Les amis sont fait pour s'aider

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Les amis sont fait pour s'aider
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Les amitiés se font et se défont, c’est comme ça pour tout le monde et un jour, on finit par tomber sur les personnes qui resteront toujours à nos côtés. Ian n’avait pas énormément d’amis, il en avait eu dans les établissements où il avait enseigné, mais ça n’était pas non plus des liens forts. Heureusement, il avait quelques personnes sur qui il pouvait compter, comme Cailin, Cheyenne et Pacey. Avec ce dernier, l’américain passait toujours de bons moments et ces derniers étaient toujours mémorables. Il savait donc du jeune homme qu’il était doué dans son métier et qu’il était marié. Il semblait tout à fait heureux en ménage et c’était une très bonne chose aux yeux d’Ian qui lui était célibataire depuis des années. Il ne comptait pas se caser, même si l’envie de fonder une famille lui donnait envie depuis quelques temps déjà. Malheureusement, il n’avait pas encore trouvé la femme qui pourrait le rendre heureux et avec qui il voudrait fonder une famille. Du coup, il était content que Pacey lui ait trouvé une femme qui l’aime et avec qui il se sente bien. Malgré tout, il voyait bien que quelque chose clochait. Son ami semblait parfois ne pas avoir envie de parler de sa vie de couple. Evidemment, il pouvait comprendre que c’était privé, mais ça semblait l’embêter sur certains points. L’enseignant insistait parfois, mais rien n’avait filtré chez l’autre homme. Ce dernier ne parlait pas de ses problèmes, enfin en tout cas de celui ou ceux qui l’embêtaient dans son couple. Il espérait en tout cas que les choses s’arrangeraient et il avait décidé de passer du temps avec le jeune homme. Il lui avait proposé de se retrouver en ville en soirée. Ian avait des cours toute la journée, jusqu’à 18h et ensuite, il voulait rester une heure, tranquille chez lui. Finalement, il partit retrouver son ami dans un bar et il le vit qui était déjà arrivé. Salut. Ca va ? Souriant, il lui serra la main et tout en l’écoutant parler, lui ouvrit la porte du bar, pour y entrer et aller prendre place à une table où il pourrait être tranquille. Comment va madame Stenfler ? Assit à table, il sourit en regardant le jeune homme. Il ne comptait pas l’ennuyer sur le sujet, il voulait juste prendre des nouvelles de la jeune femme et savoir si tout allait bien entre eux. Elle a commencé sa nouvelle année ? Oui, il savait que la jeune femme était étudiante à Berkeley, mais il ne l’avait pas encore rencontré. Il savait qu’elle n’étudiait pas la médecine, du coup il ne la voyait pas et ne savait donc pas si ce début d’année scolaire lui allait ou pas.
Deux mois et demi de mariage déjà… Que le temps passe vite ! Sur mon petit nuage du septième ciel, je profitais de chaque instant passé avec mon épouse. Vivant encore séparés, on ne pouvait se voir tous les jours. Cela était dur. Mais bizarrement j’en étais tout aussi soulagé. J’avais une peur bleue qu’en vivant sous le même toit, notre relation se dégrade et qu’elle me quitte. Dans ma pitoyable vie amoureuse, je n’avais compris qu’une seule et unique rupture et il m’avait fallu presque trois années pour en guérir. Quoique pas totalement soigné, il m’en restait encore quelques séquelles. J’espérais un jour en être débarrassé pour combler ma dulcinée. Elle ne méritait pas une simple liaison platonique la pauvre. Romane voulait bien plus que cela. Pourtant j’étais encore incapable de lui offrir cette partie là de mon être. Misérable ! J’étais un mari purement misérable. Et je ne savais que faire pour remédierà cela. Je pensais être un cas littéralement désespéré. Peut être qu’il ne faudrait pas grand-chose pour me décoincer. Si tel était le cas, quelle était donc la méthode à employer ? J’étais perdu. Mon ex me disait que je devais consulter un spécialiste. Peut être avait elle raison. Mais honnêtement, je ne me voyais pas parler de ma vie intime inexitante avec un psy. Ce soir, j’avais rendez vous avec Ian. Un ami qui aurait pu aussi bien être un collègue si je travaillais encore sur le campus de Berkeley. Cet enseignant menait une double vie plutôt intéressante. Je devais bien l’admettre. Même si jamais je n’oserai faire la moitié des choses que lui pouvait faire en charmante compagnie… « Hey ! Ca peut aller et toi ? » Ne nous attardant pas sur le bas de la porte, nous entrions dans le bar. Ian passa commande. J’en fis de même à la suite. « Je prendrais une menthe à l’eau s’il vous plait. Merci ! » Depuis mon mariage avec Romane, je restais clean de toute addiction. L’alcool faisant partie. « Elle va plutôt bien je dirais. Enfin je pense… Sinon elle n’a pas encore repris les cours. » Le barman nous servit. [b] « Comment s’est passée ta rentrée ? Tu n’as pas retrouvé une de ts clientes dans ta salle de classe j’espère. » Comme d’habitude, pour éviter tout malaise autour de ma petite personne, je changais de conversation. En taquinant si possible. Sinon ce ne serait pas drôle !
Sortir ne serait pas de trop. Au moins pour une fois, il n’aurait pas à récupérer une cliente. Même si certaines pouvaient être agréables, il voulait quand même rester avec ses amis et Pacey en faisait partit. Du coup, après les cours et un passage chez lui, il repartir en ville pour rejoindre le jeune homme. Il savait qu’il passerait une bonne soirée, parce que Pacey était du genre gentil. Il n’était pas un mauvais garçon et il avait le cœur sur la main. Le genre de personne qu’on veut garder dans son entourage et qui sont clairement en voie d’extinction. Une fois sur place, il alla le saluer, commençant par les civilités d’usages et il sourit à sa réponse. Ca va bien, merci. Entrant dans le bar où ils allaient pouvoir discuter tranquillement, ils prirent place dans un coin plutôt tranquille, en tout cas pour le moment et Ian passa sa commande, avant de demander alors des nouvelles de la femme de son ami. Les cours n’avaient pas encore commencés pour la jeune femme. Ils devaient sans doute en profiter pour passer du temps ensemble, enfin, c’était ce que lui pensait. En écoutant la question du jeune homme, il avala une gorgée de sa boisson et hocha la tête. Non, je n’ai pas eu ce problème et j’espère que ça ne sera jamais le cas. C’est vrai qu’il se voyait mal voir une étudiante ou même une enseignante avec qui il aurait passés une nuit ou même plusieurs. En étudiante, normalement je n’aurai pas ce problème, enfin ça dépend de l’âge. Evidemment, il restait chez les majeures, il se voyait mal aller vers des mineures. Mais, il comprenait la question du jeune homme. Sinon ça s’est plutôt bien passé. J’ai vu quelques enseignants qui ont l’air plutôt sympa. Noah, même si ce dernier semblait l’éviter comme la peste, malgré tout, il avait été poli au départ. Mais Ian ne savait pas que Noah connaissait son second métier et qu’il ne voulait pas fréquenter une personne mettant son corps aux enchères. Avec Nick, ça s’était bien passé et il avait fait la connaissance de deux femmes, mais qui n’étaient pas enseignantes, il s’agissait de Cheyenne et Lucy et il les appréciait, même si pour l’instant, il avait beaucoup plus parlé à la première. Pour les étudiants, ça reste encore à voir. Avec certains le courant est tout de suite passé. Comme Aidan, Wren, Davy et bien d’autres. Par contre, pour d’autres, ça reste à voir. Benedikt, avec qui il avait passé une nuit quelques mois auparavant et qu’il avait vu tout d’un coup débarqué. Mais également Pavel, pour qui Ian ne restait insensible, mais il refoulait tout cela. Toi ton boulot ça se passe bien ? Avalant une nouvelle gorgée de son verre, il savait que son ami avait souvent du travail, mais qu’il savait le gérer pour ne pas être débordé.
J’étais plutôt gêné lorsqu’Ian me demanda des nouvelles de Romane. J’aimerai savoir moi-même si elle allait aussi bien que je l’espérait. Mais sérieusement j’en doutais un peu. Ca faisait environ un quinzaine de jours que je ne l’avais pas vu. Pour nos deux mois de mariage, au lieu de consommer notre amour comme je l’avais secrètement voulu, on s’était disputé. On s’était séparé. Décidément, j’étais incapable de rester en couple. Il fallait toujours que je détruise tout. C’était comme une manie chez moi. J’avais enfin trouvé la femme parfaite. Celle que j’avais toujours recherché. Mon âme sœur. Ma moitié. Et pour des bêtises tels de la broutille, je l’avais perdu. Deux semaines que je me rongeais les ongles à sang en demandant où elle était. Ce qu’elle faisait. Avec qui elle était. Deux semaines à la pleurer à la moindre occasion de solitude que je rencontrais. Romane me manquait plus que tout au monde. Sans elle je n’étais rien. Lorsqu’Ian me demandait de ses nouvelles, je fis comme si de rien n’était. Je refusais d’embêter mon ami avec mes ennuis de couple. Même si j’étais éperdument largué. Il sembla qu’avec le temps, j’appris un peu mieux à mentir. Ian ne tilta point mes âneries. Très vite notre conversation passa sur les relations de mon ami avec ses étudiants. Je savais qu’il avait dernier lui un beau tableau de chasse. Du moins je l’imaginais. Sa remarque sur l’âge des filles me choquait légèrement. Mais je ne le fis pas voir. Trop absorbé dans mes songes. « Dis toi qu’on ne peut pas plaire à tout le monde… » Lui répondis je simplement. Romane…. Je n’avais plus que Romane en tête. Je l’aimais tellement. Pourquoi avais je tout gâché ? Jamais elle ne me pardonnera. Surtout qu’elle pense que j’étais encore amoureux d’Astor. Alors que cela n’avait jamais réellement été le cas. Je finis ma menthe à l’eau et me commanda de suite une bière sans réfléchir. Lorsque le serveur me l’apporta, j’en pris direct une gorgée après l’avoir remercier. Ce n’était pas sans grimacer. Je détestais la bière. Ian avait surement dit des choses sans que je ne fasse attention. Ce fut sa main sur mon épaule qui me rappela sa présence. « Excuse moi. » Il me questionna à nouveau sur mon état. Je brillais par le silence. Reprenant la conversation là où on l’avait laissé. Ou plutôt là où je l’avais abandonné. « Le boulot ça va nickel. A défaut d’autres choses…. Je suis actuellement sur deux projets de film. Selon que je suis entrain de réaliser est une sorte de film d’épouvante quelque peu spécial. Comme le film Vampyre si tu connais. L’autre, c’est encore en état de projet en pour parler en fait. C’est une étudiante qui écrit ses mémoires dans un livre et qui m’a demandé de le produire. Donc à voir ce que ça donnera. Sinon mon émission suit son cours… » Pour penser le moins possible à son absence, je.me noyais dans le travail. Je ne comptais plus mes heures. Je n’étais même pas bien payé mais je m’en fichais royalement. Je ne dormais presque plus. Je voulais que Romane revienne. Elle me manquait atrocement.
Amusé par la remarque son ami, il hocha la tête. Il savait qu’il pouvait plaire, comme ne pas plaire. Après tout, il ne cherchait pas à être en couple. Enfin, pas pour l’instant. Même s’il avait envie de fonder sa propre famille, il savait qu’il devrait d’abord arrêter son activité d’escort boy. Il savait qu’aucune femme ne voudrait apprendre ce genre de chose sur son partenaire de vie. Cependant, le fait que Pacey semblait ailleurs perturba l’enseignant. Que se passait-il ? Lui parlait sans s’arrêter, alors, il se demandait pourquoi l’autre homme ne disait rien. Lui demandant des nouvelles sur son travail, il fut attentif à ses paroles, hochant la tête, tout ne buvant de sa boisson. Apparemment de ce côté-là tout se passait très bien. Ca en fait du travail tout ça. Il eu un sourire amusé avant de reprendre la parole. Pour le film, je connais de nom mais je ne l’ai jamais vu. En tout cas, j’irai voir le tien. Il aimait bien aller voir le travail de son ami, il n’était jamais déçu. Par contre pour l’étudiante, c’est une bonne chose ? Enfin je veux dire, elle doit être encore jeune et ne pas avoir grand-chose à dire, si ? Sauf si elle fait ça pour par exemple chercher ses parents ou une personne qu’elle a perdu de vu. Sinon Ian pensait qu’il n’y aurait pas beaucoup de matière dans ce projet vu que l’étudiante devait être jeune. Pacey, qu’est-ce qui se passe ? Haussant les sourcils, il voulait que ce dernier lui parle. Il voyait bien que ça n’allait pas. Quelque chose le préoccupait et il voulait l’aider de son mieux, mais il semblait vouloir rester silencieux. Il ne voulait pas non plus le pousser à parler, seulement son état le préoccupait vraiment.
Je ne cherchais à cacher à mon ami la quantité de travail que j’assumais ces derniers temps. Bien au contraire. Parler de mon boulot, comme celui d’Ian me changeait l’espace d’un instant les idées. « Oui. J’en ai besoin, je dois bien dire. » Pour être évidemment le moins possible à penser à ma femme. Même si Romane ne pouvait quitter mon cœur. Elle qui souhaitait que l’on soit simplement des amis… J’appréhende chaque jour le facteur. De peur qu’il mette dans ma boîte aux lettres le formulaire de demande de divorce. Le jour où cette maudite paperasse polluera mon intérieur, je saurai ce jour là que tout est réellement terminé avec ma chérie. En attendant, je tentais tant bien que mal de garder espoir. L’espoir était tout ce qui me restait dans la vie. Ça et puis le boulot. « Je ne doute pas de ta bonne loyauté. Je te trouverais des places pour l’avant première. Comme cela tu pourras inviter qui tu veux à venir voir le film avec toi. » Je lui fis un peu clin d’œil sur mes propos. J’espérais pour Ian qu’il se trouvera une compagne d’ici là. « Sinon pour Laurynn, je ne pourrais te dire. Pour le moment elle m’a juste sollicité pour lire ses écrits. Et je t’avouerai que je n’ai pas encore réussi à m’ plonger dedans. » Non. Je n’avais pas la tête à cela décidément… Bizarrement, Ian semblait avoir des doutes. Ce qui ne m’étonnerai guère. Après tout j’ai toujours été piètre menteur. Donc autant tout lui avouer de suite. « J’aimerai autant que toi savoir comment va Romane… » Je finissais déjà ma boisson alcoolisée. Je m’en commandais une autre d’affilée. Jamais auparavant Ian avait pu me voir dans cet état là. Jamais je n’avais replongé dans l’alcool non plus depuis juillet. « Elle m’a quitté. Ça fait deux semaines. Elle n’a pas encore demandé le divorce. En revanche elle souhaite qu’on reste amis. » Je me passais une main sur le front. Je ne me sentais pas très bien. « J’ai fait l’idiot et j’ai perdu la femme de ma vie. Jamais elle ne me pardonnera. Comment je vais faire sans elle Ian ? Je suis perdu… » J’avais les larmes aux yeux. Mais je tentais malgré tout de refouler mes sentiments.
Aider ? Les amis sont faits pour ça.
Sujet: Aider ? Les amis sont faits pour ça. Mar 17 Sep - 23:22
Sujet: Re: Aider ? Les amis sont faits pour ça. Lun 30 Sep - 23:28
Sujet: Re: Aider ? Les amis sont faits pour ça. Jeu 17 Oct - 22:32
Sujet: Re: Aider ? Les amis sont faits pour ça. Jeu 31 Oct - 22:23
Sujet: Re: Aider ? Les amis sont faits pour ça. Sam 2 Nov - 19:05
Sujet: Re: Aider ? Les amis sont faits pour ça. Sam 2 Nov - 22:24
Sujet: Re: Aider ? Les amis sont faits pour ça. Ven 3 Jan - 22:17
Sujet: Re: Aider ? Les amis sont faits pour ça.
Aider ? Les amis sont faits pour ça.
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Des listes audacieuses et inhabituelles!
La capacité de vous mettre à la place de quelqu’un d’autre est une caractéristique humaine clé, mais avec des amis, nous passons au niveau supérieur.
Il y a une citation “Celui qui a un ami, a un trésor”.
Dans cet article, nous démontrerons 10 raisons pour lesquelles nous avons besoin d’amis . Comme l’être humain est un être social, il a évidemment besoin d’amis . Mais dans cet article, nous allons essayer d’amplifier le côté bénéficiaire de l’amitié.
Les gens ont tendance à choisir des amis qui leur ressemblent. Ainsi, le cercle de vos amis montre comment vous êtes réellement. Imaginez que vous n’avez pas d’amis, vous êtes une personne solitaire alors comment quelqu’un peut vous reconnaître comme qui vous êtes. Mais quand vous êtes avec un groupe d’amis, les gens vous comprendront avec le comportement commun de vos amis.
À titre d’exemple, nous pouvons imaginer un homme qui a complètement paniqué sur le football, sa vie est le football. Mais pour une raison quelconque, il n’est pas capable de jouer au football. Alors, comment les gens peuvent-ils découvrir sa passion pour le football? Mais s’il appartient à un cercle qui sont tous des concerts de football alors certainement vous le connaîtrez comme un amoureux du football.
Nous pouvons donc dire que les amis sont comme un miroir de nous-mêmes. Nos amis représentent comment nous sommes. Si vous voulez avoir une idée de qui vous êtes et comment vous êtes perçu, jetez un œil à l’entreprise que vous gardez.
La solitude est douloureuse, surtout quand vous vivez avec la solitude pendant une période prolongée. C’est une autre raison de consacrer du temps, de l’énergie et de l’attention à trouver et à cultiver un cercle d’amis proches.
En tant que créature rationnelle, vous devez avoir besoin de compagnons. Qui serait mieux que ami comme un compagnon. Il est normal que vous vous sentiez mieux quand vos amis sont là. Parfois, les choses les plus ordinaires peuvent être rendues extraordinaires, simplement en les faisant avec les bonnes personnes. Ces droits sont peut-être ceux que nous avons appelés amis.
Le dictionnaire définit l’aide comme, rendre les choses plus faciles ou mieux pour une personne; pour donner à quelqu’un dans le besoin ou le déranger quelque chose de nécessaire comme soulagement. Chaque fois que vous avez besoin de quelque chose à faire pour vous première personne, vous trouverez que ce sont des amis. Parfois, les amis sont utiles que tout autre membre de la famille. Vous pouvez demander n’importe quel type d’aide de vos amis, ce qui peut être stupide (vous ne pouvez pas demander beaucoup de choses à n’importe qui).
Vous n’avez pas besoin d’un ami pour faire un travail sérieux pour vous. Si un ami vous aide dans votre tout petit travail, ce sera un grand bonheur car vous réaliserez que quelqu’un est là pour vous.
Et un bon ami ne vous laissera jamais tomber. Chaque fois que vous avez besoin d’ourlet, vous les trouverez. Ils peuvent se moquer de vous mais ils vont certainement faire n’importe quoi pour vous.
Un bon ami ne vous dira pas exactement quoi faire, mais il vous encouragera à faire ce que vous savez déjà dans votre cœur. Un mot sincère d’encouragement après l’échec vaut plus qu’un jour de louange après le succès et de vrais amis le feront pour vous.
Parfois, la situation va tellement mal qu’il n’y a personne pour vous soutenir. Un ami sera là pour vous si vous avez tort ou raison. Les meilleurs amis font aussi de vos problèmes leurs problèmes, juste pour ne pas avoir à les traverser seuls. Les amis ne sont pas quelqu’un qui résoudra tous vos problèmes, les amis sont ceux qui les affronteront avec vous.
Quand personne ne vous croit, les amis vous croiront quoi que vous disiez des ordures ou non.
Les amis comprendront toujours ce que vous traversez. Supposons que vous rencontriez votre meilleur ami pour votre dîner mensuel et que vous ayez un grand sourire au néon sur votre visage. Sa première question est «Qu’est-ce qui ne va pas?» En quelques secondes, toute la douleur de cette journée et toute la frustration se manifestent et vous commencez à avoir l’impression de renaître.
Les amis comprendront quand vous avez besoin de vous amuser et quand ce n’est pas le cas. Ils ne rendront pas la situation plus misérable quand vous êtes dans une grande douleur et le besoin de s’amuser avec vous comme une chose. Mais encore une fois, ils vont se moquer et faire disparaître votre douleur.
Il y a un terme appelé Friendfluence . Cela signifie l’effet que les amis ont sur nos vies. Quel friendfluence décrivent les amitiés d’enfance commencent votre processus d’apprentissage, les amitiés d’adolescent façonnent
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