Les attouchements de deux teens en ruts
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Les attouchements de deux teens en ruts
dimanche 28 août 2022, Saint Augustin
Vie locale , Lot-et-Garonne
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Deux petites filles, l'une née en 1994, l'autre en 1998, vivent chez leur père en cette année 2001, depuis qu'il en a obtenu la garde. Au mois de juillet, il voit l'aînée baisser sa culotte, dans le salon, et il ne comprend pas son attitude. Elle explique alors qu'elle le faisait chez sa mère, devant le nouveau compagnon de cette dernière et que l'homme lui touchait le sexe. Le père va aussitôt porter plainte à la gendarmerie de Lavardac. Plus tard, la benjamine parle à son tour d'attouchements sexuels que lui aurait fait subir le même individu, un homme de 47 ans, qui comparaissait hier devant le tribunal correctionnel d'Agen. La présidente, Jeanine Brault, soulignait la constance des déclarations des deux enfants et s'étonnait auprès du prévenu qui niait en bloc, tout en gardant un calme persistant. « Tout cela a été raconté par le père. Il voulait récupérer son ex-compagne ». Mais les coïncidences troublent la présidente. Car une autre plainte a été déposée pour des faits identiques par une précédente compagne du prévenu. Sa fille, née en 1986, aurait subi les mêmes sortes d'attouchements de 1994 à 2001. « C'est un complot, je ne comprends pas. Ils ont dû se rencontrer », avance le prévenu. « Pourtant, précise Jeanine Brault, rien n'a permis lors de l'enquête de mettre en évidence un quelconque lien entre les plaignants dans les deux affaires ».
Me Sylvie Brussiau, qui représentait le père des deux petites filles, demandait un euro de dommages et intérêts symbolique, s'attachant essentiellement à la mise à jour de la vérité. Me Catherine Joffroy s'appuyait sur les contradictions des déclarations des petites filles pour démontrer qu'elles ne récitaient pas une leçon et réclamait 5 000 € de dommages et intérêts pour chacune d'entre elles. Me Sandrine Derisbourg estimait que le témoignage d'une amie de la troisième fille, celle née en 1986, mettait à bas l'hypothèse d'un complot. Elle affirmait avoir tenté pendant plus d'un an de persuader sa copine d'aller révéler les attouchements dont elle se plaignait parfois quotidiennement.
Le procureur, Marie-Bernadette Duhaa requérait 18 mois de prison avec sursis. Me Rummens défendait le prévenu et la thèse des réponses soufflées par les parents et parfois presque trop spontanées pour être sincères. Il demandait la relaxe au bénéfice du doute. Le tribunal rendra son délibéré le 9 mars prochain.
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L'AGRESSION SEXUELLE sur deux fillettes sera finalement jugée le 22 octobre. Hier, le tribunal correctionnel de Melun devait juger, dans le cadre d'une comparution immédiate, un homme de 40 ans accusé d'avoir agressé sexuellement deux fillettes, de 4 et 7 ans, samedi après-midi à Dammarie-les-Lys.
Un agresseur atteint de schizophrénie
Les deux enfants étaient chez leur grand-mère quand le voisin leur a proposé de venir chez lui voir un film. Sauf qu'à peine arrivées dans son salon, les fillettes ont été victimes d'attouchements. L'accusé a même en partie déshabillé l'aînée, avant de baisser son propre pantalon. Il a reconnu les attouchements dès son arrivée au commissariat, après que les fillettes aient dénoncé les faits.
« Je ne sais pas ce qui m'a pris, je n'étais pas dans mon état normal, je n'ai pas pris de plaisir, a tenté d'expliquer l'homme qui vit d'une allocation d'adulte handicapé. Ã?a a duré cinq minutes, elles ne se sont pas débattues, sinon je les aurais laissées partir. » L'agresseur, au casier vierge mais au lourd passé de malade atteint de schizophrénie, a arrêté son traitement psychiatrique depuis deux mois et ses parents assurent que les faits sont liés à cet état. Le tribunal a donc préféré juger les faits plus tard, le temps qu'une expertise psychiatrique plus complète soit établie. L'homme a été placé sous mandat de dépôt.
Il encourt une peine allant jusqu'à sept ans de prison.
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Jeudi après-midi, vers 17 h, deux garçons ont renversé le canoë de deux jeunes filles sur le Gardon à Collias (Gard). Les mineurs ont ensuite volé leurs effets personnels. Et ils se sont livrés à divers attouchements de nature sexuelle, comme le rapporte Midi Libre .
Les deux agresseurs ont été interpellés par les gendarmes et placés en garde à vue. Une enquête a été ouverte pour vol, agression sexuelle et mise en danger de la vie d’autrui.
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