dans María : une Italienne, Lucia, dans le rôle de l'épouse de José, et Elvia, originaire de Buga , dans le rôle de Tránsito [ 7 ] .

Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.

Au début des années 1900 , l' essor économique de la Colombie favorise le développement du cinéma, ce qui permet à beaucoup de films d'être importés et à plusieurs salles de cinéma d'être construites, comme le Gran Salón Olympia (es) de Bogota, inauguré le 8 décembre 1912 [ 9 ] . Les frères italiens Di Domenico s'installent à Bogota en 1909 [ 10 ] avant de créer en 1913 la Société industrielle cinématographique latino-américaine (en espagnol : Sociedad Industrial Cinematográfica Latinoamericana ou SICLA) [ 11 ] , [ 12 ] . Cette initiative est considérée par l'historien du cinéma colombien Luis Alfredo Álvarez comme étant « la première tentative organisée d'un cinéma national » [ 11 ] . Les frères Di Domenico profitent de l'assassinat du général Rafael Uribe Uribe , le 15 octobre 1914 , pour sortir, un an plus tard, le long métrage El drama del 15 de octubre [ 13 ] , considéré comme le premier documentaire cinématographique réalisé en Colombie [ 14 ] . Néanmoins, le scandale qui suit sa sortie et les gros titres des journaux, qui le qualifient de « film immoral » , sont la marque d'un échec cinglant pour les frères Di Domenico et pour l'industrie cinématographique nationale naissante [ 15 ] . En effet, la tentative avant-gardiste d'attirer le public avec un sujet d'actualité sensible a pour conséquence de stopper net le projet d'une production régulière de films les années suivantes [ 15 ] . Il faut ainsi attendre sept ans pour qu' Alfredo del Diestro et Máximo Calvo Olmedo réalisent, en 1922 , le premier long métrage de fiction colombien, María [ 1 ] .

Pour le scénario, ils choisissent d' adapter le seul roman de Jorge Isaacs , María (publié en 1867 ), qui est devenu l'une des œuvres les plus notables du romantisme de la littérature espagnole [ 16 ] . Considéré comme un des chefs-d'œuvre de la littérature hispano-américaine, María raconte plusieurs histoires d'amour impossibles, les personnages appartenant à des classes sociales ou des ethnies différentes, notamment celle entre Efraín et sa cousine María [ 16 ] . Dès sa première édition, le livre est un succès littéraire, José Joaquín Ortiz déclarant dans le journal La Caridad, lecturas del hogar que les vers de ce volume « furent accueillis avec un rare enthousiasme » [ 17 ] . Le succès de María est rapide, cette œuvre étant éditée en 1870 au Mexique , en 1874 en France , en 1882 en Espagne et en 1890 aux États-Unis [ 18 ] .

Les explications diffèrent à propos de l'origine du projet.

Selon la plupart des sources [ 19 ] , l'idée du film vient du prêtre franciscain Antonio José Posada, un Colombien résidant alors au Panama [ 7 ] . Passionné de théâtre et de cinéma [ 1 ] , il a vu plusieurs films de l'Espagnol Máximo Calvo Olmedo , dont Guerra entre Panamá y Costa Rica [ 7 ] . En 1921, il propose à Calvo, alors au Panama, de réaliser un film d'après le roman María de Jorge Isaacs [ 1 ] . Pour cela, il se rend à l'établissement de photographie du réalisateur et lui donne un exemplaire du roman, lui déclarant : « Lis ce livre merveilleux et étudie la possibilité d'en faire un film [ N 2 ] » [ 7 ] . Malgré quelques réticences au début, Calvo est finalement enthousiasmé par sa lecture et décide d'en réaliser une adaptation [ 7 ] . De retour en Colombie, il parle de ce projet à Alfredo del Diestro , alors de passage dans le Valle del Cauca [ 1 ] . Ils décident de rechercher des financements et l'appui de membres solvables de la société vallecaucana [ 1 ] . Grâce à l'aide financière de Federico López, un dentiste revenu de Jamaïque où il était ambassadeur de Colombie, et des membres de la famille Salcedo vivant à Buga qui se joignent à l'aventure, la société de production Valley Film est fondée [ 1 ] . Posada envoie également de l'argent à Calvo pour l'achat de matériel, à savoir 12 000 pieds de négatifs , 10 000 de positifs et une peinture spéciale pour le visage et les mains des artistes [ 1 ] .

D'autres sources proposent
Ces ravissantes étudiantes aiment baiser avec le prof
Une amatrice chaude se masturbe seule
Je n’avais jamais rencontré de Latino avant et ce mec me rendait folle

Report Page