Les ados l'aiment par derrière

Les ados l'aiment par derrière




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Les ados l'aiment par derrière


INFOS Coronavirus

Autotest covid
Omicron
Pass vaccinal
Vaccination enfant
Vaccin covid


Bonjour, ça fait plus d'un an que je suis avec mon copain, on a déjà fait l'amour quelques fois et la semaine passée il m'a proposé de "m'enculer"... Nous n'avons fais l'amour qu'un peu plus d'une dizaine de fois, de temps en temps il aime (pendant qu'on le fait) me mettre juste un doigt dans les fesses. Je ne trouve pas cela dérangeant mais je pense que son sexe en entier, je n'aimerai pas. Que dois-je faire?
Et bien si tu n'a pas envie d'essayer dit lui non, tout simplement. Après si t'est un peu curieuse, c'est simple au lieu qu'il te sodomise directement, allez y petit à petit avec des objets de plus en plus larges et/ou longs.
Si tu penses que tu n'aimerai pas, tu as le temps ! Et tu sais, pas mal de garçon attente pas mal de temps avant de mettre un doigts dans les fesses de leur copine et encore plus pour la sodomiser ! je sais pas quel age tu as, mais vous avez couché ensemble que 10 fois... c'est peu. Il vous restera moins de chose à "explorer" après !
A 15 ans et qu'une dizaine de rapports ... c'est peut être un peu rapide. Si tu ne veux pas tu lui dis non .
Une seule chose a dire, le sexe entier fait mal
Tout dépend de la taille su sexe, de l'envie de le faire, de la préparation donnée , de la douceur accordé ...
tu devrais le faire, la sodo c'est super, tu te sens femme et tu a l'impression d'être un objet de fantasme c'est divin. Et les sensations sont vraiment exquises, quand ton trou de balle est habitué à se faire limer. De toutes façons si ton mec il kiffe ça et que tu refuses, il ira le faire avec une autre. Donc prépare ta rosette et offre lui.
Edité le 03/02/2015 à 4:56 PM par emy88jx

Contacts :
La régie
La rédaction


Le groupe :
Groupe Unify
Groupe TF1

sorte de "veine" étrange derrière le zizi...
L'actu Doctissimo, c'est ici ! Votre dose d'actualités quotidienne

Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Paramétrer les cookies Continuer sans accepter Accepter et fermer
Et depuis toujours, Femina s'efforce de vous proposer des articles de qualité, engagés et exclusifs. La publicité est un des moyens de nous soutenir. En acceptant ces cookies, vous nous permettez de maintenir cette exigence éditoriale.
Nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des données personnelles vous concernant comme celles liées à votre visite sur ce site. Nous pouvons également utiliser des traceurs exemptés du recueil du consentement pour le dépôt de cookies de mesure d’audience. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur 'Paramétrer' ou dans notre page 'Données personnelles et cookies' .
Leurs premières interrogations sur la sexualité nous laissent parfois perplexes… Répondre, ne pas répondre et, si oui, comment ? C’est tout le problème ! Les conseils d’Alexandre Chevalier, éducateur sexologue et formateur en éducation à la sexualité.
– Est-ce qu'on est obligé de faire comme dans les films X ? Les images que renvoient les films pornographiques sont essentiellement destinées à exciter ceux qui les regardent. D’où l’importance de les replacer dans leur contexte. « Non, ce n’est pas ce qui se passe dans la réalité. Tout est orchestré, mis en scène, exagéré, voire choquant, car c’est du cinéma » , insiste l’éducateur. Le rôle des parents est avant tout de relativiser ces scénarios racoleurs. « Certes, poursuit-il, il s’agit bien de deux personnes ayant un rapport sexuel. Mais, dans la vraie vie, chacun est un individu à part entière avec sa propre intimité, ses propres désirs. Et, dans ce domaine, il n’y a pas un modèle à suivre. » Problème, quand la question est posée, elle révèle souvent une angoisse bien présente : « Vais-je y arriver ? » Et ce doute s’applique notamment en ce qui concerne les pratiques observées à l’écran. « Sans pour autant rentrer dans les détails, les parents doivent rappeler à leur ado anxieux que, dans ce type d’ébats, manquent la communication, la tendresse et la complicité. Tout ce qui participe en fait à une sexualité épanouie » , précise Alexandre Chevalier. Etre à son écoute et à celle du partenaire, tel est le message à leur transmettre. En termes de pratiques surtout, ils ne sont pas obligés de copier ces acteurs expérimentés. « Comme dans tout apprentissage, il faut apprendre à mieux se connaître l’un l’autre. Et des pratiques telles que la fellation ou la sodomie demandent de grandir, d’être à l’aise avec son corps, afin de savoir si on est prêt et si on a vraiment envie de s’y adonner » , souligne-t-il.
– Pourquoi le sperme colle ? A priori anodine, cette question traduit en réalité une inquiétude. En général, les jeunes garçons ont peur que leur sperme ne soit pas comme celui des autres. « L’essentiel, dans un premier temps, est de les rassurer. De leur expliquer que, sur le plan physiologique, l’éjaculat est composé de spermatozoïdes, de liquide séminal et prostatique. Sa mission : féconder. Voilà pourquoi il est collant, pour adhérer aux muqueuses » , explique l’éducateur. Libre ensuite aux ados d’aller se renseigner plus avant sur des sites sérieux et documentés qui leur sont réservés (tasante.com, filsantejeunes.com).
– Peut-on tomber enceinte quand on avale du sperme ? Non, il n’y a aucun risque, car il n’existe pas de passage entre le système digestif et les organes reproducteurs de la femme. « Mais la vraie question, sous-jacente, c’est : suis-je obligée de le faire ? », précise Alexandre Chevalier. Et le formateur d’expliquer une fois encore que, en matière de sexualité, rien n’est obligatoire. « C’est à la jeune fille d’en décider. De savoir si elle en a envie. Les parents sont là pour lui faire passer un seul et unique message : ces pratiques ne regardent qu’elle et, surtout, il est primordial de ne pas accepter uniquement pour le plaisir de l’autre. »
– Les besoins des garçons sont-ils supérieurs à ceux des filles ? Rien sur le plan biologique ne l’indique. Mais, aujourd’hui encore, c’est une idée largement véhiculée par la société. « Il est plus facile pour un garçon de revendiquer une sexualité active. Les jeunes filles sont dans une forme de contrôle, refrènent leurs envies et n’osent pas exprimer leurs désirs. A contrario, si elles s’y emploient, elles sont vite cataloguées comme des filles faciles » , précise Alexandre Chevalier.
– C'est comment, la première fois ? Pour les jeunes filles, la question serait plutôt : « Vais-je avoir mal ? » et, pour les garçons : « Serai-je à la hauteur ? » « Mais la première fois n’est pas forcément synonyme de douleurs et de saignements abondants et ce, même quand l’hymen est rompu, insiste l’éducateur. C’est une membrane qui n’est pas innervée et peu vascularisée. La douleur et le sang, s’ils sont présents, sont dus aux contractions du vagin, liées à un stress bien réel. » Ce qui n’arrive pas quand les jeunes gens sont détendus et confiants. Néanmoins, chacun aborde cette première expérience à sa façon. « Je conseillerais donc aux parents, une fois encore, de relativiser et de rassurer leur enfant. Toute première expérience peut, bien sûr, se solder par une déception ou, au contraire, s’avérer très agréable. Mais c’est un moment de sa vie où l’on se découvre. Quand l’acte sexuel est empreint de tendresse et de complicité, la sensualité va faire son chemin toute seule et les jeunes amants vont progressivement apprendre à mieux se connaître » , assure le spécialiste.
– Y a-t-il des astuces pour mettre un préservatif ? « Les adolescents s’en font généralement tout un monde et redoutent le jour où ils auront à l’utiliser », souligne Alexandre Chevalier. Toutefois, c’est le seul moyen efficace de se protéger contre les IST et les grossesses non désirées. « Le rôle des parents est avant tout de leur transmettre ce message de protection. C’est essentiel » , martèle l’éducateur. Comment procéder ? « S’ils sont plutôt à l’aise avec le sujet, ils peuvent parfaitement expliquer à leur fiston que ce n’est ni contraignant ni compliqué. A condition de s’entraîner avant, seul, dans sa chambre, puis de savoir en jouer pendant les préliminaires. » En revanche, il est important qu’il aille les acheter lui-même, sans l’aide de papa ou de maman. C’est une façon de le responsabiliser. Et la preuve aussi qu’il a vraiment envie de passer à l’acte, en toute sécurité et avec un minimum de maîtrise. « Et puis, là encore, je conseillerais aux parents de diriger leur ado vers un site d’information, afin qu’il puisse y trouver des réponses. Car ces questions ne sont pas toujours faciles à aborder avec des adultes et leur intimité ne regarde qu’eux. »
– Comment font les homos ? La norme prépondérante en matière de relations sexuelles étant l’hétérosexualité, l’idée que deux personnes du même sexe s’attirent les intrigue. « Dans l’immédiat, mieux vaut leur dire qu’il n’y a pas un modèle unique. Hétéros et homos font l’amour avec la même diversité, les mêmes positions et les mêmes émotions. Quand deux personnes s’aiment, elles savent naturellement comment procéder », ajoute le formateur. Ainsi, sans condamner, ni juger ni aller dans les détails, ces jeunes adultes en devenir avanceront selon leurs préférences et trouveront d’eux-mêmes la réponse à cette question.
– Comment sait-on quand les filles ont envie de faire l'amour ? « Le meilleur moyen de le savoir – et c’est simple –, c’est de leur poser la question » , explique Alexandre Chevalier. Et de rappeler qu’il n’existe pas de signes apparents et clairs non seulement chez la fille, mais aussi chez le garçon qui peut avoir une érection mécanique, sans réel désir derrière. « A la moindre gêne, au moindre refus et ce, jusqu’à la dernière minute, tout le monde a le droit de renoncer. Aucun acte sexuel ne doit être dicté ou consenti par la force », rappelle l’éducateur.
– Est-il vrai que, la toute première fois, les filles ne risquent rien ? C’est on ne peut plus faux. Pourtant, bon nombre de jeunes filles pensent encore que seules les mamans peuvent avoir des enfants. « Il est primordial de les mettre en garde contre le risque de grossesse, mais aussi d’ IST » , explique Alexandre Chevalier. Trouver les mots pour le dire n’est pas toujours aisé. « Le discours doit être porteur, sans être alarmiste. Il est alors bon de leur rappeler que, dès la puberté, elles sont fécondables et que se protéger est indispensable. Mais que faire l’amour la première fois doit rester un moment de plaisir. » Toutefois, l’éducateur conseille, quand cette question est posée, de diriger l’ado vers un centre de planning familial, l’infirmière de son établissement scolaire ou encore un médecin pour en parler. A elle de choisir l’interlocuteur de son choix.
– C'est quoi, la virginité ? « D’un point de vue médical, on parle de virginité lorsqu’une personne n’a jamais eu de rapport sexuel, qu’il soit vaginal, anal ou buccal. Sur un plan social, culturel et religieux, en revanche, la définition change : la virginité repose sur des valeurs de croyances liées à chaque famille. A charge pour les parents d’en faire part à leur enfant sans pour autant les lui imposer. » Et l’éducateur de conclure que le message doit être le même pour les garçons et pour les filles.



Mots clés :
adolescence ricine Neuropeptide expédition



Vous aimez cet article ? Abonnez-vous à la newsletter !


Pourquoi les moustiques réussissent toujours à nous piquer ?


Ebola : deux traitements recommandés par l’Organisation mondiale de la santé


Covid-19 : la baisse des contaminations se poursuit


Les températures supérieures à 25 degrés favorisent la sieste


Comment inciter un adolescent à sortir de sa chambre ?


Les sages-femmes sont désormais autorisées à vacciner les enfants


Utiliser un verre plus petit, la solution pour boire moins d'alcool !


Sciatique : quelles sont les causes de cette douleur ?


Pourquoi devriez-vous travailler debout ?


Des personnes aveugles retrouvent la vue grâce à une cornée artificielle


Pourquoi tant de personnes associent le café à la cigarette le matin


Le tabac et l’alcool, les principales causes de cancer dans le monde !


Pourquoi boire de l’eau de pluie est une mauvaise idée


Diabète : une molécule permettrait de le détecter avant les premiers symptômes


Santé mentale : le sport améliore notre humeur !


La façon dont on observe les visages des autres peut aider à dépister l'autisme


Tabac : manipuler les vêtements d'un fumeur représente un danger pour la santé !


Alzheimer : les virus de l'herpès et de la varicelle en cause ?


Variole du singe : les vaccins ne sont "pas efficaces à 100%", selon l'OMS




Le site santé de référence avec chaque jour toute l'actualité médicale decryptée par des médecins en exercice et les conseils des meilleurs spécialistes.


Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser
En vélo ou en scooter , dans leurs relations sociales, face aux drogues, au sexe, aux jeux d'argent et à l’alcool, les adolescents ont une tendance naturelle à la prise de risques. « Les hormones », entend-on souvent, justifiraient cette inconscience et, par la même occasion, la propension des garçons à prendre plus de risques que leurs homologues féminines.
Mais une hypothèse alternative a fait son chemin : celle du développement lent du cortex préfrontal, une zone du cerveau située à l’avant du crâne, derrière le front. Cette zone, associée à la projection dans l’avenir et à l’inhibition, serait immature.
Mais comme souvent en neurosciences, plusieurs hypothèses se chevauchent. Et cette explication ne satisfait pas les chercheurs de l’université de Pennsylvanie. Ils estiment que cette théorie rate le coche, car elle part du postulat que les comportements à risques traduisent l’impulsivité et le manque de contrôle. Eux préfèrent les voir comme l’expression d’une volonté d’explorer le monde.
« Il y a peu encore, on expliquait le comportement pubère par les hormones en ébullition, rappelle Daniel Romer, directeur institut de communication des adolescents à l’université de Pennsylvanie. Maintenant, c’est le retard de développement du cortex préfrontal. Les neuroscientifiques ont été rapides à interpréter ce qui paraît être une caractéristique du développement cérébral comme preuve d’un stéréotype sur les prises de risques des adolescents. Mais ces comportements ne sont pas symptomatiques d’un déficit cérébral. »
Dans leur article publié dans la revue Developmental cognitive neuroscience , les chercheurs expliquent que cette théorie manque un détail important : les prises de risque ne sont pas toutes les mêmes . Les adolescents ont une attraction accrue pour les nouvelles expériences, parfois en quête de sensations fortes, mais ceux qui recherchent ces sensations ne sont pas nécessairement ceux qui vont se diriger vers les drogues, ou d’autres expériences potentiellement dangereuses. En résumé, le risque n’est pas l’élément qui les attire.
« En réalité, les adolescents manquent d’expérience, explique le Dr Romer. Ils essaient des choses pour la première fois, comme apprendre à conduire. Ils essaient aussi les drogues, décident quoi porter et avec qui sortir. Pour certains jeunes, tout ceci est à l’origine de problèmes. Mais quand vous tentez quelque chose pour la première fois, vous faites parfois des erreurs. Les chercheurs ont interprété cela comme un manque de contrôle alors que pour la plupart des jeunes, c’est simplement de l’exploration. »
Cette théorie se vérifie sur le plan biologique : la hausse des niveaux de dopamine, souvent associée à cette attirance pour les sensations fortes, serait également impliquée dans la capacité du cerveau à générer du contrôle, et à apprendre des expériences.
Et, même si elle comporte des risques, cette phase a son utilité. Grâce à cette exploration, les adolescents apprennent , se forgent une expérience, et sont par la suite capables de prendre des décisions bien plus compliquées qu’un choix entre plonger ou non depuis une falaise de 15 mètres. Des décisions comme celles d’une orientation professionnelle, d’un travail, d’un achat immobilier…
« Cette période d’apprentissage est difficile pour les parents, à n’en pas douter, poursuit le Dr Romer. Mais elle ne signifie pas pour autant que le cerveau de l’adolescent est, d’une quelconque manière, déficient, ou en manque de contrôle. » Il faudra donc juste que les parents prennent leur mal en patience, en expliquant les dangers et/ou en interdisant. Mais ces comportements sont, finalement, normaux.
Toxine botulique, acide hyaluronique, lasers, peeling ... que peut-on attendre attendre de la médecine esthétique du visage?
Maya Gratier, professeure de psychologie du développement et Valéria Lumbroso, autrice et réalisatrice de documentaires, ...
La sclérose en plaques est une maladie inflammatoire du système nerveux central. Elle touche aujourd'hui 100.000 personnes ...
La sclérose en plaques est une maladie inflammatoire du système nerveux central. Elle touche aujourd'hui 100.000 personnes ...
C'est un objet qui fait désormais partie de notre quotidien mais qui n'est pas sans danger pour la santé. Alors que le Haut conseil ...
Il est responsable du plus grand nombre de décès par cancer en France. Pourtant, un meilleur dépistage du cancer du poumon ...
La schizophrénie est une maladie psychiatrique caractérisée par un ensemble de symptômes très variables : les plus ...
Le SIDA ou Syndrome d'Immuno-Déficience Acquise e
Des sportifs qui abandonnent et décident de baiser
POV avec des petits seins
Un mec tatoué baise bien sa femme

Report Page