Les Seins De Ma Femme

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Les Seins De Ma Femme
by Clár McWeeney — 7 juillet 2019 Reviewed by Nicole Telfer

Jones RE, Lopez KH. Human reproductive biology. Academic Press; 2013 Sep 28.
Levin R, Meston C. Nipple/Breast stimulation and sexual arousal in young men and women. J Sex Med. 2006 May;3(3):450-4.
An HY, Kim KS, Yu IK, Kim KW, Kim HH. Image presentation. The nipple-areolar complex: a pictorial review of common and uncommon conditions. J Ultrasound Med. 2010 Jun;29(6):949-62.
Park HS, Yoon CH, Kim HJ. The prevalence of congenital inverted nipple. Aesthetic Plast Surg. 1999 Mar-Apr;23(2):144-6.
Brody GS. The perfect breast: is it attainable? Does it exist? Plast Reconstr Surg. 2004 Apr 15;113(5):1500-3.
Boyer K. “The way to break the taboo is to do the taboo thing” breastfeeding in public and citizen-activism in the UK. Health & place. 2011 Mar 31;17(2):430–7.

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Lorsque j'ai appris que les seins se développaient à l'adolescence, j'étais impatiente que les miens poussent. Il semblait que les seins étaient le trait par excellence de la "féminité".
« C'est pour bientôt !», je me disais joyeusement en jetant un coup d'oeil à ma poitrine presque tous les matins.
Mais ce jour n'est jamais vraiment arrivé.
J'ai la poitrine plate. Or, je ne m'attendais pas à avoir une petite poitrine pendant toute la puberté. Je pensais que les seins devaient être au minimum un bonnet B, ou du moins former une courbe assez importante, mais ce n’étais pas du tout le cas de ma poitrine.
Au départ, avoir de petits seins me semblait décevant et comme un truc dont je devais avoir honte. Passer de la brassière de sport à un soutien-gorge à armatures ne me semblait pas convenir pour moi. La plupart des soutiens-gorge que je trouvais étaient très rembourrés - j'avais l'impression qu'ils mentaient sur ma silhouette et en porter un me semblait inutile car je ne pensais pas avoir besoin de ce soutien pour ma poitrine. Mais j’avais l’impression qu’on voyait le fait de ne pas porter de soutien-gorge comme étant négligé.
Malgré ma conscience aiguë de mon absence de seins et ma frustration face aux soutiens-gorge existants - auxquelles s'ajoute la longue histoire de l'obsession et la préférence de la société pour les gros seins féminins - j'aimais bien ma petite poitrine.
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Comme j'avais envie d'en savoir plus, j'ai décidé de me pencher sur la science des seins.
Les seins sont plus que de simples bosses de graisse posées sur votre poitrine. Sous la peau du sein se trouve un ensemble de glandes appelées glandes mammaires , ainsi que du tissu adipeux. La fonction la plus évidente des seins est de produire du lait pour un·e nourrisson.
Le tissu mammaire a une période de maturation, qui commence par un développement alors que vous êtes encore un fœtus, et se termine par une maturité et une croissance maximales pendant la grossesse. Cela signifie que les seins des personnes qui ne tombent jamais enceint·e·s ne se sont jamais complètement développés (1).
Ne pensez pas que seules les femmes ont des seins - tout le monde a un peu de tissu mammaire sur sa poitrine. La majorité des hommes ne présentent pas de seins "visibles" ou fonctionnels, mais dans de rares cas de déséquilibres hormonaux, les hommes peuvent développer un tissu mammaire important (et même une éventuelle production de lait), dans le cadre d'une affection appelée gynécomastie (1).
Mais les seins ne servent pas qu'à l'allaitement ! Les seins sont également un organe sexuel. Ils font partie des caractéristiques sexuelles secondaires (avec l'élargissement du bassin et la pousse des poils des aisselles/des organes génitaux) pour signaler qu'une personne a atteint la puberté (1).
Les seins et les tétons peuvent également servir de zones de stimulation sexuelle et d'excitation - pour les personnes de tous les sexes, car ces zones possèdent de nombreuses terminaisons nerveuses et peuvent même pointer lors de la stimulation. Près de 4 femmes sur 5 déclarent que la stimulation des tétons et des seins augmente leur excitation sexuelle (2).
L'aréole est la peau plus foncée qui entoure le mamelon. Vous remarquerez peut-être que vos aréoles présentent également de petites bosses. Il s'agit de glandes sécrétant de l'huile appelées tubercules de Montgomery ou glandes de Montgomery (1,3).
Il peut même y avoir quelques petits poils qui poussent sur le bord du tissu mammaire autour, ou sur l'aréole - c'est normal (3). S'il y a une croissance excessive de poils foncés, drus et épais autour des mamelons et sur les seins, il pourrait s'agir d'hirsutisme (croissance excessive des poils) dû à un déséquilibre hormonal, et vous devriez en discuter avec votre professionnel·le de santé.
Pendant la grossesse, la taille de l'aréole augmente, sa coloration devient plus foncée et les tubercules de Montgomery deviennent plus prononcés (3). L'huile produite par les tubercules de Montgomery aide à maintenir la souplesse et l'hydratation du mamelon, ce qui est particulièrement important pendant l'allaitement (3).
Le téton se trouve au centre de l’aréole, il fait saillie vers l'extérieur et c'est par là que sort le lait maternel pendant la lactation. Certaines personnes (environ 3 %) présentent une variation normale, où l'un ou les deux mamelons sont rentrés vers l'intérieur ou ressemblent à une fente et ne dépassent pas autant - on parle alors d'inversion du mamelon (4).
Si votre mamelon change d'apparence et de forme de façon inattendue, parlez-en à un·e professionnel·le, car cela peut être le signe d'un problème de santé.
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Les seins existent dans toutes les formes et toutes les tailles. Comme les autres caractéristiques de notre corps, ils contribuent à nous rendre uniques. Avoir des seins dont la forme ou la taille est légèrement différente est tout à fait commun et normal.
Certaines personnes n'ont même pas conscience que leurs seins sont légèrement différents. Pour vous faire une idée, pensez à votre visage - est-il parfaitement symétrique ? Non, aucun visage ne l'est - alors pourquoi avoir des attentes aussi élevées pour vos seins ? (5)
Si vos seins changent d'apparence et de forme de façon inattendue, parlez-en à un·e professionnel·le, car cela peut être le signe d'un problème de santé.
Reconnaître la diversité de leurs caractéristiques est essentiel pour déconstruire la façon dont les seins féminins sont perçus et représentés.
La publicité et les médias grand public continuent d'hypersexualiser les femmes et leurs seins. Ils perpétuent une conception étriquée et idéalisée du sein que les femmes doivent s'efforcer de satisfaire pour se sentir "normales" ou "attirantes".
En réalité, le caractère attrayant des seins est bien plus subjectif. La poitrine a également une fonction qui va au-delà de l'esthétique - comme l'allaitement - mais les attitudes sociales relatives à ce sujet ont amené certaines personnes à se sentir mal à l'aise d'allaiter dans des lieux publics (6).
Les seins sont présentés comme des objets que l'on peut rendre plus attrayants par des modifications artificielles, alors que leur fonction potentielle naturelle est censée rester dans le domaine du privé.
Lorsque nous ancrons dans la société des notions de base sur la variété des seins, cela peut conduire à une plus grande acceptation de l'apparence inhérente des seins et à une normalisation de leurs fonctions.
Prenez soin de vos seins et consultez un·e professionnel·le de santé si vous remarquez des changements.
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© 2022 Clue by Biowink GmbH, Tous droits réservés
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« Je suis petite, et j'ai parfois l'impression qu'on ne voit que mes seins. D'ailleurs, de nombreuses femmes de ma famille — dont ma sœur — ont eu recours à une réduction mammaire, l’idée m’a donc déjà traversé l'esprit. Peut-être que je sauterai le pas un jour, mais je veux d’abord avoir des enfants et pouvoir les allaiter. Je préfère aussi un aspect naturel. J’aime bien leur forme et je les trouve plutôt fermes si l’on considère leur taille. » « Je suis passée par la puberté très tôt ; je faisais déjà un bonnet D en CM1. Mes seins se sont développés bien avant mes camarades de classe, et les garçons au collège ne m’ont pas épargnée. Ils m'attrapaient les seins, sans réaliser que c’était mal, car ils étaient très jeunes. Mes seins attirent l’attention, et l’ont toujours fait. Je suis maintenant parvenue à la réalisation qu’ils ne sont qu’une partie de mon corps — je suis une fille ronde — j’ai donc dû les accepter. »
« On fait souvent référence à mes seins comme des œufs au plat. Je ne vois pas mes seins comme des objets de désir, car ils ne sont pas de la taille que je voudrais. Je ne porte que très rarement de soutien-gorge et je peux porter des décolletés profonds sans le moindre problème, car il n’y a rien à montrer comme mes seins sont minuscules. »
« On m’a diagnostiqué un cancer du sein à l’âge de 30 ans. J’ai subi une mastectomie en juin, et j’ai maintenant une prothèse de la forme d’une balle de tennis là où se trouvait le tissu mammaire, en attendant ma chirurgie reconstructive. Je me bats avec mon assurance concernant la prise en charge. Voilà où j’en suis en ce moment… J’attends les validations. » « J’ai découvert la grosseur lors d’un EVJF. Je me moquais d’un article de lingerie qu’on venait d’offrir à ma meilleure amie et je l’ai essayé pour plaisanter. J’ai touché mes seins et c’est là que j’ai senti une grosseur de la taille d’un petit-pois. J’ai contacté 12 différents établissements de santé en leur expliquant que j’avais découvert une grosseur et que je ne savais pas trop quoi en penser. La plupart m’ont répondue que comme j’avais moins de 40 ans et aucun antécédent familial, je n’avais aucune raison de m’inquiéter — c’était probablement un simple kyste. Mais au fond de moi, je savais que quelque chose n’allait pas. J’ai appris qu’il était possible de faire un dépistage au Harlem Hospital, et j'y suis donc allée. « En février, ils ont découvert que j’avais trois masses. L’une d’entre elles était CCIS et deux étaient suspectes. En juin, on m’a fait une ablation du sein, un total de cinq masses étaient CCIS, et la métastase aurait pu s’étendre à mes poumons, mon foie, et mon sang par le biais des ganglions lymphatiques. Ce sont ma persistance et une détection précoce qui m’ont sauvée la vie. Si vous pensez que quelque chose ne va pas, parlez-en ! Vous connaissez votre corps mieux que n'importe qui. »
« Je ne porte que très rarement de soutien-gorge, ce que la plupart des femmes à fortes poitrines ont peur de faire. Mais je trouve cela très libérateur et ça me plait. J’aime leur aspect naturel. De nombreuses femmes à fortes poitrines portent des sous-vêtements très contraignants, ce n’est tout simplement pas mon truc. Certes, j’ai souvent mal aux lombaires, mais je fais des Pilates et j’essaie de rester saine, ce qui est très utile. »
« Je suis un mannequin grandes-tailles et j’ai l’impression qu’on attend de toutes les personnes grandes-tailles qu’elles soient voluptueuses. Je ne pense pas que ce soit une réalité pour tout le monde. J’ai donc des coussinets que j’utilise occasionnellement. Cela dépend vraiment du client. J’utilise des coussinets de silicone : on dirait un peu des escalopes de poulet. Cela ne me pose pas de problèmes. Cela ne change pas qui je suis, car je les porte rarement plus de 15 minutes. Je ne les porte pas pour sortir ou autre par exemple. »
« Cela va sembler cliché, mais le plus vieux souvenir en lien avec ma poitrine est probablement moi qui suppliais ma mère de m’acheter une brassière . Je me souviens d’un épisode de la série pour ados Lizzie McGuire où Hillary Duff s’écrie, ‘JE. VEUX. UN. SOUTIEN-GORGE.’ Je crois que c’est ce qui m’a poussée à en parler à ma mère, et même si je n’avais pas vraiment besoin d’un soutien-gorge (et qu’il m’arrive encore souvent de ne pas en porter), elle a été très compréhensive et on a choisi ensemble une jolie petite brassière. J’avais l’impression d’être tellement cool. » « Je ne vois pas mes seins comme des objets sexuels, mais ce n’est pas parce qu’ils sont ‘petits’. J’aime la taille qu’ils ont ; on n'a pas les mains pleines, mais ils sont assez rebondis pour qu’on les remarque. Il m’est d’arriver que des partenaires me demandent si j'envisage d'avoir recours à une mammoplastie, à quoi je réponds toujours : jamais de la vie .
« J’ai récemment perdu ma mère suite à un cancer des seins et c’est ma manière de lui rendre hommage. Je veux encourager les femmes à se palper les seins, à se sentir à l’aise avec leur corps — car c’est souvent par elles-mêmes que les femmes se découvrent des grosseurs. C’était le cas de ma mère. » « J’ai une réelle angoisse vis-à-vis du cancer du sein. Je n’avais pas d’antécédents avant ma mère, mais les antécédents commencent bien quelque part. Cela a changé ma manière d’aborder la vie, mais aussi la manière dont je me soucie de ma santé, de la santé de mes seins et je me palpe les seins plus souvent. Mon copain les adore. »
« L’été avant d’entrer à l’université, je suis passée d’un bonnet A à B, puis C, puis D jusqu’à atteindre un bonnet E (et le derrière qui va avec), et ce en l’espace de quelques mois. J’étais rameuse de niveau compétitif au lycée et j’ai dû arrêter le sport pour permettre à mon corps de trouver son équilibre et d’atteindre sa maturité. « Mes seins sont sexuels lorsque je veux qu’ils le soient, mais la plupart du temps, ils sont une simple partie de mon anatomie. J’espère qu’un jour, ils me permettront de nourrir mes enfants et que, quand je serais vieille, ils pourront librement pendre à ma taille sans que ça ne choque personne. Je ne les mets pas souvent en avant, mais quand c’est le cas, je ne fais pas les choses à moitié : un bon push-up et un décolleté plongeant. Je trouve ça agréable. Mes interactions changent drastiquement (comprenez : on me paye beaucoup plus de verres). Je pense que ma vie serait bien différente si je m’habillais comme ça au quotidien, mais je ne sais pas si ça me plairait. » « Je trouve aussi triste que notre culture voit les seins comme une chose indécente. Au final, on a tous les mêmes — hommes comme femmes. Ce n’est que de la peau et des tissus : rien d'effrayant. Rien à cacher. »
« Ce que je préfère chez mes seins, c’est le fait qu’ils ne tombent pas, même à 60 ans. Lorsqu'on est enceinte, puis qu’on allaite, puis qu’on arrête, puis qu’on est de nouveau enceinte et qu’on allaite encore, la poitrine subit d'énormes transformations. Et c’est certes merveilleux, mais cela change également la perspective qu'on peut avoir de ses seins alors que la vie continue. »
« La relation que j’ai à mes seins est très ambivalente, c’est indéniable. Je les adore : j’ai l’impression qu’ils font de moi qui je suis, car je suis une fille ronde. Si je n’avais pas de seins, ça aurait l’air un peu bizarre. « Je les adore, mais il arrive qu’il soit difficile, voire impossible de trouver des sous-vêtements et des vêtements qui m'aillent. »
« Mes seins se sont développés relativement tôt, je portais donc un vrai soutien-gorge dès l’âge de 8 ans. Je suis allé à Porto Rico rendre visite à ma Abuela pour les vacances d’été, elle a vu mon soutien-gorge et l’a montré à tout le quartier, car elle le trouvait adorable. » « J’ai trouvé une grosseur il y a de cela quatre ans qui se développait très rapidement, je dois donc la faire vérifier chaque année. Pour l’instant, ils ne s’inquiètent pas trop, car je suis encore jeune. Ils pensent que c’est un simple amas graisseux, ils n’ont donc pas envie de prendre le risque de faire une biopsie. Mais viendra le jour où je ne serai plus trop jeune pour me soucier d’un cancer du sein . »
« Il y a de cela un an, j’ai décidé de changer drastiquement mon mode de vie : régime Paléo, sport chaque jour, et attitude positive. J’ai perdu une dizaine de kilos, ce qui était très excitant. Mais la seule chose qui m’empêchait de me sentir bien dans ma peau était mes seins. J’avais l’impression qu’ils étaient difformes, plats et qu’ils n’avaient pas la même taille. » « J’ai donc décidé de me faire poser des prothèses mammaires, et c’est l’une des meilleures décisions de ma vie. Je me sens bien dans ma peau. Ils rendent tout le reste plus facile. Alors, certes, ce n’est qu’une paire de seins, mais cela m’a permis de booster mon estime de moi. De toute évidence, personne n’en a besoin , mais si vous en avez envie et que vous pouvez vous le permettre financièrement, pourquoi pas ? »
« Le cancer du sein a changé ma vie de bien des manières. Mais plus que tout, cela m’a appris de ne pas me soucier des détails — et de profiter au maximum de l'instant présent. »
« Cela fait des mois que j’ai reçu mon test ADN à domicile, mais j’ai peur de le renvoyer de peur d’apprendre que je suis porteuse du gène BRCA. J’ai perdu ma grand-mère suite à un cancer du sein et ma mère y a survécu. C’est triste à dire, mais j’ai l’impression qu’un cancer du sein est inévitable pour moi. Et même si j’adore mes seins, je les vois un peu comme une bombe à retardement. »
« Je me baignais nue dans l’océan l’été dernier, et ma boss se trouvait à une vingtaine de mètres. Mes seins se sont mis à flotter dans l’eau salée et elle a tout vu ! »
« J’avais douze ans lorsque mes seins ont commencé à pousser. Ma meilleure amie à l’époque avait encore le torse d’une enfant, j’ai prié pour que mes seins ne deviennent pas plus gros, ils ne le sont jamais devenus. « Je n’aime pas vraiment mes seins. J’aimerais pouvoir dire que j’ai appris à les aimer et que je me sens bien dans mon corps, mais je trouve qu’ils ont un aspect bizarre. « Mais un jour, j’étais dans un bar et l’acteur Ryan McGinley m’a demandée s’il pouvait les toucher. J’ai accepté parce que ça m'était égal. Je ne sais pas s’il faut en rire ou en pleurer, ou peut-être même les deux. »
« Je travaillais dans un bar dans le centre de Seattle, et un jour alors que j’étais devant le bar, un connard bourré m’a lancé “ montre tes seins ” ! Alors je lui ai répondu en criant, “ montre ta bite ! ” et j’ai trouvé ça très drôle.
« J’ai toujours eu les seins de tailles visiblement différentes. Lorsque j’étais plus jeune, je me souviens avoir baissé la tête à l’église et m’être dit : qu’est-ce que c’est que ce bordel ? Je n’ai porté que des brassières de sport pendant très longtemps. Je ne savais pas que c’était normal avant d’avoir fait des recherches sur internet. »
« Je ne suis pas personnellement fan de mes tétons et de mes aréoles. Mes tétons ne durcissent pas comme c’est le cas pour beaucoup de femmes, et ce n’est pas du tout une zone érogène pour moi (je ne suis pas la seule, si ?). Ils se contentent d’être là. « Mais je me suis fait percer le téton pour mon 21e anniversaire (sobre, promis), et ça reste l’une des meilleures décisions de ma vie. J’adore avoir ce secret rien que pour moi — hormis quelques amis. Je l’ai retiré depuis à cause d’un incident (mon top s’est accroché à un bar une fois) et depuis, je suis super paranoïaque. Mais j’hésite encore à re-piercer. Si je le fais, je fer
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